dossier
Équipe mobile
de soins palliatifs
Un accompagnement
quotidien
actes et des soins réalisés, le
risque lié aux soins et la prise
en charge des pathologies.
Soucieuse de convaincre les
médecins des vertus de l'EPP,
l'HAS convie les profession-
nels à découvrir l'expérience
de leurs collègues précurseurs
dans le cadre de journées
régionales. Les prochaines
sont prévues à l'automne à
Reims, Orléans, Montpellier
(inscriptions et programmes
sur www.decisionsante.com).
L'objectif de ces journées :
démontrer que l'EPP ne repré-
sente pas une contrainte de
plus, mais qu'elle s'articule
avec la certification des éta-
blissements, les accords de
bon usage et bien entendu la
formation continue. “Ce sont
des voies différentes mais qui
ont un seul objectif : donner
plus de place à la qualité dans
la régulation hospitalière
insiste Alain Coulomb, direc-
teur de l'HAS. “Nous mettrons
en place des procédures
d'équivalence”, promet de son
côté le Pr Jean-Michel Chabot,
chef du service de l'EPP à
l'HAS, en rappelant qu'il y a
deux façons de répondre à
l'obligation de formation
continue : en suivant une for-
mation classique ou en optant
pour une solution plus ouver-
te, la participation à un pro-
gramme d'évaluation.
Pour en savoir plus :
www.has-sante.fr/publications
Revalorisation
du statut des
praticiens
hospitaliers
Le 31 mars, deux organisations
syndicales représentatives
des praticiens hospitaliers ont
signé un relevé de décisions
portant sur la revalorisation
de leur statut
Objectif : rendre la profession
plus attractive et favoriser les
recrutements. À la clé, deux
mesures essentielles : la reva-
lorisation des gardes, astrein-
tes et de l'indemnité complé-
mentaire et l'instauration d'une
part complémentaire variable
de rémunération, telle que
prévue par l'accord intersyndi-
cal du 2 septembre 2004.
Pour en savoir plus :
www.sante.gouv.fr
Couleurs HDN
Directeur de la publication :
Daniel Bouquet
Rédacteur en chef :
Claudie Greslon
Comité de rédaction :
Frédérique Beuhorry-Sassus,
Denis Cocard, Valérie Darnaud,
Florence Falco, Nathalie Hallard,
Aurélie Michel, Renée Mollot,
René Parreault, Ghislaine Teysier.
Ont collaboré à ce numéro :
B. Chareyre, J. Chosson,
B. Demonteil, Docteur S. Charvet,
Docteur J.P. Gaide, M.L. Pascal.
Hôpitaux Drôme Nord
Route de Tain, BP 1002 26102
Romans / Isère Cedex
Tél. 04 75 05 75 05
Conception graphique : Alain Roth
Impression : Mercure,
avenue de la première armée,
26100 Romans
Tirage : 2300 exemplaires
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écrire à
journal.interne@hopitaux-
drome-nord.fr
ou à contacter
un membre du comité
de rédaction.
modifiée. Le 1er janvier 2007, il
sera constitué de grands pôles
d'activité dotés d'autonomie
et de responsabilités. Leur
création répond à une logique
de simplification et de décon-
centration de la gestion. Les
services ne disparaissent pas,
mais sont regroupés au sein
du pôle.
Le pôle élaborera son projet
d'activité. Celui-ci comportera
un volet relatif à la qualité et à
l'évaluation des soins, et des
objectifs d'évaluation des pra-
tiques professionnelles. En
contrepartie, le pôle disposera
de moyens qui lui seront délé-
gués dans le cadre d'un
contrat. Un médecin assurera
la coordination du pôle. Il sera
épaulé par un conseil de pôle
et deux cadres : administratif
et de santé.
Pour en savoir plus : www.legifrance.fr
– Journal officiel du 3 mai 2005
Évaluation
des pratiques
professionnelles
à l'hôpital :
une (r)évolution
culturelle ?
