Editos - Sortie Ouest

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D.T MD
LA POSTE
N° 034/15/014 AN
34 VENDRES BEZIERS PPDC
Journal n°1
Théâtre sortieOuest
Domaine de Bayssan le haut
Route de Vendres
34500 Béziers
1
2
3
5
Crédit photo :
4
septembre 2015
1 / Macbeth : Patrick Berger
2 / Le monologue du nous : Henry Darger
3 / Kiss and cry : Marteen Vanden Abeele
4 / Trio Rotem Sivan Trio
5 / Tauberbach : Chris Van der Burght
6 / Mozart en cavale : Adrien Vecchioni
7 / Aufgang : Yann Orhan
8 / Ambrose Akinmusire : Emra Islek
9 / Marx matériau : Albane Romagnoli
Editos
sortieOuest fait résonner la culture dans tout
le Biterrois. Sur le domaine de Bayssan, mais
aussi dans les communes traversées par le
Grand Tour !, ces représentations qui viennent
au plus près de vous. Profitez-en !
Philippe Vidal / Président de sortieOuest
L’enthousiasme, c’est le mot qui nous anime
pour cette nouvelle saison. Enthousiasme
renforcé par le soutien fidèle et déterminé
du Conseil départemental, de son président,
Kléber Mesquida et de son vice-président
à la culture, Renaud Calvat. Face aux défis de
notre monde, préférons les actes aux rodomontades, la quête de la beauté aux complaisances.
La pureté n’existe pas. La grâce, oui. Métis par
essence, l’art prend le risque de la vie contre
le rance et l’étroit, contre ce qui se fige et
meurt. Ouvrons les fenêtres pour laisser venir
le bruissement du monde dont sont faites les
créations que nous vous proposons. Nos dieux
sont Shakespeare ou Molière et nous ne les
considérons pas comme des monuments.
Ils parlaient au présent du temps présent et
nous ne les embaumons pas. « Penser n’est pas
obscène, ressentir n’est pas interdit, jouir n’est
pas un vilain mot, aimer envers et contre tout »,
tel est le message que nous retenons de ces
Classiques qui nous plaisent épanouis et
vivants, pertinents aujourd’hui comme hier. Et
pas de niaiserie, s’il vous plaît ! De l’âpre, du
fort, du profond, du fécond !
La création contemporaine reste au cœur de
notre programmation. Donner du sens et des
nuances à la complexité, offrir du plaisir à nos
sens et chercher ensemble ce qui nous réunit
plutôt que ce qui nous divise, tel est notre credo.
De la fougue ou du recueillement mais toujours du mouvement, de l’audace, de l’inédit,
du savoureux.
Danse, musique, théâtre, les arts d’aujourd’hui
s’interpellent et se répondent, leurs frontières
s’ouvrent pour inventer, pour enfanter les
sensations de notre futur.
Laissons de la place aux échos et aux résonnances.
Partageons nos expériences et nos surprises
comme la table et le couvert. Nos valeurs sont
le respect de la vie, le droit de rêver, de grandir,
d’être humain. Entrez, vous êtes ici chez vous.
Jean Varela, directeur de sortieOuest
Portrait
Entretien
avec Bernard Noël
Crédit photo : P.O.L
«Tant que vivra le monde, et l’amour et l’envie,
Vivront ces vers, et ces vers-là donnent la vie ! »
Shakespeare, Sonnet XVIII, trad. Charles Garnier.
François Rodinson - Monologue du Nous est
un titre paradoxal. Dans un monologue, on se
dit que c’est « un » qui parle, un soliloque qui
s’adresse. Et là, c’est « nous » ?
Bernard Noël - Bien sûr que le côté paradoxal du
titre - et de mon entreprise - a été présent d’emblée.
Cependant, le plus difficile, et que j’ai longtemps
cru insurmontable, tenait dans ma volonté de
commencer toutes les phrases par « Nous ». J’ai
tenté la chose à plusieurs reprises, sans jamais
dépasser deux ou trois pages, puis tout à coup en
juillet 2014, la reprise de la première page a déclenché
l’enchaînement naturel du récit...
suite à la trahison de leurs chefs et plus généralement parce que l’adversaire, disons le Capital,
finit toujours par l’emporter... De quelque côté
que l’on se tourne, la victoire de la finance ne fait
plus aucun doute, tout comme la complicité des
politiques dès qu’ils sont au pouvoir, donc mieux
vaut ne pas se faire d’illusions. Quelle action
révolutionnaire est-elle possible dans ces conditions ? Uniquement des actes désespérés, soit par
les armes, soit par l’ironie. C’est ce que font mes
Nous en tuant quelques banquiers, le directeur
d’un laboratoire pharmaceutique, le dirigeant
d’un grand syndicat jaune... Aucun de ces actes
n’apporte une solution, simplement c’est à chaque
fois une petite leçon donnée à l’ennemi tout en
sachant bien que cela ne changera rien, juste un
oppresseur de moins, mais ils sont innombrables.
Quant à l’ironie, elle a pour instrument un journal,
« Le Coco rit haut » qui démonte le système et ses
effets, là encore sans illusions...
Après « je », « tu » , « il » et « vous» vous poursuivez
votre travail sur les pronoms avec le « nous ».
Vous placez d’emblée ce Monologue du Nous
sous le signe de la lutte. Ça commence par une
manifestation de solidarité avec des grévistes,
un classique de l’action militante. Pourquoi ce
choix ? Pardonnez-moi si je fais le naïf mais
« nous » ç’aurait pu être l’amour (deux c’est déjà
« nous », non ?), la commune agraire, le rapport
à l’altérité, l’humanitaire ou l’accueil des sans
papiers à la Cimade, que sais-je... Pour vous,
« nous » commence sur les pavés, sur les barricades ?
Vous m’apprenez que mon monologue commence
par une manifestation de solidarité avec des
grévistes, merci... Oui, bien sûr, j’aurais pu choisir
l’amour ou je ne sais quel autre sujet, il se trouve que
j’ai choisi d’abord d’affronter un certain pronom
personnel en lui faisant jouer un rôle excessif.
Le seul intérêt de mon entreprise, si elle en a un,
c’est de tenter de construire avec ce Nous répété
en tête de toutes les phrases une espèce de grille
d’écriture dont le fonctionnement m’intrigue
beaucoup par son efficacité... Le problème est
que je constate cette efficacité en même temps
qu’elle porte mon écriture, et que je n’arrive pas
à l’analyser. Une chose équivalente s’est produite
avec les autres pronoms personnels, d’où à chaque
fois la surprise d’un mouvement parcourant tout
le monologue et dirigeant sa composition sans
que je puisse le maîtriser...
Vous avez écrit des pièces de théâtre et plusieurs de vos textes qui n’ont pas été écrits
a priori pour le théâtre ont été adaptés pour
la scène. Vos textes donnent un grand rôle
au corps et à la sensation. Á la parole aussi.
Quel est votre rapport intime avec le théâtre ?
Dans le Monologue du Nous, on pense à Brecht
lorsque vous évoquez la destruction de
l’illusion mais lorsque vous parlez de sacrifice
ou de cérémonie, on pense à la tragédie grecque
et à Antonin Artaud. Où vous situez-vous ?
Sur quelle scène jouez-vous ? Vous avez écrit
« l’Espace du poème ». Y a- t-il selon vous un
endroit où l’espace du poème et l’espace du
théâtre communiquent ?
Entre vingt et quarante ans, je suis souvent
allé au théâtre. Ensuite, vivant à la campagne,
presque plus jamais. C’est aussi vers quarante
ans que j’ai fait de l’écriture ma seule activité.
Ce sont surtout deux de mes monologues : La
Langue d’Anna et Le Syndrome de Gramsci qui
ont été beaucoup représentés. Quel est mon
rapport avec le théâtre ? Je n’en sais rien. Je
pense plutôt dans ce cas à mon rapport avec des
hommes de théâtre et principalement Charles
Tordjman. J’étais persuadé que je n’écrirais
jamais pour le théâtre, et c’est Lui qui m’a amené
à le faire. Je n’ai pas une écriture pour le théâtre
et une autre pour le poème, le roman, l’essai. J’ai
pratiqué ces divers genres pour brouiller leurs
cadres tout en constatant qu’il n’y a qu’une écriture, celle qui entraîne un glissement du genre
vers le mouvement que j’ai évoqué plus haut, et
qui m’échappe. Dès que je m’engage dans l’écriture,
une langue commence à s’articuler qui est sans
doute le double de la langue courante, mais un
double très physique, producteur d’une matière
verbale en train de prendre forme en produisant
le récit en cours, ou la pensée qui peu à peu se
formule... Cela ne va pas sans le développement d’un espace, différent d’un écrit à l’autre et
cependant toujours semblable dans ses dimensions... et tous ces espaces évidemment
communiquent. Et je suis désolé de ne pouvoir
faire sentir combien tout cela est concret...
