Opéra OPERA DE LILLE SAISON 2012-- 2013 MÉDÉE DE MARC-ANTOINE CHARPENTIER DIRECTION MUSICALE EMMANUELLE HAÏM MISE EN SCÈNE PIERRE AUDI AVEC LE CONCERT D’ASTRÉE CHOEUR ET ORCHESTRE Ma 6, Je 8, Sa 10, Ma 13, Je 15 novembre à 19h30 Dossier de presse [octobre 2012] Informations pratiques RÉSERVATIONS Durée : ± 3h15 avec entracte Informations & billetterie Aux guichets de l’Opéra, entrée rue Léon Trulin, Lille (du mardi au samedi de 12h à 19h) Par téléphone +33 (0)820 48 9000 Sur Internet www.opera-lille.fr (rubrique « Billetterie en ligne ») Tarif A (5/12/29/47/67 €) Tarif réduit PASS lille3000 RESSOURCES MULTIMÉDIA Dossiers de presse, photos, vidéos... Accédez aux informations des spectacles sur l’Espace Presse du site : www.opera-lille.fr (rubrique Multimédia). Ident : presse Mot de passe : opeli FACEBOOK Rejoignez notre page officielle Facebook et restez informés sur l’actualité de la maison, des artistes et aussi des offres de dernière minute. http://www.facebook.com/operadelille BLOG Suivez pas à pas la création d’un spectacle avec des images, entretiens des artistes... http://www.opera-lille.fr/blog/ TWITTER Pour être les premiers informés et échanger des tweets et liens avec l’Opéra de Lille. Hashtag recommandé : #operalille http://twitter.com/operalille/ Contacts YANNICK DUFOUR Agence MYRA T +33 (0)1 40 33 79 13 F +33 (0)1 40 33 71 45 [email protected] SOLEN CAU Service communication de l’Opéra de Lille T +33 (0)3 28 38 40 50 F +33 (0)3 28 38 40 54 [email protected] OPERA DE LILLE 2, rue des Bons-Enfants, B.P.133 F-59001 Lille cedex L’Opéra de Lille est financé par la Ville de Lille, Lille Métropole Communauté Urbaine, le Conseil Régional Nord-Pas de Calais, le Ministère de la Culture (DRAC Nord-Pas de Calais). Dans le cadre de la dotation de la Ville de Lille, l’Opéra bénéficie du soutien du Casino Barrière de Lille. N° de licence d’entrepreneur de spectacles : 1-128934 / 2-128935 / 3-128936 MÉDÉE — Photos : Frédéric Iovino Distribution Médée Marc-Antoine Charpentier Tragédie lyrique en cinq actes et un prologue (1693) Livret de Thomas Corneille Emmanuelle Haïm direction musicale Pierre Audi mise en scène Jonathan Meese scénographie Marlies Forenbacher scénographe associé Jorge Jara costumes Willem Bruls dramaturgie Jean Kalman lumières Kim Brandstrup chorégraphie —— Michèle Losier Médée, la Gloire Anders Dahlin Jason, un berger Sophie Karthäuser Créuse, la Victoire, seconde bergère Stéphane Degout Oronte, un chef des habitants, un berger Laurent Naouri Créon Aurélia Legay Nérine, Bellone Elodie Kimmel Cléone, première bergère Benoît Arnould Arcas, un habitant, un Argien Katherine Watson Une Italienne, un fantôme, la Vengeance Clémence Olivier* L’Amour Samuel Boden* Corinthien I, un démon Matthieu Chapuis* Corinthien II, la Jalousie * membre du Choeur d’Astrée Rafael Becchere, Elizabeth Baranes Philippe Carlean-Jones, Mona Pehlivanian Enfants de Médée (en alternance) Elisabetta D’Aloia, Lee Davern, Kynam Moore, Raphaël Saada, Martin Vrany, Thales Weilinger, Renaud Wiser Danseurs Le Concert d’Astrée Choeur d’Astrée —— Coproduction Théâtre des Champs-Élysées, Opéra de Lille. —— Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal du Concert d’Astrée. En résidence à l’Opéra de Lille, Le Concert d’Astrée bénéficie de l’aide au conventionnement du Ministère de la culture et de la communication – DRAC Nord-Pas de Calais. Il reçoit le soutien de la Ville de Lille et du Département du Nord. —— Avec le soutien de DALKIA, mécène principal de la saison, du CRÉDIT MUTUEL NORD EUROPE, mécène associé aux productions lyriques. Avec le parrainage de RABOT DUTILLEUL. —— Partenaires médias FRANCE