Votre argent n`a pas besoin de héros

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Décembre 2010
Le magazine financier de la Deutsche Bank
Votre
argent n’a
pas besoin
de héros
Juste d’une
banque qui
défend vos
intérêts
U Opti-Plan: la solution anti-âge pour votre pension
U Investissez pas à pas et recevez 100 euros
U Les fonds d’obligations d’Etat sont-ils toujours un
placement intéressant ?
DANS CE numéro
Actualité
04 -Opti-Plan : la solution anti-âge pour votre
épargne-pension
06 - Quoi de neuf à la Deutsche Bank ?
10 - Economie mondiale : rien de nouveau sous un
pâle soleil hivernal
14 - Tendances Investissements
10
Economie mondiale :
rien de nouveau sous
un pâle soleil hivernal
SOUS LA LOUPE
18 -Investissez pas à pas et recevez 100 euros
20 - Les nouvelles tendances de l’industrie des fonds
22 - Devises : vers une nouvelle guerre froide ?
24 - Brésil, Russie, Inde et Chine : une source de
diversification
26 - Misez sur la hausse des devises des pays BRIC
28 - Success Story : l’exquise surprise d’Exki
DIALOGUE
30 -Info produits
30 -Vos questions ? Nos réponses !
31 - Concours : parole aux lecteurs
EXPERTISE
32 -Les fonds d’obligations sont-il toujours un
placement intéressant ?
: vers une nouvelle
guerre
22 Devises
froide ?
« l’europe devrait se donner
les moyens de gérer de
façon ordonnée une faillite
partielle d’un Etat »
Michel Aglietta, économiste.
Lire la suite en page 13.
Money Expert est un périodique d’information financière publié par la Deutsche Bank S.A., avenue Marnix 13-15, 1000 Bruxelles, R.P.M. Bruxelles BE 0404.474.855.
Deutsche Bank S.A., intermédiaire en crédits hypothécaires et assurances. N° CBFA 21576-A. L’information contenue dans ce périodique est recueillie aux meilleures
sources mais n’engage pas la responsabilité de la Deutsche Bank S.A. La rédaction de ce magazine a été clôturée le 3 décembre 2010.
Editeur responsable : Stéphan Salberter, avenue Marnix 13-15, 1000 Bruxelles.
éditorial
La défense de vos intérêts, un combat
permanent
« Pour votre argent, vous n’avez pas besoin de héros. Mais bien d’une banque
qui défend vos intérêts. » C’est le message principal de notre dernière campagne. La défense de vos intérêts, c’est un combat que nous menons tous les
jours, pour transformer de l’intérieur un secteur bancaire qui ne parvient
toujours pas à mettre les préoccupations du client au cœur de ses actions.
J’aurais au moins espéré que les autres banques retiennent les leçons de leurs
erreurs du passé. Mais là encore, je reste sur ma faim. Ainsi, cet été, face à la
décision unilatérale d’une banque de limiter les retraits d’argent liquide pour ses
clients « âgés », de nombreuses voix s’étaient fait entendre pour dénoncer une
initiative aussi inopportune que maladroite. Pourquoi ? Parce qu’elle n’avait fait
l’objet d’aucune concertation au préalable et ne tenait pas compte des besoins
de ses clients.
Le 9 novembre dernier pourtant, plusieurs banques réitéraient la même erreur.
Elles annonçaient que, face à la recrudescence de fraudes, elles supprimaient
à leurs clients le droit d’utiliser leur carte de débit (carte Bancontact) en dehors
de l’Europe. Le client se retrouve dès lors face à un choix cornélien lorsqu’il
séjourne à l’étranger : soit il emporte une grosse somme en liquide, soit il utilise
uniquement sa carte de crédit… et paie des frais de transaction plus élevés pour
ses retraits en espèces.
« Pour votre argent,
vous n’avez pas besoin
de héros. Mais bien
d’une banque qui
défend vos intérêts »
Un nouvel exemple d’une décision unilatérale et non concertée qui omet de
prendre en considération les préoccupations des clients, premières victimes
d’une telle initiative.
A la Deutsche Bank, nous estimons qu’une restriction pure et dure de l’utilisation des cartes de débit en dehors de l’Europe ne se justifie pas pour le
moment. Nous n’excluons pas de devoir un jour restreindre l’usage des cartes.
Mais en aucun cas nous ne pourrions accepter qu’une telle décision engendre
des coûts supplémentaires pour nos clients. C’est pourquoi, nous avons décidé
de baisser les tarifs de nos cartes de crédit DB Titanium à 2,50 euros par retrait,
tant à l’intérieur qu’en dehors de l’Europe. Grâce à cette baisse de tarif, les
retraits en espèces en dehors de la zone euro coûteront le même montant, que
vous utilisiez votre carte de débit ou de crédit. Une solution simple et efficace
qui n’est, une fois de plus, qu’une question de volonté. C’est bien là le rôle d’une
banque qui défend vos intérêts et place la satisfaction des clients au cœur de sa
démarche.
Bonne lecture et bonnes fêtes de fin d’année.
Cordialement,
Alain Moreau
Président du Comité de Direction
PS : Vous souhaitez réagir ? N’hésitez pas à m’écrire à l’adresse [email protected]
3
Actualité
Epargne-pension
opti-plan:
La solution
anti-âge
pour votre
épargne
eL’épargne-pension permet de constituer un
complément intéressant à votre pension légale.
eLa Deutsche Bank vous propose la solution Opti-plan
d’Axa, avec les frais d’entrée parmi les plus bas du marché.
e Versez jusqu’à 870 euros avant fin 2010 et bénéficiez
d’un avantage fiscal de 30 à 40%.
4
Commencez le
plus tôt possible
L’épargne-pension peut être entamée
dès l’âge de 18 ans et les derniers
versements ont lieu l’année des 64
ans de l’épargnant. Le message est
clair : ne tardez pas. Plus tôt vous
commencez à épargner, plus
important sera le capital constitué.
Seulement 1% de frais
d’entrée
Il ne passe une semaine sans que la
question des pensions fasse la Une des
journaux : débats sur le relèvement de
l’âge de la retraite, financement des
pensions, polémique sur la fiscalité de
l’épargne-pension, etc. Néanmoins, les
Belges ne semblent toujours pas se
soucier de leur niveau de vie après leur
carrière professionnelle. Ainsi, selon
une étude récente*, 2 Belges sur 3 sont
incapables de donner une estimation
correcte du montant de leur pension
légale. Une retraite pourtant bien méritée
pour la plupart d’entre nous, mais qui
risque vite de coïncider avec une période
de vaches maigres si l’on ne prend pas
ses dispositions à temps. Le montant
mensuel brut moyen de la pension légale
en Belgique atteint en effet à peine 1.000
euros.
Vous n’avez pas encore
d’épargne-pension ?
Il est temps d’agir !
Pour compléter votre pension légale,
l’épargne-pension sous forme d'assurance constitue une solution intéressante et sûre à laquelle vous pouvez
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Bank, nous sommes constamment à
la recherche des meilleurs produits du
marché pour chacun de vos besoins.
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Deutsche Bank. Une nouvelle preuve de
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assortie de frais d’entrée parmi les plus
bas du marché. En effet, à la Deutsche
Bank, les frais d’entrée sont limités à 1%
(+ 5 euros lors du premier versement).
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l’épargne-pension. En choisissant Optiplan vous bénéficiez en outre d’un avantage fiscal de 30 à 40%. Pour l’année de
revenus 2010, le montant maximal du
versement dans l’épargne-pension est
fixé à 870 euros par contribuable. Un
montant sur lequel vous pouvez donc
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automatiques, ceux-ci pourront être
mensuels, trimestriels, semestriels ou
annuels (avec un minimum de 60 euros
par versement). Le montant maximal est
susceptible d’être modifié chaque année.
Si vous désirez maintenir votre investissement au maximum légal, il vous
est loisible de demander l’adaptation
annuelle de vos versements au nouveau
montant maximal légal.
L’épargne-pension constitue donc un
produit de placement défensif qui tient
tout à fait sa place dans un portefeuille
d’investissements. Que vous soyez un
épargnant « classique » ou un investisseur au profil plus offensif, l’épargnepension est l’une des solutions que nous
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5
Actualité
En bref
Quoi de neuf
à la Deutsche
Bank ?
1
Qu’entend-on par le 3e pilier de la
pension ?
Le premier pilier correspond à la pension
légale, basée sur un système de redistribution et de répartition : la population
active paie des cotisations sociales pour
les retraités actuels. Or, cette charge
sera de plus en plus difficile à assumer à
l’avenir. Le deuxième pilier fait référence
à la pension complémentaire constituée
par l’employeur, sous la forme d’une
assurance-groupe ou d’un fonds de
pension. Le troisième pilier, quant à lui,
renvoie à l’épargne personnelle en vue
de votre retraite. La législation encourage fiscalement le recours à ce type
d’épargne.
6
2
L’épargne-pension donne-t-elle
droit à un avantage fiscal ?
3
Peut-on encore bénéficier d’un
avantage fiscal supplémentaire ?
Les versements d’épargne-pension
entrent en ligne de compte pour une
réduction d’impôt au taux d’imposition
moyen spécial. Celui-ci se situe toujours
entre 30% et 40%. Pour l’année de revenus 2010, le versement maximal s’élève
à 870 euros, soit une réduction fiscale
maximale de 348 euros. Cette réduction
d’impôt est liée à plusieurs conditions. Il
faut, par exemple, que le compte ou l’assurance soient souscrits pour une durée
minimale de 10 ans. On peut bénéficier
de la réduction fiscale jusqu’à l’année du
64e anniversaire.
Oui, grâce à l’épargne à long terme. Il
s’agit ici d’une assurance-vie individuelle
qui permet dans certains cas de bénéficier d’une réduction d’impôt au taux
d’imposition moyen spécial. Le plafond
étant plus élevé que pour l’épargnepension, vous pouvez effectuer des
versements jusqu’à 2.080 euros et donc
retoucher jusqu’à 832 euros ! Attention
toutefois, vous avez peut-être déjà atteint
cette limite en déclarant les remboursements de capital de votre prêt hypothécaire.
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en pages 4 et 5.
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Défenseur
de vos int
érêts
La défense de vos intérêts :
notre combat au quotidien
« Pour vos opérations bancaires, vous n’avez pas besoin d’un héros,
mais bien d’une banque qui défend en priorité vos intérêts. » Tel est
le message de notre dernière campagne que vous avez sans doute
aperçue, à la télévision, sur internet ou dans vos journaux. A travers
cette campagne, nous rappelons nos valeurs chères à nos 300.000
clients, les valeurs qui ont fait notre succès mais qui manquent encore cruellement au paysage bancaire dans son ensemble : la suppression des frais inutiles, des conseils impartiaux parmi un large
choix de solutions de placements et des rendements optimaux.
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l’introduction de la procédure
simplifiée le 1er novembre
2009, les banques belges ont
enregistré 38.482 demandes
de changement d’institution.
A la Deutsche Bank, cette
procédure a permis d’accueillir
1.715 nouveaux clients qui
ont, eux aussi, opté pour
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7
Actualité
En bref
Zoomit : vos factures payées en un clic
Imaginez-vous qu’un « facteur digital » dépose vos factures dans votre Online
Banking et que vous puissiez les payer en quelques clics. Plus besoin d’encoder
à chaque fois le montant, le numéro de compte, le bénéficiaire et la communication. Plutôt pratique, non ? Ce nouveau service pour vos factures récurrentes
(mais aussi pour la consultation des fiches de paie) s’appelle Zoomit et est
désormais disponible gratuitement via l’Online Banking de la Deutsche Bank.
Comment utiliser Zoomit depuis votre compte à vue à la Deutsche Bank ?
Vous n’avez encore jamais utilisé Zoomit ? Pour bénéficier de ce service, le
numéro de votre compte à vue à la Deutsche Bank doit d’abord être reconnu
d’un fournisseur. Cela fonctionne en 3 étapes :
1)Vous réglez vos factures de manière traditionnelle depuis votre compte
Deutsche Bank (paiement manuel via Online Banking ou virement papier).
2)Après quelques paiements par le même compte Deutsche Bank pour un
même fournisseur, celui-ci identifiera votre numéro de compte Deutsche
Bank.
Le siège de la
Deutsche Bank à
Francfort passe
au vert
Après 3 années de rénovation du siège
central à Francfort, quelques 2.800
employés emménagent maintenant
dans les nouvelles tours de la Deutsche
Bank. La consommation d’énergie et les
émissions de CO2 du bâtiment ont été
réduites d’au moins 50%. La Deutsche
Bank mènera désormais ses opérations
depuis l’un des gratte-ciels les plus écologiques du monde.
Plus d’informations :
www.greentowers.de
3)Enfin, en vous connectant à Online Banking, vous pourrez accéder à la
fonction Zoomit en cliquant sur l’icône « Z » et procéder au remplissage
automatique de vos données de facturation.
