D.T MD LA POSTE N° 034/15/014 AN 34 VENDRES BEZIERS PPDC Journal n°1 Théâtre sortieOuest Domaine de Bayssan le haut Route de Vendres 34500 Béziers 1 2 3 5 Crédit photo : 4 septembre 2015 1 / Macbeth : Patrick Berger 2 / Le monologue du nous : Henry Darger 3 / Kiss and cry : Marteen Vanden Abeele 4 / Trio Rotem Sivan Trio 5 / Tauberbach : Chris Van der Burght 6 / Mozart en cavale : Adrien Vecchioni 7 / Aufgang : Yann Orhan 8 / Ambrose Akinmusire : Emra Islek 9 / Marx matériau : Albane Romagnoli Editos sortieOuest fait résonner la culture dans tout le Biterrois. Sur le domaine de Bayssan, mais aussi dans les communes traversées par le Grand Tour !, ces représentations qui viennent au plus près de vous. Profitez-en ! Philippe Vidal / Président de sortieOuest L’enthousiasme, c’est le mot qui nous anime pour cette nouvelle saison. Enthousiasme renforcé par le soutien fidèle et déterminé du Conseil départemental, de son président, Kléber Mesquida et de son vice-président à la culture, Renaud Calvat. Face aux défis de notre monde, préférons les actes aux rodomontades, la quête de la beauté aux complaisances. La pureté n’existe pas. La grâce, oui. Métis par essence, l’art prend le risque de la vie contre le rance et l’étroit, contre ce qui se fige et meurt. Ouvrons les fenêtres pour laisser venir le bruissement du monde dont sont faites les créations que nous vous proposons. Nos dieux sont Shakespeare ou Molière et nous ne les considérons pas comme des monuments. Ils parlaient au présent du temps présent et nous ne les embaumons pas. « Penser n’est pas obscène, ressentir n’est pas interdit, jouir n’est pas un vilain mot, aimer envers et contre tout », tel est le message que nous retenons de ces Classiques qui nous plaisent épanouis et vivants, pertinents aujourd’hui comme hier. Et pas de niaiserie, s’il vous plaît ! De l’âpre, du fort, du profond, du fécond ! La création contemporaine reste au cœur de notre programmation. Donner du sens et des nuances à la complexité, offrir du plaisir à nos sens et chercher ensemble ce qui nous réunit plutôt que ce qui nous divise, tel est notre credo. De la fougue ou du recueillement mais toujours du mouvement, de l’audace, de l’inédit, du savoureux. Danse, musique, théâtre, les arts d’aujourd’hui s’interpellent et se répondent, leurs frontières s’ouvrent pour inventer, pour enfanter les sensations de notre futur. Laissons de la place aux échos et aux résonnances. Partageons nos expériences et nos surprises comme la table et le couvert. Nos valeurs sont le respect de la vie, le droit de rêver, de grandir, d’être humain. Entrez, vous êtes ici chez vous. Jean Varela, directeur de sortieOuest Portrait Entretien avec Bernard Noël Crédit photo : P.O.L «Tant que vivra le monde, et l’amour et l’envie, Vivront ces vers, et ces vers-là donnent la vie ! » Shakespeare, Sonnet XVIII, trad. Charles Garnier. François Rodinson - Monologue du Nous est un titre paradoxal. Dans un monologue, on se dit que c’est « un » qui parle, un soliloque qui s’adresse. Et là, c’est « nous » ? Bernard Noël - Bien sûr que le côté paradoxal du titre - et de mon entreprise - a été présent d’emblée. Cependant, le plus difficile, et que j’ai longtemps cru insurmontable, tenait dans ma volonté de commencer toutes les phrases par « Nous ». J’ai tenté la chose à plusieurs reprises, sans jamais dépasser deux ou trois pages, puis tout à coup en juillet 2014, la reprise de la première page a déclenché l’enchaînement naturel du récit... suite à la trahison de leurs chefs et plus généralement parce que l’adversaire, disons le Capital, finit toujours par l’emporter... De quelque côté que l’on se tourne, la victoire de la finance ne fait plus aucun doute, tout comme la complicité des politiques dès qu’ils sont au pouvoir, donc mieux vaut ne pas se faire d’illusions. Quelle action révolutionnaire est-elle possible dans ces conditions ? Uniquement des actes désespérés, soit par les armes, soit par l’ironie. C’est ce que font mes Nous en tuant quelques banquiers, le directeur d’un laboratoire pharmaceutique, le dirigeant d’un grand syndicat jaune... Aucun de ces actes n’apporte une solution, simplement c’est à chaque fois une petite leçon donnée à l’ennemi tout en sachant bien que cela ne changera rien, juste un oppresseur de moins, mais ils sont innombrables. Quant à l’ironie, elle a pour instrument un journal, « Le Coco rit haut » qui démonte le système et ses effets, là encore sans illusions... Après « je », « tu » , « il » et « vous» vous poursuivez votre travail sur les pronoms avec le « nous ». Vous placez d’emblée ce Monologue du Nous sous le signe de la lutte. Ça commence par une manifestation de solidarité avec des grévistes, un classique de l’action militante. Pourquoi ce choix ? Pardonnez-moi si je fais le naïf mais « nous » ç’aurait pu être l’amour (deux c’est déjà « nous », non ?), la commune agraire, le rapport à l’altérité, l’humanitaire ou l’accueil des sans papiers à la Cimade, que sais-je... Pour vous, « nous » commence sur les pavés, sur les barricades ? Vous m’apprenez que mon monologue commence par une manifestation de solidarité avec des grévistes, merci... Oui, bien sûr, j’aurais pu choisir l’amour ou je ne sais quel autre sujet, il se trouve que j’ai choisi d’abord d’affronter un certain pronom personnel en lui faisant jouer un rôle excessif. Le seul intérêt de mon entreprise, si elle en a un, c’est de tenter de construire avec ce Nous répété en tête de toutes les phrases une espèce de grille d’écriture dont le fonctionnement m’intrigue beaucoup par son efficacité... Le problème est que je constate cette efficacité en même temps qu’elle porte mon écriture, et que je n’arrive pas à l’analyser. Une chose équivalente s’est produite avec les autres pronoms personnels, d’où à chaque fois la surprise d’un mouvement parcourant tout le monologue et dirigeant sa composition sans que je puisse le maîtriser... Vous avez écrit des pièces de théâtre et plusieurs de vos textes qui n’ont pas été écrits a priori pour le théâtre ont été adaptés pour la scène. Vos textes donnent un grand rôle au corps et à la sensation. Á la parole aussi. Quel est votre rapport intime avec le théâtre ? Dans le Monologue du Nous, on pense à Brecht lorsque vous évoquez la destruction de l’illusion mais lorsque vous parlez de sacrifice ou de cérémonie, on pense à la tragédie grecque et à Antonin Artaud. Où vous situez-vous ? Sur quelle scène jouez-vous ? Vous avez écrit « l’Espace du poème ». Y a- t-il selon vous un endroit où l’espace du poème et l’espace du théâtre communiquent ? Entre vingt et quarante ans, je suis souvent allé au théâtre. Ensuite, vivant à la campagne, presque plus jamais. C’est aussi vers quarante ans que j’ai fait de l’écriture ma seule activité. Ce sont surtout deux de mes monologues : La Langue d’Anna et Le Syndrome de Gramsci qui ont été beaucoup représentés. Quel est mon rapport avec le théâtre ? Je n’en sais rien. Je pense plutôt dans ce cas à mon rapport avec des hommes de théâtre et principalement Charles Tordjman. J’étais persuadé que je n’écrirais jamais pour le théâtre, et c’est Lui