
our Global Investment Authority
Structure of global economy and growth dynamics are changing rapidly
SOURCE: International Monetary Fund (IMF), World Economic Outlook April 2013
global_advantage_review_42_EM
No data
Below 0
Between 0 and 3
Between 3 and 6
Between 6 and 10
Above 10
AVERAGE REAL GDP GROWTH FORECASTED FOR 2014 (PERCENT)
Aucune donnée
Moins de 0
Entre 0 et 3
Entre 3 et 6
Entre 6 et 10
Plus de 10
LA SOLUTION : INVESTIR À L’ÉTRANGER
En investissant à travers le monde, vous avez accès aux opportunités oertes sur l’ensemble des marchés. Pourquoi alors se
restreindre aux sociétés (ou aux émetteurs) basées au Canada, alors que notre pays ne représente qu’environ 4 % de la capitalisation
boursière mondiale totale? Pourquoi réduire le bassin de titres dans lequel le gestionnaire peut choisir?
CROISSANCE MOYENNE DU PIB RÉEL ESTIMÉ POUR 2014 (EN %)
En plus d’avoir accès à un univers de
placement beaucoup plus grand et à
des marchés ayant une plus grande
croissance économique qu’au Canada,
tel que le démontre le tableau ci-contre,
vous protez du fait que les marchés ne
réagissent pas tous de la même manière
à un événement. Ainsi, en investissant
dans des actifs étrangers, vous
protez d’un potentiel de rendement
supérieur tout en atténuant le risque
du portefeuille.
Source : Fonds Monétaire International (FMI), Perspectives de l’économie mondiale, avril 2013
INVESTIR À L’ÉTRANGER DANS LES ACTIONS
L’économie canadienne est fortement basée sur l’exploitation de nos réserves de ressources naturelles; il est donc normal que la bourse
canadienne ait une concentration importante dans ces secteurs. Nous sommes aussi fortement dépendants de la santé économique
des États-Unis, de loin notre plus grand partenaire commercial et vers qui 70 % de nos exportations de biens et services sont dirigés.
Comme on peut le voir dans le graphique ci-contre, les secteurs des Services
nanciers, de l’Énergie et des Matériaux représentent plus de 70 % de
l’indice S&P/TSX. De plus, 87 % de l’indice est regroupé dans les secteurs
considérés comme cycliques (et donc 13 % dans les secteurs défensifs),
c’est-à-dire des secteurs qui montent et baissent dans le même sens que
l’économie. À l’inverse, les sociétés œuvrant dans les secteurs défensifs
(Consommation de base, Soins de santé, Télécommunications et Services
publics) génèrent des revenus stables peu importe l’état de l’économie.
À titre comparatif, l’indice mondial MSCI Monde compte 28 % dans des
secteurs défensifs. Donc, un avantage d’investir à l’étranger est de
diminuer la concentration du portefeuille dans quelques secteurs et
par le fait même une exposition plus équilibrée entre ceux-ci.
En ce qui concerne les actions à dividendes, il n’est pas surprenant d’apprendre que seulement
deux secteurs (Services nanciers et Énergie) représentent 60 % de l’indice S&P/TSX Equity Income,
l’indice de référence des actions à dividendes au Canada. D’un point de vue général, les titres
payant un dividende orent une certaine protection à la baisse lors de marchés baissiers
puisque les dividendes versés procurent un certain coussin de sécurité. Aussi, ce type d’actions
est généralement moins volatil, entre autres parce qu’une partie importante du rendement total
des actions, les dividendes, ont une volatilité (mesurée par l’écart-type) plus faible que le marché
des actions en général.
Les actions à
dividendes sont
généralement
moins volatiles
Énergie
Matériaux
Produits industriels
Consommation discrétionnaire
Consommation de base
Soins de santé
Services nanciers
Technologies de l’information
Télécommunications
Services publics
S&P/TSX
MSCI Monde
35
30
25
20
15
10
5
0