Quoi de
neuf à la
Deutsche
Bank ?
Solar Impulse engrange
3 records du monde
8
Après son vol historique de 26 heures non-stop
en juillet dernier, le projet Solar Impulse, sponsorisé par la Deutsche Bank, s’est vu décerner
3 records du monde par la Fédération aéronautique internationale (FAI) dans la catégorie des
avions propulsés à l’énergie solaire : altitude
absolue (9.235m), gain d’altitude (8.744m) et durée (26 heures, 10 minutes et 19 secondes). Par
ailleurs, le pilote du prototype André Borschberg
est entré dans l’histoire en effectuant le tout
premier vol solaire nocturne.
Plus d’informations : www.solarimpulse.org
Vous utilisez déjà Zoomit via un compte à vue
dans une autre banque ? Le plus simple consiste
à contacter directement l’expéditeur des factures
et lui communiquer votre numéro de compte à
vue à la Deutsche Bank.
Les avantages de Zoomit en un coup d’œil :
U Consultez, gérez et payez vos factures et/ou vos fiches de paie en quelques clics.
UUn service entièrement gratuit.
UUn e-mail vous informe dès qu’une nouvelle facture est disponible.
U Plus de facture papier. Un bon point pour l’environnement.
U De très nombreux fournisseurs (entre
prises d’utilité publique, assurances, télécoms, TV…) envoient déjà leurs factures via Zoomit.
Yto Ba
rrada
Yto Barrada, « Artist of
the Year 2011 »
Bref, Zoomit vous épargne pas mal de travail
administratif. Vous avez ainsi plus de temps à
consacrer à ce que vous aimez vraiment faire.
Plus d'infos : www.zoomit.be ou au 078 155 150.
Après Wangechi Mutu en 2010, c’est la photographe
franco-marocaine Yto Barrada qui a été désignée
« Artist of the Year 2011 » par la Deutsche Bank.
Résidant à Tanger, elle a axé la majeure partie de son
travail autour des mutations politiques, économiques
et culturelles. Le Deutsche Guggenheim de Berlin
exposera ses œuvres du 15 avril au 19 juin. Nous ne
manquerons pas de vous tenir informés d’autres événements en lien avec le prix « Artist of the Year » de la
Deutsche Bank.
Plus d’informations : www.db-artmag.com
Une banque
de référence
au niveau
international
Au 3e trimestre, la Deutsche Bank a
engrangé un bénéfice opérationnel
de 1,3 milliard d’euros (hors charge
exceptionnelle de 2,4 milliard d’euros
pour sa participation dans Postbank).
La banque confirme ainsi son statut
de leader des services bancaires au
niveau international et se maintient
dans le top 3 des groupes bancaires
européens les plus solides.
Plus d’informations : www.db.com
Taux DB Safe
Les produits d'assurance-épargne, dits de la Branche 21, offrent un
rendement garanti et une éventuelle participation bénéficiaire. Il s’agit
d’instruments de placements défensifs très accessibles, à partir de 2.500
euros. A la Deutsche Bank, nous vous proposons la gamme DB Safe développée et gérée par AXA Belgium SA. Voici les taux en application pour
les produits de cette gamme :
DB Safe Classic
2,25%
+ participation
bénéficiaire éventuelle
DB Safe 20
1,80%
+ participation
bénéficiaire éventuelle
DB Safe 30
0%
+ participation
bénéficiaire éventuelle
Plus d’informations : www.deutschebank.be/dbsafe
9
Actualité
Les marchés aujourd’hui
économie
mondiale:
rien de
nouveau
sous un
pâle soleil
hivernal
e Deux ans après l’éclatement de la crise,
les grands déséquilibres n’ont pas disparu.
e Au contraire, ils se sont aggravés.
eLe marché de l’emploi reste en berne.
10
« Beaucoup de pays asiatiques
refusent une réévaluation de
leur devise »
Les recommandations exprimées dès 2008 par le
Fonds monétaire international (FMI) sont restées
lettres mortes : il fallait que les pays qui exportent
trop se tournent davantage vers leur marché domestique et que les pays qui consomment trop se
tournent davantage vers l’extérieur. Ces recommandations devaient inciter à rééquilibrer les déficits
chroniques (Etats-Unis, zone euro) et les excédents
substantiels des pays émergents, Chine et Inde en
tête de peloton.
Or, les déséquilibres se sont aggravés. La Chine
possède à elle seule 2.650 milliards de dollars de
réserves de change, son rapport « balance des
comptes courants/PIB » est positif à hauteur de
4,7%. Beaucoup de pays asiatiques, fortement tournés vers l’exportation, refusent une réévaluation de
leur devise qui pourrait nuire à leur compétitivité ;
leurs banques centrales interviennent dès que leur
devise nationale s’apprécie trop brusquement.
De plus, la faiblesse de rendement des capitaux
dans les pays industrialisés provoque un déplacement de capitaux de ces pays (Etats-Unis, Europe,
Japon) vers les pays émergents (Asie, Amérique
latine). Ceci a pour effet d’augmenter davantage les
réserves de change de ces derniers et les risques de
bulles spéculatives.
Sur le plan des matières premières, la spéculation
ne s’est pas atténuée, encouragée par le faible niveau des taux d’intérêts et la perspective de stocks
physiques insuffisants. Les promesses du G20 n’ont
donc pas été suivies d’effets dans ce domaine, ni
dans celui d’une éventuelle taxation des opérations
financières qui s’écartent des besoins économiques.
Sur le plan de la réforme de l’architecture financière,
les mesures visant à rendre le système financier
moins vulnérable aux chocs tels que ceux de l’automne 2008 n’ont toujours pas résolu la problématique de la taille critique (« too big to fail ») ni celle
des acteurs financiers non-bancaires tels que les
« hedge funds », les groupes de « private equity » et
les fonds de placement.
Au niveau macroéconomique, les politiques de soutien à l’économie (refinancement à bon marché, rachats de titres publics) sont toujours bien présentes
malgré les promesses des banques centrales. La
Réserve fédérale américaine (Fed) vient ainsi de
s’engager dans une nouvelle phase de rachats de
bons du Trésor à hauteur de 600 milliards de dollars,
suscitant des controverses quant aux succès d’une
telle politique et au risque de favoriser des bulles
semblables à celles qui ont éclaté en 2000 et 2008.
L’emploi à la traîne
Le marché de l’emploi ne s’est pas davantage amélioré. Aux Etats-Unis, la productivité des entreprises
atteint des records, au détriment de l’emploi. Sans
les politiques de soutien aux chômeurs de longue
durée (Etats-Unis) ou les mesures visant à ne pas
licencier (surtout en Europe), la situation serait
encore plus dramatique. Selon le Bureau international du Travail (BIT), 45,5 millions de chômeurs
sont désormais recensés dans les 33 pays les plus
industrialisés (+ 13,4 millions depuis 2008).
Enfin, les Etats restent incontournables dans le
secteur financier. Aux Etats-Unis, les deux colosses
Fannie Mae et Freddie Mac sont en faillite virtuelle
alors que, grâce à la garantie gouvernementale, ils
assurent 90% du financement hypothécaire. Leur
encours atteint 5.400 milliards de dollars, les pertes
potentielles pourraient atteindre 380 milliards de
dollars… et l’Etat n’a rien budgété. En Europe, de
nombreuses banques restent obligées de recourir
aux facilités de financements à court terme de la
Banque centrale européenne (BCE) en mettant en
gage des titres dont le rating a chuté en 2010
(Irlande, Portugal, Espagne, Grèce), ce qui fait penser qu’elles ne pourraient pas se financer sans cette
béquille…
Que dit le dernier rapport du
FMI publié début octobre ?
L’économie mondiale devrait connaître une croissance de 4,8% en 2010 et de 4,2% en 2011. Le
fossé entre la croissance des pays industrialisés et
celle des pays émergents restant plus que jamais
d’actualité : 2,7% contre 7,1% en 2010 ; 2,2% contre
6,4% en 2011. Vu les pressions pour mettre un
terme aux mesures de relance et réduire les déficits,
la croissance des pays industrialisés risque d’être
encore plus faible en 2011, ce qui permettra de
tester la capacité des pays émergents à continuer à
croître dans ce contexte : la question du « découplement » de ces économies continue en effet
d’intéresser les experts, à plusieurs égards.
11
Actualité
Les marchés aujourd’hui
1. L’inflation
3. Le marché immobilier
Les pays industrialisés ont contenu l’inflation en 2010 (entre 1,50% et 1,75%) et
certains risquent même de s’approcher
de la déflation si on enlève des prix à la
consommation les effets induits par la
hausse des prix des matières premières
et des produits alimentaires. Dans les
pays émergents, l’inflation reste au
contraire élevée, proche des 5,75%.
Dans les pays industrialisés, l’immobilier
reste en crise. Aux Etats-Unis, les saisies
atteignent de nouveaux records et le
stock d’invendus empêche le secteur de
la construction de retrouver son rôle de
pourvoyeur d’emplois peu qualifiés. En
Europe, les pays dont l’immobilier était
en surchauffe avant la crise poursuivent
leur descente aux enfers : l’Irlande, par
exemple, a dû débourser 35 milliards
d’euros pour soutenir son secteur
bancaire, faisant exploser son déficit
budgétaire à 32% du PIB et forçant le
pays à demander l'aide de l'UE et du FMI
à concurrence de 85 milliards d'euros.
Dans les pays émergents, en Chine en
particulier, c’est au contraire la surchauffe dans certains secteurs. Le risque
d’éclatement d’une bulle semblable à
celle qui a frappé les pays industrialisés
en 2008 inquiète les autorités qui veulent
refroidir la machine : crédit plus difficile
à obtenir, obligation pour les banques
d’augmenter leurs réserves obligatoires,
notamment.
2. Les politiques monétaires
Dans les pays industrialisés, les politiques monétaires maintiennent des taux
proches de 0% et favorisent les rachats
d’actifs afin d’encourager les investissements et de contrer une croissance peu
robuste associée à une inflation jugée
trop faible. Dans les pays émergents,
c’est le raisonnement inverse qui prévaut
avec des taux d’intérêts en hausse, une
obligation de réserves monétaires plus
élevées et des mesures afin de décourager l’arrivée de capitaux spéculatifs (au
Brésil et en Thaïlande, notamment).
Les prévisions de croissance par grands blocs
économiques :
2010
2011
Etats-Unis
2,7%
2,2%
Zone euro
1,7%
1,5%
Japon
2,8%
1,5%
Chine
10,5%
9,6%
Inde
9,7%
8,4%
Brésil
7,5%
4,1%
Russie
4%
4,3%
Monde
4,8%
4,2%
Source : FMI
Le thème des devises vous intéresse ?
Découvrez notre analyse complète en
pages 22 à 25.
« On recense
désormais
45,5 millions de
chômeurs dans
les 33 pays les plus
industrialisés »
L’actu des marchés en bref
Le 5 novembre, Ben Bernanke annonce que la Fed
procédera à un nouveau programme de rachats de bons
du Trésor américains, pour un montant total de
600 milliards de dollars.
Le 12 novembre, sur fond de guerre des devises, le
sommet du G20 de Séoul accouche d’un accord minimal.
Les pays membres se sont engagés à s’abstenir d’avoir
recours à des dévaluations compétitives de leurs
monnaies, alors que ce sommet s’est déroulé sur fond de
vives tensions à propos des taux de changes, notamment
entre la Chine et les Etats-Unis.
Le 28 novembre, la Commission européenne a dévoilé
les détails du plan d’aide à l’Irlande pour un montant
total de 85 milliards d’euros, dont 10 milliards serviront
immédiatement à renflouer les banques.
En novembre, l’inflation en Belgique s’est établie à 2,86%
sur un an. C’est une légère baisse par rapport au mois
d’octobre (3,01%). Les prix à la consommation en Belgique
ont recommencé à grimper depuis décembre 2009, après
7 mois de baisse. Depuis lors, à l’exception du mois d’août
2010, l’inflation s’est accélérée chaque mois.
12
Organiser la faillite de la dette
souveraine ?
La crise de la dette souveraine met en lumière la fragilité
budgétaire de certains Etats de la zone euro. Jusqu’à évoquer
la perspective d’une faillite d’un Etat ? La théorie ayant toujours
affirmé l’impossibilité d’un tel scénario, pareille question peut
sembler iconoclaste. Or, elle n’est plus éludée aujourd’hui.
