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Le sentiment d’existence à travers les marques en banlieue populaire 1998-1999
Fauquembergue Jérôme IUP MV3 1
Le sentiment d’existence à travers les marques en banlieue populaire 1998-1999
Fauquembergue Jérôme IUP MV3 2
REMERCIEMENTS
Je tiens à remercier tout particulièrement l’ensemble des personnes qui ont bien
voulu répondre à mon questionnaire et qui ont montré un intérêt tout particulier à mon travail,
me répondant avec un souci d’application et de réflexion plus qu’appréciable.
Je remercie également Me Coasne, PDG de Cegma Topo, qui m’a aidé dans
l’élaboration de mon guide d’entretien, et qui a su se monter très disponible.
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TABLES DES MATIERES
LETTRE DE REMERCIEMENTS 2
INTRODUCTION
5
PREMIERE PARTIE: LE CADRE THEORIQUE 7
1 LA PSYCHOLOGIE SOCIALE 8
1.1 HISTORIQUE 8
1.2 LA PROBLEMATIQUE INDIVIDU-SOCIETE 11
1.2.1ATTITUDES ET COMPORTEMENT SOCIAL 11
1.2.2PERSONNALITE ET CULTURE 13
1.2.3SOCIALISATION ET IDENTITE 14
2 LES NORMES SOCIALES 16
2.1 L’INFLUENCE SOCIALE: PROBLEMATIQUE 16
2.2 L’INFLUENCE SOCIALE: MODALITES DEXPRESSION 17
2.2.1LES PRESSIONS NORMATIVES 18
2.2.2 PERSUASION ET MANIPULATION19
2.3 LES CROYANCES SOCIALES 20
2.4 LES GROUPES SOCIAUX 22
3 LA MODE 28
3.1 LES FACTEURS SOCIAUX DE LA MODE 28
3.2 LE SOUCI DE LA MODE 29
4 LE COMPORTEMENT D’ACHAT 30
4.1 LES FACTEURS DINFLUENCES DU COMPORTEMENT DACHAT 30
4.2 CRITERES DE CHOIX DUN PRODUIT OU DUNE MARQUE 32
5 FAIT DE SOCIETE 33
5.1 LES MARQUES ET LE FRIC 34
5.2 LE RAP AMERICAIN COMME MODELE 34
5.3 LES SIGNES DU FRIC 34
5.4 LES TRIBUS ET LEURS ATTRIBUTS 35
5.5 LE POIDS DES MARQUES 36
5.6 TOUTES LES MARQUES VEULENT ETRE CITEES 37
5.7 L’EFFET LACOSTE 37
5.8 LE LUXE VEUT SA PART DU GHETTO 38
5.9 LE DETOURNEMENT DES SIGNES 39
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DEUXIEME PARTIE: ETUDE EXPLORATOIRE
41
1 PROBLEMATIQUE 42
2 LES OBJECTIFS ET QUESTIONS D'ETUDES 44
3 METHODOLOGIE, CONCEPTION DE L'ETUDE 46
31 DEFINITION DE LA POPULATION
46
32 COMPOSITION DE L'ECHANTILLON
46
33 CONSTITUTION DE L'ECHANTILLON 46
34 LES MODES D'ACCES AUX INTERVIEWS 47
35 LE PLAN D'ENTRETIEN 47
36 LE GUIDE D'ENTRETIEN 47
37 LA COLLECTE DES DONNEES 48
371 TECHNIQUE D'ENTRETIEN
48 372 LE CHOIX DES REPONDANTS 50
373 LA PURGE 50
38 LE DEROULEMENT DES ENTRETIENS
51
39 ANALYSE DE CONTENU
52 391 LES UNITES DE PRODUCTION
53 392 LE CORPUS
53 393 LES ITEMS 54
394 LA CATEGORISATION ET LE CODAGE
54 395 LE CONTROLE 54
4 LE TRAITEMENT DES RESULTATS 56
41 L'ANALYSE FORMELLE
56
42 L'ANALYSE D'OCCURRENCE
57 421 CATEGORISATION
57
43 TABLEAUX ET ANALYSES 58
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5 CONCLUSION 82
BIBLIOGRAPHIE 84
ANNEXES 85
INTRODUCTION
Aujourd’hui, il est assez facile de reconnaître la catégorie sociale d’une personne à sa
tenue vestimentaire, à ses manières, ses rites ou ses habitudes. D’ailleurs pour essayer
d’appartenir à une certaine classe, on n’hésite pas à copier le style, mis cela ne trompe que
rarement les personnes du milieu copié.
Habitant en banlieue, ou encore en zone sensible, j’ai pu remarquer ces dernières
années que les marques prenaient de plus en plus d’ampleur dans les quartiers. Les marques
ont toujours remporté un grand succès dans ces lieux, mais pas à ce point, pas avec autant
d’insistance. Je me suis donc interrogé sur le pourquoi de cette omniprésence des marques
dans les habitudes des banlieusards.
En effet, pourquoi insistent ils sur des marques qui n’étaient alors réservées qu’aux
joueurs de tennis ou de golf comme Lacoste, et qui donc se classe comme l’une des plus
chère. Lacoste a pris une ampleur incroyable dans ces milieux ou le taux de chômage atteint
parfois des records. L’argent n’est officiellement pas là, mais on semble revendiquer l’égalité
avec les milieux les plus favorisés.
J’ai donc voulu savoir ce qui les attirait au point de dépenser des fortunes en
vêtement et de rouler en cabriolet BMW. Veulent ils revendiquer quelque chose ? Veulent ils
s’affirmer ? Ne serait ce qu’une question de goût ? Sont ils victime de la mode ? Ont ils
décidé de prendre le « contrôle » d’une marque ?
Autant de questions qui demandent une réponse minutieusement construite afin, une
fois n’est pas coutume, de ne pas leur coller une mauvaise étiquette qu’ils ne méritent pas
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