The pancake problem-12.11 Nico

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 The pancake problem…
“Bears do it but pandas in captivity often won’t“.
Un projet de la Breathless_cie
Création 2015 -2016
Dessin
Vera Trachsel
Nouvelle création destinée à la saison 2015-2016
Titre Durée envisagée The Pancake Problem 60 minutes Distribution
Conception et chorégraphie Louise Hanmer Assistante chorégraphique Valentine Paley 4 Interprètes (distibution en cours) Vincent Fontannaz (à confirmer) Valentine Paley Marius Schaffter (à confirmer) Danseuse à définir Costumes Aline Courvoisier Scénographie Claire Peverelli Son A définir Lumières Jonathan O’Hear (à confirmer) Installation vidéo Nicolas Wagnières Administration Laure Chapel/Pâquis Production Contact et informations
Louise Hanmer 079 778 17 33 [email protected] www.breathlesscie.com Point de départ
L’inspiration de départ de cette nouvelle création fait suite à la lecture d’un article paru dans le magazine le New Yorker à l’automne 2013, intitulé “Bears do it but pandas in captivity often won’t“. Il s’agit d’un article qui parle de la difficulté qu’ont les pandas en captivité à se reproduire. Dans cet article, on parle du panda, un animal en voie de disparition. Le panda est originaire de Chine, où il vit dans des régions montagneuses et retirées. Il n’y a pas longtemps, on n’en comptait plus que mille. La particularité avec le panda, c’est qu’il ne se reproduit qu’une fois l’an, généralement au printemps. La femelle donne vie à un petit à la fois, et quand il y en a deux qui naissent, souvent elle laisse le plus faible mourir, pour se consacrer pleinement au développement d’un seul petit oursidé. L’Homme, qui considère le Ailuropoda melanoleuca ou panda géant, comme un symbole de la paix, ne peut supporter l’idée que ce si joli animal tant aimé des enfants, du WWF (logo) ou de Steven Spielberg (film d’animation Kung Fu Panda), puisse un jour, disparaître de la planète terre. C’est pourquoi, les chinois ont créé des centres de reproduction. Kung Fu Panda (Dreamworks) Jeune panda dans son centre de Chengdu Malheureusement, les choses ne se sont pas déroulées tout à fait comme souhaitées. La femelle, loin de sa montagne, semble ainsi avoir perdu son instinct, et plutôt que de pointer son derrière en signe d’invitation, elle s’aplatit comme une crêpe. Le mâle se montre lui, totalement désintéressé de sa partenaire. Les chercheurs, fort ennuyés, ont utilisé moults stratagèmes pour encourager le coïte de “nos amis“, entre soins maternants et interventions médicales à la limites du sadisme ! Notre cher panda, qui passe 8 à 10 heures par jour à se nourrir, consomme environ 20 kilos de tiges de bambou, et tant cette denrée se trouve aisément dans les forêts chinoises, tant son approvisionnement dans une cage peut devenir source d’angoisse pour l’animal. Ensuite, le principal prédateur de notre végétarien, c’est nous, et s’en approcher, signifie l’habituer à la présence humaine, et le rend vulnérable au retour à la vie sauvage. Enfin, hors de son habitat naturel, le panda se déplace peu, devient apathique, et n’a plus trop envie de s’accoupler. Gênant quand on sait que la durée de la chaleur de la femelle n’est que de 3 jours sur 365 !!! Hum…. Il est donc bon de se demander pour qui la disparition du panda est-­‐elle en fin de compte un problème : pour l’homme ou pour l’animal ? Et même, la bête ne perd-­‐t-­‐elle pas ainsi sa propre nature, dite “sauvage“, en devenant une espèce dé-­‐naturée, endossant un rôle que l’espèce humaine veut bien lui donner, celui d’un grand “Teddy bear“ version live ? Thème