« Nous, ici, faisons silence et contemplons un
abîme », dit Nous dans les premières pages
de votre Monologue du Nous. Et il semble
que ce soit bien au bord d’un abîme que vous
nous suspendiez avec ce texte. Comme si la
violence révolutionnaire ouvrait cet abîme.
Comme si toute lutte sociale, tout combat pour
une société plus juste et plus fraternelle était
nécessaire et légitime mais que, confrontée à
la violence physique, celle qui blesse et tue,
cette lutte se perdait en route en rendant coup
pour coup. Au-delà de la loi du talion, il ne
reste plus que le sacrifice ? De quoi est fait cet
abîme ?
L’affirmation la plus radicale de mes personnages
est de dire qu’ils sont révolutionnaires mais
qu’ils ne croient pas à la Révolution. Tout individu conscient est obligé aujourd’hui de situer
son action en fonction d’un échec que tout le
passé affirme : l’échec de toutes les révolutions
On connaît le célèbre titre du poème de
Gabriel Celaya, « La poesia es un arma cartaga
de futuro » (La poésie est une arme chargée
de futur). Êtes-vous d’accord ? Vous considérez-vous comme un auteur engagé ? Alors que
nombreuses sont les forces qui ringardisent
la notion d’engagement, cette définition a-telle encore un sens pour vous. Est-il encore
possible de résister ?
Quand j’ai réuni mes textes politiques pour
composer le tome II de mes œuvres chez
P.O.L.*, j’ai eu la surprise d’un volume de plus
de 680 pages, et cependant je ne me considère
pas comme un auteur « engagé » car je n’ai
jamais adhéré à un parti. Au départ, j’ai simplement
été surpris de m’apercevoir que le monde libre,
qui se vantait par rapport à celui de l’Est d’être
sans aucune censure en avait inventé une, que
j’ai désignée en créant le mot « sensure », qui
signifie « privation de sens », bien plus efficace
que la privation de parole car moins repérable
et contraignante. Cette « sensure » n’a cessé
de m’occuper ensuite et j’ai essayé d’analyser
et de dénoncer la « castration mentale » qu’elle
opère très efficacement au moyen des media, et
d’abord du plus populaire qui est la télévision. Il
est terrible de s’apercevoir que la partie la plus
humaine de l’homme, c’et-à-dire son système
mental, est également celle qui est la plus fragile
dès lors que l’on dispose du moyen de l’occuper (de l’occuper au sens fort, au sens militaire)
par un flot d’images... C’est de l’œil qu’est née
notre vie mentale, et c’est par nos yeux qu’on
peut s’emparer d’elle... Le meilleur moyen de
résister est de prendre conscience de la qualité
physique, de la qualité corporelle de ce qu’on
nomme « l’esprit » pour sentir l’occupation et
la refouler... La notion d’engagement est en
effet ringardisée, tout comme celle de Révolution :
il s’agit de les rendre impensables et d’en
débarrasser ainsi le pouvoir. Résister dépend
d’une prise de conscience... désespérée.
Les quatre voix de ce Monologue du Nous
avouent leur désespoir. Elles le revendiquent
même. Mais elles ne se plaignent pas et il
n’y a rien là-dedans de sombre. Il y aurait un
désespoir majeur ? Un désespoir moteur ? Un
désespoir créateur ?
Vous savez que tous les mouvements révolutionnaires sont partis au combat au nom d’un avenir
meilleur. En dépit des échecs successifs, on a pu
croire aux acquis sociaux presque jusqu’à la fin
du siècle passé, les luttes avaient au moins eu cet
effet là. La volonté de détruire ces acquis habite
le patronat depuis leur institution par le Conseil
national de la Résistance, en 1945. Et cette volonté est en train d’y réussir avec la complicité d’un
socialisme qui a toujours trahi les valeurs dont
il se réclame. Ce constat est sans espoir depuis
que l’Europe s’est rangée du côté de la finance.
Dans cette situation, je crois que le désespoir, et
lui seul, permet de faire table rase de toutes nos
illusions révolutionnaires afin de repenser le
combat face à une réalité où l’idéal n’a plus aucune
place...
* Les monologues de Bernard Noël (le Elle, le Tu et un
Iljetu, sont inédits) précédés du roman Les Premiers
Mots qui les annoncent, seront publiés aux éditions
P.O.L. en octobre 2015 sous le titre de « La Comédie
intime ». Ce sera le tome IV de ses œuvres.
Monologue du Nous / Création à sortieOuest
du 6 au 9 novembre
Cidalia Da Costa, costumière du Monologue du Nous
Il pleut à verse ce jour-là sur les puces de Clignancourt mais à l’intérieur du
marché Dauphine, l’un des nombreux marchés d’antiquaires des Puces, couvert,
nous sommes à l’abri. J’ai pris rendez-vous avec Cidalia da Costa, la grande
dame du costume de théâtre, réputée et désirée en France comme à l’étranger.
Pas évident de la coincer pour la faire parler de son métier. Elle est entre deux
spectacles. Entre la Cartoucherie de Vincennes où, hier, c’était la première d’une
pièce traduite de l’anglais, Le Bizarre incident du chien pendant la nuit, mise en
scène par Philippe Adrien et Neuchâtel, en Suisse, où elle doit créer les costumes
d’une Cerisaie mise en scène par Gilles Bouillon.
Elle m’a accordé un moment d’entretien, à l’heure du déjeuner, aux Puces, car
elle doit rendre des costumes qu’on lui a prêtés et qui n’ont pas servis puis acheter
dans une autre boutique une robe qu’elle avait repérée pour le personnage de
Varia dans La Cerisaie.
Je l’attendais en séchant et en savourant ma chance. Il y a quelques mois, je
l’avais croisée au Théâtre Antoine, chez Ruquier, boulevard de Strasbourg.
Elle avait inventé des costumes pour Pierre Arditi et Daniel Russo dans une
pièce fine et piquante de Jean-Claude Grumberg sur l’absurdité des injonctions
identitaires, L’Être ou pas, mise en scène par Charles Tordjman. En soufflant un
peu après la première, elle m’avait raconté son hiver 79 à Kaboul. Elle était jeune
styliste à l’époque et il était courant de faire réaliser ses créations en Afghanistan
où, évidemment, c’était moins cher. Et la destination était à la mode. Mais les
Soviétiques avaient décidé d’envahir le pays et, pendant que ça mitraillait autour
des lieux du pouvoir, Cidalia s’était retrouvée coincée dans un hôtel pour hippies,
protégée du rude hiver afghan par d’épaisses couches de peaux de mouton
retournées et brodées. Pendant un mois, toute la ville fonctionnait au ralenti
mais Cidalia n’avait pas perdu son temps et avait même trouvé du travail. Au bar
du très chic hôtel Intercontinental qui surplombe Kaboul, elle avait sympathisé
avec un créateur libanais. Celui-ci l’avait engagée pour réaliser sa collection.
Quand ça s’était détendu et que l’aéroport avait rouvert, elle avait repris
l’avion pour la France comme si de rien n’était, aventurière tranquille, avec dans
ses valises sa propre collection et dans les poches, la généreuse rétribution du
Libanais. Elle était de retour à Paris juste à temps pour présenter sa collection.