qui m’a amené à le faire. Je n’ai pas une écriture pour le théâtre et une autre pour le poème, le roman, l’essai. J’ai pratiqué ces divers genres pour brouiller leurs cadres tout en constatant qu’il n’y a qu’une écriture, celle qui entraîne un glissement du genre vers le mouvement que j’ai évoqué plus haut, et qui m’échappe. Dès que je m’engage dans l’écriture, une langue commence à s’articuler qui est sans doute le double de la langue courante, mais un double très physique, producteur d’une matière verbale en train de prendre forme en produisant le récit en cours, ou la pensée qui peu à peu se formule... Cela ne va pas sans le développement d’un espace, différent d’un écrit à l’autre et cependant toujours semblable dans ses dimensions... et tous ces espaces évidemment communiquent. Et je suis désolé de ne pouvoir faire sentir combien tout cela est concret... « Nous, ici, faisons silence et contemplons un abîme », dit Nous dans les premières pages de votre Monologue du Nous. Et il semble que ce soit bien au bord d’un abîme que vous nous suspendiez avec ce texte. Comme si la violence révolutionnaire ouvrait cet abîme. Comme si toute lutte sociale, tout combat pour une société plus juste et plus fraternelle était nécessaire et légitime mais que, confrontée à la violence physique, celle qui blesse et tue, cette lutte se perdait en route en rendant coup pour coup. Au-delà de la loi du talion, il ne reste plus que le sacrifice ? De quoi est fait cet abîme ? L’affirmation la plus radicale de mes personnages est de dire qu’ils sont révolutionnaires mais qu’ils ne croient pas à la Révolution. Tout individu conscient est obligé aujourd’hui de situer son action en fonction d’un échec que tout le passé affirme : l’échec de toutes les révolutions On connaît le célèbre titre du poème de Gabriel Celaya, « La poesia es un arma cartaga de futuro » (La poésie est une arme chargée de futur). Êtes-vous d’accord ? Vous considérez-vous comme un auteur engagé ? Alors que nombreuses sont les forces qui ringardisent la notion d’engagement, cette définition a-telle encore un sens pour vous. Est-il encore possible de résister ? Quand j’ai réuni mes textes politiques pour composer le tome II de mes œuvres chez P.O.L.*, j’ai eu la surprise d’un volume de plus de 680 pages, et cependant je ne me considère pas comme un auteur « engagé » car je n’ai jamais adhéré à un parti. Au départ, j’ai simplement été surpris de m’apercevoir que le monde libre, qui se vantait par rapport à celui de l’Est d’être sans aucune censure en avait inventé une, que j’ai désignée en créant le mot « sensure », qui signifie « privation de sens », bien plus efficace que la privation de parole car moins repérable et contraignante. Cette « sensure » n’a cessé de m’occuper ensuite et j’ai essayé d’analyser et de dénoncer la « castration mentale » qu’elle opère très efficacement au moyen des media, et d’abord du plus populaire qui est la télévision. Il est terrible de s’apercevoir que la partie la plus humaine de l’homme, c’et-à-dire son système mental, est également celle qui est la plus fragile dès lors que l’on dispose du moyen de l’occuper (de l’occuper au sens fort, au sens militaire) par un flot d’images... C’est de l’œil qu’est née notre vie mentale, et c’est par nos yeux qu’on peut s’emparer d’elle... Le meilleur moyen de résister est de prendre conscience de la qualité physique, de la qualité corporelle de ce qu’on nomme « l’esprit » pour sentir l’occupation et la refouler... La notion d’engagement est en effet ringardisée, tout comme celle de Révolution : il s’agit de les rendre impensables et d’en débarrasser ainsi le pouvoir. Résister dépend d’une prise de conscience... désespérée. Les quatre voix de ce Monologue du Nous avouent leur désespoir. Elles le revendiquent même. Mais elles ne se plaignent pas et il n’y a rien là-dedans de sombre. Il y aurait un désespoir majeur ? Un désespoir moteur ? Un désespoir créateur ? Vous savez que tous les mouvements révolutionnaires sont partis au combat au nom d’un avenir meilleur. En dépit des échecs successifs, on a pu croire aux acquis sociaux presque jusqu’à la fin du siècle passé, les luttes avaient au moins eu cet effet là. La volonté de détruire ces acquis habite le patronat depuis leur institution par le Conseil national de la Résistance, en 1945. Et cette volonté est en train d’y réussir avec la complicité d’un socialisme qui a toujours trahi les valeurs dont il se réclame. Ce constat est sans espoir depuis que l’Europe s’est rangée du côté de la finance. Dans cette situation, je crois que le désespoir, et lui seul, permet de faire table rase de toutes nos illusions révolutionnaires afin de repenser le combat face à une réalité où l’idéal n’a plus aucune place... * Les monologues de Bernard Noël (le Elle, le Tu et un Iljetu, sont inédits) précédés du roman Les Premiers Mots qui les annoncent, seront publiés aux éditions P.O.L. en octobre 2015 sous le titre de « La Comédie intime ». Ce sera le tome IV de ses œuvres. Monologue du Nous / Création à sortieOuest du 6 au 9 novembre Cidalia Da Costa, costumière du Monologue du Nous Il pleut à verse ce jour-là sur les puces de Clignancourt mais à l’intérieur du marché Dauphine, l’un des nombreux marchés d’antiquaires des Puces, couvert, nous sommes à l’abri. J’ai pris rendez-vous avec Cidalia da Costa, la grande dame du costume de théâtre, réputée et désirée en France comme à l’étranger. Pas évident de la coincer pour la faire parler de son métier. Elle est entre deux spectacles. Entre la Cartoucherie de Vincennes où, hier, c’était la première d’une pièce traduite de l’anglais, Le Bizarre incident du chien pendant la nuit, mise en scène par Philippe Adrien et Neuchâtel, en Suisse, où elle doit créer les costumes d’une Cerisaie mise en scène par Gilles Bouillon. Elle m’a accordé un moment d’entretien, à l’heure du déjeuner, aux Puces, car elle doit rendre des costumes qu’on lui a prêtés et qui n’ont pas servis puis acheter dans une autre boutique une robe qu’elle avait repérée pour le personnage de Varia dans La Cerisaie. Je l’attendais en séchant et en savourant ma chance. Il y a quelques mois, je l’avais croisée au Théâtre Antoine, chez Ruquier, boulevard de Strasbourg. Elle avait inventé des costumes pour Pierre Arditi et Daniel Russo dans une pièce fine et piquante de Jean-Claude Grumberg sur l’absurdité des injonctions identitaires, L’Être ou pas, mise en scène par Charles Tordjman. En soufflant un peu après la première, elle m’avait raconté son hiver 79 à Kaboul. Elle était jeune styliste à l’époque et il était courant de faire réaliser ses créations en Afghanistan où, évidemment, c’était moins cher. Et la destination était à la mode. Mais les Soviétiques avaient décidé d’envahir le pays et, pendant que ça mitraillait autour des lieux du pouvoir, Cidalia s’était retrouvée coincée dans un hôtel pour hippies, protégée du rude hiver afghan par d’épaisses couches de peaux de mouton retournées et brodées. Pendant un mois, toute la ville fonctionnait au ralenti mais Cidalia n’avait pas perdu son temps et avait même trouvé du travail. Au bar