Le décret sur l'évaluation des
pratiques professionnelles
(EPP) est paru le 15 avril 2005
au journal officiel
Dès juillet 2005, tous les
médecins devront se sou-
mettre à la nouvelle obligation
quinquennale de l'évaluation
des pratiques profession-
nelles. L'EPP s'inscrit dans une
démarche d'amélioration des
pratiques et de la qualité de la
prise en charge des patients.
Elle sera organisée et supervi-
sée par la CME (commission
médicale d'établissement) con-
formément aux recommanda-
tions établies par l’HAS (haute
autorité de santé). Cette der-
nière en contrôlera la réalisa-
tion, à l'occasion notamment
des visites de certification.
Rappelons, que cette visite est
programmée dans notre hôpi-
tal en décembre 2006 et que
trois références (44, 45 et 46)
de la version 2 du manuel de
certification (ex-accréditation)
s'attachent à l'évaluation des
pratiques. Elles concernent
l'analyse de la pertinence des
ON EN PARLE
Couleurs HDN
2
Adieu K, Kc, Z,
ARE K… et place
à la CCAM
Le 1er juillet, la nouvelle classi-
fication commune des actes
médicaux entre en vigueur.
Elle est destinée à décrire plus
précisément chaque acte, en
lui attribuant un nombre de
points par geste médical prati-
qué. Objectif : rémunérer l'acte
de manière égale, qu’il soit
réalisé en secteur libéral ou
public. La CCAM recense 7 200
actes codés.
Pour en savoir plus : www.ameli.fr
Nouvelle gouver-
nance : troisième
pilier du plan
hôpital 2007
Depuis le 2 mai 2005, la réfor-
me de l'organisation hospita-
lière est sur les rails. Après la
relance de l'investissement et
l'instauration de la T2A (tarifi-
cation à l'activité), place à la
nouvelle gouvernance.
Le rôle des instances est redé-
fini (conseil d'administration,
commission médicale et comi-
té d'établissement). De nou-
velles responsabilités sont
confiées au directeur, au prési-
dent de la CME et à une nou-
velle entité, “le conseil exécu-
tif”, composé à parité de
médecins et de directeurs. Son
rôle : élaborer les projets
importants de l'établissement.
La composition et les missions
de la commission des soins
infirmiers, de rééducation et
médico-techniques sont élar-
gies, en particulier dans les
domaines de l'amélioration de
la qualité et de la sécurité des
soins.
Les divers comités et commis-
sions de vigilance réglementés
(comité de lutte contre les
Infections nosocomiales, comi-
té de lutte contre la douleur,
commission du médicament…)
jugés trop nombreux, sont
remplacés par une ou plu-
sieurs sous-commissions de la
CME déterminées par le régle-
ment intérieur de l'établisse-
ment. Il doit en résulter une
simplification de leur fonction-
nement.
L'organisation de l'hôpital est
Rien ne se fait en un jour !
Lorsque l'on s'investit dans un projet, c'est toujours avec appréhension
que sont attendues les critiques. Heureusement, elles sont peu nom-
breuses et nous avons le sentiment que le premier numéro de Couleurs
HDN vous a séduits par sa conception globale et ses articles qui s'adres-
sent à tous. Il est vrai, non signés. Nous y remédions dans ce second
numéro.
Vous nous avez demandé également d'expliquer le choix du titre
"Couleurs HDN". Couleurs s'oppose à Noir sur Blanc, le nom qui sera attri-
bué à la lettre mensuelle relookée. Couleurs, pour exprimer la diversité
des professionnels et des services ; Noir sur Blanc pour l'information de
la direction et HDN, tout simplement pour Hôpitaux Drôme Nord.
À l'attention de ceux qui affirment que le journal interne est réalisé au
détriment du recrutement de médecins ou d'infirmiers, précisons que les
rédacteurs participent à ce projet en sus de leurs activités habituelles.