MUSIQUE, TÉLÉRAMA Médée Marc-Antoine Charpentier Né à Paris en 1643 (?) – mort à Paris en 1704 Charpentier fut, avec Lully, le principal compositeur de musique lyrique et religieuse sous Louis XIV. Contrairement à Lully, par exemple, on ne dispose que de très peu d’informations sur la vie de Charpentier. L’une des raisons en est qu’il n’a jamais été au service du roi. Il fait vraisemblablement ses études à Rome auprès de Giacomo Carissimi (un maître de la musique religieuse dramatique et de l’oratorio au XVIIe siècle) – d’où l’influence italienne de son œuvre. Il occupe les fonctions de maître de musique chez différents aristocrates. Sa musique en fait un successeur de Lully. Après que celui-ci eut mis un terme à sa collaboration avec Molière, Charpentier compose pour le dramaturge la musique de ses comédies-ballets. Charpentier ne peut présenter sa grande tragédie lyrique (Médée, 1693) qu’après la mort de Lully, celui-ci étant le seul à détenir le privilège royal des compositions d’opéras de grand format. Dans les années 1680, Charpentier occupe divers postes dans le domaine de la musique religieuse. Au sommet de sa carrière, il devient maître de musique à la Sainte-Chapelle à Paris, où il connaît un grand succès jusqu’à sa mort. Marc-Antoine Charpentier a composé d'autres ouvrages scéniques, comme David et Jonathas, Les Plaisirs de Versailles, Les Arts Florissants ou La Descente d'Orphée aux Enfers. Le livret Le librettiste Thomas Corneille était le frère cadet du « grand » Corneille. Comme Charpentier vis-à-vis de Lully, le poète dut lui aussi s’affirmer face à son frère, le classique de la tragédie française. Avec l’histoire de Médée, déjà traitée par Euripide, Sénèque et Pierre Corneille, il voulut prouver ses capacités de dramaturge. Sa version de Médée ne débute donc ni avec le mariage de Jason et de Créuse (Euripide), ni avec le bannissement de Médée (Corneille), mais avec une situation incertaine et donc dramatique : Médée soupçonne que Jason pourrait la tromper. Dans cette version, le portrait de Médée a les traits plus humains que chez ses prédécesseurs antiques et classiques. Elle apparaît ici comme une personnalité multiple. Créature humaine (femme et mère), elle veut surtout conserver le cœur de l’homme qu’elle aime, et c’est seulement après avoir échoué dans cette tentative qu’elle met en œuvre ses forces surhumaines... Les Personnages Médée, princesse de Colchos (soprano) Nérine, confidente de Médée (soprano) Jason, prince de Thessalie (haute-contre) Arcas, confident de Jason (ténor) Créon, roi de Corinthe (basse) Oronte, prince d’Argos (baryton) Créuse, fille de Créon (soprano) Cléone, confidente de Créuse (soprano) Troupe de Corinthiens Troupe d’Argiens Un petit Argien, déguisé en amour Troupe de captifs de l’Amour Troupe de démons Médée ou la descente aux enfers des sentiments Conversation avec Emmanuelle Haïm (extrait) Dans le monde de la tragédie lyrique, Marc-Antoine Charpentier occupe « une place à part », incarnant une certaine liberté artistique étouffée par les intrigues politiciennes du Surintendant de la musique, Jean-Baptiste Lully. Au-delà de ces débats, que la recherche musicologique a quelque peu tempérés, Emmanuelle Haïm se passionne de longue date pour la richesse musicale d’un compositeur qu’elle adore tout particulièrement. « Je connais cette œuvre depuis longtemps et attendais l’occasion de pouvoir la monter. Elle me semble d’abord singulière parce que Charpentier n’a écrit que deux tragédies lyriques, si l’on considère David et Jonathas comme une tragédie lyrique malgré son sujet religieux. Les deux ouvrages sont cependant radicalement différents. La