du très chic hôtel Intercontinental qui surplombe Kaboul, elle avait sympathisé avec un créateur libanais. Celui-ci l’avait engagée pour réaliser sa collection. Quand ça s’était détendu et que l’aéroport avait rouvert, elle avait repris l’avion pour la France comme si de rien n’était, aventurière tranquille, avec dans ses valises sa propre collection et dans les poches, la généreuse rétribution du Libanais. Elle était de retour à Paris juste à temps pour présenter sa collection. Cidalia apparaît dans l’atmosphère feutrée du marché Dauphine, avec cette concentration apaisée qu’on peut voir souvent, au théâtre, chez ceux qui doivent tordre le temps pour y faire rentrer leurs plannings impossibles. « J’ai la tête en compote », me dit-elle, mais ça ne se voit pas. Nous nous attablons au bistro « Le Gastropode » et devant une longe de porc à la purée de céleri, elle se raconte un peu. Autour de nous, on parle américain. Cidalia évoque ses parents portugais fuyant la dictature de Salazar. Puis sa jeunesse où, pour payer ses études en Arts plastiques à Paris VIII-Vincennes, elle est engagée dans l’atelier de Marie Gromtseff – les ateliers étaient souvent tenus par des Russes blancs - qui réalisait des costumes chamarrés pour le grand Erté. « Il était axé sur le mouvement et la couleur. En tournant, les danseurs transformaient les couleurs. Il avait toute une théorie là-dessus. » Elle aime le travail d’équipe et regrette que l’on ait de moins en moins de temps pour les répétitions, les budgets s’amenuisant. Je connais son tact pour se confronter aux ego des acteurs. Elle est toujours à l’écoute et ne passe jamais en force. Elle me parle de son mari berbère et des deux enfants de son quartier, Belleville, qu’elle a élevés comme les siens. Ce samedi maussade est maintenant bien avancé et je l’accompagne sur une coursive du marché à la boutique Falbalas, antre magnifique où officie impeccablement stylée, Françoise de Fligué. Celle-ci coud un col de fourrure sur une veste cintrée. Après un moment de frayeur – la robe souhaitée aurait disparuFrançoise la retrouve et la déploie devant une Cidalia qui respire à nouveau, satisfaite. J’admire son goût toujours très sûr, son choix juste, évident. Puis Cidalia cherche encore. Sans notes, tout est dans sa tête. Les deux femmes, deux bosseuses tout en douceur, fouillent dans les dentelles et les brocards. Je les quitte sur la pointe des pieds. François Rodinson d’événements culturels de choix sur tout le territoire de prix abordables Les Thés des curieux Ce n’est pas une école, ce n’est pas un théâtre, un laboratoire ou un atelier, mais tout cela réuni pour le bonheur des curieux. Bien sûr, les Thés des curieux sont d’abord une généreuse infusion de savoirs et de savoir-faire. Encore et toujours : des pratiques, des tours de mains, des sciences. Ces rencontres ludiques sont organisées par Jean-Pierre Rose, historien de l’art accompagné d’invités spécialistes. Nature et patrimoine : Une anthologie jeudi 15 octobre 14h30 Avec Jacques Bruyère et Jean-Pierre Rose Rencontre avec Jacques Bruyère, écrivain-journaliste, créateur de la page « Nature et Patrimoine » qui enchanta les dimanches des lecteurs du quotidien Midi Libre durant plus de vingt ans. A l’occasion de la publication d’une sélection de textes choisis parmi les 850 parus. Mozart en cavale Du 9 au 11 octobre 2015 / Musique de chambre Comment faire naître d’autres couleurs, d’autres senteurs, d’autres matières. La suite de nos expériences. Travaux pratiques, conférence, projections. Les conférences Organisé par l’Association des œuvres sociales du Saint-Ponais et l’Agence départementale de la solidarité sud Biterrois et la Direction enfance et famille du biterrois. Jeudi 5 novembre 20h : Deux sociologues seront présentes pour animer le débat : Christelle Hamel, professeur à l’Université Paris VIII et Suzana Dukic. Programme complet en septembre Les apartés Dans un programme du Théâtre de l’Odéon datant du XIXè siècle, acheté chez un bouquiniste, nous avons trouvé intéressant qu’il était fait mention de rencontres pédagogiques. Cette idée nous a séduit et nous avons décidé de créer un rendez vous régulier : « Les Apartés ». Á l’occasion d’un spectacle, une rencontre est organisée pour aborder un point d’histoire ou d’esthétique du théâtre. Une causerie, des images et des vidéos, un échange avec le public autour de Shakespeare, Molière, Büchner, Mozart, le théâtre ou le cinéma, seront proposés par des professeurs de l’université Paul-Valéry de Montpellier en entrée libre. Trio Rotem Sivan Vendredi 2 octobre 21h Samedi 3 octobre 21h Jazz club Avec Rotem Sivan, guitare / Haggaï Cohen Milo, basse / Mark MacLea, batterie / Concert organisé en partenariat avec Culture Jazz Né à Jérusalem, l’ange blond a conquis New York et séduit le monde entier de Montreux à Sonora. Rotem Sivan c’est un style et un son inimitable, un jazz innovant. Sa guitare n’est pas un fusil mais un instrument limpide, une source enchantée. L’air de ne pas y toucher, accompagné de son trio, il délivre la musique de vies intérieures colorées. Ça paraît tout naturel et c’est d’une sophistication inouïe. Ses deux premiers albums, Enchanted Sun et For Emotional Use Only sont juste nécessaires. Les règles du savoir-vivre dans la société moderne Tournée organisée en médiathèques, en partenariat avec La Médiathèque départementale Vendredi 6 novembre 19h Samedi 7 novembre 20h Dimanche 8 novembre 17h Lundi 9 novembre 21h Durée 1h30 environ A partir de 15 ans Eglise Saint Félix Théâtre création Qu’y a-t-il au-delà des slogans révolutionnaires ? Y-a-t-il des violences légitimes face aux systèmes qui broient ? Où sont passées les utopies ? Bernard Noël ne brosse personne dans le sens du poil et ne se paye pas de mots. Elles sont quatre sur la scène, un chœur lumineux qui nous questionne : quelle cause peut justifier notre sacrifice ? Quel « nous » dans une société qui se noie dans le « moi je » ? Il y a le pouvoir des mots mais aussi ses limites face à l’abîme. Il y a un vertige troublant. Poignant. Avec le Professeur Gutt et Jean-Pierre Rose L’impact des violences conjugales sur les enfants Jeudi 5 et vendredi 6 novembre Charles Tordjman et sa compagnie posent leurs valises à Bayssan pour une résidence de trois ans. Un théâtre du plaisir et de l’engagement. Pour notre bonheur. Texte de Bernard Noël / Mise en scène Charles Tordjman / Avec Camille Bernon, Julie Pilod, Marie Rémond, Alizée Soudet / Production sortieOuest, Compagnie Fabbrica Science amusante 1 : Chimie jeudi 19 novembre 14h30 Dans la continuité des conférences des Chapiteaux du livre présentées en septembre, sortieOuest et la Médiathèque départementale vous proposent tout au long de la saison des conférences en entrée libre avec différents professionnels. Monologue du Nous Aparté Samedi 7 novembre 18h En présence de Bernard Noël 6 Attention, magie ! Dans l’esprit de la Schubertiade de la saison passée, Mozart en cavale veut être comme un banquet. Tout un week-end, du vendredi soir au dimanche soir pour se régaler, en musique de chambre, des plus belles pages du génie précoce de