DU 15 OCTOBRE 2015
AU 30 JANVIER 2016
ET TOI, TU T’IMAGINES COMMENT DANS 50 ANS ?
ILS VONT DÉFIER LE TEMPS
GRÂCE À LA MUSIQUE
DOSSIER DE PRESSE
FRANÇOIS JOZIC, LES 2 BELGES PRODUCTIONS, GILLES MATTANA,
GERARD PULLICINO ET LLING MUSIC PRÉSENTENT
14-20 rue de la Gaîté - 75014 Paris - M° Edgar Quinet ou Gaîté
www.foreveryoung-spectacle.com foreveryounglespectacle
CréationLogo-titre
IMAGINEZ-VOUS DANS 50 ANS !
VENEZ À LA RENCONTRE DE 6 RETRAITÉS
QUI VONT DÉFIER LE TEMPS GRÂCE À LA MUSIQUE.
En 2060, à la résidence Belair, les journées passent lentement, entre les soins nécessaires et
les activités infantilisantes, sous le contrôle d’une infirmière machiavélique. Heureusement nos
six pensionnaires du futur se retrouvent chaque semaine dans l’ancien théâtre. Ils ont d’autres
plans et la résistance s’organise.
Aussi attachants que méchants, aussi immatures que séniles, aussi drôles que pathétiques…
Le temps fait son œuvre mais ces jeunes vieux rebelles ont gardé leur jeunesse éternelle grâce à
la musique. lls vont défier le temps à coup de chansons au répertoire éclectique (rock, variété,
classique, rap, techno, électro…).
En revivant avec eux les tubes des Rolling Stone, des Bee Gees, d’Alain Souchon, de NTM, de
Stromae ou encore de Daft Punk... c’est toute notre mémoire collective qui défile devant nous.
Ici pas de place pour la nostalgie mais bel et bien une ode à la vie, sans complaisance ni
sensiblerie et une furieuse envie de vivre.
ET TOI TU T’IMAGINES COMMENT ?
ET VOUS, COMMENT SEREZ-VOUS DANS 50 ANS ?
C’est la question à laquelle les pensionnaires de la résidence Belair nous invitent
à répondre. Un spectacle musical qui se veut aussi le miroir d’une tendance
actuelle qui consiste à refuser d’abdiquer, peu importent le nombre des
années. Parce que jusqu’au dernier souffle, c’est la vie qui l’emporte. Et que pour paraphraser
le grand Jacques, il faut bien du talent pour être vieux sans être adulte.
Etre Forever Young ? C’est avoir la certitude que l’âge peut bien avancer et les rides gagner du
terrain, à l’intérieur de chacun d’entre nous survit cet ado impatient et gourmand d’un demain
plein de promesses. Comment sera-t-on quand on sera vieux ? Exactement les mêmes, en plus
indignes encore, sans doute. Parce que si le corps ploie, l’esprit ne se flétrit pas, lui.
Les personnages en quête de jouvence de Forever Young incarnent l’idée qu’il n’y a d’âge
limite que pour ceux qui l’ont décidé. Que l’amour, le vrai, ne cesse jamais de se réinventer.
Qu’il est autorisé, voire fortement recommandé d’être celui ou celle que nous étions à 20 ans
même en fauteuil roulant ou incontinent. Que rien n’est jamais terminé tant que le cœur palpite.
Parce que les ainés d’aujourd’hui n’ont jamais été aussi jeunes, qu’un Paul Mac Cartney fait
vibrer les stades comme jamais, que Keith Richards reste le plus juvénile des rockers, Karl
Lagerfeld le plus rock and roll des designers, ou Patti Smith une icône intemporelle. Vieillir,
en somme, ne serait-ce pas la dernière des tendances ? Le secret de la vitalité des héros de
Forever Young ? La musique, à travers laquelle ils défient le temps et subliment tous les
obstacles que leur fin de vie s’amuse à poser sur leur chemin. L’âme n’a pas d’âge quand elle
danse au rythme des morceaux qui nous ont fait vibrer à chaque étape de notre existence.
