ENFANTS terribles DU COSMOS
par Pierre BOURGE
Les causes principales du réchauffement de l’atmosphère engendrent-elles un
refroidissement par condensation et, finalement, un dérèglement climatique ?
Le gaz carbonique (CO²) est-il le principal responsable du dérèglement
atmosphérique ?
Pas sûr. Pourquoi escamoter l’importance de la condensation de la vapeur
d’eau produite par les trois principales zones de chaleur émises par les activités
humaines : Amérique du Nord ; Europe, Japon et maintenant la Chine et l’Inde… ?
Est-ce en vue d’imposer une taxe de plus, en accusant uniquement le CO², plus facile
à taxer ?
Même l’avenir immédiat n’est pas rassurant… Il va falloir encaisser des phénomènes
météorologiques agissant en coups de boutoirs et en supporter les effets
dévastateurs !
Faut-il attendre que le quart de la population mondiale ait les pieds dans l’eau ?
Qui sommes-nous ? La « matière » et le monde vus, par un astronome, en même temps
poète et philosophe, ne sont pas comme nous le croyons. Faut-il se fier aux apparences
matérialisées de l’Univers visible ? L’invisible générant le visible dévoile ici la grande
illusion. L’entité nommée Univers est-elle mécaniste, où vibratoire interactive et en
corrélation mémorielle ? Est-elle une pensée et une conscience engendrant l’énergie ?
Sur des sujets très importants pour notre avenir, comme la santé, le nucléaire, le climat,
des prix Nobel, généralement des scientifiques, se contredisent, Nouveaux dieux, pour le
meilleur comme pour le pire, ils sont à la recherche d’une vérité introuvable. Dès lors, à
quelle structure ou organisation humaine peut-on se fier si « La vérité par la science » est
un concept périmé ?
Dans ces conditions, la famine spirituelle est-elle une vue de l’esprit ?
L’étrangeté de la lumière laisse perplexe. Tout aussi étrange : l’énergie vibratoire des
électrons façonnant les apparences de l’Univers visible, ce tout nommé Cosmos,
suggèrent la grande illusion cosmique. « Le réel est invisible », écrivait l’astronome
Camille Flammarion. Nous-mêmes, quel peut être notre destin dans l’aventure
cosmique ?
La théorie, même démodée, de l’inusable Big-bang est-elle satisfaisante pour
l’entendement ?
Enfants du Cosmos : nous sommes incontestablement une énergie pensante de
l’Univers, entité aussi mystérieuse qu’indéfinissable. Mais pourquoi « terribles ?»
A moins d’être aveugle, il est facile de constater que, comme des enfants insouciants,
nous faisons n’importe quoi, n’importe où, n’importe quand, n’importe comment, comme si
les lois émanant de la nature n’existaient pas. Pouvons-nous continuer ainsi sans risques
majeurs ? C’est ce que l’auteur tente d’examiner tout au long de cet ouvrage hors du
commun.
L’auteur, contemporain le plus connu dans le monde des astronomes amateurs français,
dans une sorte d’encyclopédie du passé, du présent et de l’avenir, tente de répondre aux
multiples questions qui se posent sous la forme d’une analyse sans concession.
Les plus grands dangers pour l’humanité, quels sont-ils ?
OVNIS, astéroïdes frôleurs ressortent périodiquement… pour détourner notre attention
des vrais dangers.
Une solution imposée : le nucléaire, alors que sa banalisation représente le plus grand
danger potentiel encore jamais réalisé sur notre planète.
L’apocalypse est-elle pour demain ? Disons, après-demain !
Devrons-nous nous expatrier sur une autre planète ? Existe-t-elle à notre convenance et à
notre portée ?
On a découvert de l’eau sur Mars ! Sous-entendu, les Terriens ne mourront pas de soif…
Sait-on que la mer se fâche au point d’avaler plusieurs bateaux chaque semaine ?
La démographie : grave sujet, comme l’est la progression de la mortalité par cancers…
Euthanasie : sujet préoccupant – Quant à la mode de l’incinération, elle contribue aussi au
dérèglement climatique ! Y a-t-on pensé ?
En s’engouffrant dans le matérialisme, en escamotant le spirituel, l’humanité, agissant
comme un corps malade étranger à l’Univers, ne fait-elle pas fausse route ? Du même
coup, n’a-t-on pas sous-estimé les forces de la nature ? La famine spirituelle
engendrée par notre mode de vie prélude-t-elle la famine prédite par des chercheurs
lucides ?
L’homme s’est mis dans la tête qu’il allait pouvoir comprendre la nature, intervenir et la
dominer et, pourquoi pas aussi, l’Univers ! Cette tentative, amorcée durant les deux
siècles précédents, s’est brusquement accélérée depuis un demi-siècle. En fait, qui
maîtrise quoi ?
Le XXIe siècle parviendra-t-il à son terme ? Les avis sont partagés, divergents, même
pour un avenir immédiat…
Un ouvrage pessimiste ? Non, réaliste ! Dérangeant ? Sûrement.
Où va-t-on ? A cette question préoccupante, personne n’est en mesure de répondre.
Pourtant, des cerveaux lucides tirent la sonnette d’alarme. Les optimistes disent : nous
verrons…C’est évident !
Développement durable : un jeu de mots antinomiques aux conséquences redoutables.
Pourtant, si chacun optait pour un jardin naturel ; petit coin de paradis pour Terriens
raisonnables dans un monde durable, la pérennité de l’espèce humaine serait assurée.
L’astronome, paysan, poète, philosophe, cinéaste, a écrit ce livre parce qu’il a vécu un
quart de siècle de plus que le médecin lui avait prédit ; la quarantaine passée, en
consultation, il apprend qu’il a le cœur plus petit que la moyenne et, surtout qu’il a un
souffle au cœur ! Et le médecin d’ajouter : « tu devrais atteindre une soixantaine
d’années ! » Comme l’auteur en a 87 au moment de la parution de cet ouvrage, il a cru
utile d’analyser et expliquer le pourquoi de cette tranche de vie « supplémentaire » en
dévoilant ses secrets de longévité. D’autres personnes peuvent s’en inspirer !
L’ouvrage, à paraître fin janvier 2009, sera disponible aux conditions suivantes :
1 ex. : 16,50 € + frais d’expédition : 3,50 € - 2 ex. : 33,00 € + frais d’expédition : 3,50 €
Adresser votre commande accompagnée d’un chèque de paiement, à :
Pierre BOURGE – Le Châtel – 61560 SAINT AUBIN DE COURTERAIE
ATTENTION : l’auteur vend ce livre dédicacé en priorité aux personnes qui lui adresseront
un chèque de paiement avant le 31 décembre 2008 (Expédition prévue entre le 20 et le 30
janvier 2009). Ensuite, l’ouvrage devra être commandé en librairie