Connaissez-vous
l’interface Plaies &
cicatrisations de Télévitale ?
Dopcica est
un logiciel
de gestion
de dossiers
patients
spécialisé dans le suivi des plaies
et des cicatrices, élaboré en 2003
par des professionnels de santé
et des experts de l’informatique, avec
l’aide de l’association Domcica31.
Les informations administratives
du patient, les coordonnées
des médecins prescripteurs
et les noms des membres du cabinet
enregistrés dans Télévitale sont
envoyés dans Dopcica, ce qui évite
leur ressaisie. Le contrat comprend
la mise à jour du logiciel et la réponse
par mail aux questions posées
concernant l’utilisation du logiciel.
Découvrez-le gratuitement pendant
30 jours !
Télévitale sur
smartphone :
à vous de jouer !
Depuis quelques mois
déjà, votre logiciel
décline sa version
Android, et nos
développeurs
travaillent à une version
compatible iPhone. Pour rappel,
en téléchargeant l’application
Télévitale depuis Google Play, vous
avez accès au détail de vos tournées
quotidiennes, aux coordonnées
des patients, aux rendez-vous posés
depuis le tableau de bord, vous
pouvez saisir des notes, enregistrer
des mémos vocaux ou prendre des
photos (plaies, escarres, attestations
mutuelles, etc.). Feuille de route,
annuaire patients médecins,
géolocalisation… : un éventail
de services dans votre poche !
Nos ingénieurs travaillent à l’évolution
de cette application mobile, mais
pour répondre au mieux à vos attentes
en la matière, nous vous invitons
à nous faire part de vos retours et
demandes particulières par mail :
enquetesmartphone@televitale.fr.
TVA : changement de taux
Au 1er janvier 2014, le gouvernement
modifiera les principaux taux de TVA.
Le taux de 19,6 passe à 20%. Cette
augmentation aura un impact de
quelques centimes sur le tarif
de votre contrat de maintenance
ou de votre location. Pour un lecteur
Vitalact 3S, par exemple, la location
mensuelle passe de 23,90 à 23,98 €.
Norme SEPA
Les prélèvements bancaires
sont maintenant au format européen.
Pour plus de détail, consultez le site
de Télévitale (www.televitale.fr).
PORTRAITS DE PROS
Orthophoniste, kinésithérapeute, infirmière
ils ont choisi Télévitale et nous parlent d’eux
Enfant, ma sœur était suivie
par un orthophoniste et j’avais
trouvé pertinente cette aide
individuelle associée au quotidien
scolaire. Beaucoup d’orthopho-
nistes hésitent entre ces deux pro-
fessions, d’ailleurs, et les ensei-
gnants ont peu de temps pour le
soutien individuel, c’est ce que
j’apprécie dans mon exercice.
D’autant que je travaille beaucoup
avec les équipes éducatives.»
Anne Gubanti partage son emploi du temps entre
deux cabinets proches de Lyon. «Je travaille trois
jours à Cailloux-sur-Fontaines avec mon associée et
deux jours et demi à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, où je
suis collaboratrice.» Elle se rend trois matins et un
après-midi au domicile des patients qui ne peuvent
se déplacer ainsi que dans une maison d’enfants et
une maison de retraite. Elle apprécie ce planning
énergivore mais enrichissant, elle qui a été plongée
dans le bain de la pratique dès sa deuxième année
d’études. «J’ai appris le métier en Belgique, qui
mise beaucoup sur la pratique, alors que les étu-
diants en France sortent de l’école avec un bagage
théorique plus lourd.»
Et en virtuose du terrain, la jeune femme s’est tout
de suite faite à Télévitale, qui a remplacé son logi-
ciel Api Santé au printemps. «Je le trouve très com-
plet et clair, je l’ai pris en main très vite. Ce que
j’apprécie particulièrement: les opérations d’en-
caissement. Vous pouvez tout de suite les enregis-
trer en détail (numéro du chèque, banque, etc.). Et
les infos Sécurité sociale sont plus lisibles: vous
savez quel paiement correspond à quel patient, ce
qui n’était pas le cas avant;je recevais un pack glo-
bal. Maintenant, je sais toujours où j’en suis!»
