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REMERCIEMENTS
La réalisation d‟un mémoire de maîtrise constitue un travail solitaire. Il s‟agit néanmoins
d‟une démarche qui ne peut se faire sans l‟aide et le soutien de diverses personnes. Grâce à Dieu,
j‟ai eu la chance de les connaître et de partager avec elles mes efforts à cause de la langue, mes
rêves et mon projet d‟obtenir une maîtrise au Canada, un pays différent de mon pays d‟origine, la
Colombie.
Ce mémoire n‟aurait pu voir le jour sans le soutien de mon époux Guillevardo
Hernández, qui m‟a accompagnée, tout au long de mes études, de ses encouragements. Je tiens
aussi à remercier tout spécialement les autres membres de ma famille: mes filles Maria Isabel et
Catalina Maria, ma mère Betsabé, ma sœur Isabel Cristina et mon frère Álvaro.
Ce mémoire est le fruit d‟un travail réfléchi et constructif qui a été effectué tant dans sa
dimension académique que sur terrain. Mes professeurs Denyse Côté et Jacques L. Boucher du
Département de travail social et des sciences sociales, de l‟Université du Québec en Outaouais,
respectivement directrice et co-directeur de mémoire, se sont révélés d‟excellents guides tout au
long de ma réflexion qui a duré plus de trois ans. En plus de me conseiller dans ma démarche, ils
ont su me transmettre le goût de la recherche et le souci de la rigueur nécessaire au travail
intellectuel. Un merci spécial à Denyse Côté pour sa connaissance de l‟Amérique Latine, en
particulier de la Colombie, et pour sa maîtrise de l‟espagnol. Merci à Jacques L. Boucher de
m‟avoir d‟abord donné la possibilité de m‟inscrire à la maîtrise quand il était directeur de ce
programme. Merci infiniment à tous deux, pour leurs expertises en économie sociale et pour les
longues heures d'encadrement à me guider dans la définition de mon objet de recherche, pour les
discussions éclairantes et les commentaires judicieux.
Je tiens également à remercier les professeurs Yao Assogba, Jean-Pierre Deslauriers et
Thibaut Martin, les secrétaires du programme de maîtrise en travail social, Suzelle Allaire, et du
Service aux étudiants, Sylvie Duguay. Vos encouragements m‟ont permis de finir mes études.
Ensuite, il va sans dire que cette recherche n‟aurait pu être réalisée sans la contribution de
l‟Association des Conseils municipaux autochtones du nord du Cauca (ACIN) en Colombie:
Monsieur Ezéquiel Vitonas, le Père Antonio Bonanomi, Messieurs Manuel Rozental, Marcos
Yule, Mesdames Emérita Valencia et Leidy Xiména Ciclos. Les informateurs dont j‟ai sollicité
la collaboration ont répondu à mon appel avec enthousiasme et je les en remercie du fond du
cœur.
Un merci tout spécial à mes amies, Margarita Gonzalez grâce à qui j‟ai pu connaître
l‟ACIN et Yeomar Sierra qui m‟a offert son soutien tant intellectuel que moral et spirituel, tout
au long de mes questionnements. Je tiens également à remercier Richard et Flor Lafontaine,
Adriana Barney, Priscille Andreosso et Gloria Zulma Arias pour leur soutien et leurs
encouragements tout au long de mon parcours d‟étudiante à la maîtrise, pour les échanges que
nous avons eus et qui ont rendu la démarche du mémoire possible.