Dans le journal « Les Echos »,
l’économiste français Michel
Aglietta estimait que « l'Europe
devrait se donner les moyens de
gérer de façon ordonnée une faillite
partielle d'un Etat (…) : rassembler
les créanciers autour d'une table,
décider du montant de dette abandonnée, rééchelonner l'autre partie,
et émettre des titres garantis par
l'Union européenne pour que le pays
puisse revenir le plus tôt possible sur
le marché des capitaux. »
Le groupe de pensée (« Think Tank ») Bruegel, dont l’influence
est réelle, imagine un procédé en trois étapes :
1) vérifier qu’un pays n’est plus capable d’honorer ses dettes et
a besoin d’assistance, ce rôle étant dévolu à la Commission
européenne en partenariat avec la BCE ;
2) arbitrer les conflits entre créanciers et débiteurs, ce rôle
étant confié à la Cour de Justice européenne ;
3) organiser le sauvetage de l’Etat défaillant, par le biais du
Fonds européen de stabilisation financière (FESF) qui serait
pérennisé au-delà de 2013.
Le schéma suivant devrait être proposé à l’approbation du
prochain sommet des Chefs d’Etat Européens qui se tiendra en
décembre :
a)à partir de 2013 le FESF deviendrait le Mécanisme
Européen de Stabilisation (MES) et comprendrait un mécanisme de négociation collective avec les créanciers privés,
semblable à celui actuellement mis en place par le FMI
lorsqu’il se charge de renégocier la dette de pays ayant fait
appel à son aide ;
b)ce mécanisme devrait lever les incertitudes juridiques quant
à la modification des termes de la dette tels que le taux,
l’échéance, le pourcentage de la dette qui ne sera pas remboursé, etc. ;
c)les pays qui voudront recourir au FESF devront en faire la
demande et l’acceptation de l’aide sera subordonnée à la
mise en place de conditions sévères en matière de réduction
des déficits publics et de la conduite de leur politique économique ;
d)la Commission Européenne, le FMI et la BCE pourront
imposer le recours au mécanisme de négociation collective
si ces autorités estiment que le niveau actuel de la dette, au
moment de la demande de recours, est déjà trop élevé et
insoutenable.
Pour les partisans d’un tel schéma, il convient de responsabiliser les créanciers qui, tout en exigeant des taux d’intérêts
de plus en plus élevés, censés incorporer le risque de crédit
sous-jacent, comptent, en cas de défaillance, sur des plans de
secours publics financés par les citoyens de l’Union.
Censé rassurer les marchés quant à l’incertitude planant sur
la façon dont les créanciers privés seront sollicités à partir de
2013, ce mécanisme ne semble pas convaincre les investisseurs. En effet, les taux à long terme de tous les pays de la
zone euro sont repartis à la hausse, sauf en Allemagne et aux
Pays-Bas. Sachant qu’en Belgique, il y a un lien très étroit entre
le rendement des obligations d’Etat et les taux des emprunts
hypothécaires, il est à craindre que ces derniers soient relevés
dans les prochaines semaines si le marché continue à exercer
une pression à la hausse.
13
Actualité
Tendances Investissements
Diversifier
son
portefeuille
obligataire
et garder un
œil sur la
Turquie
eLe regain d’intérêt pour les obligations
ne dispense pas d’une diversification
soigneusement orchestrée.
eLa Turquie peut constituer une
opportunité intéressante pour les
investisseurs aguerris.
eLes marchés d’actions toujours
sous pression présentent de belles
perspectives, non dénuées de risques.
Obligations : un potentiel très diversifié !
La crise financière qui a éclaté à l’automne 2008 a globalement profité
aux obligations1 dont les cours ont été soutenus par deux facteurs : la
recherche de sécurité potentielle des investisseurs et la baisse des taux
d’intérêts générée notamment par les mesures de soutien prises par les
banques centrales afin de soutenir l’économie. Ce regain d’intérêt pour
les obligations est logique : cette classe d’actifs permet non seulement de
diversifier un portefeuille mais aussi, pour autant qu’il soit bien géré, d’en
retirer des revenus prévisibles et réguliers.
Il n’est évidemment pas conseillé d’investir la totalité de la partie obligataire de son portefeuille dans… une seule obligation. La règle de
base, pour les obligations comme pour toute autre classe d’actifs, est la
diversification ! Celle-ci doit jouer à plusieurs niveaux, en gardant à l’esprit
l’objectif que l’on s’est préalablement fixé : privilégier la croissance stricte
du capital à long terme et/ou retirer une rente annuelle du capital existant.
14
de plusieurs émetteurs en provenance
de secteurs différents et, s’agissant de
la dette souveraine, auprès de plusieurs
Etats.
2. Diversifier les échéances
La date d’échéance des obligations est
elle aussi importante à plus d’un titre.
L’emprunteur doit en effet déterminer
s’il souhaite immobiliser son capital pour
une longue durée (10 ans par exemple),
s’il ne peut pas se le permettre (parce
qu’il prévoit l’achat d’une maison dans
5 ans par exemple), ou s’il préfère en
retirer des revenus réguliers. Quoi qu’il
en soit, il convient de limiter autant que
possible le « risque de réinvestissement ».
De quoi s’agit-il ? Du risque que les taux
d’intérêt en vigueur au moment où une
obligation arrive à échéance aient baissé.
L’investisseur qui souhaite continuer à
investir en obligations n’a alors d’autre
choix que de réinvestir son capital dans
un nouvel emprunt obligataire moins
intéressant (un coupon de 5% au lieu de
7% par exemple).
Pour réduire ce risque, une seule solution : diversifier son panier obligataire de
telle sorte que le capital soit investi dans
des obligations de durées différentes, en
jouant sur la courbe des taux. En règle
générale, plus l’échéance d’une obligation est lointaine, plus son rendement est
élevé : ceci se traduit par une courbe des
taux croissante en fonction du temps.
Mais cette courbe n’est cependant pas
uniforme dans le temps : parfois elle est
plus pentue (les taux à long terme sont
nettement plus élevés), parfois elle est
plate ou presque (le différentiel entre les
taux à long terme et à court terme est
faible) et il arrive même parfois qu’elle
s’inverse (les taux à court terme sont
plus élevés qu’à long terme, ce qui est
souvent considéré comme le signe précurseur d’une récession).
1. Diversifier les émetteurs
Même si le risque est plutôt limité, il se peut
qu’un émetteur se trouve dans l’impossibilité de
payer le coupon ou de rembourser à l’échéance
le capital qu’il a emprunté. Pour mesurer ce
risque, les agences spécialisées comme Moody’s,
Standard&Poor’s ou Fitch attribuent des notations
(« ratings » en anglais) aux émetteurs afin d’en
évaluer la solidité financière.
Si l’on recherche la sécurité potentielle, il est impératif de privilégier les émetteurs qui bénéficient des
ratings les plus élevés (« Investment Grade »),
dont la capacité à honorer leurs engagements
est la plus élevée. Les ratings concernés vont de
"AAA" à "BBB-". Il faut aussi veiller à diversifier les
achats, parmi les obligations de sociétés, auprès
3. Diversifier les devises et les zones
géographiques
De manière générale, il est conseillé
pour un investisseur en obligations
situé dans la zone euro d’investir de
préférence dans des obligations libellées
en euro. Il évite de la sorte le « risque
devise » : toucher des coupons ou le
remboursement du capital dans une
devise dont le cours se serait affaibli
vis-à-vis de l’euro. Mais, à l’inverse,
des obligations émises dans certaines
devises permettent aussi d’espérer un
rendement plus élevé, soit parce que le
coupon proposé est plus intéressant,
soit parce que la devise offre un
15
Actualité
Tendances Investissements
potentiel d’appréciation en raison notamment de
perspectives économiques positives. Le maîtremot, ici aussi, est donc la diversification : investir en
euro permet plus de sécuriser son investissement,
et investir dans une devise étrangère permet, le cas
échéant, d’espérer un meilleur rendement.
4. Diversifier les types d’obligations
Ce volet est plus technique, dans la mesure
où il touche aux nombreuses modalités
d’investissements dans des obligations.
L’investisseur peut en effet choisir d’investir
lui-même dans plusieurs obligations différentes
(obligations de sociétés et emprunts d’Etat, en
répartissant le risque sur plusieurs échéances,
plusieurs secteurs et plusieurs devises). Mais il peut
aussi se tourner vers des fonds2 obligataires ou
d’autres produits, qui sont eux-mêmes diversifiés
et sont gérés de manière dynamique par des
professionnels. On peut aussi porter son choix
sur des obligations structurées qui permettent de
se protéger contre une baisse des taux tout en
permettant de bénéficier plus fortement d’une
hausse éventuelle. Un seul mot d’ordre : ne surtout
pas hésiter à se faire conseiller !
La Turquie : une économie de
plus en plus attractive
Alors que les économies occidentales piétinent
quelque peu, la Turquie offre une opportunité intéressante pour l’investisseur en quête de diversification. Bien que n’étant pas labellisée « BRIC’s »,
à savoir les économies émergentes dont on parle
tant (Brésil, Russie, Inde et Chine), la Turquie
émarge quant à elle au groupe des « CIVETS »,
ces six pays dont le potentiel paraît lui aussi très
important (Colombie, Indonésie, Vietnam, Egypte,
Turquie, Afrique du Sud).
Figurant désormais à la 15e place des plus grandes
puissances économiques mondiales, en fonction du
PIB, la Turquie affiche en effet des performances
remarquables :
U Une croissance attendue de 6,5% en 2010 et
3,5% en 2011, en phase avec celle attendue dans
de nombreuses économies émergentes.
U Des rapports « déficit public /PIB » et « dette
publique/PIB » de 3,7% et 47% respectivement,
bien meilleurs que dans la plupart des pays occidentaux.
U Une inflation beaucoup mieux contrôlée que par
le passé : 7,3% en 2010 et 6,2% en 2011, à comparer à une inflation de plus de 60% il y a dix ans.
16
En bref
Actions : perspectives favorables malgré les
turbulences
Les marchés d’actions subissent des pressions à la baisse
depuis quelques semaines mais leurs perspectives, en dépit
de facteurs de risques, restent favorables.
U La croissance économique reste sur les rails en dépit d’un
différentiel croissant entre les pays industrialisés et les
pays émergents, et d’un ralentissement attendu en 2011.
U Les mesures prises par les autorités chinoises pour ralentir la surchauffe dans certains secteurs comme l’immobilier inquiètent les marchés mais ne devraient pas affecter
la croissance de la Chine.
U L’incertitude géopolitique est croissante, notamment en
Corée, mais le scénario d’un conflit ouvert paraît devoir
être écarté.
U La crise de la dette publique au sein de la zone euro pèse
lourdement sur les marchés, mais nous pensons que les
autorités ont la volonté et disposeront des moyens de
limiter le risque de contagion et d’assurer la stabilité de la
zone euro (fonds européen de stabilité, action conjointe
U Des exportations quasiment quadruplées, à
102 milliards de dollars en 2009, par rapport à
2002.
Plus fondamentalement, le pays bénéficie d’une
démographie favorable (un tiers de la population est
âgée de moins de 25 ans), d’une demande en infrastructures importante (une caractéristique commune
aux économies émergentes), et d’une consommation intérieure en croissance (la demande des
ménages pèse 70% du PIB). Enfin, le pays dispose
d’un secteur bancaire sain, ayant connu sa véritable
crise financière en 2001 : les réformes ont donc été
entreprises plus tôt que dans d’autres pays, ce qui
a permis à la Turquie de surmonter relativement
rapidement les effets de la crise de 2008.
Ces atouts n’ont évidemment pas échappé aux
investisseurs, l’indice de la Bourse turque (ISE
National 100 Index) ayant plus que triplé depuis
son plancher atteint en 2008. En dépit des niveaux
record actuels qui pourraient inciter à attendre un
léger repli avant de prendre position, les valorisations restent attractives. Enfin, la Turquie pourrait
bénéficier d’un nouveau relèvement de la notation
de sa dette souveraine, l’an prochain, après celui qui
avait été opéré à la fin 2009 et début 2010.
de la BCE et du FMI).
U Les valorisations des sociétés sont très attractives, leurs
bénéfices sont solides, les taux d’intérêt sont très bas et
les liquidités sont abondantes, ce qui devrait favoriser un
regain des activités de fusions & acquisition et stimuler
des programmes de rachats d’actions ou de distribution de
dividendes.
U Dans ce contexte, nous continuons à privilégier
l’Allemagne et les pays émergents.
Obligations : privilégier le rendement
U Les emprunts d’Etat restent peu intéressants même si
leurs taux ont légèrement remonté ces dernières semaines.
La probabilité d’une poursuite de la hausse des rendements
est plus élevée qu’une forte baisse de ceux-ci.
U Les obligations de sociétés sont plus intéressantes, même
si le potentiel de resserrement de spreads par rapport aux
emprunts d’Etat s’est rétréci. Les sociétés affichent en effet
des bilans sains, leur croissance bénéficiaire se poursuit et
les taux de défaut sont en baisse.
U Les obligations à haut rendement peuvent être envisagées,
pour autant que le profil de risque de l’investisseur s’y prête.
U Nous apprécions particulièrement les obligations des pays
émergents en devise locale car elles bénéficient de
fondamentaux positifs : croissance économique forte
et taux d’endettement faible, ce qui peut le cas échéant
conduire à des hausses de ratings.