Cidalia apparaît dans l’atmosphère feutrée du marché Dauphine, avec cette
concentration apaisée qu’on peut voir souvent, au théâtre, chez ceux qui doivent
tordre le temps pour y faire rentrer leurs plannings impossibles. « J’ai la tête en
compote », me dit-elle, mais ça ne se voit pas. Nous nous attablons au bistro
« Le Gastropode » et devant une longe de porc à la purée de céleri, elle se
raconte un peu. Autour de nous, on parle américain. Cidalia évoque ses parents
portugais fuyant la dictature de Salazar. Puis sa jeunesse où, pour payer ses études
en Arts plastiques à Paris VIII-Vincennes, elle est engagée dans l’atelier de Marie
Gromtseff – les ateliers étaient souvent tenus par des Russes blancs - qui réalisait
des costumes chamarrés pour le grand Erté. « Il était axé sur le mouvement et
la couleur. En tournant, les danseurs transformaient les couleurs. Il avait toute
une théorie là-dessus. »
Elle aime le travail d’équipe et regrette que l’on ait de moins en moins de temps
pour les répétitions, les budgets s’amenuisant. Je connais son tact pour se
confronter aux ego des acteurs. Elle est toujours à l’écoute et ne passe jamais
en force. Elle me parle de son mari berbère et des deux enfants de son quartier,
Belleville, qu’elle a élevés comme les siens.
Ce samedi maussade est maintenant bien avancé et je l’accompagne sur une
coursive du marché à la boutique Falbalas, antre magnifique où officie impeccablement stylée, Françoise de Fligué. Celle-ci coud un col de fourrure sur une
veste cintrée. Après un moment de frayeur – la robe souhaitée aurait disparuFrançoise la retrouve et la déploie devant une Cidalia qui respire à nouveau,
satisfaite. J’admire son goût toujours très sûr, son choix juste, évident. Puis
Cidalia cherche encore. Sans notes, tout est dans sa tête. Les deux femmes,
deux bosseuses tout en douceur, fouillent dans les dentelles et les brocards. Je
les quitte sur la pointe des pieds.
François Rodinson
d’événements culturels
de choix sur tout le territoire
de prix abordables
Les Thés des curieux
Ce n’est pas une école, ce n’est pas un théâtre,
un laboratoire ou un atelier, mais tout cela
réuni pour le bonheur des curieux. Bien sûr, les
Thés des curieux sont d’abord une généreuse
infusion de savoirs et de savoir-faire. Encore et
toujours : des pratiques, des tours de mains, des
sciences. Ces rencontres ludiques sont organisées
par Jean-Pierre Rose, historien de l’art accompagné
d’invités spécialistes.
Nature et patrimoine : Une anthologie
jeudi 15 octobre 14h30
Avec Jacques Bruyère et Jean-Pierre Rose
Rencontre avec Jacques Bruyère, écrivain-journaliste, créateur de la page « Nature et Patrimoine »
qui enchanta les dimanches des lecteurs du
quotidien Midi Libre durant plus de vingt ans.
A l’occasion de la publication d’une sélection de
textes choisis parmi les 850 parus.
Mozart
en cavale
Du 9 au 11 octobre 2015 / Musique de chambre
Comment faire naître d’autres couleurs, d’autres
senteurs, d’autres matières. La suite de nos expériences. Travaux pratiques, conférence, projections.
Les conférences
Organisé par l’Association des œuvres sociales du
Saint-Ponais et l’Agence départementale de la
solidarité sud Biterrois et la Direction enfance et
famille du biterrois.
Jeudi 5 novembre 20h : Deux sociologues seront
présentes pour animer le débat : Christelle Hamel,
professeur à l’Université Paris VIII et Suzana Dukic.
Programme complet en septembre
Les apartés
Dans un programme du Théâtre de l’Odéon datant
du XIXè siècle, acheté chez un bouquiniste, nous
avons trouvé intéressant qu’il était fait mention de
rencontres pédagogiques. Cette idée nous a séduit
et nous avons décidé de créer un rendez vous
régulier : « Les Apartés ».
Á l’occasion d’un spectacle, une rencontre est
organisée pour aborder un point d’histoire ou
d’esthétique du théâtre. Une causerie, des images
et des vidéos, un échange avec le public autour de
Shakespeare, Molière, Büchner, Mozart, le théâtre
ou le cinéma, seront proposés par des professeurs
de l’université Paul-Valéry de Montpellier en
entrée libre.
Trio Rotem Sivan
Vendredi 2 octobre 21h
Samedi 3 octobre 21h
Jazz club
Avec Rotem Sivan, guitare / Haggaï Cohen Milo,
basse / Mark MacLea, batterie / Concert organisé
en partenariat avec Culture Jazz
Né à Jérusalem, l’ange blond a conquis New York
et séduit le monde entier de Montreux à Sonora.
Rotem Sivan c’est un style et un son inimitable, un
jazz innovant. Sa guitare n’est pas un fusil mais
un instrument limpide, une source enchantée.
L’air de ne pas y toucher, accompagné de son trio,
il délivre la musique de vies intérieures colorées.
Ça paraît tout naturel et c’est d’une sophistication
inouïe. Ses deux premiers albums, Enchanted Sun
et For Emotional Use Only sont juste nécessaires.
Les règles du savoir-vivre
dans la société moderne
Tournée organisée en médiathèques,
en partenariat avec La Médiathèque
départementale
Vendredi 6 novembre 19h
Samedi 7 novembre 20h
Dimanche 8 novembre 17h
Lundi 9 novembre 21h
Durée 1h30 environ
A partir de 15 ans
Eglise Saint Félix
Théâtre
création
Qu’y a-t-il au-delà des slogans révolutionnaires ?
Y-a-t-il des violences légitimes face aux systèmes
qui broient ? Où sont passées les utopies ?
Bernard Noël ne brosse personne dans le sens du
poil et ne se paye pas de mots. Elles sont quatre
sur la scène, un chœur lumineux qui nous questionne : quelle cause peut justifier notre sacrifice ?
Quel « nous » dans une société qui se noie dans le
« moi je » ? Il y a le pouvoir des mots mais aussi
ses limites face à l’abîme. Il y a un vertige troublant.
Poignant.
Avec le Professeur Gutt et Jean-Pierre Rose
L’impact des violences conjugales sur les enfants
Jeudi 5 et vendredi 6 novembre
Charles Tordjman et sa compagnie posent leurs
valises à Bayssan pour une résidence de trois ans.
Un théâtre du plaisir et de l’engagement. Pour notre
bonheur.
Texte de Bernard Noël / Mise en scène Charles
Tordjman / Avec Camille Bernon, Julie Pilod, Marie
Rémond, Alizée Soudet / Production sortieOuest,
Compagnie Fabbrica
Science amusante 1 : Chimie
jeudi 19 novembre 14h30
Dans la continuité des conférences des Chapiteaux
du livre présentées en septembre, sortieOuest et
la Médiathèque départementale vous proposent
tout au long de la saison des conférences en
entrée libre avec différents professionnels.
Monologue
du Nous
Aparté
Samedi 7 novembre 18h
En présence de Bernard Noël
6
Attention, magie ! Dans l’esprit de la Schubertiade de la saison passée, Mozart en cavale veut être
comme un banquet. Tout un week-end, du vendredi soir au dimanche soir pour se régaler, en
musique de chambre, des plus belles pages du génie précoce de Salzbourg. Un parcours, des
découvertes, nul besoin d’être initié pour cette immersion pleine de surprises. Des lieux privés
ouvriront leurs portes pour l’évènement. Ravissement et volupté en perspective.
Mozart polymorphe
Michael Wilmering, baryton (de la Chapelle
Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles)
Vendredi 9 octobre à 21h :
Concert à l’Eglise Saint-Félix
Sonate pour piano seul / Quatuor pour flûte et
cordes / Quintette pour cor et cordes / Divertimento
pour cordes / Trio pour piano, clarinette et alto
(« des Quilles »)
Avec le Quatuor Van Kuijk : Raphaël Sévère,
clarinette / Gustav Villegas, flûte /
Julien Desplanque, cor / Nathanaël Gouin, piano
Un concert d’ouverture en fanfare, où le génial
Mozart s’exprime dans une multitude de formes.
De la sonate au trio, en passant par le quintette
et le quatuor, Mozart a mélangé avec génie les
effectifs, et réussi à sublimer les voix de chacun
des instruments convoqués. Pour cette soirée de
chaises musicales, rendez-vous avec le piano, le
cor, la flûte traversière, la clarinette et le quatuor
à cordes.