Restent la maquette et l'impression, qui ont certes un coût puisque sous-
traitées. Cinq numéros par an seront édités à 2 300 exemplaires : février,
avril, juin, septembre, décembre. Coût d’un numéro : 2 000 euros ; coûts
annuels d'un infirmier 42 000 euros et d'un médecin 110 000 euros.
Comparons ce qui est comparable !
De plus, soucieux des deniers de l'hôpital, nous prévoyons de financer ce
journal par des encarts publicitaires. Mais, pour intéresser des annon-
ceurs, il nous faut pouvoir leur présenter le produit à acheter. Alors, un
peu de patience…
Enfin, les critiques permettant de progresser, merci de nous faire part de
vos réactions et encouragements. Vos propositions de thèmes et vos
articles sont les bienvenus. Dans l'attente du prochain numéro, emportez
peut-être celui-ci à la maison ou à la plage.
Bonnes vacances à tous.
Claudie Greslon
Alimentation,
nutrition et can-
cer : vérités,
hypothèses et
idées fausses
Dans le domaine de la nutri-
tion, quatre points sont
aujourd'hui considérés comme
des “certitudes” en terme de
réduction du risque de cancer.
Ils aboutissent à des recom-
mandations de santé publi-
que : augmenter la consomma-
tion de fruits et légumes et
l'activité physique, réduire le
surpoids et la consommation
d'alcool.
D'autres relèvent “d'hypo-
thèses fortes” faisant l'objet
de débats scientifiques et
conduisant à des recomman-
dations alimentaires et nutri-
tionnelles générales : plus de
fibres alimentaires, moins de
viandes, charcuteries, graisses,
café, aliments conservés par
salaison.
Enfin, une troisième catégorie
de composants alimentaires
demeure au stade “d'hypo-
thèses non vérifiées” ne per-
mettant aucune recommanda-
tion nutritionnelle : anti-oxy-
dants, folates, phyto-oestro-
gènes, etc.
Ces études et recommanda-
tions sont rappelées dans le
PNNS (programme national
nutrition-santé) mis en place
en France en 2001 et dans une
brochure éditée par le ministè-
re de la santé à l'attention des
professionnels de santé.
Objectif : sensibiliser la popu-
lation en lui apportant une
information fiable et impartia-
le.
Pour en savoir plus :
www.invs.sante.fr
www.sante.gouv.fr www.inra.fr/reseau-
nacre/
3
On en parle
Place à la CCAM. Plan hôpital 2007. Évaluation des pratiques professionnelles
à l'hôpital : une (r)évolution culturelle ? Revalorisation du statut des praticiens
hospitaliers. Alimentation, nutrition et cancer.
En direct des services
Les HDN font leur entrée à l’OPERAH. Maladie d’Alzheimer : accueil privilégié,
prise en charge plus animée. Consultations : un département, deux sites,
21 spécialités. Blanchisseries : le rythme effréné des tambours.
Dossier
Équipe mobile de soins palliatifs. Qualité de vie et dignité :
un accompagnement quotidien.
Vivre son métier
Brancardiers et coursiers : ils marchent pour vous.
On respire
Vous avez dit Scrapbooking ? Art thérapie. Quelques kilos à perdre avant l’été ?
Le Bloc voit bleu. Courrier des lecteurs. Vrai-faux.
On bouge
Départs, arrivées, nominations.
2
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Les HDN font
leur entrée à
l’OPERAH
Repenser nos habitudes
d’achat et faire aussi bien
en dépensant mieux.
Réaliser des économies,
réduire un déficit, voilà
autant d’arguments qui ont
conduit les Hôpitaux Drôme
Nord à s’engager dans le
projet OPERAH (optimisation
de la performance des
achats hospitaliers).
Après une phase pilote
menée en 2004 auprès de 14
établissements, ce projet
national permet cette année
un transfert d’expérience
sous l’égide de la MEAH
(mission nationale d’experti-
se et d’audits hospitaliers).