Investissements alternatifs : poursuite du cycle haussier
à long terme
U L’or bénéficie d’un cycle haussier depuis plusieurs années
et devrait, selon la Deutsche Bank, poursuivre en ce
sens pour plusieurs raisons : climat global d’incertitude
(crise de la dette, tensions politiques), injection massive
de liquidités par la Fed (craintes inflationnistes) et taux
d’intérêts très bas. Mais il possible que le métal jaune
subisse des prises de bénéfices à court terme.
U Les matières premières bénéficient elles aussi d’une
tendance structurellement favorable à long terme
(demande des pays émergents). Mais leurs cours, après
une période de hausse, pourraient être mis sous pression
à court terme (diminution de l’appétit pour le risque,
notamment).
U Les fonds à rendement absolu3 peuvent être intégrés dans
une stratégie d’investissement en raison de leur flexibilité
et de leur grande réactivité aux évènements de marché.
Notre sélection de compartiments de sicav2 :
Actions
Obligations1
Turquie
Parvest Equity Turkey
Marchés émergents
JP Morgan Funds Emerging Markets Equity Fund
Marchés émergents
Schroder International Section Fund Emerging Markets Debt Absolute Return
Pictet Emerging Local Currency Debt (Classe P EUR)
Robeco Lux-o-Rente
Fonds mixtes4
Private Invest Global Trends FoF
Private Invest Absolute Return FoF
Private Invest Absolute Return FoF
DWS FlexPension II 2019, II 2021, II 2023
Notre sélection de compartiments de fonds communs de placement :
2
Actions
Carmignac Investissement
Ces informations ne constituent pas une recherche en investissements. Elles n’ont pas été élaborées conformément aux dispositions arrêtées pour promouvoir l’indépendance de la
recherche en investissements, de même qu’elles ne sont soumises à aucune interdiction prohibant l’exécution de transactions avant la diffusion de la recherche en investissements.
1
Une obligation est un titre de créance négociable représentant une fraction d’un emprunt émis par une société privée, par une entité du secteur public ou par un Etat étranger.
2
Les OPC existent sous la forme d’une sicav (société d’investissement à capital variable) ou d’un fonds commun de placement. Dans la plupart des cas, un OPC est créé par une institution
financière mais constitue une entité indépendante d’un point de vue juridique. Une part d’un OPC donne droit à une partie du résultat obtenu, en fonction du montant investi. Le capital
investi peut également diminuer de valeur. En investissant dans un OPC, on peut étaler le risque de placement et on a plus aisément accès aux Bourses et marchés étrangers. Les placements
dans des OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’il est possible d’obtenir une intervention d’un montant maximum de 20.000 EUR
auprès de ce fonds de protection si une institution de crédit ou une société de Bourse détient les droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et qu’elle ne peut pas les délivrer
ou les rendre à leurs propriétaires légitimes. Remarquons toutefois que la perte éventuelle de valeur d’un OPC par rapport à son prix d’achat n’est pas couverte par le fonds de protection.
3
Les compartiments à rendement absolu visent une évolution positive à moyen terme, indépendamment des conditions de marché et sans garantie de rendement.
4
Par investissements mixtes, nous entendons les OPC qui investissent en actions et en obligations.
Les informations techniques relatives aux compartiments de sicav ou fonds communs de placement repris dans cet article sont
disponibles en fin de magazine.
17
Sous la loupe
Investissements programmés
Investissez
pas à pas et
recevez
100 euros
Vous mettez de l’argent de côté chaque mois ? Une
idée judicieuse qui vous procurera, à terme, un certain capital. Mais êtes-vous convaincu d’avoir choisi
la meilleure solution ? Il est préférable de garder
à disposition un montant qui vous permet de faire
face à vos besoins quotidiens. Par ailleurs, si vous
faites chaque mois l’effort de mettre une certaine
somme à l’abri pour plus tard, c’est assurément
dans l’espoir que cela vous rapporte un peu plus
que le rendement d’un produit bancaire classique.
A la Deutsche Bank, nous vous proposons une
solution grâce à laquelle vous investissez automatiquement, et sur une base mensuelle, un montant
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mensuelle et d’une durée de 18 mois minimum. Si
vous effectuez votre premier versement avant le
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versement. Qu’attendez-vous ?
18
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montant que vous souhaitez investir. Vous pouvez modifier ce
montant ou en changer la fréquence à tout moment.
2.Un large choix. Nos spécialistes ont sélectionné pour
vous les meilleurs fonds du marché qui correspondent au
niveau de risque que vous êtes prêt à accepter.
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commencer le plus tôt possible. Partons d’un
exemple. Paul, François et Bertrand sont tous les
trois âgés de 45 ans. Ils souhaiteraient disposer d’un
capital supplémentaire pour leur retraite. Ils optent
donc pour un investissement programmé et leur
horizon d’investissement est de 20 ans. Ils choisissent tous les trois un portefeuille d'investissements
composé à 100% d’actions mondiales, mais hésitent sur la stratégie d’investissement.
Leurs stratégies d'investissement
Paul commence tout de suite à investir
250 euros par mois, il le fera pendant 20 ans et
aura au total investi 60.000 euros.
François préfère attendre encore 10 ans avant
de commencer ses achats programmés, mais
il se rattrapera en investissant 500 euros par
mois. Il aura donc lui aussi investi un montant
total de 60.000 euros.
Bertrand, comme Paul, commence tout de
suite avec 250 euros par mois. Mais il arrêtera
après 10 ans et laissera son investissement
évoluer au gré des marchés les 10 dernières
années. Au total, il n’aura donc investi que
30.000 euros.
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Télé-Invest au 078 155 225.
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Center en appelant le 078 155 150.
Que sont-ils en droit d’espérer
après 20 ans3 ?
Paul a commencé à investir 10 ans plus tôt que François mais
au total, tous deux auront épargné 60.000 euros. Pourtant,
après 20 ans, Paul devrait disposer de 141.517 euros contre
90.167 euros pour François. A capital investi équivalent, on
constate donc que celui qui aura commencé le plus tôt son
investissement programmé, même avec un montant mensuel
plus modeste, disposerait d’un capital plus élevé.
Bertrand a seulement investi la moitié du montant de Paul ou
de François, soit 30.000 euros. Pourtant, comparé à François, il
devrait tout de même disposer au final d’un capital de
96.434 euros. En investissant seulement la moitié du capital
mais depuis le début, on obtiendrait tout de même à terme une
somme plus élevée qu’en investissant seulement sur les
10 dernières années.
Bref, comme dans la fable de La Fontaine : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Paul
160.000
François
Bertrand
140.000
120.000
100.000
80.000
60.000
40.000
20.000
0
Année 1 Année 2 Année 3 Année 4
Année 5
Année 6
Année 7 Année 8
Année 9 Année 10 Année 11 Année 12 Année 13 Année 14 Année 15 Année 16 Année 17 Année 18 Année 19 Année 20
Par « fonds », nous entendons les Organismes de Placements Collectifs (OPC) dont la Deutsche Bank assure la promotion et/ou la distribution.
Offre soumise à conditions, valable jusqu’au 31/01/2011, sauf clôture anticipée.
Cette simulation a été effectuée avec rendement annuel de 7,90%, basé sur le rendement annuel de l’indice MSCI World en euros sur 10 et 20 ans.
Ces rendements ont été calculés sur base des données mensuelles historiques disponibles pour l’indice MSCI World en euros entre le 31/08/1970 et le 31/08/2010.
Les performances du passé ne constituent pas une garantie pour l’évolution future. L’indice MSCI World a pour objectif de refléter les performances des marchés
d’actions de 23 pays développés. Cette simulation est purement théorique et se base sur un taux constant unique, ce qui ne reflète pas la réalité. Pour une analyse
plus approfondie, vous pouvez consulter notre dossier disponible sur www.deutschebank.be.
1
2
3
19
Sous la loupe
DB Best Advice
eLes clients privilégient de
plus en plus les fonds de
qualité.
eLes fonds mixtes ou à
gestion « asymétrique »
rencontrent un franc succès.
eLa sélection DB Best Advice
a été adaptée pour
rencontrer les
nouvelles exigences
des clients.
Les grandes
tendances
de l’industrie
des fonds
Lorsqu’on observe les grandes tendances de
l’industrie des sicav et des fonds communs de
placement, on constate que les clients privilégient
de plus en plus les fonds* de qualité. Comment ?
En se tournant vers les solutions qui affichent les
meilleures performances, celles-ci étant évaluées
par Morningstar, une agence de notation indépendante. Ainsi, en 2010, les fonds qui ont remporté le
plus de succès auprès des clients de la Deutsche
Bank sont également ceux qui se sont vu attribuer
5 étoiles Morningstar. Bonne nouvelle : la Deutsche
Bank distribue la plupart des fonds qui ont reçu
4 ou 5 étoiles Morningstar. Vous avez donc l’embarras du choix. N’hésitez pas à faire appel à nos
conseillers ou à la sélection DB Best Advice pour
trouver le fonds qui vous correspond le mieux.
Autre tendance qui découle de cette « fuite vers la
qualité » : les clients sont de plus en plus nombreux
à suivre les recommandations de nos conseillers en
procédant à des arbitrages. Une attitude qui prend
tout son sens lorsqu’on constate qu’après la déroute
de 2008, il a été possible d’engranger de nouveaux
20
gains en arbitrant ses positions vers des fonds plus
performants. De plus, à la Deutsche Bank, vous
ne payez ni frais d’entrée, ni frais de sortie sur la
plupart de nos fonds. Un conseil si vous êtes en
manque d’inspiration : comparez la composition de
votre portefeuille avec la sélection DB Best Advice.
Les nouveautés de la
DB Best Advice
Les spécialistes de la Deutsche Bank procèdent
régulièrement à une analyse quantitative et qualitative de l’offre de fonds pour déterminer quels sont
ceux qui seront sélectionnés dans la liste DB Best
Advice. Ce double contrôle permet d’amener de
nouveaux fonds dans la sélection… et d’en faire sortir d’autres. Un exemple concret : un nouveau compartiment vient de faire son entrée dans la sélection
sur les thèmes du futur. Pourquoi ? Parce que les
spécialistes de la Deutsche Bank ont estimé que le
fonds précédemment retenu sur ce thème souffrait
d’un mandat trop restreint. Bref, en cas de retournement de conjoncture sur l’un de ses thèmes d’in-
« La Deutsche Bank
distribue la plupart
des fonds qui ont
reçu 4 ou 5 étoiles
Morningstar »
Morningstar :
suivez les étoiles
Morningstar, Inc. est un fournisseur indépendant d’analyses d’investissement. La
notation Morningstar est une évaluation
quantitative de la performance passée
d’un fonds, mise à jour mensuellement.
Le critère d’attribution de la notation
repose sur la performance ajustée au
risque. Les fonds analysés reçoivent une
notation de 1 à 5 étoiles, « 5 étoiles »
étant la notation la plus élevée.
Morningstar emploie plus de 200 analystes dans le monde et dispose d’une
base de données sur plus de 325.000
offres de placement. Plus d’informations :
www.morningstar.be
« La gestion asymétrique propose
de capter les hausses, en se
protégeant des baisses »
Nombre de fonds proposés qui affichent 4 ou 5
étoiles Morningstar
350
343
300
250
200
150
100
50
23
0
BNP
Fortis
vestissement, le compartiment risquait de ne pas
disposer de la marge de manœuvre nécessaire pour
engranger des gains éventuels sur d’autres thèmes.
Il a donc été remplacé par un fonds plus flexible.
Profiter des hausses, limiter
l’impact des baisses
A la Deutsche Bank, vous trouvez également un
large choix de fonds mixtes à gestion asymétrique.
Qu’entend-on par là ? Il s’agit de fonds dont la
gestion flexible permet de modifier leur allocation
d’actifs entre actions et obligations en fonction
des fluctuations des marchés. Résultat : ces fonds
proposent aux clients de profiter des mouvements
haussiers des Bourses, tout en se prémunissant en
cas de mouvements baissiers. Un mode de gestion
qui séduit des clients de plus en plus nombreux depuis la crise de 2008. Ce type de fonds représente
aujourd’hui plus d’un tiers des fonds sélectionnés
dans la liste DB Best Advice.
75
72
39
ING
Dexia
KBC
Deutsche
Bank
Source : Deutsche Bank, Morningstar, chiffres au
31/10/2010. Plus d'infos: www.morningstar.be et
www.deutschebank.be
Un fonds vous intéresse ou vous
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minutes les grandes familles de
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* Par fonds, nous entendons les Organismes de
Placement Collectif (OPC) dont la Deutsche Bank
assure la promotion et la distribution.
21
Sous la loupe
Devises
Une Guerre
froide
inédite
oppose la
Chine aux
états-Unis
eLa Chine et les Etats-Unis
s’opposent sur leurs politiques
monétaires.
eUne « guerre des devises »
serait désastreuse pour
l’économie mondiale.
e De vieux réflexes
protectionnistes pourraient
ressurgir çà et là.