Mozart : sa vie,
son chef-d’œuvre
Samedi 10 octobre à 11h
Rencontre en musique :
Répétition commentée par les artistes autour
du Quintette de Mozart pour clarinette et cordes
Avec Raphaël Sévère et le Quatuor Van Kuijk
S’il ne fallait retenir qu’une page de sa musique
de chambre – en excluant la désormais trop célèbre
Petite musique de nuit – ça serait celle-ci : le Quintette
pour clarinette et cordes. Raphaël Sévère et le
Quatuor Van Kuijk nous délivrent ici les ficelles et
les clés d’écoute de la partition de Mozart, pour
en saisir toute l’émotion. Place à la magie, sous le
chapiteau de sortieOuest.
Concert en quintette
et parcours musical au
château
Samedi 10 octobre à 17h / Lieu surprise
Rendez-vous à 17h à sortieOuest avec un panier
pique-nique pour un voyage au cœur de Mozart
et du patrimoine
Programme détaillé à venir …
Avec : Quatuor Van Kuijk / Raphaël Sévère, clarinette
Gustav Villegas, flûte / Julien Desplanque, cor
Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch, soprano
Katarina Van Droogenbroeck, mezzo-soprano
/
/
/
/
Après une écoute suspendue au son de la clarinette,
place au mouvement lors d’un parcours en trois
étapes. Notre troupe de chanteurs et instrumentistes fait se succéder solos, grands airs d’opéras,
quatuors à cordes…et quelques surprises, en clin
d’œil à Wolfgang.
Mozart, ses grands
airs & déjeuner aux
Carrasses
Dimanche 11 octobre à 11h
Avec : Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch,
soprano / Katarina Van Droogenbroeck, mezzosoprano / Michael Wilmering, baryton (de la
Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles)
Rencontre en musique :
L’art vocal de Mozart commenté par trois chanteurs de
la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles .
Résidents d’une prestigieuse école, Julia Szproch,
Katarina Van Droogenbroeck et Michael Wilmering
témoignent du travail de jeune chanteur et de
l’apprentissage de la technique vocale, notamment
celle du chant mozartien. Cette rencontre explore
aussi la dimension théâtrale des personnages
parfois fantasques de Mozart.
Dégustation des vins du domaine à l’issue du
concert. Déjeuner au Château Les Carrasses sur
réservation uniquement 04 67 00 00 67
Du théâtre à l’Opéra
Dimanche 11 octobre à 17h
Extraits des Noces de Figaro, Cosi fan tutte,
La Clémence de Titus, La Flûte enchantée
Avec : Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch,
soprano / Katarina Van Droogenbroeck, mezzosoprano / Michael Wilmering, baryton (de la
Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles)
Notre cavale se termine par une grande soirée
lyrique. Les trois chanteurs de la Chapelle
Musicale prendront tour à tour – en solos, duos
et trios – les rôles de Suzanne, Figaro, Sextus,
Papageno, Pamina … et feront entendre, entre
autres, les plus beaux airs du librettiste Da Ponte,
dont la collaboration fructueuse avec Mozart
a produit des monuments de l’opéra : Cosi fan
tutte, Les Noces de Figaro…
Aparté :
Vendredi 9 octobre à 19h Avec Gérard Lieber
Concert produit et programmé dans le cadre de La Belle Saison
/ La Belle Saison est soutenue par la SACEM
Sonate à deux pianos
Samedi 7 novembre à 21h
Musique de chambre / création / Lieu surprise
Ravel, Rhapsodie espagnole à 4 mains
Mantovani, sonate à deux pianos
(Création mondiale, en présence du compositeur)
Stravinsky, concerto pour deux pianos solo
Dukas, L’Apprenti sorcier
(Transcription pour deux pianos)
Avec : Jean-François Heisser, piano / Jean-Frédéric
Neuburger, piano
La création de cette sonate s’inscrit avec
détermination dans une certaine tradition à
Béziers et sa région. Nous pensons à Gustave
Fayet, grand propriétaire viticole à Castelbon
de Beauxhostes, un mécène inspiré qui utilisa
les Arènes de Béziers pour des représentations
théâtrales et lyriques tout en favorisant
l’enseignement des arts et leur rayonnement.
Un certain esprit généreux et enthousiaste qui
met les équipements publics au service du public.
C’est celui qui nous anime.
Concert produit et programmé dans le cadre de La Belle Saison
La Belle Saison est soutenue par la SACEM
Tauberbach
Vendredi 6 novembre à 21h
Samedi 7 novembre à 20h
A la Cigalière, Sérignan
Durée 1h30 / Tout public
Danse
Münchner Kammerspiele, les ballets C de la B et
Alain Platel / Conception et mise en scène Alain
Platel / Créé et joué par Bérengère Bodin, Elie
Tass, Elsie de Brauw, Lisi Estaras, Romeu Runa,
Ross McCormack
Production : Münchner Kammerspiele et les ballets
C de la B
Devise des ballets C de la B : « Cette danse s’inscrit
dans le monde, et le monde appartient à tous ».
C’est dit. Qui n’a jamais vu un spectacle de Platel
doit combler cette lacune. Les autres savent (ceux
qui ont vu Coup fatal la saison dernière, par
exemple). Platel est une déflagration qui transforme.
Il s’inspire ici de : 1) Une femme qui vit et travaille
dans une décharge de Rio. 2) Des sourds (tauber,
en allemand) qui chantent des cantates de Bach.
La dignité dans l’impossible. Puissance et vitalité.
Au-delà des mots.
«Avec cette dernière création, Alain Platel met une
nouvelle fois à nu l’humanité face à ses démons
intérieurs sans cesser pour autant de la magnifier.»
Élise Ternat , Les 3 coups.
Spectacle co-accueilli avec La Cigalière
scène associée de Sérignan
Théâtre
Samedi 3 octobre à 17h / Creissan
Vendredi 16 octobre à 18h30 / Lespignan
Vendredi 13 novembre à 18h30 / Maraussan
Dimanche 6 décembre à 17h / Lieuran Cabrières
Durée 1h / A partir de 14 ans
De Jean-Luc Lagarce (Ed. Les Solitaires Intempestifs,
1995) / Avec Luc Sabot et Catherine Vasseur
Production Compagnie Nocturne
Ça se fait ou ça ne se fait pas ? Où est le sens de
la mesure ? Jean-Luc Lagarce s’amuse avec une
tendresse attentive des infinies déclinaisons de ce
que l’on appelle les convenances. Car, fussentelles gravées dans le marbre, souvent les normes
varient et même chez les plus intégristes des
intégristes, au fond, tout s’interprète, tout est
relatif. Avec un sérieux qui devient finalement très
drôle, notre couple d’archivistes à blouses blanches
trouve le ton juste avec leur petit théâtre d’experts
itinérants.
Jazz au jardin
d’automne
Festival européen
du film d’éducation
En partenariat avec le CEMEA et la Médiathèque
départementale
8
Jeudi 15 octobre
De 9h30 à 11h30 pour les écoles élémentaires.
De 13h à 15h pour les collèges et les lycées.
A partir de 19 h pour tout public.
Quand le cinéma parle d’éducation, il fait œuvre
d’intérêt général. Parce que le cinéma regarde le
monde et nous le fait voir, parce qu’avec lui l’autre
se rapproche, parce qu’il ose révéler l’inconnu.
Le cinéma, c’est une fenêtre ouverte, un écran
qui se traverse et crée des liens dans le partage
d’émotions reçues. Il favorise l’échange de points
de vue, nous touche et questionne nos certitudes
dans la confrontation des regards et des goûts.
Chaque séance est accompagnée d’une démarche
de sensibilisation et de découverte.
19h : Le Garçon Boucher de Florian Geyer
2013 / France / 52 min
Miguel, 17 ans, tombe dans la boucherie après un
échec scolaire. Fils d’immigré portugais, petit, la
dégaine des quartiers, il est à l’opposé de l’image
que cherchent à perpétuer les bouchers.
Au programme de son apprentissage, à l’école
et en boutique, une rééducation quasi militaire :
port de l’uniforme, polissage du langage, maîtrise
de l’anatomie et des techniques de découpe.
Miguel devra surmonter différentes épreuves pour
être admis dans les ordres de la corporation. Échec
ou réussite, sa métamorphose est en marche.