décision de choisir Médée comme sujet a naturellement et incroyablement orienté la musique que Charpentier a écrite. Médée « vampirise » littéralement toute l’œuvre, ce qui induit évidemment une forme très particulière. Dans David et Jonathas, Charpentier procède par chocs de tonalités, avec finalement une certaine forme de brutalité, alors que le langage harmonique dans Médée évolue au gré d’incroyables méandres, s’aventurant dans des tonalités plus rares. » (...) Et s’il fallait prodiguer des conseils au public qui assiste à cette Médée : « D’abord, pour un public français ou francophone, il y a la chance, par la compréhension du texte, d’avoir un accès direct à la puissance de ce théâtre des sentiments, tant dramatiquement que musicalement. J’attirerai aussi l’attention sur la « modernité » de cette musique, sur son incroyable richesse orchestrale dont je ne vois pas vraiment d’équivalent à l’époque de Charpentier. Je suis saisie par la force des images musicales de ce monde noir, qui va de pair avec la finesse des portraits psychologiques de chacun des personnages. D’ailleurs, cette introspection d’une âme rongée par la jalousie incarnée avec une telle violence par une femme, cette « descente aux enfers » des sentiments qui vont jusqu’à atteindre le « monstrueux » révèlent aussi sans doute beaucoup de la personnalité de Charpentier. » Propos recueillis par Yutha Tep, septembre 2012 Médée par Pierre Audi, metteur en scène Par son drame psychologique intense, Médée nous plonge dans un monde où l’héroïne dresse sa pure violence idéaliste contre l’univers matérialiste et opportuniste de son époux, Jason, et de leur « protecteur » Créon. Des mondes divergents s’affrontent, aussi démesurés, aussi extrémistes les uns que les autres. Des mondes de passions outrancières qui, à défaut de laisser la raison triompher à leur place, se détruisent mutuellement, ivres de leur soi-disant bon droit. L’amour possessif que Médée voue à l’homme auquel elle a lié sa vie et son destin révèle que l’amour n’est pas tant l’affaire des dieux que celle des hommes, excessifs par essence, puisque l’être qui représente l’Amour – en l’occurrence Médée – ira jusqu’à s’octroyer le droit de détruire sur son passage tout ce qui s’y trouve, à commencer par ses propres enfants. Le mystère qui pèse sur ce mythe a fait l’objet de nombreuses interprétations et il a inspiré des poètes de toutes les époques. Thomas Corneille a composé son livret en regardant, par-dessus l’épaule de son frère aîné Pierre (dont Médée fut la toute première tragédie), en direction de Sénèque et, plus loin, d’Euripide. Mais ce regard n’est pas non plus sans mener jusqu’à nous. Pour Thomas Corneille, comme ça l’était déjà pour Pierre, l’affaire est entendue : seul l’amour fait vivre les êtres humains que nous sommes, et c’est à ce titre qu’il doit avoir tous les droits ; or si tel est le cas, ce qui fait vivre les hommes est aussi bien ce qui les tue, car qui a tous les droits ne se reconnaît plus aucun devoir... L’amour est donc tragique pour autant qu’il est à la fois nécessaire et impossible. Toutefois, dans la présente version, si le caractère baroque de l’opéra a été totalement respecté, le contenu de l’oeuvre n’en est pas moins passé à travers le filtre d’un regard artistique soucieux de mettre en relief les affinités troublantes qui existent entre deux types de « sociétés du Spectacle » : le protectorat exercé par Louis XIV sur les arts de son temps et le voyeurisme éhonté qui domine les sociétés de contrôle du XXIe siècle. Les mêmes questions se posent aujourd’hui comme hier : quelle place la vérité peut-elle revendiquer dans un monde aussi