« Aucun animal ne « confirme » l’homme, que ce soit positivement ou négativement. L’animal peut se faire tuer puis manger, de telle sorte que son énergie s’assimile à celle que le chasseur possède déjà. L’animal peut se faire apprivoiser, de telle sorte qu’il fournit au paysan nourriture et aide dans le travail. Mais toujours, l’absence de langage commun, le silence de l’animal garantissent sa distance, sa différence, son exclusion par l’homme .» G. Aillaud -­‐
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Nous travaillerons également à partir des textes de Gilles Aillaud : “Pourquoi regarder les animaux ?“ et “Le visible et le caché“, ainsi que ceux de Gérard Wajcman : “Les animaux nous traitent mal“. Plus de cent ans après l’instauration de l’économie de marché, nous nous pencherons sur les paradoxes qui se dégagent dans le lien entre l’homme et l’animal, et sur ce besoin humain de domestiquer l’animal à son image. Bien que la nature soit encore perçue aujourd’hui comme un lieu idéalisé, dénué de “toxicité“, un espace sauvage et vierge, le texte de Wajcman nous amènera à questionner cette vision. L’animal est vu comme cet être proche de ses instincts, qui rappelle à l’homme que lui aussi, a été “animal“, mais qui à l’inverse, fort de son intellect, s’est développé et a évolué. Cette dualité que l’on persite à maintenir dans notre imaginaire correspond-­‐t-­‐elle bien à la manière à laquelle nous évoluons avec notre environnement ? A l’heure de la vidéo surveillance, de la petite caméra portée sur la tête, et des smartphones, tout est répertorié, et le monde est devenu un grand mirador sans qu’un mètre carré ne soit filmé. En mettant la nature sauvage sous surveillance, ne sommes-­‐nous pas en train de nous en éloigner ? Et les animaux, privés de toute possibilité d’invisibilité, réduits à la simple notion de chiffre, leur restent-­‐ils encore une part d’être sauvage ? Au final, il semble qu’aujourd’hui, il soit plus simple de “sauver“ les animaux, que de sauver notre propre race. N’est-­‐ce pas au moins là, de cette impuissance, que nous devons en tant qu’être humain être conscient ? De ces réflexions émergent les interrogations suivantes : Que peut signifier le mot “nature“ aujourd’hui, et la nature existe-­‐t-­‐elle encore ? Comment nous représentons nous l’animal dans son habitat naturel, et lorsque nous mettons des animaux en captivité, quelle relation cherchons-­‐nous alors à créer ? Quelle part d’animalité reste-­‐t-­‐il en nous, êtres humains, et qu’en faisons nous ?
Réalisation
L’écrivain François Terrasson, dans le livre Natures en tête, évoque à propos de notre lien à la nature, l’existence d’un “rapport de double contrainte“. « Donnez-­‐moi vite de la Nature, sauvage de préférence, mais à condition que ça n’en soit pas, pourvu que ça en soit quand même, au moins que ça en ait l’air, tout en portant les signes symboliques qui me montreront que ça n’en est pas ! » F. Terrasson A qui s’adresse cette injonction ou cet appel désespéré ? Pour tenter d’y répondre, nous allons chercher à plonger dans l’imagerie que le panda véhicule à travers le monde, notamment sur le web. A partir des occurrences apparaissant en “googleisant“ le mot “panda“, nous pourrons établir une sorte de cartographie, un “nuages“ de mots, d’images et de vidéos, donnant à voir une certaine représentation de l’animal. Nous allons étudier les pratiques qui se déroulent dans les centres de protection et de reproduction de pandas. Quels moyens sont-­‐ils déployés, et surtout quel lien (ou non lien) cherche-­‐t-­‐on à tisser avec l’animal : entre “éjaculations stimulées par impulsion électrique“ et “combinaisons panda-­‐camouflage“ permettant de ne pas “entrer en contact“ avec l’animal… Nous apprendrons aussi comment la Chine loue cet animal aux zoos du monde entier à des tarifs exorbitants, et comment il est placé au rang de “Star“, telle une célébrité du “Show buisiness“, lorsqu’il se déplace en avion FedEx, et qu’il est accueilli par des hommes vêtus de jaunes où figure