Ambrose
Akinmusire
«The Imagined Savior is Far Easier to Paint»
Dimanche 18 octobre à 17h
7
Avants scène du conservatoire
Vendredi 16 octobre à 19h
Eglise saint Félix de Bayssan / entrée libre
MAO «Mieux appréhender l’ordinateur»
Jean Luc Lehr, guitare basse et Sébastien
Germain, piano jazz
L’ambition de ce projet, produire une musique vivante
en utilisant l’outil informatique dont chacun
des musiciens sera équipé. Le projet musical
correspond au thème des musiques de films, la
matériel sonore sers issu des grandes œuvres
cinématographiques.
Aufgang
Vendredi 16 octobre 21h
Jazz
Rami Khalifé, piano / Aymeric Westrich, batterie
Les étiquettes, ils s’en balancent et tracent leur
propre voie. Formés à New York, la ville du jazz,
ils connaissent la musique classique sur le bout de
leurs doigts véloces. Fans d’électro, ils composent
les bandes-son de nos vies tourbillonnantes. Ils
picorent chez Nirvana aussi bien qu’aux mélopées
d’Oum Kalthoum ou dans la disco de Larry Levan. La technique est à leur service, non l’inverse.
Leur musique est dansante et agitée de troubles
telluriques ou d’envolées radieuses. Résultat : ils
sont indispensables.
Jazz
Ambrose Akinmusire, trompette / Luis Bonilla,
trombone / Luis Perdomo, piano /Guillermo Klein ,
piano / Sam Harris piano, Harish Raghavan ,
contrebasse et Justin Brown, batterie
(sous réserve)
Et la trompette fut. Celle d’Ambrose Akinmusire
dessine des paysages, des visions, des idées,
des états. De grâce, il faut bien le dire. Après des
grands maîtres et des grands prix, c’est une voix
qui donne leur liberté à des compositions entêtantes
qui sort de sa trompette, une voix habitée de
conscience et de fantaisie, d’ombres, de lumières.
Ses concerts convoquent une magie. Piano,
contrebasse, batterie, saxophone, tous prodiges,
complètent le quintette. Une science qui est un
art, et du grand. Une âme.
Bourse aux vinyles et exposition le 18 octobre
Le Faux pli
& Vous veniez à
peine de partir
Théâtre / Marionnettes
Deux spectacles, deux histoires…
Production Cie les Voisins du dessus
Lundi 9 novembre 10h-14h
Mardi 10 novembre 10h-19h
Durée 1h15 / En famille à partir de 5 ans
Les Voisins du dessus, ce sont bien nos voisins.
Rosa et Dominique Latouche vivent dans le Biterrois
et ils posent leur théâtre de poche, Le Repaire, à
Bayssan. Avec eux, sortieOuest propose au jeune public un théâtre de qualité dans une vraie
relation de partenariat ( création, choix des spectacles,
ateliers et actions de sensibilisation ). La marionnette
est un grand art pour les petits et les grands.
C’est en quelque sorte l’essence du théâtre, un
art de l’évocation, un art sensible où un tout
petit monde ouvre les portes d’un grand univers.
Cet art nous donne les clés et les codes qui nous
permettent d’appréhender toute la magie d’une représentation. Les Voisins, c’est pour toute la famille
Le Faux pli
Que faire ?
(le retour)
Mercredi 18 novembre 21h
Jeudi 19 novembre 19h
Vendredi 20 novembre 21h
Durée 1h30 / A partir de 12 ans
Théâtre
Conception et mise en scène Benoît Lambert /
Textes Jean-Charles Massera, Benoît Lambert
(et des invités…) / Avec Martine Schambacher et
François Chattot / Production déléguée Service
Public, production Théâtre Dijon Bourgogne – CDN
«Sous bénéfice d’inventaire», dit-on. Qu’est-ce
qu’on garde ? Qu’est-ce qu’on jette ? Du texte
écrit par Lénine en 1902, Que faire ?, Martine
Schambacher et François Chattot gardent surtout
le titre. Sans manquer d’humour ni de délire,
face au dilemme « Combien d’œufs peut-on se
permettre de casser pour la grande omelette de la
Révolution ? », nos deux trieurs ajoutent : « Fautil jeter le bébé du projet d’une société plus juste
avec l’eau du bain de Staline ?» Une question qui
ne manque pas d’actualité.
« C’est sans cesse drôle, facétieux, et doté d’une
formidable énergie. »
Sylviane Bernard-Gresh, Télérama
Le Faux pli de et par Rosa Latouche
Théâtre d’images animées et projetées sur écran
Un dispositif graphique original où des figurines
colorées évoluent dans un décor rétro-projeté. Le
quotidien d’une petite fille qui aime aller à l’école
et apprendre. Elle et sa grand-mère se détestent.
La grand-mère est un monstre inculte. La petite
fille apprend que sa grand-mère n’est pas sa
grand-mère ! Ouf ! La petite fille est contente,
au moins, elle ne ressemblera pas à cette mégère
maléfique et cruelle ! Une fable aigre-douce pleine
d’allégresse qui questionne les « racines » et se
déguste avec gourmandise.
Marx matériau
Vous veniez à peine de partir
de et par Dominique Latouche
Les mots du théâtre, c’est tout un monde où la
nuit et le jour sont de fabrication artisanale. Un
petit bonhomme entré là par hasard va de surprise
en surprise. De la cour au jardin en passant par
une scène qui pourrait être un fleuve, prise au
pied de la lettre, il croise une servante et c’est le
grand amour. Une visite poétique et onirique qui
nous entraîne dans la vie secrète des coulisses et
des dessous et où l’on prend sa douche inondé de
lumière. Avec ces marionnettes, on apprend et on
rêve tout éveillé !
Virginie Teychené
Vendredi 13 novembre 21h
Samedi 14 novembre 21h
Jazz club
Virginie Teychené, voix / Gérard Maurin double
basse, guitare / Stéphane Bernard, piano / JeanPierre Arnaud, batterie / Éric Le Lann, trompette
«Encore» est le titre de son nouvel album et c’est
justement ce qu’on a envie de lui dire à
Virginie Teychené : « Encore ! » On en redemande
et ça tombe bien, elle n’est pas avare de rappels, cette nouvelle étoile qui scintille fort au
firmament du jazz vocal français. Musicienne
accomplie, un sens du rythme foudroyant, une
voix teintée de velours qu’elle utilise comme une instrumentiste sans une once d’esbroufe. Elle vit la musique, elle est musique
tout entière, portée par une technique stupéfiante
car invisible. On fond à fond.
9
Jeudi 19 novembre 21h
Vendredi 20 novembre 19h
Samedi 21 novembre 19h
Mercredi 25 novembre 19h
Jeudi 26 novembre 19h
Vendredi 27 novembre 19h
Samedi 28 novembre 18h
Dimanche 29 novembre 17h
Eglise Saint Félix
Durée 1h20 / A partir de 15 ans
Théâtre
Conception et texte établi par Jacques Allaire
et Luc Sabot / Mise en scène et scénographie
Jacques Allaire / Avec Luc Sabot
Production CDN Montpellier L-R , production
déléguée Compagnie Nocturne
Ringardisé, le grand barbu ? Tout le monde en
parle mais qui l’a vraiment lu ? La Compagnie
Nocturne remet les pendules à l’heure et retrousse
ses manches car il faut construire. Avec chaleur,
fraternellement, le théâtre n’est pas ici un lieu de
complaisance mais l’espace privilégié d’une communauté humaine. Ça réveille, ça éclaire et ça fait
plaisir d’entendre une œuvre dont le projet est de
« rendre notre vie consciente d’elle-même ». Car
si on ne s’occupe pas de politique, c’est elle qui
s’occupe de nous.
Tout un dimanche
Dimanche 29 novembre
Shakespeare Il était une fois
11h : Lecture de La Mort de Danton
de G.Büchner
13h : Déjeuner Révolutionnaire
19h : Marx Matériau
for ever
Shakespeare est LE dieu du théâtre. Ses reliques
sacrées : des pièces devenues des mythes, une
légende, du mystère et des Sonnets étincelants.
Shakespeare dit le monde et le cosmos au cœur
de l’âme humaine, le fond du caniveau ou les ors
de la Cour. Shakespeare est à sortieOuest cette
saison avec deux spectacles : Macbeth (The Notes)
et Les Sonnets de Shakespeare en décembre,
cabaret musical interprété par la grande Nora Krief
et pas seulement : des Apartés, du cinéma et des
débats. Á l’occasion de son 400ème anniversaire,
loué soit Le Grand Will.