artificiel ? Et cette vérité peutelle être de l’ordre de l’amour absolu ? Quant à cet amour, s’il est absolu et donc vindicatif, suffit-il à faire de la vengeance un droit moral ? En se transformant en Ange de la mort, Médée ne nous invite-t-elle pas à mettre en question notre éternelle propension à échapper à toutes nos responsabilités ? « L’Amour c’est moi » : sans doute cette stupéfiante affirmation continuera-telle encore longtemps d’être un des sujets de débat les plus controversés et les plus fascinants qui soient. Repères biographiques Emmanuelle Haïm direction musicale Chef d’orchestre et claveciniste, fondatrice et directrice artistique du Concert d’Astrée. Pianiste et organiste de formation, elle poursuit en 2011 sa collaboration avec les grandes formations américaines en dirigeant le Los Angeles Philharmonic et sera en décembre 2012 à la tête du très renommé New York Philharmonic. La saison 2011-2012 de son ensemble le Concert d’Astrée débute avec Agrippina de Haendel (mise en scène Jean-Yves Ruf) à l’Opéra de Dijon puis à l’Opéra de Lille. C’est avec Le Couronnement de Poppée que met en scène JeanFrançois Sivadier qu’Emmanuelle Haïm et le Concert d’Astrée ont la joie d’aborder à nouveau Monteverdi à l’Opéra de Lille ainsi qu’à l’Opéra de Dijon (mars et avril 2012). Cette saison d’opéra prend fin avec la reprise d’Hippolyte et Aricie de Rameau (mise en scène Ivan Alexandre) à l’Opéra National de Paris (juin, juillet 2012). Le Concert d’Astrée a été l’ensemble baroque invité aux Victoires de la musique à Paris en février 2012. Ce même mois est paru également le disque Fêtes Baroques (concert donné en décembre 2011 au Théâtre des ChampsÉlysées) chez Virgin Classics. Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal du Concert d’Astrée. En résidence à l’Opéra de Lille, Le Concert d’Astrée bénéficie de l’aide au conventionnement du Ministère de la culture et de la communication – DRAC Nord-Pas de Calais. Il reçoit le soutien de la Ville de Lille et du Département du Nord. Pierre Audi mise en scène Né au Liban, nourri de culture française, naturalisé britannique, Pierre Audi ne connaît pas les frontières. Diplômé d’Oxford en histoire, il fonde en 1979 à Islington (au nord de Londres) le Théâtre Almeida, un théâtre expérimental à la tête duquel il restera jusqu’en 1989. Il y dirige de nombreuses productions d’auteurs contemporains comme Botho Strauss, Koltès, Vivier, Bussotti et a l’habitude de travailler avec des plasticiens comme Georg Baselitz, Karel Appel, Jannis Kounnelis ou Anish Kapoor. En 1988, il est nommé directeur artistique du Nederlandse Opera d’Amsterdam. Il y montera notamment pour la première fois au Pays-Bas la Tétralogie de Wagner (1997-1998). Depuis 2004, Pierre Audi est directeur du Holland Festival. Parmi ses nombreuses mises en scène, citons le cycle des quatre opéras de Monteverdi (1993-1997), présenté également à la Brooklyn Academy of Music, à l’Opéra de Sydney et à l’Opéra de Los Angeles, Alice au pays des merveilles d’Alexander Knaifel (2001, création mondiale), Le Mariage secret de Cimarosa ici-même (2002), La juive de Halevy à l’Opéra National de Paris (2007), Pelléas et Mélisande de Debussy (2008), les deux Iphigénie de Gluck au Théâtre de la Monnaie (2009), Partenope de Haendel à Vienne (2009), Zoroastre, Tamerlano et Alcina au Festival de Drottningholm, Attila de Verdi au Metropolitan Opera (2010). À l’Opéra d’Amsterdam, il a aussi monté Alceste de Gluck (2003), Les Troyens de Berlioz (2006), Castor et Pollux de Rameau (2008), Saint-François d’Assise de Messiaen (2008). En 2010, il a mis en scène deux créations mondiales, Dionysos de Wolfgang Rihm au