Salzbourg. Un parcours, des découvertes, nul besoin d’être initié pour cette immersion pleine de surprises. Des lieux privés ouvriront leurs portes pour l’évènement. Ravissement et volupté en perspective. Mozart polymorphe Michael Wilmering, baryton (de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles) Vendredi 9 octobre à 21h : Concert à l’Eglise Saint-Félix Sonate pour piano seul / Quatuor pour flûte et cordes / Quintette pour cor et cordes / Divertimento pour cordes / Trio pour piano, clarinette et alto (« des Quilles ») Avec le Quatuor Van Kuijk : Raphaël Sévère, clarinette / Gustav Villegas, flûte / Julien Desplanque, cor / Nathanaël Gouin, piano Un concert d’ouverture en fanfare, où le génial Mozart s’exprime dans une multitude de formes. De la sonate au trio, en passant par le quintette et le quatuor, Mozart a mélangé avec génie les effectifs, et réussi à sublimer les voix de chacun des instruments convoqués. Pour cette soirée de chaises musicales, rendez-vous avec le piano, le cor, la flûte traversière, la clarinette et le quatuor à cordes. Mozart : sa vie, son chef-d’œuvre Samedi 10 octobre à 11h Rencontre en musique : Répétition commentée par les artistes autour du Quintette de Mozart pour clarinette et cordes Avec Raphaël Sévère et le Quatuor Van Kuijk S’il ne fallait retenir qu’une page de sa musique de chambre – en excluant la désormais trop célèbre Petite musique de nuit – ça serait celle-ci : le Quintette pour clarinette et cordes. Raphaël Sévère et le Quatuor Van Kuijk nous délivrent ici les ficelles et les clés d’écoute de la partition de Mozart, pour en saisir toute l’émotion. Place à la magie, sous le chapiteau de sortieOuest. Concert en quintette et parcours musical au château Samedi 10 octobre à 17h / Lieu surprise Rendez-vous à 17h à sortieOuest avec un panier pique-nique pour un voyage au cœur de Mozart et du patrimoine Programme détaillé à venir … Avec : Quatuor Van Kuijk / Raphaël Sévère, clarinette Gustav Villegas, flûte / Julien Desplanque, cor Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch, soprano Katarina Van Droogenbroeck, mezzo-soprano / / / / Après une écoute suspendue au son de la clarinette, place au mouvement lors d’un parcours en trois étapes. Notre troupe de chanteurs et instrumentistes fait se succéder solos, grands airs d’opéras, quatuors à cordes…et quelques surprises, en clin d’œil à Wolfgang. Mozart, ses grands airs & déjeuner aux Carrasses Dimanche 11 octobre à 11h Avec : Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch, soprano / Katarina Van Droogenbroeck, mezzosoprano / Michael Wilmering, baryton (de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles) Rencontre en musique : L’art vocal de Mozart commenté par trois chanteurs de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles . Résidents d’une prestigieuse école, Julia Szproch, Katarina Van Droogenbroeck et Michael Wilmering témoignent du travail de jeune chanteur et de l’apprentissage de la technique vocale, notamment celle du chant mozartien. Cette rencontre explore aussi la dimension théâtrale des personnages parfois fantasques de Mozart. Dégustation des vins du domaine à l’issue du concert. Déjeuner au Château Les Carrasses sur réservation uniquement 04 67 00 00 67 Du théâtre à l’Opéra Dimanche 11 octobre à 17h Extraits des Noces de Figaro, Cosi fan tutte, La Clémence de Titus, La Flûte enchantée Avec : Nathanaël Gouin, piano / Julia Szproch, soprano / Katarina Van Droogenbroeck, mezzosoprano / Michael Wilmering, baryton (de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Bruxelles) Notre cavale se termine par une grande soirée lyrique. Les trois chanteurs de la Chapelle Musicale prendront tour à tour – en solos, duos et trios – les rôles de Suzanne, Figaro, Sextus, Papageno, Pamina … et feront entendre, entre autres, les plus beaux airs du librettiste Da Ponte, dont la collaboration fructueuse avec Mozart a produit des monuments de l’opéra : Cosi fan tutte, Les Noces de Figaro… Aparté : Vendredi 9 octobre à 19h Avec Gérard Lieber Concert produit et programmé dans le cadre de La Belle Saison / La Belle Saison est soutenue par la SACEM Sonate à deux pianos Samedi 7 novembre à 21h Musique de chambre / création / Lieu surprise Ravel, Rhapsodie espagnole à 4 mains Mantovani, sonate à deux pianos (Création mondiale, en présence du compositeur) Stravinsky, concerto pour deux pianos solo Dukas, L’Apprenti sorcier (Transcription pour deux pianos) Avec : Jean-François Heisser, piano / Jean-Frédéric Neuburger, piano La création de cette sonate s’inscrit avec détermination dans une certaine tradition à Béziers et sa région. Nous pensons à Gustave Fayet, grand propriétaire viticole à Castelbon de Beauxhostes, un mécène inspiré qui utilisa les Arènes de Béziers pour des représentations théâtrales et lyriques tout en favorisant l’enseignement des arts et leur rayonnement. Un certain esprit généreux et enthousiaste qui met les équipements publics au service du public. C’est celui qui nous anime. Concert produit et programmé dans le cadre de La Belle Saison La Belle Saison est soutenue par la SACEM Tauberbach Vendredi 6 novembre à 21h Samedi 7 novembre à 20h A la Cigalière, Sérignan Durée 1h30 / Tout public Danse Münchner Kammerspiele, les ballets C de la B et Alain Platel / Conception et mise en scène Alain Platel / Créé et joué par Bérengère Bodin, Elie Tass, Elsie de Brauw, Lisi Estaras, Romeu Runa, Ross McCormack Production : Münchner Kammerspiele et les ballets C de la B Devise des ballets C de la B : « Cette danse s’inscrit dans le monde, et le monde appartient à tous ». C’est dit. Qui n’a jamais vu un spectacle de Platel doit combler cette lacune. Les autres savent (ceux qui ont vu Coup fatal la saison dernière, par exemple). Platel est une déflagration qui transforme. Il s’inspire ici de : 1) Une femme qui vit et travaille dans une décharge de Rio. 2) Des sourds (tauber, en allemand) qui chantent des cantates de Bach. La dignité dans l’impossible. Puissance et vitalité. Au-delà des mots. «Avec cette dernière création, Alain Platel met une nouvelle fois à nu l’humanité face à ses démons intérieurs sans cesser pour autant de la magnifier.» Élise Ternat , Les 3 coups. Spectacle co-accueilli avec La Cigalière scène associée de Sérignan Théâtre Samedi 3 octobre à 17h / Creissan Vendredi 16 octobre à 18h30 / Lespignan Vendredi 13 novembre à 18h30 / Maraussan Dimanche 6 décembre à 17h / Lieuran Cabrières Durée 1h / A partir de 14 ans De Jean-Luc Lagarce (Ed. Les Solitaires Intempestifs, 1995) / Avec Luc Sabot et Catherine Vasseur Production Compagnie Nocturne Ça se fait ou ça ne se fait pas ? Où est le sens de la mesure ? Jean-Luc Lagarce s’amuse avec une tendresse attentive des infinies déclinaisons de ce que l’on appelle les convenances. Car, fussentelles gravées dans le marbre, souvent les normes varient et même chez les plus intégristes des intégristes, au fond, tout s’interprète, tout est relatif. Avec un sérieux qui devient finalement très drôle, notre couple d’archivistes à blouses blanches trouve le ton juste avec leur petit théâtre d’experts itinérants. Jazz au jardin d’automne Festival européen du film d’éducation En partenariat avec le CEMEA et la Médiathèque départementale 8 Jeudi 15 octobre De 9h30 à 11h30 pour les écoles élémentaires. De 13h à 15h pour les collèges et les lycées. A partir de 19 h pour tout public. Quand le cinéma parle d’éducation, il fait œuvre d’intérêt général. Parce que le cinéma regarde le monde et nous le fait voir, parce qu’avec lui l’autre se rapproche, parce qu’il ose révéler l’inconnu. Le cinéma, c’est une fenêtre ouverte, un écran qui se traverse et crée des liens dans le partage d’émotions reçues. Il favorise l’échange de points de vue, nous touche et questionne nos certitudes dans la confrontation des regards et des goûts. Chaque séance est accompagnée d’une démarche de sensibilisation et de découverte. 