Macbeth (The Notes)
Théâtre
Dimanche 15 novembre 16h
/ Fraïsse sur Agout (maison pour tous)
Mercredi 19 novembre à 19h
/ Cruzy
Samedi 21 novembre 21h
/ Théâtre de Lamalou les Bains
Mardi 24 novembre 20h30
/ Fouzilhon (Théâtre de Pierres)
spectacle co-accueilli avec la Communauté
de Communes Avants Monts Centre Hérault
Mercredi 25 novembre 18h45
/ Portiragnes
Jeudi 26 novembre 20h30
/ Mèze (foyer municipal)
Durée 1h30
un pauvre enfant
Mercredi 25 novembre 19h
Jeudi 26 novembre 19h
Vendredi 27 novembre 21h
Samedi 28 novembre 20h
Durée 1h40 / A partir de 14 ans
Théâtre
D’après Woyzeck de Georg Büchner / Une création
collective de Clément Delpérié, Simon Mauclair,
Nolwenn Peterschmitt / Dirigée par Jean-Baptiste
Tur / Avec Clément Delpérié, Simon Mauclair,
Nolwenn Peterschmitt / Production Collectif Zavtra
Inspirée d’un fait divers survenu en 1821 (un
perruquier-coiffeur au chômage poignarde sa
petite-amie), Woyzeck, est une œuvre en morceaux,
à composer, l’ordre n’ayant pas été fixé par l’auteur,
mort à 24 ans du typhus. Le texte de Büchner,
quarante-neuf fragments de la chronologie bousculée d’un pauvre hère devenu meurtrier, est remis
en forme, actualisé et recentré autour du fait divers
brut par le Collectif Zavtra. On passe du rire aux
larmes en entrant dans la « comédie absurde d’un
développement tragique ».
Aparté
Vendredi 27 novembre 19h, en entrée libre
Woyzeck de Georg Büchner. La singulière histoire
d’une pièce laissée inachevée en 1837 et qui est
devenue depuis le XXe siècle une œuvre majeure
qui attire les metteurs en scène, les dramaturges,
les acteurs, les scénographes, les compositeurs, les
musiciens et le public. Conférence par Gérard Lieber.
D’après Macbeth de William Shakespeare Conception
et adaptation Dan Jemmett et David Ayala
Mise en scène Dan Jemmett
Avec David Ayala
Production Compagnie des Petites heures
Samedi 28 novembre, la représentation sera
suivie de l’Heure Bleue, concerts en entrée libre
organisés par l’association Univart.
Truculence et délicatesse sont des mots qui vont
très bien ensemble quand il s’agit de Shakespeare et
de l’acteur ogre David Ayala, poète des firmaments
aussi bien que des abysses, singulier par la
puissance autant que par la grâce. Dans la nuit
noire du théâtre un homme apparaît, un metteur
en scène qui délivre ses notes d’après répétition
et s’adresse aux spectateurs comme à des
acteurs. Avec humour l’acteur s’en donne à cœur
joie. Notre démiurge inspiré fait même référence
à Bip Bip et au fameux Coyote !
le billet
d’humeur
« Brillant, cocasse, irrésistible. Une sacrée célébration du théâtre et de Shakespeare. »
A. Heliot, Le Figaro
Islam Karimov fait partie de ceux qui, ayant fait
carrière dans les rangs du Parti communiste de
l’Union soviétique et atteint les plus hauts postes,
devinrent, par un légal tour de passe-passe,
présidents de leurs pays devenus indépendants.
Karimov, bon élève, a gardé les bonnes vieilles
habitudes : arrestations arbitraires, étouffement
de toute opposition, musellement des médias,
mainmise sur la société civile. Voulant encore
mieux faire, le président Karimov vient d’interdire
les sciences politiques. Il les a remplacées par la
« Théorie et pratique de la construction d’une société
démocratique en Ouzbékistan ». Les sciences
politiques ? Une Importation occidentale ! La
« démocratie » ? une insulte dans la bouche d’un
Poutine. Les Chinois, entre deux
baguettes,
affirment, eux : vos valeurs ne sont pas les
nôtres. L’occident est-il si pourri, si veule, si moche ?
Heureusement, les réfugiés sont arrivés. En masse.
Ils nous aiment eux. Ils n’ont d’yeux que pour
nous, ils nous considèrent. Merci les réfugiés !
Apartés
Lundi 9 novembre à 19h : « Shakespeare :
un théâtre citoyen » par Florence March, entrée libre
Lundi 16 novembre à 19h : « Macbeth ou la folie
du pouvoir », par Nathalie Vienne-Guerrin, en entrée
libre
Cinéouest
Samedi 21 novembre
11h / Looking for Richard d’Al Pacino (1997)
Avec Alec Baldwin, Kevin Spacey, Winona Ryder
15h / Peines d’amour perdues de Kenneth Branagh
(2000) Avec Kenneth Branagh, Alessandro Nivola,
Alicia Silverstone
17h30 / Othello d’Orson Welles (1952)
Avec Orson Welles, Michael McLiammoir et
Robert Coote
Journée en partenariat avec le Ciné-club de Béziers
Merci les réfugiés !
Jean-Pierre Thibaudat
http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-pierre-thibaudat
... En plus de la plaquette bi-annuelle, le journal paraitra de façon bi-mestrielle. Prochain numéro : décembre 2015
Rédaction des textes François Rodinson
Création Thierry Plus / [email protected] / Licenses entrepreneur de spectacles : 1-1035157 / 2-1035158 / 3-1035159
Les savoirs partagés
saison 2015/2016
Danse
Vendredi 6 novembre / 21h
Samedi 7 novembre / 20h
La Cigalière / Sérignan
Tauberbach / Alain Platel
Musique de chambre création
Samedi 7 novembre / 21h / Lieu surprise
Chantier de création
Vendredi 22 janvier / 21h
Samedi 23 janvier / 20h
Dimanche 24 janvier / 17h
Lundi 25 janvier / 19h
Sonate à deux pianos / Bruno Mantovani
Théâtre marionnettes
Lundi 9 novembre / 10h-14h
Mardi 10 novembre / 10h-19h
La Brebis galeuse
D’après A. Celestini / Dag Jeanneret
Le Faux pli suivi de
Vous veniez à peine de partir /
Cie les voisins du dessus
Jazz
Samedi 23 janvier / 21h
Théâtre
Vendredi 13 novembre / 18h30 / Maraussan
Septembre
Du 24 au 27 septembre
Chapiteaux du livre / Salon du livre
Octobre
Les Règles du savoir vivre dans
la société moderne
Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot
Jazz club
Vendredi 13 novembre / 21h
Samedi 14 novembre / 21h
Virginie Teychené
Théâtre / Shakespeare for ever
Dimanche 15 novembre / 16h
Fraïsse sur Agout / maison pour tous
Jeudi 19 novembre/ 19h / Cruzy
Samedi 21 novembre / 21h
Théâtre de Lamalou les Bains
Mardi 24 novembre / 20h30
Fouzilhon / Théâtre de Pierres
(spectacle co-accueilli avec la Communauté de
Communes Avants Monts Centre Hérault)
Mercredi 25 novembre / 18h45
Portiragnes
Jeudi 26 novembre / 20h30
Mèze – Foyer municipal
Macbeth (The notes) / Dan Jemmett
/ Jeudi 19 novembre / 14h30
Sciences amusante 1 : Chimie
Thé des curieux
Jazz club
Vendredi 2 octobre / 21h
Samedi 3 octobre / 21h
Trio Rotem Sivan
Théâtre
Samedi 3 octobre / 17h / Creissan