l’inscription “FedEx Panda Team“. Nous irons peut-­‐être visiter le zoo de Beauval, à Paris…et rencontrer Huan Huan et Huan Zi. Vidéo caméra du WWF dans le Sichuan Huan Huan et Huan Zi arrivent à Roissy, janvier 2012. C’est en grande partie au travers de ces expériences et de ce matériau que nous chercherons à faire émerger des “binômes thématiques“, qui nous permettrons de développer et d’articuler les contours de personnages, scénettes, ou intercations. Je continuerai ainsi le travail de la cie Breathless où le mouvement chorégraphique n’est jamais loin d’une théâtralité, et où la théâtralité garde toujours sa part d’abstraction. Un important matériel sera ainsi créé autour de d’oppositions comme : activité/passivité, verbal/non verbal, visibilté/invisibilté, ordre/chaos, etc… . Espace et mouvement
Je poursuivrai également avec ce projet un travail sur la transformation du corps, déjà abordé dans “Une Curiosité“ (solo présenté au Théâtre du Galpon en 2013). En s’inspirant des formes et des propriétés du panda, nous allons avec la collaboration d’une costumière et des interprètes, créer des habits qui permettent une transformation instantanée. Il ne s’agira pas de se déguiser en panda, mais de partir de ses particularités physiques, pour tantôt se grossir, tantôt se camoufler et parfois se travestir. La scène, dont l‘espace pourra passer du chaos à un ordre clinique, deviendra alors le lieu de cette rencontre, peut-­‐être impossible, entre l’homme et l’animal, le scientifique et son objet d’études, le fan et son objet d’admiration, le soignant et le malade, etc… L’espace sera celui d’une “nature“ idéalisée et innaccessible, mais également celui d’un lieu en pleine exposition, lieu d’artifice et de mise en scène, à une époque où tout passe par l’image et sa représentation, la visibilité et la communication. En contrepoint de cette de mise en abîme, il se peut qu’apparaîsse une de ces stars “malgré elle“, sous la forme d’une retransmission par “webcam“ projetée depuis le zoo d’Edinburgh, de Chengdu ou de San Diego. L’image rendra compte alors d’un là-­‐bas et maintenant bien actuel, mais qui loin d’évoquer “l’animal rêvé“, nous ramènera à une place de spectateur sans spectacle. Car peut-­‐être aurions nous oublié que ce que nous nommons parfois animalité, n’est en fin de compte rien d’autre qu’une profonde nature humaine. Valentine Paley, recherche, octobre 2014 Note sur la compagnie Breathless
La compagnie Breathless a été crée en 2001 à Genève, suite à une première collaboration entre la danseuse Louise Hanmer et le vidéaste Laurent Valdès: "Solo one" (2000), spectacle suivi de "Like a Teddy Bear" (2001), "I feel always like home, even in myself" (2002). En 2004 Louise Hanmer reprend la direction de la compagnie et présente "Welcome!" (2005), "Roll Over" (2009), "Les ballets du jardin" (2011), “Une Curiosité“ (2013), et “Pipe Around “ (2014). Le travail de la compagnie Breathless, que ce soit lors d’un projet chorégraphique pour un théâtre, ou lors d’une performance in situ, s’articule toujours à partir de l’espace et d’objets, et ce sont ces éléments qui dès le départ motivent et orientent les propositions de la chorégraphe. Pour le mouvement, Louise Hanmer s’inspire de gestes du quotidien, pour les détourner et en jouer. Elle est intéressée par créer des décalages entre une situation attendue et une décontextualisation des mouvements qui y sont liés. Les créations de la compagnie sont fréquemment influencées par les différentes collaborations artistiques qu’elle engage. Mais au cours des années, une ligne se dessine dans ce travail, en cherchant des images fortes et décalées à la fois, où le corps, tout en gardant une certaine abstraction de mouvement, devient personnage. www.breathlesscie.com Biographies
Aline Courvoisier (1974), costumière -­‐ s’est formée à l'Ecole d'Arts Appliqués de La Chaux-­‐de-­‐