19h : Le Garçon Boucher de Florian Geyer 2013 / France / 52 min Miguel, 17 ans, tombe dans la boucherie après un échec scolaire. Fils d’immigré portugais, petit, la dégaine des quartiers, il est à l’opposé de l’image que cherchent à perpétuer les bouchers. Au programme de son apprentissage, à l’école et en boutique, une rééducation quasi militaire : port de l’uniforme, polissage du langage, maîtrise de l’anatomie et des techniques de découpe. Miguel devra surmonter différentes épreuves pour être admis dans les ordres de la corporation. Échec ou réussite, sa métamorphose est en marche. Ambrose Akinmusire «The Imagined Savior is Far Easier to Paint» Dimanche 18 octobre à 17h 7 Avants scène du conservatoire Vendredi 16 octobre à 19h Eglise saint Félix de Bayssan / entrée libre MAO «Mieux appréhender l’ordinateur» Jean Luc Lehr, guitare basse et Sébastien Germain, piano jazz L’ambition de ce projet, produire une musique vivante en utilisant l’outil informatique dont chacun des musiciens sera équipé. Le projet musical correspond au thème des musiques de films, la matériel sonore sers issu des grandes œuvres cinématographiques. Aufgang Vendredi 16 octobre 21h Jazz Rami Khalifé, piano / Aymeric Westrich, batterie Les étiquettes, ils s’en balancent et tracent leur propre voie. Formés à New York, la ville du jazz, ils connaissent la musique classique sur le bout de leurs doigts véloces. Fans d’électro, ils composent les bandes-son de nos vies tourbillonnantes. Ils picorent chez Nirvana aussi bien qu’aux mélopées d’Oum Kalthoum ou dans la disco de Larry Levan. La technique est à leur service, non l’inverse. Leur musique est dansante et agitée de troubles telluriques ou d’envolées radieuses. Résultat : ils sont indispensables. Jazz Ambrose Akinmusire, trompette / Luis Bonilla, trombone / Luis Perdomo, piano /Guillermo Klein , piano / Sam Harris piano, Harish Raghavan , contrebasse et Justin Brown, batterie (sous réserve) Et la trompette fut. Celle d’Ambrose Akinmusire dessine des paysages, des visions, des idées, des états. De grâce, il faut bien le dire. Après des grands maîtres et des grands prix, c’est une voix qui donne leur liberté à des compositions entêtantes qui sort de sa trompette, une voix habitée de conscience et de fantaisie, d’ombres, de lumières. Ses concerts convoquent une magie. Piano, contrebasse, batterie, saxophone, tous prodiges, complètent le quintette. Une science qui est un art, et du grand. Une âme. Bourse aux vinyles et exposition le 18 octobre Le Faux pli & Vous veniez à peine de partir Théâtre / Marionnettes Deux spectacles, deux histoires… Production Cie les Voisins du dessus Lundi 9 novembre 10h-14h Mardi 10 novembre 10h-19h Durée 1h15 / En famille à partir de 5 ans Les Voisins du dessus, ce sont bien nos voisins. Rosa et Dominique Latouche vivent dans le Biterrois et ils posent leur théâtre de poche, Le Repaire, à Bayssan. Avec eux, sortieOuest propose au jeune public un théâtre de qualité dans une vraie relation de partenariat ( création, choix des spectacles, ateliers et actions de sensibilisation ). La marionnette est un grand art pour les petits et les grands. C’est en quelque sorte l’essence du théâtre, un art de l’évocation, un art sensible où un tout petit monde ouvre les portes d’un grand univers. Cet art nous donne les clés et les codes qui nous permettent d’appréhender toute la magie d’une représentation. Les Voisins, c’est pour toute la famille Le Faux pli Que faire ? (le retour) Mercredi 18 novembre 21h Jeudi 19 novembre 19h Vendredi 20 novembre 21h Durée 1h30 / A partir de 12 ans Théâtre Conception et mise en scène Benoît Lambert / Textes Jean-Charles Massera, Benoît Lambert (et des invités…) / Avec Martine Schambacher et François Chattot / Production déléguée Service Public, production Théâtre Dijon Bourgogne – CDN «Sous bénéfice d’inventaire», dit-on. Qu’est-ce qu’on garde ? Qu’est-ce qu’on jette ? Du texte écrit par Lénine en 1902, Que faire ?, Martine Schambacher et François Chattot gardent surtout le titre. Sans manquer d’humour ni de délire, face au dilemme « Combien d’œufs peut-on se permettre de casser pour la grande omelette de la Révolution ? », nos deux trieurs ajoutent : « Fautil jeter le bébé du projet d’une société plus juste avec l’eau du bain de Staline ?» Une question qui ne manque pas d’actualité. « C’est sans cesse drôle, facétieux, et doté d’une formidable énergie. » Sylviane Bernard-Gresh, Télérama Le Faux pli de et par Rosa Latouche Théâtre d’images animées et projetées sur écran Un dispositif graphique original où des figurines colorées évoluent dans un décor rétro-projeté. Le quotidien d’une petite fille qui aime aller à l’école et apprendre. Elle et sa grand-mère se détestent. La grand-mère est un monstre inculte. La petite fille apprend que sa grand-mère n’est pas sa grand-mère ! Ouf ! La petite fille est contente, au moins, elle ne ressemblera pas à cette mégère maléfique et cruelle ! Une fable aigre-douce pleine d’allégresse qui questionne les « racines » et se déguste avec gourmandise. Marx matériau Vous veniez à peine de partir de et par Dominique Latouche Les mots du théâtre, c’est tout un monde où la nuit et le jour sont de fabrication artisanale. Un petit bonhomme entré là par hasard va de surprise en surprise. De la cour au jardin en passant par une scène qui pourrait être un fleuve, prise au pied de la lettre, il croise une servante et c’est le grand amour. Une visite poétique et onirique qui nous entraîne dans la vie secrète des coulisses et des dessous et où l’on prend sa douche inondé de lumière. Avec ces marionnettes, on apprend et on rêve tout éveillé ! Virginie Teychené Vendredi 13 novembre 21h Samedi 14 novembre 21h Jazz club Virginie Teychené, voix / Gérard Maurin double basse, guitare / Stéphane Bernard, piano / JeanPierre Arnaud, batterie / Éric Le Lann, trompette «Encore» est le titre de son nouvel album et c’est justement ce qu’on a envie de lui dire à Virginie Teychené : « Encore ! » On en redemande et ça tombe bien, elle n’est pas avare de rappels, cette nouvelle étoile qui scintille fort au firmament du jazz vocal français. Musicienne accomplie, un sens du rythme foudroyant, une voix teintée de velours qu’elle utilise comme une instrumentiste sans une once d’esbroufe. Elle vit la musique, elle est musique tout