Les règles du savoir vivre dans
la société moderne
Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot
Musique de chambre du 9 au 11 octobre
Mozart en cavale
/ Jeudi 15 octobre / 14h30
Nature et patrimoine : Une anthologie
Thés des curieux
Cineouest
Jeudi 15 octobre / 19h
Festival Européen du film d’Education
Théâtre
Vendredi 16 octobre / 18h30 / Lespignan
Les Règles du savoir vivre dans
la société moderne
Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot
Jazz au jardin d’automne
Vendredi 16 octobre / 19h
Avant scènes du conservatoire
MAO «Mieux appréhender l’ordinateur»
vendredi 16 octobre / 21h
Aufgang
dimanche 18 octobre / 17h
Ambrose Akinmusire
Bourse aux vinyles & exposition
Théâtre
Mercredi 18 novembre / 21h
Jeudi 19 novembre / 19h
Vendredi 20 novembre / 21h
Que faire ? (le retour) / Benoit Lambert
Théâtre
Jeudi 19 novembre / 21h
Vendredi 20 novembre / 19h
Samedi 21 novembre / 19h
Mercredi 25 novembre / 19h
jeudi 26 novembre/19h
Vendredi 27 novembre / 19h
Samedi 28 novembre / 18h
Dimanche 29 novembre / 17h
Marx matériau
Jacques Allaire / Luc Sabot
Dimanche 29 novembre
Tout un dimanche / Lectures, déjeuner
Cineouest / Samedi 21 novembre
11h / Looking for Richard
15h / Peines d’amour perdues
17h30 / Othello
Théâtre
Mercredi 25 novembre / 19h
Jeudi 26 novembre / 19h
Vendredi 27 novembre / 21h
Samedi 28 novembre / 20h
Il était une fois un pauvre enfant /
D’après Woyzeck de G. Büchner /
Collectif Zavtra
Samedi 24 octobre / A partir de 14h
Univart / Saisons électriques 1
Novembre
Jeudi 5 et vendredi 6 novembre
Conférence « L’impact des violences
conjugales sur les enfants »
Théâtre création
Vendredi 6 novembre / 19h
Samedi 7 novembre / 20h
Dimanche 8 novembre / 17h
Lundi 9 novembre / 21h
Monologue du Nous
Bernard Noël / Charles Tordjman
Décembre
Théâtre
Dimanche 6 décembre / 17h / Lieuran Cabrières
Les Règles du savoir vivre dans
la société moderne
Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot
Théâtre
Samedi 5 décembre / 18h
Dimanche 6 décembre / 17h
Lundi 7 décembre / 19h
Mardi 8 décembre / 19h
Mercredi 9 décembre / 21h
Teste ou le lupanar des possibilités /
D’après Paul Valery / Alain Béhar
Vendredi 11 décembre / 19h
Avant scènes du conservatoire
Samedi 12 décembre/ 18h
Café philo
Cirque
Mardi 15 décembre / 19h
Mercredi 16 décembre / 19h
Jeudi 17 décembre / 14h
Theatre d’objets cinématographique
Lundi 25 janvier / 10h et 14h
Mardi 26 janvier / 10h et 19h
Bang ! / Cie Volpinex
Danse
Mardi 15 mars / 21h
Jazz club
Vendredi 29 janvier / 21h
Samedi 30 janvier / 21h
Catia Werneck
Février
Théâtre
Mardi 2 février / 19h
Mercredi 3 février / 21h
Jeudi 4 février / 19h
Rendez-vous gare de l’Est / Guillaume Vincent
Théâtre / musique baroque
Mardi 2 février / 21h
Mercredi 3 février / 19h
Jeudi 4 février / 21h
Monsieur de Pourceaugnac / Molière
Clément Hervieu-Léger & les Arts Florissants
Thés des curieux
Jeudi 4 février / 14h30
Les secrets de l’Or
Concert
Vendredi 18 décembre / 21h
Théâtre - cabaret
Jeudi 4 février 18h45 / Portiragnes
Vendredi 5 février / Communauté de
communes Canal Lirou Saint Chinianais
Samedi 6 février / 21h / La Tuilerie, Bédarieux
Dimanche 7 février / 17h /Saint Etienne
d’Albagnan
Vendredi 18 décembre
Béziers / La Colonie Espagnole
Samedi 19 décembre
Béziers / sortieOuest
Festival fabrique VI /
Les saisons électriques 2
Janvier
Thé des curieux
Jeudi 14 janvier / 14h30
Bédarieux / La Tuilerie
Sciences amusante II :
Illusions d’optiques : La suite
Welt / Cie Life is not a picnic
Dimanche 7 février / A partir de 11h
Samedi 13 février/18h
Café philo
Théâtre
Mercredi 17 février / 21h
Jeudi 18 février / 19h
Vendredi 19 février / 21h
L’art du Théâtre / Julien Bouffier
Mars
Théâtre
Mercredi 9 mars / 19h
Jeudi 10 mars / 21h
Vendredi 11 mars / 19h
Cineouest / mardi 1er décembre / 19h
Cineouest / Samedi 16 janvier
11h / Toto le héro
16h / Le Tout nouveau testament
Théâtre marionnettes
Jeudi 3 décembre / 10h et 14h
Vendredi 4 décembre / 10h et 19h
Jazz / Dimanche 17 janvier / 17h
Pézenas / théâtre historique
Thé des curieux / Jeudi 10 mars / 14h30
Danse
Mardi 19 janvier / 19h
Mercredi 20 janvier / 21h
Jeudi 21 janvier / 19h
Théâtre
Jeudi 10 mars / 19h
Vendredi 11 mars / 21h
Samedi 12 mars / 21h
Les 3 vies du chevalier
Les actualités / Cie de l’échelle
Théâtre musique
Vendredi 4 décembre / 21h
Samedi 5 décembre / 20h
Les Sonnets de Shakespeare /
Fredéric Fresson
Daniel Mille interprète Astor Piazolla
Kiss and Cry / Michele anne De Mey
Jaco Van Dormael
Je m’efforcerai de te suivre
M. Houellebecq / Rita Cioffi
Théâtre
Mardi 15 mars / 19h
Mercredi 16 mars / 21h
L’homme et Cætera /
R. Checchetto / Bela Czuppon
Théâtre
Vendredi 18 mars / 19h / Mons la Trivalle
Samedi 19 mars / Communauté de Communes
Canal Lirou Saint Chinianais
Samedi 26 mars / 18h / Montblanc
Dimanche 27 mars / 17h / Portiragnes
Théâtre marionnettes
Lundi 21 mars / 10h et 14h
Mardi 22 mars / 10h et 19h
Valises d’enfance / Christine Delattre
Théâtre
Mardi 22 mars / 21h / Bédarieux - La Tuilerie
Jeudi 24 mars / 20h45 /
Pézenas - Théâtre historique
Vendredi 25 mars / 20h45 /
Pézenas - Théâtre historique
La Princesse de Clèves
d’après Madame de La Fayette /
Marcel Bozonnet
Théâtre / Mars 2016
Tournée organisée en médiathèques,
en partenariat avec La Médiathèque
départementale
Du côté de la vie / Pascal Lainé
Jazz / Vendredi 25 mars / 21h
Chris Potter Quartet
Chanson française
Mardi 29 mars / 20h30 / Corneilhan
Sous la peau des filles / Juliette
« Tout un dimanche » autour de Molière
Théâtre
Vendredi 15 janvier / 21h
Samedi 16 janvier / 21h
Elisabeth II /
T. Bernhard / Aurore Fattier
Quintet avec Piano / Quatuor Strada
Savoir enfin qui nous buvons
/ Sébastien Barrier
Mañana es mañana / Julien Vittecoq
Jur
« Tout un dimanche » autour de A .Tchekhov
Musique classique
Dimanche 13 mars / 17h
Recettes des ménagères du Biterrois
Le chagrin / Caroline Guiela Nguyen
Dimanche 13 mars
James Carter organ trio
Thé des curieux / Jeudi 10 décembre / 14h30
Théâtre
Jeudi 10 décembre / 19h
Vendredi 11 décembre / 21h
Jazz club
Vendredi 8 avril 21h
Samedi 9 avril 21h
Campagne - Fragments d’un discours politique
J. Jaurès (extrait) / Marc Baylet Delperier
Sciences amusantes III : Chimie
Non c’est pas ça !