Missionnée depuis le
1er mars, une équipe HDN
étudie les catégories
d’achats qui permettront de
réaliser les économies les
plus importantes, à savoir
fluides médicaux, consom-
mables et textiles à usage
unique, médicaments en
monopole, médicaments
hors monopole, fournitures
de bureau, dispositifs médi-
caux stériles, équipements
informatiques.
S’investir dans un tel projet,
c’est non seulement réduire
et maîtriser nos dépenses,
mais aussi l’occasion de
réorganiser nos achats, de
partager les enseignements
et les résultats obtenus, de
renforcer la maîtrise du pro-
cessus afin de valoriser la
fonction achats, de promou-
voir l’échange d’informations
entre établissements.
À titre d’exemple, certains
établissements de la phase
pilote ont pu générer 24 %
d’économies sur les gaz et
fluides médicaux, 35 % sur
les équipements informa-
tiques et 16 % sur les médi-
caments hors monopole…
Des chiffres encourageants
que les HDN se promettent
d’atteindre à leur tour.
Marie-Laure Pascal
Maladie d’Alzheimer
Accueil privilégié,
prise en charge plus animée
Salué par les jappements de Mocky, le chien d’Ambel et Veymont,
René, patient atteint de la maladie d’Alzheimer, a fait son entrée
dans la nouvelle unité de l’accueil de jour de Romans.
epuis le 2 mai, grâ-
ce au concours du
centre communal
d’action sociale de
la ville de Romans,
du conseil général de la
Drôme et du Lions Club,
quatre places d’accueil de
jour complètent les 20 lits
existants.
À Saint-Vallier, deux places
sont, depuis quelques
années, réservées à cet
effet dans le pavillon Lou Piroulé, en sus
des trente lits permanents.
Pour les situations d’urgence ou lorsque les
familles s’essoufflent, Lou Piroulé dispose par
ailleurs d’une place d’accueil temporaire,
représentant aussi un moyen de préparer le
patient et sa famille à une entrée définitive
dans l’institution.
Dans les deux structures, les personnels ont
pour principal objectif le respect du patient et
de son rythme de vie. Les soignants propo-
sent réunions d’information et aide psycholo-
gique aux familles confrontées au caractère
irréversible de la maladie. Parallèlement des
manifestations les aident à renouer des liens
avec leur parent : arbre de Noël, sorties au
restaurant. Cette année, à l’occasion du tradi-
tionnel pique-nique saint-valliérois du 21 juin,
tous se sont régalés d’un repas campagnard,
ambiance musicale à la clé.
Au-delà des soins quotidiens assurés par
médecins, infirmiers, aides-soignants et psy-
chologues (pour ces derniers uniquement sur
le site de Romans), ateliers mémoire, jeux et
détentes sont proposés : chants, chorale,
dégustation de glaces, ballades et pique-
niques ; on se souvient parfois des guin-
guettes d’antan au son de l’accordéon. Autant
d’activités qui seront développées par
Marjolaine, la nouvelle animatrice du site de
Romans.
Valérie Darnaud
et Nathalie Hallard
La maladie de type Alzheimer est caractérisée
cliniquement par le développement progressif
d'une démence où dominent les troubles
de la mémoire, l'atteinte du langage et les
fonctions intellectuelles qui permettent d'agir,
de savoir, de penser. Près de 800 000 personnes
sont atteintes de cette maladie ou de maladies
apparentées. En outre le vieillissement
démographique de la population s’accentue et
va conduire à une augmentation de ce nombre.
On compte déjà près de 165 000 nouveaux
malades par an. Face à ces données, mettre
en œuvre un programme de soutien aux malades
et à leurs proches est un enjeu essentiel de
santé publique. C’est pourquoi a été lancé
un plan Alzheimer et maladies apparentées
2004-2007 qui se décline en 10 objectifs
couvrant les principaux aspects de la maladie.