entière, portée par une technique stupéfiante car invisible. On fond à fond. 9 Jeudi 19 novembre 21h Vendredi 20 novembre 19h Samedi 21 novembre 19h Mercredi 25 novembre 19h Jeudi 26 novembre 19h Vendredi 27 novembre 19h Samedi 28 novembre 18h Dimanche 29 novembre 17h Eglise Saint Félix Durée 1h20 / A partir de 15 ans Théâtre Conception et texte établi par Jacques Allaire et Luc Sabot / Mise en scène et scénographie Jacques Allaire / Avec Luc Sabot Production CDN Montpellier L-R , production déléguée Compagnie Nocturne Ringardisé, le grand barbu ? Tout le monde en parle mais qui l’a vraiment lu ? La Compagnie Nocturne remet les pendules à l’heure et retrousse ses manches car il faut construire. Avec chaleur, fraternellement, le théâtre n’est pas ici un lieu de complaisance mais l’espace privilégié d’une communauté humaine. Ça réveille, ça éclaire et ça fait plaisir d’entendre une œuvre dont le projet est de « rendre notre vie consciente d’elle-même ». Car si on ne s’occupe pas de politique, c’est elle qui s’occupe de nous. Tout un dimanche Dimanche 29 novembre Shakespeare Il était une fois 11h : Lecture de La Mort de Danton de G.Büchner 13h : Déjeuner Révolutionnaire 19h : Marx Matériau for ever Shakespeare est LE dieu du théâtre. Ses reliques sacrées : des pièces devenues des mythes, une légende, du mystère et des Sonnets étincelants. Shakespeare dit le monde et le cosmos au cœur de l’âme humaine, le fond du caniveau ou les ors de la Cour. Shakespeare est à sortieOuest cette saison avec deux spectacles : Macbeth (The Notes) et Les Sonnets de Shakespeare en décembre, cabaret musical interprété par la grande Nora Krief et pas seulement : des Apartés, du cinéma et des débats. Á l’occasion de son 400ème anniversaire, loué soit Le Grand Will. Macbeth (The Notes) Théâtre Dimanche 15 novembre 16h / Fraïsse sur Agout (maison pour tous) Mercredi 19 novembre à 19h / Cruzy Samedi 21 novembre 21h / Théâtre de Lamalou les Bains Mardi 24 novembre 20h30 / Fouzilhon (Théâtre de Pierres) spectacle co-accueilli avec la Communauté de Communes Avants Monts Centre Hérault Mercredi 25 novembre 18h45 / Portiragnes Jeudi 26 novembre 20h30 / Mèze (foyer municipal) Durée 1h30 un pauvre enfant Mercredi 25 novembre 19h Jeudi 26 novembre 19h Vendredi 27 novembre 21h Samedi 28 novembre 20h Durée 1h40 / A partir de 14 ans Théâtre D’après Woyzeck de Georg Büchner / Une création collective de Clément Delpérié, Simon Mauclair, Nolwenn Peterschmitt / Dirigée par Jean-Baptiste Tur / Avec Clément Delpérié, Simon Mauclair, Nolwenn Peterschmitt / Production Collectif Zavtra Inspirée d’un fait divers survenu en 1821 (un perruquier-coiffeur au chômage poignarde sa petite-amie), Woyzeck, est une œuvre en morceaux, à composer, l’ordre n’ayant pas été fixé par l’auteur, mort à 24 ans du typhus. Le texte de Büchner, quarante-neuf fragments de la chronologie bousculée d’un pauvre hère devenu meurtrier, est remis en forme, actualisé et recentré autour du fait divers brut par le Collectif Zavtra. On passe du rire aux larmes en entrant dans la « comédie absurde d’un développement tragique ». Aparté Vendredi 27 novembre 19h, en entrée libre Woyzeck de Georg Büchner. La singulière histoire d’une pièce laissée inachevée en 1837 et qui est devenue depuis le XXe siècle une œuvre majeure qui attire les metteurs en scène, les dramaturges, les acteurs, les scénographes, les compositeurs, les musiciens et le public. Conférence par Gérard Lieber. D’après Macbeth de William Shakespeare Conception et adaptation Dan Jemmett et David Ayala Mise en scène Dan Jemmett Avec David Ayala Production Compagnie des Petites heures Samedi 28 novembre, la représentation sera suivie de l’Heure Bleue, concerts en entrée libre organisés par l’association Univart. Truculence et délicatesse sont des mots qui vont très bien ensemble quand il s’agit de Shakespeare et de l’acteur ogre David Ayala, poète des firmaments aussi bien que des abysses, singulier par la puissance autant que par la grâce. Dans la nuit noire du théâtre un homme apparaît, un metteur en scène qui délivre ses notes d’après répétition et s’adresse aux spectateurs comme à des acteurs. Avec humour l’acteur s’en donne à cœur joie. Notre démiurge inspiré fait même référence à Bip Bip et au fameux Coyote ! le billet d’humeur « Brillant, cocasse, irrésistible. Une sacrée célébration du théâtre et de Shakespeare. » A. Heliot, Le Figaro Islam Karimov fait partie de ceux qui, ayant fait carrière dans les rangs du Parti communiste de l’Union soviétique et atteint les plus hauts postes, devinrent, par un légal tour de passe-passe, présidents de leurs pays devenus indépendants. Karimov, bon élève, a gardé les bonnes vieilles habitudes : arrestations arbitraires, étouffement de toute opposition, musellement des médias, mainmise sur la société civile. Voulant encore mieux faire, le président Karimov vient d’interdire les sciences politiques. Il les a remplacées par la « Théorie et pratique de la construction d’une société démocratique en Ouzbékistan ». Les sciences politiques ? Une Importation occidentale ! La « démocratie » ? une insulte dans la bouche d’un Poutine. Les Chinois, entre deux baguettes, affirment, eux : vos valeurs ne sont pas les nôtres. L’occident est-il si pourri, si veule, si moche ? Heureusement, les réfugiés sont arrivés. En masse. Ils nous aiment eux. Ils n’ont d’yeux que pour nous, ils nous considèrent. Merci les réfugiés ! Apartés Lundi 9 novembre à 19h : « Shakespeare : un théâtre citoyen » par Florence March, entrée libre Lundi 16 novembre à 19h : « Macbeth ou la folie du pouvoir », par Nathalie Vienne-Guerrin, en entrée libre Cinéouest Samedi 21 novembre 11h / Looking for Richard d’Al Pacino (1997) Avec Alec Baldwin, Kevin Spacey, Winona Ryder 15h / Peines d’amour perdues de Kenneth Branagh (2000) Avec Kenneth Branagh, Alessandro Nivola, Alicia Silverstone 17h30 / Othello d’Orson Welles (1952) Avec Orson Welles, Michael McLiammoir et Robert Coote Journée en partenariat avec le Ciné-club de Béziers Merci les réfugiés ! Jean-Pierre Thibaudat http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-pierre-thibaudat ... En plus de la plaquette bi-annuelle, le journal paraitra de façon bi-mestrielle. Prochain numéro : décembre 2015 Rédaction des textes François Rodinson Création Thierry Plus / [email protected] / Licenses entrepreneur de spectacles : 1-1035157 / 2-1035158 / 3-1035159 Les savoirs partagés saison 2015/2016 Danse Vendredi 6 novembre / 21h Samedi 7 novembre / 20h La Cigalière / Sérignan Tauberbach / Alain Platel Musique de chambre création Samedi 7 novembre / 21h / Lieu surprise Chantier de création Vendredi 22 janvier / 21h Samedi 23 janvier / 20h Dimanche 24 janvier / 17h Lundi 25 janvier / 19h Sonate à deux pianos / Bruno Mantovani Théâtre marionnettes Lundi 9 novembre / 10h-14h Mardi 10 novembre / 10h-19h La Brebis galeuse D’après A. Celestini / Dag Jeanneret Le Faux pli suivi de Vous veniez à peine de partir / Cie les voisins du dessus Jazz Samedi 23 janvier / 21h Théâtre Vendredi 13 novembre / 18h30 / Maraussan Septembre Du 24 au 27 septembre Chapiteaux du livre / Salon du livre Octobre Les Règles du savoir vivre dans la société moderne Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot Jazz club Vendredi 13 novembre / 21h Samedi 14 novembre / 21h Virginie Teychené Théâtre / Shakespeare for ever Dimanche 15 novembre / 16h Fraïsse sur Agout / maison pour tous Jeudi 19 novembre/ 19h / Cruzy Samedi 21 novembre / 21h Théâtre de Lamalou les Bains Mardi 24 novembre / 20h30 Fouzilhon / Théâtre de Pierres (spectacle co-accueilli avec la Communauté de Communes Avants Monts Centre Hérault) Mercredi 25 novembre / 18h45 Portiragnes Jeudi 26 novembre / 20h30 Mèze – Foyer municipal Macbeth (The notes) / Dan Jemmett / Jeudi 19 novembre / 14h30 Sciences amusante 1 : Chimie Thé des curieux Jazz club Vendredi 2 octobre / 21h Samedi 3 octobre / 21h Trio Rotem Sivan Théâtre Samedi 3 octobre / 17h / Creissan Les règles du savoir vivre dans la société moderne Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot Musique de chambre du 9 au 11 octobre Mozart en cavale / Jeudi 15 octobre / 14h30 Nature et patrimoine : Une anthologie Thés des curieux Cineouest Jeudi 15 octobre / 19h Festival Européen du film d’Education Théâtre Vendredi 16 octobre / 18h30 / Lespignan Les Règles du savoir vivre dans la société moderne Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot Jazz au jardin d’automne Vendredi 16 octobre / 19h Avant scènes du conservatoire MAO «Mieux appréhender l’ordinateur» vendredi 16 octobre / 21h Aufgang dimanche 18 octobre / 17h Ambrose Akinmusire Bourse aux vinyles & exposition Théâtre Mercredi 18 novembre / 21h Jeudi 19 novembre / 19h Vendredi 20 novembre / 21h Que faire ? (le retour) / Benoit Lambert Théâtre Jeudi 19 novembre / 21h Vendredi 20 novembre / 19h Samedi 21 novembre / 19h Mercredi 25 novembre / 19h jeudi 26 novembre/19h Vendredi 27 novembre / 19h Samedi 28 novembre / 18h Dimanche 29 novembre / 17h Marx matériau Jacques Allaire / Luc Sabot Dimanche 29 novembre Tout un dimanche / Lectures, déjeuner Cineouest / Samedi 21 novembre 11h / Looking for Richard 15h / Peines d’amour perdues 17h30 / Othello Théâtre Mercredi 25 novembre / 19h Jeudi 26 novembre / 19h Vendredi 27 novembre / 21h Samedi 28 novembre / 20h Il était une fois un pauvre enfant / D’après Woyzeck de G. Büchner / Collectif Zavtra Samedi 24 octobre / A partir de 14h Univart / Saisons électriques 1 Novembre Jeudi 5 et vendredi 6 novembre Conférence « L’impact des violences conjugales sur les enfants » Théâtre création Vendredi 6 novembre / 19h Samedi 7 novembre / 20h Dimanche 8 novembre / 17h Lundi 9 novembre / 21h Monologue du Nous Bernard Noël / Charles Tordjman Décembre Théâtre Dimanche 6 décembre / 17h / Lieuran Cabrières Les Règles du savoir vivre dans la société moderne Jean-Luc Lagarce / Luc Sabot Théâtre Samedi 5 décembre / 18h Dimanche 6 décembre / 17h Lundi 7 décembre / 19h Mardi 8 décembre / 19h Mercredi 9 décembre / 21h Teste ou le lupanar des possibilités / D’après Paul Valery / Alain Béhar Vendredi 11 décembre / 19h Avant scènes du conservatoire Samedi 12 décembre/ 18h Café philo Cirque Mardi 15 décembre / 19h Mercredi 16 décembre / 19h Jeudi 17 décembre / 14h Theatre d’objets cinématographique Lundi 25 janvier / 10h et 14h Mardi 26 janvier / 10h et 19h Bang ! / Cie Volpinex Danse Mardi 15 mars / 21h Jazz club Vendredi 29 janvier / 21h Samedi 30 janvier / 21h Catia Werneck Février Théâtre Mardi 2 février / 19h Mercredi 3 février / 21h Jeudi 4 février / 19h Rendez-vous gare de l’Est / Guillaume Vincent Théâtre / musique baroque Mardi 2 février / 21h Mercredi 3 février / 19h Jeudi 4 février / 21h Monsieur de Pourceaugnac / Molière Clément Hervieu-Léger & les Arts Florissants Thés des curieux Jeudi 4 février / 14h30 Les secrets de l’Or Concert Vendredi 18 décembre / 21h Théâtre - cabaret Jeudi 4 février 18h45 / Portiragnes Vendredi 5 février / Communauté de communes Canal Lirou Saint Chinianais Samedi 6 février / 21h / La Tuilerie, Bédarieux Dimanche 7 février / 17h /Saint Etienne d’Albagnan Vendredi 18 décembre Béziers / La Colonie Espagnole Samedi 19 décembre Béziers / sortieOuest Festival fabrique VI / Les saisons électriques 2 Janvier Thé des curieux Jeudi 14 janvier / 14h30 Bédarieux / La Tuilerie Sciences amusante II : Illusions d’optiques : La suite Welt / Cie Life is not a picnic Dimanche 7 février / A partir de 11h Samedi 13 février/18h Café philo Théâtre Mercredi 17 février / 21h Jeudi 18 février / 19h Vendredi 19 février / 21h L’art du Théâtre / Julien Bouffier Mars Théâtre Mercredi 9 mars / 19h Jeudi 10 mars / 21h Vendredi 11 mars / 19h Cineouest / mardi 1er décembre / 19h Cineouest / Samedi 16 janvier 11h / Toto le héro 16h / Le Tout nouveau testament Théâtre marionnettes Jeudi 3 décembre / 10h et 14h Vendredi 4 décembre / 10h et 19h Jazz / Dimanche 17 janvier / 17h Pézenas / théâtre historique Thé des curieux / Jeudi 10 mars / 14h30 Danse Mardi 19 janvier / 19h Mercredi 20 janvier / 21h Jeudi 21 janvier / 19h Théâtre Jeudi 10 mars / 19h Vendredi 11 mars / 21h Samedi 12 mars / 21h Les 3 vies du chevalier Les actualités / Cie de l’échelle Théâtre musique Vendredi 4 décembre / 21h Samedi 5 décembre / 20h Les Sonnets de Shakespeare / Fredéric Fresson Daniel Mille interprète Astor Piazolla Kiss and Cry / Michele anne De Mey Jaco Van Dormael Je m’efforcerai de te suivre M. Houellebecq / Rita Cioffi Théâtre Mardi 15 mars / 19h Mercredi 16 mars / 21h L’homme et Cætera / R. Checchetto / Bela Czuppon Théâtre Vendredi 18 mars / 19h / Mons la Trivalle Samedi 19 mars / Communauté de Communes Canal Lirou Saint Chinianais Samedi 26 mars / 18h / Montblanc Dimanche 27 mars / 17h / Portiragnes Théâtre marionnettes Lundi 21 mars / 10h et 14h Mardi 22 mars / 10h et 19h Valises d’enfance / Christine Delattre Théâtre Mardi 22 mars / 21h / Bédarieux - La Tuilerie Jeudi 24 mars / 20h45 / Pézenas - Théâtre historique Vendredi 25 mars / 20h45 / Pézenas - Théâtre historique La Princesse de Clèves d’après Madame de La Fayette / Marcel Bozonnet Théâtre / Mars 2016 Tournée organisée en médiathèques, en partenariat avec La Médiathèque départementale Du côté de la vie / Pascal Lainé Jazz / Vendredi 25 mars / 21h Chris Potter Quartet Chanson française Mardi 29 mars / 20h30 / Corneilhan Sous la peau des filles / Juliette « Tout un dimanche » autour de Molière Théâtre Vendredi 15 janvier / 21h Samedi 16 janvier / 21h Elisabeth II / T. Bernhard / Aurore Fattier Quintet avec Piano / Quatuor Strada Savoir enfin qui nous buvons / Sébastien Barrier Mañana es mañana / Julien Vittecoq Jur « Tout un dimanche » autour de A .Tchekhov Musique classique Dimanche 13 mars / 17h Recettes des ménagères du Biterrois Le chagrin / Caroline Guiela Nguyen Dimanche 13 mars James Carter organ trio Thé des curieux / Jeudi 10 décembre / 14h30 Théâtre Jeudi 10 décembre / 19h Vendredi 11 décembre / 21h Jazz club Vendredi 8 avril 21h Samedi 9 avril 21h Campagne - Fragments d’un discours politique J. Jaurès (extrait) / Marc Baylet Delperier Sciences amusantes III : Chimie Non c’est pas ça ! d’après A. Tchekhov / Le grand cerf bleu Dmitri Baevski Trio Théâtre Mercredi 13 avril 21h Jeudi 14 avril 19h Pharmakos / Cie