d’après A. Tchekhov / Le grand cerf bleu
Dmitri Baevski Trio
Théâtre
Mercredi 13 avril 21h
Jeudi 14 avril 19h
Pharmakos / Cie Moebius
Thé des curieux
Jeudi 14 avril / 14h30
Musique classique
Vendredi 15 avril / 21h / Lieu surprise
Stéphane Degout & Alain Planès
Café Philo
Samedi 16 avril / 18h
Mai
Jazz club
Vendredi 6 mai / 21h
Samedi 7 mai / 21h
Al Foster
Chantier de création
Lundi 9 mai / 19h
Mardi 10 mai / 21h
Mercredi 11 mai / 19h
Jeudi 12 mai / 19h
Les chaises
D’après E. Ionesco / Bernard Levy
Jazz
Vendredi 13 mai / 21h
Chassol
Mai-Juin
Côté cour - côté jardin
Du jeudi 19 mai au dimanche 22 mai
Festival Saperlipopette
Théâtre
Vendredi 27 mai / 20h30,
Fouzilhon - Esplanade
L’ogre et l’enfant / Théâtre Pôle Nord
Avril
Chanson française
Vendredi 1er avril / 20h30 / Tourbes
Samedi 2 avril / 21h /
La Livinière - salle des fêtes,
Dimanche 3 avril / Orb et Taurou
Mardi 5 avril / 20h30 / Orb Jaur
Jeudi 7 avril / 19h /
Salleles du Bosc - salle Jules Bral
Vendredi 8 avril / 21h /
Hérépian - salle des fêtes
Samedi 9 avril / 21h /
La Salvetat-sur-Agout - salle des fêtes
Juin
Thés des curieux / jeudi 9 juin / 14h30
Aller sur le motif…
Week-end après le baccalauréat
La nuit électrique – Les saisons électriques 3
Exposition juin 2016
Des images d’Epinal au livre d’Art
Sous la peau des filles / Juliette
Théâtre création
Vendredi 1er avril / 21h
Samedi 2 avril / 20h
Dimanche 3 avril / 18h
Lundi 4 avril / 14h
Mardi 5 avril / 19h
Juillet
Braises et cendres
D’après B. Cendrars / Jacques Nichet
Théâtre marionnettes
Lundi 4 avril / 10h et 14h
Mardi 5 avril / 10h et 19h
Victor enfant sauvage / Dominique Latouche
24 au 30 juillet
Festival Les Nuits de la terrasse & del Catet
Crédits photos :
Savoir enfin qui nous buvons : Angélique Lyleire
Kiss and cry : Marteen Vanden Abeele
L’art du théâtre : Marc Ginot
Aufgang : Yann Orhan
Macbeth : Patrick Berger
Sonate à deux pianos : CBastien
James Carter : Ingrid Hertfelder
Tauberbach : Chris Van der Burght
Que faire : V.Arbelet
Les règles du savoir vivre : DR
Le Chagrin : Jean Louis Fernandez
Elisabeth 2 : Face to face design
Bang : Carine Auzier
Ambrose Akinmusire : Emra Islek
Chassol : Louis Canadas
Le faux pli : Ludovic Roubet
Victor enfant sauvage : Ludovic Roubet
Je m’efforcerai de te suivre : Pierre Veuve Eglise
Les actualités : DR
Sonnets : JeanLouisFernandez
Daniel Mille : Olivier Solong
Pharmakos : loran chourrau le petit cowboy
Pourceaugnac : Piazzale Flaminio, Rome, 1956 ®William Klein
Rdv gare de l’Est : E.Carecchio
Welt : Gerard Brun
L’ogre et l’enfant : Christophe Laporte
Chris Potter : Tamas Talaber
Manana es manana : E. Perra
Charles Tordjman : DR
Jur : Laurent Noël
Braise et cendres : DR
Anatole : DR
Il était une fois un pauvre enfant : DR
Allez Oli A l’Eau : Sylvie Bonnin
sortieOuest fait résonner la culture dans tout
le Biterrois. Sur le domaine de Bayssan, mais
aussi dans les communes traversées par le
Grand Tour !, ces représentations qui viennent
au plus près de vous. Profitez-en !
Philippe Vidal / Président de sortieOuest
Les tarifs
Où et comment prendre des places ?
Le service éducatif
Théâtre, cirque, musique classique, jazz,
jazz club et musique du monde :
Tarif plein : 16 €
Tarif réduit : 13 € (18-25 ans, étudiants de plus de
26 ans, plus de 60 ans)
Tarif sortieOuest : 11 € (demandeurs d’emploi)
Tarif jeune : 6 € (scolaires, étudiants de moins de
26 ans, et professionnels du spectacle, bénéficiaires
des minimas sociaux)
Collégiens de l’Hérault : 1 €
Réservation
Vous pouvez réserver vos places toute la saison,
dans la mesure des places disponibles, par téléphone au 04 67 28 37 32, du mardi au vendredi
de 15h à 19h et le samedi à partir de 16h, soirs de
représentation uniquement.
L’École du spectateur
Aller au théâtre répond à une volonté partagée
d’ouverture et bien souvent fait suite à un projet
d’éducation artistique : initier à l’expérience active
du spectateur, explorer le répertoire théâtral,
découvrir les écritures d’aujourd’hui et la création
contemporaine.
Le service éducatif de sortieOuest propose aux
enseignants de tous niveaux de les accompagner
dans la réalisation et la mise en place de leurs
projets d’éducation artistique.
Enseignant du service éducatif : Grégoire Corbic
Le Conseil départemental de l’Hérault soutient la
sensibilisation des jeunes au spectacle vivant grâce au
théâtre à 1 euro pour les collégiens.
Le Grand Tour !
Tarif plein : 10 €
Tarif réduit : 6€ (scolaires et étudiants de moins de
26 ans, professionnels du spectacle bénéficiaires
des minima sociaux)
Spectacles Théâtre à l’Église Saint-Félix :
10 € TP/ 6 € TR
Spectacle Jeune Public
Tarif famille (3 personnes minimum)
Enfants : 6 € / accompagnants : 13 €
Thé des curieux, atelier des curieux, chantiers de
création, cinéma :
Tarif unique : 5 €
Abonnement jeune : 4 spectacles 20 € / 1 concert
possible (nominatif pour les scolaires
et étudiants de moins de 26 ans)
Grâce à votre abonnement, faites découvrir le
théâtre et invitez un ami sur l’un de vos 4 spectacles
(offre réservée pour un jeune ou un étudiant).
Carte découverte (non nominative) :
6 spectacles : 75€ / 2 concerts possibles
Pass Mozart en cavale
Pass 5 concerts : 55 euros
Pass 5 concerts pour porteurs de la carte
sortieOuest : 40 euros
Concert du matin : tarif unique 10 €
Offre découverte pour les jeunes : un concert du
matin offert pour une place achetée
Château Les Carrasses propose un hébergement à
tarif préférentiel pour ce week-end. Nous consulter.
Les ateliers
Renseignements et inscription à la billetterie
sortieOuest à partir du 10 septembre.
Atelier de théâtre amateur
L’atelier théâtre amateur 2015-2016 est animé par
Dag Jeanneret et débute le lundi 28 septembre.
Cotisation annuelle : carte sortieOuest + 200 €
Cycle Gospel
Pour la cinquième année, le cycle de chant gospel
permet aux personnes désireuses de chanter en
chœur d’apprendre et de pratiquer cette musique,
grâce à 8 journées de formations dans l’année.
Intervenants : Rachel Ratsizafy, Cédric Chauveau
Cotisation annuelle : carte sortieOuest + 200 €
Accueil au théâtre
La billetterie sortieOuest ouvre ses portes 1h30
avant le début des représentations.
La bouquinerie l’Air de Rien de Laurent Lalande vous
accueille les soirs de représentation avec un large
choix de livres neufs et d’occasion. Régina Laurence
et l’équipe du Chapiteau Gourmand vous proposent
un choix de plats frais à l’ardoise, tapas, bar à vin.
Le restaurant est ouvert avant et après les spectacles
et le midi sur réservation 06 25 50 51 21.
Les lieux de la saison sortieOuest
Théâtre sortieOuest
Domaine de Bayssan le haut / Route de Vendres
34500 Béziers
04 67 28 37 32 - sortieouest.fr
parking gratuit
La Tuilerie
Route de Clermont - 34600 Bédarieux
04 67 23 87 26
La Cigalière
Parc Rayonnant - 34410 Sérignan
04 67 32 63 26
Le Grand Tour !
Les adresses des salles des communes visitées
par le Grand Tour vous seront communiquées au
moment de la réservation et dans le billet mensuel
de sortieOuest.
Se rendre à sortieOuest
Ligne bus 213 : Béziers / Vendres arrêt Domaine de
Bayssan, plusieurs fois par jour du lundi au samedi.
Renseignements : 04 67 49 49 65
Création Thierry Plus / [email protected] / Licenses entrepreneur de spectacles : 1-1035157 / 2-1035158 / 3-1035159
Renseignements pratiques
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