Remerciements
Tout d’abord, qu’il me soit permis de remercier ici Madame le Professeur Sylviane
Cardey-Greenfield qui a bien voulu accepter la direction de mes études. Je lui suis très
reconnaissant pour la richesse de ses commentaires et connaissances dans ce domaine, et
surtout pour le moral qu’elle m’a apporté vis-à-vis de la rédaction de cette thèse et du
travail de collaboration entre l’université Naresuan, mon université d’origine, et l’université
de Franche-Comté, que je menais en parallèle, durant mon séjour à Besançon, dans
l’espoir d’apporter une amélioration à l’enseignement et apprentissage de la langue
française en Thaïlande.
J’adresse ensuite un merci tout particulier à Monsieur Peter Greenfield, dont
l’enseignement et les commentaires m’ont permis de mieux appréhender la programmation
en ProLog qui est l’un des objectifs de mon long séjour d’étude en France, notamment de
mon engagement dans la recherche en linguistique informatique.
Tous mes sincères remerciements vont en particulier à Madame Noëlle Maire qui a
sacrifié son temps à lire et relire mon travail avec patience. Je lui sais gré de ses
précieuses suggestions m’invitant à mieux réfléchir sur la subtilité de la langue française
que je souhaite unie à merveille à mon âme, formée par le thaï, ma langue maternelle.
Qu’il me soit permis d’exprimer mes meilleurs souvenirs à Madame Jacqueline
Saint-Germain et Monsieur Olivier Parent de Curzon, mère et fils, qui m’ont soutenu de leur
amitié lors de mon premier séjour en France il y a bientôt 20 ans.
Qu’il me soit permis d’exprimer ma gratitude profonde envers le gouvernement
français dont les délégués, Mrs Michel Wattremez, Christian Depierre, et Jacques Morcos,
comme attachés de coopération pour le français et universitaire de l’Ambassade de France
en Thaïlande, m’ont permis d’obtenir des bourses et de mener à terme cette étude.
Je sais gré en particulier à l’université Naresuan, mon université d’origine, qui m’a
accordé un long séjour et a agréé toute démarche administrative proposée afin qu’il y ait
une politique sincère et durable d’ouverture sur le monde francophone. Ceci est un signe
important pour le développement de l’enseignement « du français » en cours et « en
français » dans l’avenir au sein de mon université.
Mes remerciements vont ensuite à l’équipe du service d’accueil de la vie étudiante
du CROUS de Besançon qui se donnait la peine d’organiser des programmes culturels
nous permettant de découvrir la France sous toutes ses facettes.
Je tiens à remercier ici Monsieur Patrick Lehmann, Directeur des relations
internationales, qui m’a soutenu dans le montage des relations internationales entre les
deux universités.