Moebius Thé des curieux Jeudi 14 avril / 14h30 Musique classique Vendredi 15 avril / 21h / Lieu surprise Stéphane Degout & Alain Planès Café Philo Samedi 16 avril / 18h Mai Jazz club Vendredi 6 mai / 21h Samedi 7 mai / 21h Al Foster Chantier de création Lundi 9 mai / 19h Mardi 10 mai / 21h Mercredi 11 mai / 19h Jeudi 12 mai / 19h Les chaises D’après E. Ionesco / Bernard Levy Jazz Vendredi 13 mai / 21h Chassol Mai-Juin Côté cour - côté jardin Du jeudi 19 mai au dimanche 22 mai Festival Saperlipopette Théâtre Vendredi 27 mai / 20h30, Fouzilhon - Esplanade L’ogre et l’enfant / Théâtre Pôle Nord Avril Chanson française Vendredi 1er avril / 20h30 / Tourbes Samedi 2 avril / 21h / La Livinière - salle des fêtes, Dimanche 3 avril / Orb et Taurou Mardi 5 avril / 20h30 / Orb Jaur Jeudi 7 avril / 19h / Salleles du Bosc - salle Jules Bral Vendredi 8 avril / 21h / Hérépian - salle des fêtes Samedi 9 avril / 21h / La Salvetat-sur-Agout - salle des fêtes Juin Thés des curieux / jeudi 9 juin / 14h30 Aller sur le motif… Week-end après le baccalauréat La nuit électrique – Les saisons électriques 3 Exposition juin 2016 Des images d’Epinal au livre d’Art Sous la peau des filles / Juliette Théâtre création Vendredi 1er avril / 21h Samedi 2 avril / 20h Dimanche 3 avril / 18h Lundi 4 avril / 14h Mardi 5 avril / 19h Juillet Braises et cendres D’après B. Cendrars / Jacques Nichet Théâtre marionnettes Lundi 4 avril / 10h et 14h Mardi 5 avril / 10h et 19h Victor enfant sauvage / Dominique Latouche 24 au 30 juillet Festival Les Nuits de la terrasse & del Catet Crédits photos : Savoir enfin qui nous buvons : Angélique Lyleire Kiss and cry : Marteen Vanden Abeele L’art du théâtre : Marc Ginot Aufgang : Yann Orhan Macbeth : Patrick Berger Sonate à deux pianos : CBastien James Carter : Ingrid Hertfelder Tauberbach : Chris Van der Burght Que faire : V.Arbelet Les règles du savoir vivre : DR Le Chagrin : Jean Louis Fernandez Elisabeth 2 : Face to face design Bang : Carine Auzier Ambrose Akinmusire : Emra Islek Chassol : Louis Canadas Le faux pli : Ludovic Roubet Victor enfant sauvage : Ludovic Roubet Je m’efforcerai de te suivre : Pierre Veuve Eglise Les actualités : DR Sonnets : JeanLouisFernandez Daniel Mille : Olivier Solong Pharmakos : loran chourrau le petit cowboy Pourceaugnac : Piazzale Flaminio, Rome, 1956 ®William Klein Rdv gare de l’Est : E.Carecchio Welt : Gerard Brun L’ogre et l’enfant : Christophe Laporte Chris Potter : Tamas Talaber Manana es manana : E. Perra Charles Tordjman : DR Jur : Laurent Noël Braise et cendres : DR Anatole : DR Il était une fois un pauvre enfant : DR Allez Oli A l’Eau : Sylvie Bonnin sortieOuest fait résonner la culture dans tout le Biterrois. Sur le domaine de Bayssan, mais aussi dans les communes traversées par le Grand Tour !, ces représentations qui viennent au plus près de vous. Profitez-en ! Philippe Vidal / Président de sortieOuest Les tarifs Où et comment prendre des places ? Le service éducatif Théâtre, cirque, musique classique, jazz, jazz club et musique du monde : Tarif plein : 16 € Tarif réduit : 13 € (18-25 ans, étudiants de plus de 26 ans, plus de 60 ans) Tarif sortieOuest : 11 € (demandeurs d’emploi) Tarif jeune : 6 € (scolaires, étudiants de moins de 26 ans, et professionnels du spectacle, bénéficiaires des minimas sociaux) Collégiens de l’Hérault : 1 € Réservation Vous pouvez réserver vos places toute la saison, dans la mesure des places disponibles, par téléphone au 04 67 28 37 32, du mardi au vendredi de 15h à 19h et le samedi à partir de 16h, soirs de représentation uniquement. L’École du spectateur Aller au théâtre répond à une volonté partagée d’ouverture et bien souvent fait suite à un projet d’éducation artistique : initier à l’expérience active du spectateur, explorer le répertoire théâtral, découvrir les écritures d’aujourd’hui et la création contemporaine. Le service éducatif de sortieOuest propose aux enseignants de tous niveaux de les accompagner dans la réalisation et la mise en place de leurs projets d’éducation artistique. Enseignant du service éducatif : Grégoire Corbic Le Conseil départemental de l’Hérault soutient la sensibilisation des jeunes au spectacle vivant grâce au théâtre à 1 euro pour les collégiens. Le Grand Tour ! Tarif plein : 10 € Tarif réduit : 6€ (scolaires et étudiants de moins de 26 ans, professionnels du spectacle bénéficiaires des minima sociaux) Spectacles Théâtre à l’Église Saint-Félix : 10 € TP/ 6 € TR Spectacle Jeune Public Tarif famille (3 personnes minimum) Enfants : 6 € / accompagnants : 13 € Thé des curieux, atelier des curieux, chantiers de création, cinéma : Tarif unique : 5 € Abonnement jeune : 4 spectacles 20 € / 1 concert possible (nominatif pour les scolaires et étudiants de moins de 26 ans) Grâce à votre abonnement, faites découvrir le théâtre et invitez un ami sur l’un de vos 4 spectacles (offre réservée pour un jeune ou un étudiant). Carte découverte (non nominative) : 6 spectacles : 75€ / 2 concerts possibles Pass Mozart en cavale Pass 5 concerts : 55 euros Pass 5 concerts pour porteurs de la carte sortieOuest : 40 euros Concert du matin : tarif unique 10 € Offre découverte pour les jeunes : un concert du matin offert pour une place achetée Château Les Carrasses propose un hébergement à tarif préférentiel pour ce week-end. Nous consulter. Les ateliers Renseignements et inscription à la billetterie sortieOuest à partir du 10 septembre. Atelier de théâtre amateur L’atelier théâtre amateur 2015-2016 est animé par Dag Jeanneret et débute le lundi 28 septembre. Cotisation annuelle : carte sortieOuest + 200 € Cycle Gospel Pour la cinquième année, le cycle de chant gospel permet aux personnes désireuses de chanter en chœur d’apprendre et de pratiquer cette musique, grâce à 8 journées de formations dans l’année. Intervenants : Rachel Ratsizafy, Cédric Chauveau Cotisation annuelle : carte sortieOuest + 200 € Accueil au théâtre La billetterie sortieOuest ouvre ses portes 1h30 avant le début des représentations. La bouquinerie l’Air de Rien de Laurent Lalande vous accueille les soirs de représentation avec un large choix de livres neufs et d’occasion. Régina Laurence et l’équipe du Chapiteau Gourmand vous proposent un choix de plats frais à l’ardoise, tapas, bar à vin. Le restaurant est ouvert avant et après les spectacles et le midi sur réservation 06 25 50 51 21. Les lieux de la saison sortieOuest Théâtre sortieOuest Domaine de Bayssan le haut / Route de Vendres 34500 Béziers 04 67 28 37 32 - sortieouest.fr parking gratuit La Tuilerie Route de Clermont - 34600 Bédarieux 04 67 23 87 26 La Cigalière Parc Rayonnant - 34410 Sérignan 04 67 32 63 26 Le Grand Tour ! Les adresses des salles des communes visitées par le Grand Tour vous seront communiquées au moment de la réservation et dans le billet mensuel de sortieOuest. Se rendre à sortieOuest Ligne bus 213 : Béziers / Vendres arrêt Domaine de Bayssan, plusieurs fois par jour du lundi au samedi. Renseignements : 04 67 49 49 65 Création Thierry Plus / [email protected] / Licenses entrepreneur de spectacles : 1-1035157 / 2-1035158 / 3-1035159 Renseignements pratiques