Le jeu de la mémoire 2/19
Sommaire
La pièce Page 3
La mise en scène Page 4
L’auteur Page 5
Note d’intention de l’auteur Page 7
La comédienne Page 9
Note d’intention de la comédienne Page 11
Revue de presse Page 13
Contacts Page 19
Le jeu de la mémoire 3/19
La pièce
Sur un plateau de cinéma, une comédienne tourne un film sous l’œil
attentif du réalisateur.
Bienvenue dans le monde magique du septième art.
Découvrez l’envers du décor, où pour raconter son histoire et se faire
un nom, il faut en payer le prix, affronter ses démons au risque de se
perdre définitivement…Ou d’en sortir différent ?
Vous l’avez compris, à vous de jouer.
Qu’avez-vous occulté, oublié, enterré, dans les coulisses de votre
mémoire ?
Que se passe–t-il quand les portes s’ouvrent sur votre hippocampe
secret, muselé depuis trop longtemps ?
Le jeu de la mémoire, un thriller sensoriel qui vous oblige à vous
rappeler votre histoire.
Le jeu de la mémoire 4/19
La mise en scène
Le plateau est nu, seul un fauteuil « metteur en scène » occupe
l’espace.
Un cyclo blanc est tendu sur toute la surface du mur du fond.
La comédienne évolue dans cet espace clos et dans les images
projetées qui, quelquefois l’enveloppent. Ces images, pétries de ses
souvenirs ou de ses fantasmes, viennent se mêler insidieusement à
celles du film qu’elle tourne. Etrange mélange qui entraîne l’actrice
dans un tourbillon douloureux.
Le metteur en scène, omniprésent dans l’histoire, est une voix off.
Il en est de même pour tous les autres personnages intervenant dans
l’histoire.
Toutefois, certains d’entre eux apparaissent parfois à l’écran.
Le metteur en scène lui, n’est jamais visible.
La bande son (bruits de plateau, gare, rue, chant) est une part
importante du spectacle. Elle sert les ruptures de ton, et d’action.
De même que la musique (originale).
Le jeu de la mémoire 5/19
L’auteur
Ça ne s’invente pas : Gérard Vantaggioli est « le jour des Morts
dans un quartier de Marseille qui s’appelle “Chutes Lavie” » !
Signe du destin ?
À l’âge de cinq ans, Gérard arrive à Avignon. Il aura, parmi ses
instituteurs, Paul Puaux.
Plus tard, à Paris, il apprend le métier de photographe.
Il se souvient alors du Festival d’Avignon et du choc, à douze ans,
quand son grand-père l’avait amené dans la Cour d’Honneur. Il se
remémore la voix de Jean Vilar. La graine théâtrale est déposée alors
dans le jardin de son coeur.
Il en a eu presque peur.
Autre révélation : Silence, l’arbre remue encore, de François
Billetdoux, avec Serge Reggiani.
Là, il se dit : « Gégé, tu vas faire du théâtre ! » Il ajoute avec le recul :
« Étant d’Avignon, avec la sensibilité que j’avais et avec Paul Puaux
comme instituteur, je ne pouvais pas échapper au théâtre ».
Un atavisme géographique et artistique, en quelque sorte.
En 1973, il crée la compagnie Gérard Vantaggioli qui à ce jour, a
produit et réalisé 31 spectacles dont 21 créations contemporaines.
En 1982, il ouvre le Théâtre du Chien Qui Fume.
Puis en 1999, il crée le Théâtre du Petit Chien.
« L’image m’a toujours intéressé », dit-il.
En même temps, il écrit. Et, bien sûr, écriture plus photo égale
cinéma.
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