22
Sur fond de croissance économique atone dans les
pays industrialisés alors que les pays émergents,
au premier rang desquels figure la Chine, tirent
grand profit de leurs exportations, le spectre d’une
« guerre des monnaies » hante les esprits. Le risque
est grand que chaque Etat tente de faire cavalier
seul, créant ainsi de nouvelles formes de protectionnisme dont personne ne sortirait gagnant.
Guido Montega, ministre brésilien des Finances,
était relativement inconnu en nos contrées jusqu’à
ce qu’il déclare, en septembre dernier, que le
monde était entré dans une période de « guerre des
changes ». En ligne de mire ? Les taux d’intérêts
plancher dans les pays industrialisés où les banques
centrales donnent la priorité, par ce biais, au soutien
à la reprise économique tout en veillant à garder
l’inflation sous contrôle. Ce faisant, cependant, les
pays industrialisés deviennent moins intéressants
pour les investisseurs qui vont voir ailleurs, en particulier dans les pays émergents où la croissance est
beaucoup plus forte, cet afflux de capitaux y faisant
grimper la valeur de leurs devises… et réduisant
leur compétitivité à l’exportation. Dans le monde
globalisé qui est le nôtre, tout est donc plus que
jamais lié.
Une guerre d’exportateurs
Dans ce contexte, deux pays sont pointés du doigt… tout en
s’accusant mutuellement de penser d’abord à leurs propres
intérêts plutôt qu’à ceux de l’économie mondiale. Aux EtatsUnis, la décision de la Réserve fédérale (Fed) de procéder à
un nouvel « assouplissement quantitatif » (lire l’encadré) en
novembre dernier n’a pas été unanimement appréciée. Si
l’objectif officiellement recherché est d’apporter du carburant
à la reprise, l’une des conséquences - voulue ou non - de cette
décision est un affaiblissement du dollar par rapport aux devises de ses partenaires commerciaux. Or, nombre d’entre eux
ne maintiennent la tête hors de l’eau que par le biais de leurs
exportations de produits et services : tout renchérissement de
leur monnaie est donc potentiellement dangereux pour leur
économie.
De leur côté, les Etats-Unis pointent du doigt la Chine, qu’ils
accusent de maintenir artificiellement le yuan à un niveau
trop bas afin de soutenir ses exportations, ce qui contribue
à creuser le déficit commercial américain. Le conflit s’est
envenimé lors de l’adoption par la Chambre des représentants,
à Washington, d’un projet visant à relever les droits de douane
sur les importations chinoises, à la grande irritation de Pékin.
En visite il y a peu à Bruxelles, le Premier ministre chinois
Wen Jiabao a explicitement mis en garde les Européens : « Ne
rejoignez pas le chœur qui fait pression pour une réévaluation
du yuan », a-t-il déclaré.
Vieux réflexes protectionnistes
« C’est le spectre
du retour au
protectionnisme qui
pointe le bout du nez »
La planche à billets
Pour relancer l’économie, les Etats disposent de
plusieurs outils. D’abord, les banques centrales peuvent abaisser leurs taux directeurs pour faciliter la
circulation des liquidités dans le circuit économique.
C’est ce que la plupart des banques centrales ont
fait ces deux dernières années, ramenant leurs taux
à des planchers historiques. Ensuite, les Etats peuvent redoubler de créativité pour adapter leur politique budgétaire. Enfin, en dernier recours, c’est la
planche à billets qui intervient. C’est la décision qu’a
prise la Fed le 5 novembre dernier en annonçant un
nouveau programme de rachat de bons du Trésor
pour 600 milliards de dollars. D’après les calculs
de la Fed, cette injection de liquidités pourrait avoir
le même effet qu’une baisse de 0,5% des taux
d’intérêt à court terme. Les anglo-saxons parlent de
« quantitative easing » (QE) ou politique d'assouplissement quantitatif pour qualifier cet aspect de leur
politique monétaire.
En filigrane, c’est le spectre du retour au protectionnisme qui
pointe le bout du nez, chaque pays, chaque zone économique
essayant de défendre ses propres intérêts. Ce n’est donc pas
un hasard si le récent Sommet du G20, à Séoul, avait mis le
« Les états-Unis
accusent la Chine
de maintenir
artificiellement le
yuan à un niveau
trop bas »
thème de la « guerre des monnaies » à son ordre du jour. Le
résultat ne fut pas à la hauteur des attentes, les pays restant
divisés en deux camps : d’un côté, ceux qui affichent un
excédent commercial comme la Chine mais aussi, en Europe,
comme l’Allemagne, et de l’autre côté ceux qui sont aux prises
avec un lourd déficit, comme les Etats-Unis. Les pays signataires du communiqué final ont dès lors décidé… de reporter
le problème à plus tard. Ils ont chargé un comité d’étudier
diverses options à présenter lors du prochain sommet du G20,
qui aura lieu en France en 2011.
23
Sous la loupe
Devises
Profiter de la
croissance
ATTENDUE des
« BRIC » par le
biais de leurs
devises
Le président russe Dimitri Medvedev, le président brésilien sortant Luiz Inacio Lula da Silva,
le président chinois Hu Jintao et le premier ministre indien Manmohan Singh.
eLes analystes anticipent une croissance
soutenue des pays BRIC.
e Cette croissance pourrait amener une
appréciation de leurs devises respectives.
eLes devises peuvent constituer une
source de diversification au sein d’un
portefeuille.
Il existe plusieurs moyens de tirer parti
de la croissance anticipée des pays BRIC
(Brésil, Russie, Inde et Chine). L’un de
ceux-ci, qui présente l’avantage de
diversifier son portefeuille par rapport
à d’autres classes d’actifs comme les
actions, les obligations ou les matières
premières, consiste à investir dans les
devises de ces pays.
« Les prévisions
économiques
actuelles convergent
pour anticiper une
croissance soutenue
dans les pays BRIC »
24
Pourquoi ce choix ? Parce qu’en règle
générale, la valeur d’une devise, qui
s’exprime relativement à celle des autres
devises par le biais des taux de change,
reflète indirectement la santé de son
économie. Une économie en croissance,
offrant des perspectives favorables,
attire les capitaux en provenance de
l’étranger, ce qui contribue à soutenir le
cours de sa monnaie. Or, les prévisions
économiques actuelles convergent
pour anticiper une croissance soutenue
dans les pays BRIC, celle-ci devant dès
lors contribuer à soutenir leurs devises
respectives.
Risque politique
Ceci étant, de tels investissements
ne sont pas dénués de risque. Le plus
important d’entre eux est de nature
politique car il est lié aux mesures qu’un
pays peut éventuellement décider de
prendre dans le cadre de sa politique
économique. Certains pays BRIC, en particulier, pourraient être tentés d’intervenir
sur le marché des changes pour éviter
une trop forte hausse relative de leur devise par rapport à d’autres devises, afin
de ne pas pénaliser leurs exportations -
« La valeur
d’une devise
reflète
indirectement la
santé de son
économie »
on a vu en pages 22 et 23 que la Chine
est accusée par les Etats-Unis de freiner
artificiellement la hausse du yuan. En
outre, un pays peut aussi en théorie
décider de « changer les règles du jeu »
en faisant le choix de lier la valeur de sa
monnaie à celle d’une autre, comme la
Belgique l’avait fait par exemple en liant
le franc belge au deutsche mark, avant
l’introduction de l’euro.
Selon les prévisions de la Deutsche
Bank, la croissance et la santé économique relative des pays BRIC devraient
rester soutenues. D’ordinaire, ces
éléments peuvent engendrer une hausse
de valeur de ces devises par rapport au
dollar US. En dépit de la croissance potentielle prévue dans ces 4 régions, ces
pays émergents pourraient être confron-
tés à certains risques, tels que l’influence
éventuelle des gouvernements sur leurs
devises. Il existe un risque que ces pays
soient enclins à maintenir un taux de
change faible pour leur monnaie par le
biais d’interventions sur le marché des
capitaux afin de ne pas compromettre la
croissance économique éventuelle.
Prévisions de croissance selon le FMI
2010
2011
Chine
10,5%
9,6%
Inde
9,7%
8,4%
Brésil
7,5%
4,1%
Russie
4%
4,3%
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25
Sous la loupe
Investissements
Deutsche Bank AG BRIC Currencies 2016
Misez sur la
hausse des
devises des
pays BRIC
eUn coupon brut unique égal à 2 fois la hausse éventuelle
d’un panier de devises des pays BRIC, avec un minimum
de 0% et sans maximum.
e Droit au remboursement de 100% de la valeur nominale à
l’échéance par Deutsche Bank AG (A+/Aa3).
eUne durée de 5 ans.
Stratégie de ce produit
d’investissement
Deutsche Bank propose régulièrement des investissements émis par le Groupe Deutsche Bank ou
l’un de ses partenaires financiers. Ceux-ci offrent
une solution dans différents scénarios (p.ex. une
hausse d’un indice boursier). La diversification des
stratégies dans un même portefeuille peut s’avérer
judicieuse. Adressez-vous à votre Financial Center
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complexes et cherchent un rendement intéressant
pour leur argent en acceptant un risque limité dans
le temps.
Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016
s’adresse à l’investisseur qui, pendant 5 ans, veut
miser sur une hausse future potentielle d’un panier
de 4 devises des pays émergents par rapport au
dollar américain (USD) : le réal brésilien (BRL), le
rouble russe (RUB), la roupie indienne (INR) et le
yuan chinois (CNY).
Que pouvez-vous attendre ?
Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016 vous
permet de participer à 200% de l’évolution d’un panier de devises des pays BRIC (Brésil, Russie, Inde
et Chine) par rapport au dollar américain. Le coupon
unique à l’échéance est égal à 2 x cette évolution,
avec un minimum de 0% (rendement brut annuel
minimum de -0,40%, 2% de frais d’entrée inclus) et
sans maximum. La performance est calculée sur la
base de l’évolution du panier entre le 10/01/2011 (la
date d’observation initiale) et le 11/01/2016 (la date
d’observation finale). Ce produit donne toutefois
droit au remboursement de la valeur nominale,
même en cas de baisse du panier de devises entre
la date d’observation initiale et la date d’observation
finale.
26
Evolution historique d’un panier composé de 25% de réal brésilien, 25% de rouble
russe, 25% de roupie indienne et 25% de yuan chinois par rapport au dollar américain.
%
25
20
15
10
5
0
-5
-10
Oct. 2005
Oct. 2006
Oct. 2007
Oct. 2008
Oct. 2009
Oct. 2010
Temps
Les évolutions passées de ces devises ne sauraient présager de leur évolution future.
Source : Bloomberg
Exemples qui en disent long :
Cet exemple est purement illustratif. Il a pour unique but d’expliquer le fonctionnement de l’investissement et ne saurait présager
de son évolution future.
Évolution du panier entre la date
d’observation initiale (10/01/2011) et la
date d’observation finale (11/01/2016)
1
2
3
Droit au remboursement, en %, de la
­valeur nominale à l’échéance
Droit à un coupon brut unique
à l’échéance
-50%
100%
0%1
-10%
100%
0%2
2%
100%
4%3
10%
100%
20%4
25%
100%
50%5
Rendement annuel brut de -0,40% (frais d’entrée de 2% inclus)
Rendement annuel brut de -0,40% (frais d’entrée de 2% inclus)
Rendement annuel brut de 0,39% (frais d’entrée de 2% inclus)
Un produit
d’investissement émis
par Deutsche Bank AG
L’instrument de créance Deutsche Bank
AG – BRIC Currencies 2016 est émis
par Deutsche Bank AG. (notation A+
perspectives stables selon S&P et Aa3
perspectives stables selon Moody’s).
Comment fonctionne un
instrument de créance ?
Vous prêtez de l’argent à Deutsche Bank
AG qui l’utilise pour financer ses activités. À l’échéance (14/01/2016), cette
banque s’engage à vous rembourser
100% de la valeur nominale, majorée du
coupon brut déterminé en fonction de
l’évolution du panier de devises précité.
Les principaux risques
Le produit Deutsche Bank AG – BRIC
Currencies 2016 s’adresse aux investisseurs à la recherche d’une solution pour
diversifier leurs placements. Ce produit
complexe s’adresse aux investisseurs expérimentés qui connaissent les produits
complexes de ce type. Pour obtenir de
plus amples informations sur les risques
inhérents à cet investissement, consultez les pages 15 à 35 du Prospectus de
Base.
Risque de crédit
En achetant ce produit, comme pour
tout instrument de créance, vous
acceptez le risque de crédit (par exemple
une faillite) de l’émetteur, dans ce cas,
Deutsche Bank AG (A+ selon S&P et
Aa3 selon Moody’s). Si l’émetteur fait
faillite, vous pouvez perdre la totalité ou
une partie de votre capital, ainsi que le
coupon restant éventuellement à payer.
