Paul Sereni, agrégé de philosophie et docteur es lettres, enseigne dans le secondaire. Auteur d'articles dans les revues Actuel Marx et Europe, il a également publié : Marx la personne et la chose, paru aux éditions L'harmattan, dans la collection « Ouverture philosophique », en 2007. ™xHSMCTGy082397z OUVERTURE PHILOSOPHIQUE Dans un court passage du premier chapitre du Capital, Marx pose une étonnante analogie entre une robinsonnade, un modèle d'économie simple sans échanges, et une réunion d'hommes libres, qui est un des noms du communisme. La transparence et la simplicité paraissent communes à ces deux formes. En mettant au centre d'une lecture de Marx ce passage, le but a été d'examiner deux ensembles de questions. D'un côté, si une certaine clarté est une note essentielle du communisme et de la communauté, une telle forme est-elle possible; est-elle souhaitable? De l'autre, quels seraient plus précisément les domaines d'activité, individuels ou collectifs, subsumés sous le concept d'une communauté transparente? Comment comprendre la thèse d'un libre déploiement des forces individuelles dans le communisme? Tenter de répondre à ces questions supposait d'inclure dans la lecture certaines critiques régulièrement adressées à Marx, de manière à mieux saisir le sens de ses propos les plus problématiques, au moins en apparence. Une première étape est ainsi consacrée à la possibilité institutionnelle et économique, au sens large, de l'association communiste. La seconde tente de préciser l'idée qu'a pu se faire Marx de la liberté individuelle comme libre activité. Paul SERENI MARX, L’ASSOCIATION ET LA LIBERTÉ La communauté en question La communauté en question La communauté en question MARX, L’ASSOCIATION ET LA LIBERTÉ MARX, L’ASSOCIATION ET LA LIBERTÉ Tome 2 ISBN : 978-2-296-08239-7 22 € OUVERTURE PHILOSOPHIQUE OUVERTURE PHILOSOPHIQUE