
L’union de deux complices
Archibald chez Joséphine, c’est aussi l’histoire d’une amitié entre deux bretons, l’un nantais, 
l’autre rennais : Jean-François Clavier, fondateur d’Archibad Gourmet et Jean-François Celbert, 
à la tête de Joséphine.
Jean-François Clavier découvre le wagyu 
lors d’un voyage au Japon en 1991. Fin 
gastronome, il se passionne pour ce bœuf 
japonais à la saveur incomparable qui est 
alors quasi inconnu en France, puis parcourt 
le monde à la recherche des meilleurs 
élevages de wagyu en Australie, au Chili et 
en Argentine. Son projet arrivé à maturité, il 
s’entoure  d’éleveurs de qualité et créé en 2009 
Archibald Gourmet. En quelques années, 
il devient « la » référence de cette viande 
exceptionnelle. Archibald Gourmet fournit 
les particuliers sur réservation mais surtout 
les plus grands chefs et restaurants étoilés à 
travers le monde qui lui font confiance pour 
sélectionner des pièces rares, marbrées 
de 4 à 10. Parallèlement, il s’intéresse à la 
viande séchée de wagyu et élabore avec 
Gérard Vives un mets inédit : le Petal de 
Wagyu, une viande salée aux baies de myrte 
séchée pendant 6 mois en Haute-Savoie. Il 
poursuit avec une autre création originale : 
la Picanha de wagyu au piment d’Espelette, 
une recette exclusive dont il garde le secret. 
Depuis quelques années, il rêvait d’ouvrir 
une table d’hôtes pour faire découvrir  
« son » wagyu. Avec Joséphine, son voeu se 
réalise de la plus belle des façons !
Jean-François Celbert, fils de meunier, a 
grandi dans un moulin et a appris dès son 
plus jeune âge le travail au fournil. Après son 
apprentissage à l’Ecole nationale supérieure 
de la meunerie et des industries céréalières, 
puis à l’Ecole de la boulangerie-pâtisserie, 
il rejoint le Groupe Celbert, l’entreprise 
familiale connue pour avoir lancé Francine, la 
farine de blé au paquet rouge et blanc. PDG 
du groupement Banette pendant plus de 20 
ans, il se lance dans une nouvelle aventure 
après être tombé amoureux de Joséphine, 
une boulangerie fondée en 1848 à deux pas 
de la Place de l’Etoile. Il rénove la bâtisse et 
réveille la belle endormie. Dans cet espace 
de 300m², il crée la boulangerie artisanale de 
ses rêves, qui fait aussi pâtisserie, épicerie, 
take-away, restaurant et bar à huitres en fin 
de journée. Un véritable lieu de vie, entre 
le delicatessen anglo-saxon et l’auberge 
bretonne. Chaque jour, les habitants 
du quartier et les touristes parisiens s’y 
retrouvent pour déguster du bon pain, des 
pâtisseries traditionnelles et une jolie cuisine 
à l’étage. C’est là que les amateurs de wagyu 
ont désormais leur rond de serviette dans 
une alcôve du restaurant.