Un changement de la perception du
risque de crédit, qui peut s’exprimer par
une modification de la notation de crédit
4
5
Rendement annuel brut de 3,30% (frais d’entrée de 2% inclus)
Rendement annuel brut de 8,02% (frais d’entrée de 2% inclus)
de l’émetteur, peut faire fluctuer le cours
boursier du titre durant la période restant
jusqu’à l’échéance. Plus l’échéance est
éloignée, plus l’impact potentiel sur le
prix de marché est important.
Risque de liquidité
Nous attirons l’attention des
investisseurs sur le fait que, selon toute
probabilité, les titres seront illiquides.
Nous leur rappelons également que
la valeur de ces titres peut descendre
au-dessous du pair sur le marché
secondaire pendant leur durée. De
telles fluctuations peuvent entraîner
une moins-value en cas de vente
anticipée. Vous avez uniquement droit au
remboursement au pair par l’émetteur à
l’échéance.
Risque de modification des taux
d’intérêt
Comme tous les autres instruments
de créance, ce produit est soumis à un
risque de modification des taux d’intérêt.
Si, après émission de ce titre de créance,
le taux d’intérêt du marché augmente,
toutes les autres données du marché
restant identiques, le prix du produit
diminue pendant sa durée. Si, dans les
mêmes conditions, le taux d’intérêt
du marché diminue après l’émission,
le prix du produit augmente. De telles
fluctuations peuvent entraîner une
moins-value en cas de vente anticipée.
Ce risque est plus important en début de
période et diminue à mesure que la date
d’échéance approche.
Prospectus
Cet article est un document commercial. Les informations qu’il contient ne
constituent pas un conseil en placement.
Toute décision d’investissement doit
être fondée sur le Prospectus de Base.
Le Prospectus de Base a été rédigé en
anglais et approuvé le 17/05/2010. Ce
document, les résumés en néerlandais
et en français, de même que les conditions définitives du 28/10/2010 peuvent
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déjà souscrit à ce produit dispose de deux jours
ouvrables pour revoir son ordre de souscription.
1
27
Sous la loupe
Succes story
L’exquise
surprise
d’Exki
e Exki a accumulé les récompenses
cette année.
eLes spécialistes saluent une saine
gestion commerciale et financière.
eL’entreprise n’en oublie pas pour
autant sa responsabilité sociétale.
Rarement une entreprise aura-t-elle aussi bien
« collé » à notre rubrique « Success Story » qu’Exki.
Jugez-en plutôt : cette chaîne belge de restauration rapide spécialisée dans les produits frais et de
qualité vient en effet d’être couronnée « Entreprise
de l’année » par la société de consultance Ernst
& Young… alors que ses dirigeants recevaient en
janvier dernier le titre, tout aussi convoité, de
« Managers de l’année » ! Et ce, alors que l’entreprise fêtera d’ici quelques semaines à peine le
dixième anniversaire de l’ouverture de son premier
restaurant à Bruxelles.
« Nous sommes arrivés au bon moment », commente avec modestie Frédéric Rouvez, administrateur délégué au même titre que Nicolas Steisel,
un ami de longue date puisqu’ils ont fréquenté les
bancs du collège Saint-Hubert à Bruxelles et ont
rejoint par la suite les sociétés Arthur Andersen et
GIB. « La santé et l’environnement commençaient à
sensibiliser le grand public. » La Belgique sortait en
effet, il y a dix ans, de la fameuse crise de la dioxine
et la saga de la vache folle avait durablement marqué les esprits.
28
Dans le même temps, le groupe de distribution GIB
entendait promouvoir en son sein l’intrapreneuriat
alors que les deux comparses, dans la trentaine et
sentant que leur employeur n’était pas au mieux
de sa forme, cherchaient de leur côté un nouveau
concept commercial à lancer. « Nous voulions créer
notre boîte et avons prospecté de tous les côtés,
en Europe et aux Etats-Unis », se souvient Frédéric
Rouvez dans les colonnes de « L’Echo ». Jusqu’à ce
qu’ils découvrent, à Londres, une chaîne proposant
un concept de fast-food frais et de qualité : l’idée
d’Exki, avec son fameux logo en forme de carotte
accompagné d’un slogan très explicite (« natural,
fresh and ready »), était née.
Les premiers pas
L’accueil réservé par le CEO de GIB, Jean-Pierre
Bizet, est enthousiaste. Il permet d’ailleurs aux
fondateurs - parmi lesquels figurait alors aussi un
autre ami d’enfance, Arnaud de Meeûs, juriste à la
direction de GIB - de travailler à la finalisation de
leur projet pendant plusieurs mois jusqu’à l’ouverture du premier restaurant à Ixelles, en janvier 2001.
A l’évidence, l’appui de GIB s’avère payant :
Une responsabilité sociétale
partagée
Dans l’argumentaire justifiant à l’attribution à Exki du titre d’ « Entreprise
de l’année », le jury salue non seulement la croissance et les performances financières de l’entreprise mais aussi l’intégration du développement durable dans son concept, le sens de l’éthique de son management ainsi que le souci pour la qualité des produits et le développement
du personnel. De fait, l’enseigne cultive habilement son image de société
« socialement responsable »… en veillant - ce qui n’est pas si courant à traduire le discours dans des faits concrets.
Exki a par exemple développé des mesures pour réduire de 25% l’empreinte écologique de ses restaurants, en partenariat avec le WWF, et
distribue ses surplus à des ONG. Sur le plan de la gestion des ressources
humaines, les patrons se félicitent d’employer des salariés de près de
40 nationalités différentes, certains d’entre eux ayant été recrutés en
ne disposant que d’une carte de séjour de 3 mois et ayant pu, grâce à cet
emploi, régulariser leur situation et ensuite progresser au sein de la société. Parmi ces employés, on notera aussi qu’une dizaine sont handicapés.
Nicolas Steisel et Frédéric Rouvez
Comme le dit ce fournisseur du groupe, cité dans le magazine « Trends
Tendances » : « Nicolas Steisel et Frédéric Rouvez sont des chefs
d’entreprise très professionnels. Ils sont sérieux et soucieux de la qualité. Mais leur force est d’avoir toujours mis en avant l’être humain. Ce ne
sont pas des requins de la gestion. » Des propos indirectement confirmés
par les patrons : « Notre personnel est notre premier atout marketing.
Il est notre ambassadeur auprès du client », affirment-ils. « Il adhère non
seulement à nos engagements mais… nous pousse à les respecter. »
« Exki vient d’être couronnée
Entreprise de l’Année »
le groupe participe non seulement au
capital (à hauteur de 79%) mais leur assure aussi, entre autres, la collaboration
de sa chaîne alimentaire haut de gamme
Rob, notamment pour sélectionner leurs
produits frais parmi lesquels des salades,
des potages, des sandwiches et autres
tartes aux légumes.
C’est dire si la liquidation ultérieure
de GIB et la revente d’Exki, parmi un
« package » d’autres enseignes, aux
holdings AvH-CNP, sont vécues comme
une catastrophe d’autant plus grande
que les nouveaux actionnaires se disent
alors peu intéressés. En pleine crise
financière, les comparses reprennent
donc leur bâton de pèlerin et parviennent
à convaincre en 2003 la famille flamande
Dossche, active dans les produits végétariens, de rejoindre le tour de table
- elle détient aujourd’hui les deux-tiers
du capital d’Exki et a injecté 2,5 millions
d’euros pour en financer la croissance.
Le second souffle
Le développement commercial est, cette
fois, bétonné. L’enseigne peut commencer son expansion non seulement
dans les principales villes belges mais
aussi à Paris, Milan et Turin, notamment.
En dépit de cette croissance (près de
50 points de vente aujourd’hui), Exki
atteint l’équilibre dès 2005 et dégage
ses premiers profits en 2007. Ce qui,
d’après les membres des jurys qui les
ont récompensés, témoigne dans le chef
des fondateurs d’une capacité pas si évidente à passer du statut d’entrepreneurs
à celui de managers, dont les profils sont
en outre très complémentaires : Frédéric
Rouvez, ancien directeur financier de
l’immobilier chez GIB que l’on dit d’une
grande efficacité, s’occupe des finances
et de l’immobilier alors que Nicolas
Steisel, ancien directeur du marketing
de l’enseigne Brico, que l’on dit plus
créatif, est en charge de la logistique et
du marketing.
Mais comment analyser ce succès, alors
que d’autres enseignes se sont depuis
lors lancées elles aussi sur ce marché ?
Tous les observateurs qui se sont penchés sur cette success story sont unanimes : la gestion de l’entreprise est en
parfaite cohérence avec son concept…
et est perçue comme telle par ses clients
comme par ses employés. En clair, les
consommateurs savent pourquoi ils vont
chez Exki et acceptent d’y débourser
davantage que dans un autre fast-food
car ils y trouvent des produits mais aussi
un accueil de grande qualité dans des
magasins au design très étudié. A charge
désormais pour les deux entrepreneurs
de confirmer la réussite actuelle et de
poursuivre sur la voie d’une croissance
impressionnante : les ventes ont plus
que triplé en 5 ans, pour tutoyer les
50 millions d’euros, l’enseigne et ses
franchises employant désormais près
de 500 salariés.
29
Dialogue
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Quelles sont les
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pouvoir bénéficier
de la prime de 100
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à un investissement
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être mensuelle et pour une durée d’au
moins 18 mois. La souscription à votre
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1,50%
1,80%
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Produits "branche 21"
Taux de base
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30
2,25%
1,80%
0,00%
Dialogue
Carte blanche
Concours :
Parole aux
lecteurs !
Vous êtes un client exigent ? Vous avez des idées bien précises sur le niveau de service que vous êtes en droit d’attendre
de votre banque ? Vous êtes plutôt du genre à exprimer vos
opinions ? Vous avez la plume facile ? Bonne nouvelle : le
magazine Money Expert ouvre ses colonnes à ses lecteurs.
Dans chaque édition, nous vous invitons à réagir par rapport à
un thème proposé. Le texte le plus percutant sera publié dans
la rubrique « carte blanche » du prochain numéro de Money
Expert.
Le thème de ce mois : « Que signifie pour vous la défense
de vos intérêts ? »
Inspiré(e) ? Envoyez-nous votre contribution avant le 6 janvier,
à minuit, à l’adresse [email protected]. Le comité de
rédaction de Money Expert lira attentivement tous les textes
reçus et sélectionnera celui qu’il trouve le plus intéressant.
L’auteur du texte sélectionné repartira avec un colis Vivabox
« Dégustation de Champagne ».
Le thème de ce
mois :
« Que signifie
pour vous la
défense de vos
intérêts ? »
En pratique :
a Votre texte ne doit pas dépasser
2.500 caractères (espaces compris)
a Votre texte doit nous parvenir au plus
tard le 6 janvier à minuit à l’adresse
[email protected]
a Le gagnant sera averti
personnellement.
a Le règlement complet du concours
peut être obtenu par email à l’adresse
[email protected] ou en appelant
notre Service Clients au 078 155 150
Nous vous souhaitons d’ores et déjà bonne chance et
attendons vos contributions avec impatience !
Le gagnant du numéro précédent :
M. Louis Van Roy, de Hasselt
Un conseil de qualité, c’est quoi pour vous ?
« Un bon conseiller doit en premier lieu s’appuyer sur une
connaissance et une expérience profondes des différentes
opportunités de placements qu’il propose. Il doit aussi
procéder à une analyse détaillée du portefeuille de son client,
l’informer sur l’évolution de ses objectifs personnels et de son
portefeuille à long terme.
Prendre le temps, écouter pour mieux communiquer avec le
client, rester discret et créer un environnement « sûr » font
partie intégrante d’un conseil de qualité.
Qu’attend le client lui-même de son portefeuille ? Ses exigences sont-elles réalistes ? Le client vise-t-il la croissance
ou la stabilité ? Quel est son appétit au risque ? Tout peut se
résumer un une phrase : le bon profil pour le bon client.
Autre élément important : oser regarder le passé pour mieux
appréhender l’avenir. Et pourtant, quand il s’agit d’envisager
l’avenir, les conseillers et leurs clients se retrouvent souvent
obligés de consulter une boule de cristal.
La rigueur et la simplicité peuvent également s’avérer payantes :
un bon conseiller présente clairement toutes les formules d’investissements possibles et en décortique tous les mécanismes
avec son client (même les petits caractères) pour lui proposer
au terme de l’entretien un placement dont le client sera pleinement satisfait.
C’est un processus à répéter à chaque fois, parce que chaque
client est différent. Un bon conseiller place le client au centre
de ses préoccupations et ose lui proposer des alternatives. Il
comprend lui-même les choix de son client et il y adhère. L’art
du conseil de qualité consiste à traduire des solutions financières complexes dans un langage accessible au client… sans
lui forcer la main.