Fonds, puis obtient son diplôme de styliste à l'Ecole Supérieure d'Arts Appliqués de Genève (actuelle HEAD). Depuis 1996, elle crée des costumes pour de nombreuses compagnies de théâtre et de danse contemporaine à Genève et en Suisse romande, comme entre autres la Cie Greffe de Cindy Van Acker, Foofwa d'Imobilité, La Cie Quivala de Prisca Harsch et Pascal Gravat, Kylie Walters et Joszef Trefeli. En parallèle, elle crée pour des particuliers et enseigne la couture et le stylisme. Elle est membre des comités du Festival pluridisciplinaire « Baz'art » de Saint-­‐Gervais – Genève depuis sa fondation en 2010 et de « Cheminée Nord » – Usine Kugler depuis 2011. Vincent Fontannaz (1979), comédien -­‐ s’est d’abord formé à l’Université de Lausanne (histoire de l’art et histoire du cinéma), puis au Conservatoire de Lausanne (SPAD), d’où il est sorti diplômé en 2004. Depuis, il a travaillé comme comédien dans une trentaine de spectacles en Suisse et en France. Il a notamment joué sous la direction d’Alain Maratrat, Andréa Novicov, Christian Geffroy-­‐Schlittler, Gisèle Sallin, Pierre-­‐Isaï Duc, Adina Secretan, Alexandre Doublet... Récemment, il a travaillé, avec Robert Sandoz dans une création jeune public au CDN de Besançon, Yvan Rihs dans la création mondiale en français de Cinq jours en mars de Toshiki Okada au Théâtre du Grütli, Sandra Amodio dans Sandra qui ? de Sébastien Grosset au festival de la Bâtie à Genève ou encore dans Innocence de Howard Barker dans une mise en scène de l’auteur au Théâtre des Celestins à Lyon. Louise Hanmer (1973), chorégraphe -­‐ formée à New York à la Trisha Brown Dance Company, et au Mouvement Research. En 2001, elle crée la compagnie Breathless, une plate-­‐forme d’expérimentation entre mouvement, son, et image, basée à Genève. Dans le cadre de la compagnie elle a présenté Pipe Around, Fête de la Musique/scène ADC, Une Curiosité, Théâtre du Galpon 2013, Les ballets du jardin, le BAL 2011, Roll Over, Théâtre de l’Usine 2009, Welcome! Festival Particules, Théâtre de l’Usine 2005, I feel always at home even in myself ADC, Théâtre de Grütli 2002, Like a Teddy Bear Festival Local, Théâtre de l’Usine 2001. Elle a également crée plusieurs performance en plein air Souffle, une performance présentée à la première édition du Festival des Arts Vivants de Russin, ainsi que dans le cadre de la programmation Blackbox à Bremgarten, Long wave-­‐ short wave Fête de la musique 2004, Genève. En parallèle, elle a travaillé avec différents chorégraphes, performeurs et plasticiens, tels : Perrine Valli et Ensemble Vide Deuxième étage dans la lumière du soleil, Jérôme Leuba video loop-­‐battelfield 98 (2014) et battelfield 9-­‐ washington snipper (2005), Estelle Héritier Aïkia (2008), Foofwa d’Immobilité Live and Dance (2007), Marie-­‐Louise Nespolo Louise Parade (2004), La Ribot 40espontaneos (2003), Gary Stevens And (2002). Louise Hanmer poursuit une formation continue régulière auprès de chorégraphes internationaux. En 2013 elle participe au Choreographic Laboratory organisé par RESO à la Gessnerallee à Zürich. Valentine Paley (1986), danseuse -­‐ intègre le Marchepied à Lausanne, dirigé par Corinne Rochet et Nicholas Pettit de 2006 à 2008. Puis, elle suit la formation professionnelle Extensions, au Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse/Midi-­‐Pyrénées de 2008 à 2009, où elle côtoie notamment Lance Gries, Robyn Orlin, Patricia Kuypers et Boris Charmatz (création 50 ans de danse). Dès 2009, elle s’investit dans sa propre recherche chorégraphique : Kermesse (2009) pour les Quarts d’Heure de Sévelin, Where are your beans, kid ? (2010), 3e prix concours national Premio, Sunset Blvd. (2012) Fête de la Danse, Brotherhood (Grégoire, Marion et Manuel – 2013). Elle participe à Watch and Talk (2011) et Stop-­‐Over (2012-­‐2013) – avec Martin Schick et François Gremaud. En juillet 2013, elle suit le Choreographic Laboratory mis en place par RESO à la Gessnerallee, à Zürich. Elle est également interprète pour des compagnies en Fance : Emmanuelle Santos -­‐ Cie Voie E, Audrey Bodiguel -­‐ Vlam Productions, et Cécile Fraysse -­‐ Cie A.M.K. Enfin, elle joue de la batterie dans le groupe Les Craves, depuis 2013, et elle est membre fondatrice du Collectif veveysan RATS, qui met sur pieds de nombreux projets et événements culturels dans différentes disciplines artistiques. Marius Schaffter (1980), comédien – est diplômé de l’école de théâtre Serge Martin. Il a également étudié les sciences de la danse (TanzKultur, Berne, 2007-­‐2008) et la géographie (Genève, 2000-­‐2010). A la fois comédien, danseur, dramaturge, acteur et performer, il collabore notamment avec Gregory Stauffer avec lequel il a créé Introducing Schaffter & Stauffer au Théâtre de l'Usine (Genève, avril 2014), repris en 2015 à Amsterdam et Zurich (Swiss Dance Days). Il assiste actuellement Gregory Stauffer dans la création de son prochain solo Walking (tournée suisse en 2015). Il a récemment présenté une conférence-­‐performance à l'Université de Genève, autour de la dissection de sculptures mineures qu'il a réalisées avec Jérôme Stünzi. Il est apparu au sein des Fondateurs pour les Fondateurs s'installent (théâtre de l'usine 2014) et les Fondateurs dans le Jura (far° Nyon 2013). Sous la direction de Camille Giacobino, il a joué dans Les aventures de Nathalie Nicole Nicole au théâtre du Grütli (2013). Auparavant, il a dansé dans Postural: études de Fabrice Ramallingom au théâtre Sévelin 36 (2010). Claire Peverelli (1968), scénographe -­‐ se forme en architecture d’intérieur à la Haute École d’Arts et de Design de Genève. Elle devient ensuite scénographe pour le théâtre, la danse et l'opéra. On a pu voir dernièrement son travail à l’Opéra de Lausanne, pour Hänsel&Gretel, au Wagner Geneva Festival pour Une visite à Beethoven, au Galpon Genève pour Une Curiosité au Théâtre du Grutli pour Le Radieux séjour du monde et moins récemment pour Sweeney Todd, La Calisto, Impressions de Pelléas, Le Devin loin du Village, Le Mariage de Moussorgski, Le Chapeau de paille d’Italie de Nino Rota La Merisaie de Chostakovitch. Suis à la messe… et encore Comock, Notes de Chevet, Le Trésor de la Sierra Madre. Claire Peverelli crée également des aménagements intérieurs ainsi que des scénographies d’expositions et des décors films. Dans ce cadre, elle est en train de finaliser le Bioscope (le laboratoire public des sciences de la vie de l’Université de Genève) en collaboration avec Muriel Dégerine. Les scénographies du film Noces de Philippe Béziat en 2011 et de l’exposition Le Premier Regard pour Expo. 02 ainsi que des installations urbaines pour Les Yeux de la Nuit, La Fête de la Musique et le Festival des Arbres&Lumières, à Genève. www.clairepeverelli.ch Nicolas Wagnières (1971), réalisateur vidéaste -­‐ Nicolas Wagnières a été disquaire, producteur et dj indépendant durant les années 90. Il a ensuite étudié le cinéma à la HEAD à Genève. Suite à quatre années dans le domaine institutionnel (assistant aux Beaux-­‐Arts et collaborateur de recherche au réseau master cinéma), il collabore depuis sur des projets scéniques, alliant l’image avec le théâtre et la danse. (Jérôme Richer, Foofwa d’Imobilité, Noemi Lapzeson, Mathias Glayre). Responsable artistique de l’association Juste au Corps, il réalise en ce moment un film d’archives sur le matériau pédagogique de la chorégraphe Noemi Lapzeson. Il développe en parallèle un travail cinématographique avec un premier long métrage documentaire Hôtel Jugoslavija à Belgrade en Serbie. ©Breathless_cie, novembre 2014. 
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