Association France Alzheimer 21 bd Montmartre
75002 Paris 01 42 97 52 41
Pour en savoir plus :
www.francealzheimer.org
EN DIRECT DES SERVICES
Couleurs HDN
D
4
Le nouveau bâtiment de l’accueil de jour
Consultations
Un département,
deux sites,
21 spécialités
Depuis un an, la création du département
consultations, explorations fonctionnelles
et endoscopies” donne une véritable
identité à l’activité de consultations externes
et internes de notre établissement.
a structure s’appuie sur les Docteurs Mollot,
Rémy, Zayneh, responsables médicaux des diffé-
rentes unités fonctionnelles, le tout coordonné
par le Docteur Rémy.
Homogénéiser les
pratiques professionnelles
et les procédures, dynami-
ser la complémentarité des
activités, optimiser les res-
sources humaines et maté-
rielles : telles sont les
ambitions qui animent les acteurs du département.
Deux objectifs à atteindre : Accroître la qualité et don-
ner sens et logique à la prise en charge et au parcours
du patient, augmenter la synergie afin de répondre au
mieux aux besoins de la population et s’articuler avec
l’ensemble des professionnels de santé.
Le regroupement des deux services permet une
meilleure reconnaissance institutionnelle du rôle de
l’infirmier(e) en matière d’éducation, d’information, de
coordination, de prévention. À ce titre, 4 jours de for-
mation sont prévus en 2005 et autant en 2006. Ces
formations aborderont les
thèmes suivants : l’informa-
tion du patient, l’éducation
des personnes atteintes de
maladies chroniques, la prise
en charge des soins de suite
et la douleur.
En projet, la rédaction d’une
brochure d’accueil dédiée à
tous les consultants de l’éta-
blissement.
Renée Mollot
et Bernadette Demonteil
Pour en savoir plus sur les
disciplines, consulter
le livret d’accueil ou
www.hopitaux-drome-nord.fr
S
Quelques chiffres
- 21 spécialités médicales
et médico-chirurgicales
- 22 salles d’examens
- 50 intervenants médicaux
- 4 rééducateurs (orthoptistes
diététicien, kinésithérapeute…)
- 2 cadres
- 12 IDE et 3 AS/ASH,
- 8 secrétaires
- 34 000 consultants par an
- le maintien de l’activité de
prélèvements de laboratoire
sur le site de St-Vallier
Blanchisseries
Le rythme effréné
des tambours
Plus communément appelées “lingeries”,
les blanchisseries sont connues de tous.
Pourtant, nous sommes nombreux
aux HDN à ignorer leur fonctionnement.
5
Séchage et pliage du linge dans l'engageuse
our traiter annuellement 1300 tonnes de linge,
40 personnes s’y activent. Ceci représente un
gros travail physique. Du coup ce sont les
hommes qui s’occupent du tri et du lavage
(comme à la maison ?). Les femmes occupent
plutôt les postes du repassage, du pliage, du ravau-
dage (raccommodage), de la préparation des armoires
de dotation. Insalubrité, fréquentes manutentions, cha-
leur et bruit, gestes répétitifs, telles sont leurs dures
conditions de travail.
Malgré l’automatisation croissante de certains postes,
des progrès restent à venir : des progrès qui sont aus-
si notre affaire (respecter le pré-tri, vider les poches
des tenues professionnelles, utiliser les bons sacs de
collecte de linge, ne pas trop charger les sacs (pensez
à ceux qui les soulèvent) autant de petits gestes indis-
pensables à la prévention des risques professionnels.
Le projet de la nouvelle blanchisserie s’orientera vers
une implantation unique à St-Vallier et un outil de tra-
vail qui sera majoritairement automatisé.
Disparaîtront le tri manuel du linge et les machines à
laver… À la place, déchargement automatique des sacs,
tunnels de lavage, sécheuses-repasseuses, tunnels de
finition…
Que de chemin parcouru pour Jacqueline Ruchon qui
nous quitte après 34 années de services. Elle laisse les
commandes à Christian Meugnier qui assurera l’enca-
drement des deux blanchisseries dans l’attente de leur
regroupement.
Denis Cocard
P
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