Un suivi a posteriori est tout aussi important : un conseil de
qualité doit faire l’objet d’un contrôle régulier, d’une évaluation
objective et d’adaptations si nécessaire. Car un conseil rigoureux et sérieux aboutit à terme à une situation de win-win.
Tant la banque que le client y trouvent leur compte. En effet,
n’oublions pas l’objectif principal que devrait poursuivre toute
banque, au-delà de ses bénéfices : des clients satisfaits. »
31
Expertise
Portefeuille
Les fonds
d’obligations
d’Etat sont-ils
toujours un
investissement
intéressant ?
eLes fonds d’obligations
d’Etat restent sur de belles
performances.
eUne remontée des taux
affecterait leur rendement.
eIl est peut-être temps de
se tourner vers d’autres
solutions.
Ben Bernanke, le président de la Fed.
Les fonds1 d’obligations d’Etat ont constitué un
excellent placement ces dernières années. En effet,
peu d’investissements ont connu un rendement
aussi élevé. Ainsi, l’indice obligataire de référence,
le GBI European Unhedged Euro a connu une
hausse de plus de 20% sur les 3 dernières années.
Quels ont été les facteurs déterminants de cette
hausse. Et surtout, ces facteurs sont -ils toujours
d’actualité ?
Depuis la crise des subprimes et plus particulièrement depuis la faillite de la banque américaine
32
Lehman Brothers, les investisseurs se sont réfugiés
en masse vers les emprunts d’Etat de qualité (Allemagne, Etats-Unis), provoquant une forte hausse
des prix et une chute des rendements (yield). D’où
provient cette forte hausse de la demande pour les
obligations d’Etat ?
UEn moyenne, depuis 1952, les ménages américains détenaient près de 5% de leur épargne dans
des obligations d’Etat (US Treasuries). Durant les
10 dernières années avant la grande récession (de
1997 à 2007), les Américains ne détenaient plus
Evolution du yield à 10 ans du Bund allemand
Et demain ?
9
L’avenir semble par contre moins rose pour ces
produits d’investissements. En effet, la demande
élevée de ces dernières années semble en partie artificielle. La tendance pourrait donc se retourner. De
plus, même dans le cas d’un scénario économique
négatif, le potentiel de baisse des taux d’intérêts est
dorénavant très limité. Même si le taux allemand
à 10 ans devait encore diminuer de 2,3% à 1,3%
par exemple, l’impact positif sur un fonds investi
en obligations d’Etat allemand avec une duration
moyenne de 7, sera de l’ordre de 7%, tandis qu’en
même temps, le rendement sous-jacent des obligations ne sera donc plus que de 1,3% à 10 ans.
Dans le cas inverse, un retour aux niveaux des taux
d’intérêts du début de la crise économique aurait un
impact négatif sur ces fonds pouvant atteindre 10%
à 15%. Le potentiel de rendement semble donc
somme toute fort limité avec une prise de risque
non-négligeable. D’autant plus que la Deutsche
Bank ne souscrit pas à l’hypothèse d’une poursuite
de la baisse des taux. U
8
7
6
5
4
3
2
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
que 2,8% de leur épargne dans celles-ci. Suite à
la crise, ce chiffre est repassé au delà des 6%.
ULes mesures d’assouplissement quantitatif de la
politique monétaire de la FED ont également créé
une masse de liquidités excédentaires auprès
des banques, qui ne sont aujourd’hui pas très
enclines à les utiliser pour fournir des crédits à
leurs clients. Les banques ont préféré placer leurs
liquidités excédentaires à la Fed ou en Treasuries.
ULa banque centrale américaine aussi a presque
triplé la taille de son bilan qui est passé de
800 milliards de dollars au début de la crise à près
de 2.400 milliards de dollars à l’heure actuelle.
La Fed a d’ailleurs précisé vouloir maintenir cette
taille et a investi des centaines de milliards dans
les Treasuries afin de pousser les taux à long
terme à la baisse et faciliter ainsi la reprise
économique.
Cette recherche de sécurité potentielle a contribué
à pousser les taux à long terme à la baisse et ce tant
en Europe qu’aux Etats-Unis. Aujourd’hui le yield à
10 ans du bund allemand (référence obligataire dans
la zone euro dont le graphe est repris ci-dessus)
tourne autour des 2,3%, soit un plancher historique
comparé à sa moyenne à long terme de 4%.
Cette demande élevée a poussé les prix des obligations d’Etat à la hausse. Ainsi, bon nombre de
fonds investis en obligations d’Etat ont enregistré
des performances impressionnantes durant les
dernières années.
« Le potentiel de baisse
des taux d’intérêts est
dorénavant très limité »
Le saviez-vous ?
La duration est la représentation mathématique de la durée résiduelle moyenne
d’une obligation. Si le rendement
change de 1%, le cours de l’obligation
en est affecté au prorata du montant
de la duration. Par exemple, pour une
duration de 2,4, lorsque le niveau courant des taux d’intérêt retombe de 5% à
4%, le cours de l’obligation remonte de
2,4% environ. (source : Robeco)
Indice US ISM Manufacturing
Un indice sous la barre des 50 points indique une baisse de l'activité. Un indice au-dessus des 50
points indique une hausse.
65
60
55
50
45
40
35
30
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2004
2008
2009
2010
source: Thomson Reuters Datastream
33
Expertise
Portefeuille
Pourquoi ? Parce que les fondamentaux
ne justifient pas les niveaux de taux
actuels. Les taux à 10 ans américain et
allemand sont passés respectivement
de 2,66% à 2,55% et de 2,99% à 2,35%
entre le plus bas des marchés d’actions
en 2009 et actuellement. Or, l’inflation
aux Etats-Unis est passée de -0,4% à
1,1% et de 0,6% à 1,8% dans la zone
Euro. Les indicateurs d’activité économique sont aussi depuis lors passés de
niveaux extrêmement déprimés à des
niveaux conformes à une croissance
économique relativement soutenue
(voir graphique en page 33 – indicateurs
ISM), ce qui vaut aussi pour les indices
de confiance. Les marchés d’actions,
finalement, ont progressé de près de
50% pour le S&P 500 aux Etats-Unis
et de 40% pour le DJ Euro Stoxx 50 en
Europe.
Reste-t-il de la marge ?
Le prix élevé des emprunts d’Etat de
qualité et la faible probabilité d’une
poursuite de la baisse des taux ne
laissent plus beaucoup de marge pour
une plus-value supplémentaire. Par
contre, une remontée des taux d’intérêt pourrait faire rapidement chuter le
prix des obligations. Voilà pourquoi la
Deutsche Bank estime qu’à la vue des
rendements importants obtenus par les
fonds obligataires gouvernementaux, il
peut être opportun de procéder à une
prise de bénéfices sur ce type de fonds
afin d’acter la plus-value et de réinvestir
vers des placements mieux adaptés à la
situation actuelle.
« Une remontée des taux d’intérêts
pourrait faire rapidement chuter
le prix des obligations »
Quelques solutions alternatives
A) Organismes de placements collectifs (OPC)
B) Obligations structurées3
Dans la sélection DB Best Advice :
Robeco-Lux-O-Rente
DWS Flexpension (II 2019, II 2021 et II 2023)
Ce fonds offre une alternative intéressante pour ceux qui souhaitent rester
investis en obligations d’Etat mais avec
une gestion moins classique. Ce fonds
est caractérisé par une gestion très active de la duration et peut aller beaucoup
plus loin que les fonds obligataires traditionnels. Grâce à cette flexibilité, le fonds
peut donc mieux résister à une forte
variation des taux d’intérêt. Déléguez le
choix entre obligations à court et à long
terme : la sicav le fait pour vous, via son
modèle mathématique rigoureux.
Ces compartiments2 sont une solution adaptée pour les investisseurs qui
veulent faire fructifier leur épargne.
Ces compartiments à cliquets investissent dynamiquement dans des fonds
obligataires, cash, actions, marchés
émergents… Ils sont donc diversifiés
géographiquement, par secteur et sur
diverses classes d’actifs (actions obligations, cash) tandis que le capital est
100% garanti par DWS Investments S.A.
à l’échéance. Le principe de gestion de
DWS FlexPension est révolutionnaire. Il
permet de profiter des hausses éventuelles et d’automatiquement se protéger
en période d’incertitudes. De plus, grâce
à une observation méticuleuse de la
volatilité des marchés, il se protège en
période de crise boursière. Par ailleurs,
le fonds profite du mécanisme des
cliquets. En effet, DWS Investments S.A.
garantit la valeur nette d’inventaire (VNI)
la plus élevée (hors frais) durant la durée
de vie du compartiment. En pratique,
les gestionnaires du fonds observeront
mensuellement la VNI et si celle-ci est
plus élevée que le niveau de garantie
précédent, elle deviendra la nouvelle
valeur garantie.
1
Par « fonds », nous entendons les Organismes de
Placement Collectifs (OPC) dont la Deutsche Bank
assure la promotion et/ou la distribution.
2
En cas de changement de compartiment, l'investisseur devra payer la différence éventuelle entre la
commission de commercialisation des compartiments respectifs ainsi que la taxe sur les opérations
boursières de 0,50% avec un maximum de 750
euros.
34
La Deutsche Bank émet régulièrement
des obligations structurées. Actuellement, nous offrons plusieurs solutions
correspondant à différents scénarios.
Plus d’informations sur
www.deutschebank.be/produits
3
Une obligation est un titre de créance négociable
représentant une fraction d'un emprunt émis par
une société privée, par une entité du secteur public
ou pas un Etat étranger.
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Les informations techniques relatives
aux Organismes de Placement
Collectifs (OPC) présentés dans cet
article sont disponibles en fin de
magazine.
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Fiches techniques
Sicav ou fonds communs de placement
Carmignac Investissement
Capitalisation Devise : EUR
Service financier : Fastnet Belgium S.A.
Nature juridique : FCP de droit français
Carmignac Investissement est un fonds commun de placement (FCP) de droit français. Le fonds est géré de
manière discrétionnaire avec une politique active d’allocation d’actifs investis en valeurs internationales avec un
profil de risque comparable à celui de son indicateur de référence, l’indice mondial Morgan Stanley des actions
internationales MSCI AC World Free Index, converti en euros. La gestion vise à surperformer son indicateur de
référence, avec une volatilité comparable à ce dernier.
DWS FlexPension
Capitalisation Devise : EUR
Service financier : Deutsche Bank S.A.
Nature juridique : SICAV de droit
­luxembourgeois
Les compartiments DWS Flexpension II 2019, DWS Flexpension II 2021 et DWS Flexpension II 2023 appliquent
une stratégie dynamique visant à préserver leur valeur en réaménageant sans cesse le portefeuille et en alternant
en permanence en fonction de la situation sur le marché entre les éléments générateurs de plus-value et les
composants favorisant la préservation du capital. Le gestionnaire de portefeuille tente ainsi de garantir une valeur
minimale tout en permettant une participation maximale aux hausses des cours des éléments générateurs de
plus-value.
JP MORGAN FUNDS EMERGING
MARKETS EQUITY FUND
Capitalisation Devise : EUR
Service financier : JP Morgan Chase Bank,
Brussels Branch
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit luxembourgeois
Emerging Markets Equity Fund est un compartiment de la sicav de droit luxembourgeois JP Morgan Funds.
L’objectif d’investissement est de valoriser le capital sur le long terme en investissant principalement dans des
sociétés des marchés émergents. Le compartiment investira au moins 67 % du total de ses actifs (hors liquidités
et quasi-liquidités) dans des actions et des titres liés à des actions de sociétés constituées selon le droit d’un pays
émergent et dont le siège social se situe dans un pays émergent ou qui exercent une partie prépondérante de leur
activité économique dans un pays émergent, même si elles sont cotées ailleurs.
Pictet – Emerging Local Currency
Debt – (Classe P Eur)
Capitalisation Devise : EUR
Service financier : FASTNET BELGIUM S.A.
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit luxembourgeois
L’objectif de ce compartiment est de rechercher une croissance en revenu et en capital en investissant au minimum deux tiers de ses actifs totaux / sa fortune totale dans un portefeuille diversifié d’obligations et autres titres
de créance liées à la dette locale émergente. Les pays émergents sont définis comme ceux qui sont considérés,
au moment de l’investissement, comme des pays industriellement en voie de développement par le Fond Monétaire International, la Banque Mondiale, l’International Finance Corporation (IFC) ou l’une des grandes banques
d’investissement. Ces pays sont, de façon non exhaustive, les suivants : Mexique, Hong Kong, Singapour, Turquie,
Pologne, République Tchèque, Hongrie, Israël, Afrique du Sud, Chili, Slovaquie, Brésil, Philippines, Argentine,
Thaïlande, Corée du Sud, Colombie, Taiwan, Indonésie, Inde, Chine, Roumanie, Ukraine, Malaisie, Croatie, Russie.
Private Invest Absolute Return FoF
Capitalisation / Distribution Devise : EUR
Service financier : Deutsche Bank S.A.