Festival de Salzbourg avec Jonathan Meese et Gisela de Hans Werner Henze au Festival de la Ruhr. Jonathan Meese scénographie Jonathan Meese, allemand de Hambourg né à Tokyo, « prône la dictature de l’art » et pourfend le reste. Enfant terrible et charismatique de la peinture allemande, il signe la scénographie de cette Médée mise en scène par Pierre Audi avec lequel il a déjà collaboré par le passé. Né en 1970 à Tokyo, Jonathan Meese a vécu entre Berlin et Hambourg avant de s’installer définitivement dans la capitale. Cannibalisant le texte et les images de sources aussi variées que Stanley Kubrick, Richard Wagner ou le Marquis de Sade, il a créé une mythologie unique. Ses œuvres évoquent aussi obsessionnellement sa propre personne et l’énergie vitale est au cœur de sa conception de l’art. Dès le début de sa carrière, Jonathan Meese a privilégié une approche pluridisciplinaire : installation, peinture, performance, musique, vidéo. Découvert en 1998, avec sa première exposition à Berlin et sa participation à la première Biennale de Berlin, Jonathan Meese a depuis exposé dans le monde entier – New-York, Vienne, Barcelone, Tokyo, Mumbai. Il a participé à d’importantes expositions collectives comme Generation Z au PS1 à New-York en 1999, New Blood à la Saatchi Collection à Londres en 2004 ou « Dionysiac » au Centre Pompidou en 2005. Une grande rétrospective, Mama Johnny, lui a été consacrée à la Deichtorhallen de Hambourg et au Magasin de Grenoble en 2006. Depuis 2004 il s’est largement consacré à la performance: son improvisation sur le Parsifal de Wagner au Berlin Staatsoper en 2005 et son Hommage à Noël Coward à la Tate Modern en 2006 ont marqué les mémoires. Plus récemment, il s’est consacré à la conception de décors pour des spectacles au Volksbuhne de Berlin et à l’été 2010, dans le cadre du Festival de Salzbourg, Jonathan Meese a signé les décors de la première mondiale de Dionysos, un opéra inédit de Wolfgang Rihm retraçant la vie de Nietzsche. À Paris, les œuvres de Jonathan Meese sont exposées à la Galerie Daniel Templon. Autour du spectacle À DÉCOUVIR LES SOIRS DE REPRÉSENTATION MÉDÉE MAGICIENNE EXPOSITION BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE DE LILLE > Petits Salons Éditions musicales et autres documents datant de la première représentation de Médée à Lille, en 1700. JONATHAN MEESE PROJECTION DE FILMS > Hall Une sélection de vidéos réalisées par Jonathan Meese, le scénographe de Médée. DR JEKYLL ET MR MOUSE BERGER & BERGER > Rotonde (en dehors des soirs de représentation, l’installation est accessible du 6 octobre 2012 au 13 janvier 2013 mer > sam / 12h > 19h (sauf 1er novembre) par la billetterie) RENCONTRE SA 10 NOVEMBRE 23H30 RENCONTRE Avec l’équipe artistique de Médée, à l’issue de la représentation. MÉDÉE EN DIRECT SUR FRANCE MUSIQUE MA 13 NOVEMBRE FRANCE MUSIQUE À LILLE Toute la journée : Émissions en direct et en public au Furet du Nord à Lille 19h : Soirée lyrique en direct de l’Opéra de Lille, retransmission de Médée. MASTER-CLASSE PUBLIQUE ME 14 NOVEMBRE 20H MASTER-CLASSE PUBLIQUE Avec Laurent Naouri et 3 chanteuses du Chœur de l’Opéra de Lille. En partenariat avec Domaine Musiques et le Club Lyrique Régional. PROCHAIN RENDEZ-VOUS fantastic SA 17 NOVEMBRE UNE NUIT À LA COUR SOIRÉE EXCEPTIONNELLE AVEC LE CONCERT D’ASTRÉE Direction musicale Emmanuelle Haïm Les solistes du Concert d’Astrée investissent tous les espaces de l’Opéra, le temps d’une soirée où les plaisirs musicaux de la Cour de Louis XIV sont à l’honneur. De petits concerts impromptus introduisent Les Plaisirs de Versailles de Charpentier, et quelques airs de Cour pour laisser durer la nuit.