L’esprit Forever Young ne s’inscrit pas dans le refus - un peu vain - de vieillir, mais nous invite
tout simplement à ne plus en avoir peur...
Tout a commencé lors d’une représentation à
Barcelone de la version espagnole du spec-
tacle allemand Forever Young à laquelle ont
assisté les futurs producteurs de l’adapta-
tion française. Immédiatement séduits par
l’esprit et le message portés par la pièce,
ils décident d’en acquérir les droits pour la
produire en France.
Ils tombent très vite d’accord sur la nécessité
d’adapter le spectacle au public français.
« La version espagnole est très bien, de même
que celle proposée à Hambourg ou à Londres,
mais à chaque pays sa culture et ses réfé-
rences musicales », explique la production.
Première décision des producteurs, opter
pour un spectacle musical, avec par consé-
quent des chanteurs sur scène, « aux voix à
la tonalité rock et contemporaines ». Il leur
apparaît également naturel de faire jouer
des jeunes grimés et déguisés en personnes
âgés, comme c’était le cas dans la version
espagnole, mais en s’attachant à les faire
murir de manière moderne. « Parce que les
trentenaires ou quadras d’aujourd’hui ne
vieilliront pas comme leurs grands-parents ».
Quant aux décors, ils sont volontairement
« déconnectés de toute notion temporelle ».
« Ils sont dans un théâtre désaffecté, figé
dans le temps, de façon à ce qu’on puisse se
projeter, sans se soucier de ce qui se passe
à l’extérieur ».
Afin de donner à cette version de Forever
Young une âme propre à conquérir le pu-
blic français, Gérard Pullicino et sa fille Zoé
ont été chargés de l’adaptation. Un travail
à quatre mains durant six mois, pour choisir
les chansons, véritables fils rouges de l’his-
toire, mais aussi remodeler les textes et les
personnages. « Ce mélange de générations
a été déterminant pour l’écriture », explique
Gérard Pullicino. « Il fallait réussir à par-
ler à tout le monde. Les morceaux qui
émaillent toute l’histoire représentent
plus de 50% des textes. Ils servent de dia-
logues et permettent aux protagonistes
d’exprimer leurs émotions». « Nous voulions
un ton décalé, sarcastique, parfois
trash, mais toujours tendre », rebondit Zoé
Pullicino. « L’idée n’est pas de se moquer,
prévient Gérard Pullicino, mais de montrer
que l’on peut affronter les affres de la
vieillesse tout en conservant une éternelle
jeunesse d’esprit ». « Nous avons par
conséquent totalement réécrit chaque per-
sonnage, de l’ancienne activiste au couple
divorcé en passant par le rappeur valide –
un hippie dans la version originale - mais
qui se promène en fauteuil roulant parce
qu’il a la flemme ». Le tout sans pathos,
en s’appuyant sur la bande originale
de notre histoire commune chantée entiè-
rement en live, et sous l’oeil implacable
de la terrible infirmière en chef, « certes
plus jeune que ses pensionnaires mais à
l’esprit bien moins juvénile », glisse Zoé
Pullicino. Pour Gérard Pullicino, le mes-
sage porté par Forever Young est simple :
« Ces pensionnaires un peu déjantés sont
tels qu’ils étaient il y a cinquante ans. Et
l’idée consiste à faire comprendre à chaque
spectateur qu’il en sera de même pour lui et
qu’il n’a donc pas à avoir peur de vieillir.
Et le secret de cette jeunesse éternelle ré-
side dans la musique, qui est à elle seule un
condensé de vie ! ».
Et Zoé Pullicino de résumer : « Ce n’est pas
un spectacle nostalgique mais une invita-
tion à vivre jusqu’au bout. Pas question
d’avoir de la peine pour ces six person-
nages. On s’y attache et on rit avec eux,
parce qu’ils sont ce que nous serons ».
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