Si Richard Jackowski a choisi
de se tourner vers l’ostéopa-
thie en 1985, dix ans après
l’obtention de son diplôme de ki-
nésithérapeute, c’est pour amélio-
rer sa technique: «Je m’y retrouve
plus, je me sens mieux équipé,
avec une vision du corps dans sa
globalité.» Et pour exercer son art,
c’est vers les sportifs de haut ni-
veau, qu’il s’est tourné. «L’ostéopathe est un mé-
canicien du corps humain, et les sportifs, tels des
bolides de compétition, sont en première ligne.»
Contacté, à ses débuts, par l’équipe de football de
Salon-de-Provence, dont il s’occupera à plein
temps jusqu’en 1991, il est également sollicité par
l’équipe de rugby à XV de la ville, puis par l’équipe
de France de course de montagne, celle de 100 km
de course à pied, etc. Pendant vingt ans, il soignera
aussi les équipes de France de nage avec palmes.
«La grande leçon, c’est qu’il n’y a pas de blessure
propre à un sport. La compétition engendre le
stress, et le sport n’est pas la cause du problème
mais le facteur déclenchant. La douleur, c’est le si-
gnal d’alarme. Mon travail est de trouver ce qui l’a
déclenchée.» Richard Jackowski suit donc les spor-
tifs une fois par mois en préventif, établit un bilan
articulaire au même rythme, et les voit deux fois
dans le mois s’ils ont besoin de soins. «Pendant les
stages, on a le temps de préparer les sportifs tran-
quillement, ce qui n’est plus le cas en compétition,
où nous devons travailler dans l’urgence, avec obli-
gation de résultat immédiat.» Pas toujours facile
de faire parler ces personnalités. C’est sans doute
la raison qui a poussé ce passionné d’anatomie à
s’approprier la kynésiologie, qui permet de trouver
l’origine de la douleur grâce à des tests muscu-
laires. Toutes ces techniques déployées procurent
de bons résultats.
À 62 ans, Richard Jackowski pratique toujours à son
cabinet et fait partie du staff médical de l’équipe de
basket de Sorgues (nationale 1). Télévitale, il l’uti-
lise depuis vingt ans pour quelques patients, et lors
de ses séances dans un centre d’autisme à Pélis-
sanne. «Lorsque mon épouse était kiné, elle en
était équipée, c’est moi qui gérait l’administratif.
Je me souviens qu’à l’époque, les feuilles de soins
étaient en papier chimique, que nous remplissions
avec une imprimante à aiguille.»
Syndicaliste, Béatrice Galvan,
53 ans, l’est depuis l’obten-
tion de son diplôme en 1980,
pour défendre les intérêts d’une
profession mal reconnue et diffi-
cile. Après dix ans d’hôpital, elle se
dirige vers l’exercice libéral, qui la
passionne, mais lui semble encore
plus ingrat en termes de reconnais-
sance. «Et pourtant, le nombre
d’hospitaliers qui deviennent libéraux augmente.
Nous sommes 73000 aujourd’hui, contre 55000
il y a 7, 8ans. Ici, à Mions, le chiffre a doublé en
3 ans!» Présidente de l’Organisation nationale des
Syndicats d’Infirmiers Libéraux depuis mars der-
nier, elle déplore les idées reçues qui scindent les
deux univers, et le manque de combativité dans
notre société. «Les hospitaliers maîtriseraient la
technique, et nous serions vénaux. Quant à la
contestation sociale, elle n’existe plus, ça rend leur
toute puissance aux dirigeants.» Ce qui ne l’em-
pêche pas de croire en ce qu’elle fait, avec ses trois
consœurs du cabinet. «Nous sommes très polyva-
lentes, capables de nous occuper des cas les plus
lourds (fin de vie, perfusions, pompes à morphine,
etc.).» Une réputation qui implique un agenda
chargé. Pour mieux faire face, elles se sont
équipées, il y a un an, de la solution réseau de
Télévitale (logiciel qu’elles utilisent depuis 2005):
un serveur et chacune son PC doté d’une clé 3G.
«Nous n’entrons les données qu’une fois, ce qui
annule les risques d’erreur et nous fait gagner du
temps: nous faisons en 1h ce qui nous prenait une
demi-journée par semaine.»■
Anne Gubanti,
30 ans, orthopho -
niste près de Lyon
depuis cinq ans
Richard Jackowski,
kinésithérapeute
et ostéopathe
à Pélissane (13)
Béatrice Galvan,
présidente nationale
de l’Onsil et infir -
mière à Mions (69)
«
TÉLÉVITALE INFO N°23 - AUTOMNE-HIVER 2013 3
Infovitale n°23 07/10pourBAT.QXP 08/10/13 09:38 Page3