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit belge
La gestion vise à atteindre un rendement annuel qui, sur un horizon de 3 ans, égale le EONIA, augmenté de 1 % à
2 %, par le biais d une gestion orientée vers une composition de portefeuille comprenant au moins deux tiers en
parts d organismes de placement collectif visant une performance de type « rendement absolu ». Le solde peut
être investi en parts d organismes de placement collectif qui investissent leurs actifs en actions, obligations, instruments du marché monétaire, liquidités, matières premières et des titres représentatifs du secteur immobilier au
sens large. Le compartiment pourra également détenir des obligations et des instruments du marché monétaire à
titre d investissements. Il pourra également détenir directement des liquidités à titre accessoire ou temporaire. Le
compartiment pourra utiliser des instruments de couverture de risque. Le gestionnaire peut s écarter temporairement de cette composition si les perspectives de marché le requièrent. La devise de référence du compartiment
est l euro.
Private Invest Global Trends FoF
Capitalisation / Distribution Devise : EUR
Service financier : Deutsche Bank S.A.
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit belge
La gestion est principalement orientée vers une composition de portefeuille comprenant des parts d’OPC investissant en actions à concurrence d’un minimum de 80 % des avoirs nets. Afin de réaliser une croissance du capital,
le compartiment investira principalement en OPC qui investissent eux-mêmes dans des thèmes de croissance
comme, par exemple, les marchés émergents, l’écologie, les tendances démographiques, l’infrastructure, etc.
A côté de cela, le compartiment pourra, via l’achat d’options « Put » ou « Put-Spread », consacrer un budget aux
produits dérivés à concurrence de maximum 5% de la valeur nette d’inventaire par année calendrier, et cela afin de
restreindre les risques liés aux investissements. L’achat des options « Put » (« Put Spread ») a pour but la protection
(d’une partie) du rendement du compartiment. Contre le paiement d’une prime, Private Invest Global Trends peut
acheter une protection contre (une partie) des chutes boursières.
Le solde sera principalement investi en parts d’OPC investissant en obligations, en instruments du marché monétaire, en liquidités ou en biens immobiliers. Le compartiment pourra également détenir des obligations et des
instruments du marché monétaire à titre d’investissements. Celui-ci pourra également détenir directement des
liquidités à titre accessoire ou temporaire. La devise de référence du compartiment est l’euro.
Schroder International Selection
Fund Emerging Markets Debt
ABSOLUTE RETURN
Capitalisation Devise : USD
Service financier : JP Morgan Chase Bank
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit luxembourgeois
Le compartiment a pour objectif de réaliser une croissance absolue du capital et des revenus en investissant
principalement dans un portefeuille composé d’obligations et d’autres valeurs à taux fixe ou variable émises par
des gouvernements, par leurs agences, par des organisations supranationales ou des entreprises, situés dans des
pays émergents.
Parvest Equity Turkey*
Capitalisation Devise : EUR
Service financier : Fortis Bank
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit luxembourgeois
Le compartiment Equity Turkey (qui s’appelait auparavant le compartiment Turkey) investira au moins 2/3 de ses
actifs en actions et/ou titres assimilés aux actions de sociétés qui ont leur siège social et/ou qui réalisent une part
significative de leur activité économique en Turquie, ainsi qu’en instruments financiers dérivés sur ce type d’actifs.
La partie restante, soit 1/3 de ses actifs au maximum, peut être investie en toutes autres valeurs mobilières, instruments du marché monétaire, instruments financiers dérivés et/ou liquidités, et dans la limite de 15% de ses actifs,
en créances de toute nature, et dans la limite de 10% de ses actifs, dans des OPCVM ou OPC.
ROBECO LUX O RENTE
Distribution Devise : EUR
Service financier : Fortis Bank
Nature juridique : compartiment de SICAV de
droit luxembourgeois
Le compartiment Société investira essentiellement (en d'autres termes, à tout moment au moins deux tiers de ses
actifs nets) dans des obligations et dans d'autres titres de créance et instruments (y compris des obligations à taux
flottant ou à taux fixe à courte échéance) d'émetteurs actifs dans un des États membres de l'OCDE ou d'émetteurs
(supranationaux) garantis par un ou plusieurs États membres de l'OCDE et bénéficiant d'une notation A au moins
accordée par Standard & Poor's ou par d'autres agences de notation reconnues. La Société peut investir jusqu'à
10 % de ses actifs nets en actions et autres titres ou droits de participation, jusqu'à 25 % de ses actifs nets en
obligations convertibles ou obligations liées à des options, et jusqu'à un tiers de ses actifs nets en espèces. La
duration du portefeuille sera gérée de manière active dans le but de réaliser les meilleures performances possibles.
* Le compartiment Equity Turkey s’appelait auparavant le compartiment Turkey
Informations générales
Les informations reprises ci-dessous sont d’application pour l’ensemble des sicav et fonds communs de placement repris sur ces
deux pages.
Souscription minimale : 1 part
Frais d’entrée : 1% pour DWS Flex Pension
Les prospectus d’émission, les prospectus simplifiés, les
1% pour Carmignac Investissement
annexes belges ainsi que les derniers rapports annuels
Max. 3% pour Robeco Lux-o-Rente (0% à la Deutsche Bank)
et semi-annuels des (compartiments de) sicav et fonds
Max. 5% négociables pour Private Invest Absolute Return FoF
communs de placement cités dans ce magazine sont
et Private Invest Global Trends
disponibles gratuitement sur simple demande auprès des
0% pour les autres compartiments
Financial Centers de la Deutsche Bank S.A.
Frais de sortie : 0%
Taxe de Bourse à l’entrée : 0%
Taxe de Bourse à la sortie :
Fonds communs de placement 0%
Sicav
- capitalisation 0,5% (max 750 EUR)
- distribution
0%
Précompte mobilier : - distribution
15/25% pour les sicav
- rachat
15% pour les sicav qui tombent sous l’application de la loi-programme du 27/12/2005 déterminant le régime fiscal applicable aux OPC investissant plus de 40% en créances. Pour plus d’informations, consultez le prospectus d’émission (pour les OPC belges) ou l’annexe belge au prospectus (pour les OPC étrangers).
Les OPC existent sous la forme d’une société d’investissement (SICAV, SICAF(I), PRICAV) ou d’un fonds commun de placement. Dans la plupart des cas, un OPC est créé
par une institution financière mais constitue une entité indépendante d’un point de vue juridique. Une part d’un OPC donne droit à une partie du résultat obtenu, en fonction du montant investi. Le capital investi peut également diminuer de valeur. En investissant dans un OPC, on peut étaler le risque de placement et on a plus aisément
accès aux Bourses et marchés étrangers. Les placements dans des OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’il
est possible d’obtenir une intervention d’un montant maximum de 20.000 EUR auprès de ce fonds de protection si une institution de crédit ou une société de Bourse
détient les droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et qu’elle ne peut pas les délivrer ou les rendre à leurs propriétaires légitimes. Remarquons toutefois
que la perte éventuelle de valeur d’un OPC par rapport à son prix d’achat n’est pas couverte par le fonds de protection. La Deutsche Bank S.A. perçoit du gestionnaire de
l’OPC un pourcentage de sa rémunération de gestion sous forme de rétrocessions. Plus de détails sont disponibles sur simple demande auprès de la Deutsche Bank S.A.
Instrument de créance
Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016
Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016 est un instrument de
créance
Emetteur : Deutsche Bank AG
Notation : A+ Stable / Aa3 Stable (S&P/Moody’s)1
FICHE TECHNIQUE
Marché secondaire :
Le détenteur du titre peut le vendre sur le marché secondaire. L’émetteur
ne garantit pas l’émergence d’un important marché secondaire pour
l’instrument de créance Deutsche Bank AG – BRIC ­Currencies 2016.
Devise : EUR
Taxe de bourse :
- Souscription sur le marché primaire : aucune3
- Sur le marché secondaire : 0,07% (max. 500 EUR)3
-Remboursement à l’échéance : aucun3
Souscription sur le marché primaire :
- Du 28/10/2010 au 10/01/2011
- Date d’émission et de paiement : 11/01/2011
- Valeur nominale : 1.000 EUR
- Prix d’émission : 100%
- Frais d’entrée : 2%
Précompte mobilier :
15% sur les coupons versé3. Le traitement fiscal de ce titre de créance
dépend de la situation individuelle de l’investisseur et peut être sujet à des
modifications à l’avenir.
Livraison :
Pas de livraison matérielle4
Echéance finale : 14/01/2016
db Product Profile5 : 26
Coupon :
Un coupon brut unique de minimum 0% et sans maximum, égal à 2 x
l’évolution d’un panier de devises (25% BRL, 25% RUB, 25% INR et 25%
CNY) par rapport au USD. Vous pouvez consulter l’évolution des différentes
devises dans la presse financière ou sur demande via Télé-Invest au
078 156 157.
Prospectus :
L’instrument de créance Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016
est émis par Deutsche Bank AG et ­représente des titres de créance sur
l’émetteur. Les conditions complètes régissant ces titres sont exposées
dans le Prospectus de Base du 17/05/2010 et dans les conditions
définitives du 28/10/2010. Toute décision d’investissement doit être
fondée sur ces documents.
Distributeur : Deutsche Bank S.A.2
Code ISIN : XS0460642167
Paiement du coupon :
À l’échéance : 14/01/2016
Remboursement à l’échéance :
Droit au remboursement par l’émetteur de 100% de la valeur nominale à
l’échéance.
Rendement brut annuel :
Minimum -0,40% (frais d’entrée de 2% inclus). Pas de maximum.
Date d’observation initiale : 10/01/2011
Date d’observation finale : 11/01/2016
Avis important :
Deutsche Bank AG – BRIC Currencies 2016 ne peut être offert, vendu ou
livré aux États-Unis ni sur leur territoire, ni à un résident américain.
Commission :
Deutsche Bank S.A. reçoit de l’émetteur une commission calculée sur la
base du prix d’émission, qui varie généralement entre 0,50% et 4% de la
valeur nominale, afin de couvrir le risque du marché suite au fait que le
prix des instruments de créance structurés peut varier pendant la période
de souscription (voir prospectus pour plus de renseignements/détails).
1 Cette notation est valable au moment de l’impression de ce magazine. Les agences de notation peuvent modifier cette notation à tout moment. Si la notation devait fortement baisser
entre l’impression de ce magazine et la fin de la période de souscription, Deutsche Bank S.A. en informerait les clients ayant déjà souscrit à ce produit. Deutsche Bank S.A. ne s’engage
pas à informer les clients d’une éventuelle modification de notation, significative ou non, qui aurait lieu une fois la période de souscription écoulée.
2 Deutsche Bank S.A. n’intervient qu’en tant qu’intermédiaire pour la distribution des titres émis par l’émetteur. Deutsche Bank S.A. n’est pas l’offreur, ni l’émetteur au sens de la
législation belge sur les offres publiques d’instruments de placement.
3 Traitement fiscal conformément à la législation en vigueur.
4 Les informations relatives à la tarification des comptes­titres sont disponibles dans les Financial Centers de la Deutsche Bank et sur www.deutschebank.be. Les investisseurs qui
souhaitent placer des titres sur un compte auprès d’une autre institution financière sont tenus de s’informer au préalable des tarifs en vigueur.
5 Le DB Product Profile est une notation, propre à Deutsche Bank S.A., du risque inhérent à un produit d’investissement. Il est représenté par un chiffre allant de 1 pour les produits les
moins risqués à 5 pour les produits les plus risqués. Cette notation se base sur différents critères objectifs et mesurables : le risque en capital, la catégorie d’actifs, le rendement prévu
contractuellement, la stabilité de la devise, la durée, la volatilité du cours, la notation de l’émetteur par des agences de notation, ainsi que la diversification. Elle ne tient toutefois pas
compte du risque de liquidité (voir ci-dessus). Pour tout complément d’information, rendez-vous sur www.deutschebank.be.
6 Le DB Product Profile accordé a été déterminé au moment de l’impression de ce magazine. S’il change entre l’impression de ce magazine et la fin de la période de souscription,
Deutsche Bank S.A. modifiera la brochure. Si, par suite d’une telle modification pendant la période susmentionnée, le produit ne correspond plus au profil d’investisseur de la personne
ayant déjà souscrit ce produit, Deutsche Bank S.A. contactera l’investisseur concerné. Deutsche Bank S.A. n’aura pas cette obligation en cas de changement du DB Product Profile
attribué après la période de souscription.
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U Investissez progressivement à partir de 100 euros par mois
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U Recevez une prime de 100 euros
Plus d’infos sur www.deutschebank.be ou au 078 155 225
Action sous conditions. Règlement disponible sur notre site internet, dans nos Financial Centers ou au 078 156 157. Investir dans des fonds comporte certains risques.
Par conséquent, commencez toujours par étudier le prospectus simplifi é et l’annexe belge pour les fonds étrangers avant d’effectuer un achat.
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