1 000 000
900 000
800 000
700 000
600 000
500 000
400 000
100 000
200 000
300 000
T1
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100 000
200 000
300 000
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600 000
500 000
700 000
T1
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T2
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500
1 000
1 500
2 000
3 000
2 500
3 500
ACTUALITÉS
6TABLEAU DE BORD ÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012ÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012
LE CHIFFRE DU MOIS
17 %
C’est la part du BTP dans les 680 000 accidents
du travail avec arrêt survenus en 2011, selon la
Caisse nationale d’assurance maladie des travail-
leurs salariés. Avec 115 600 sinistres, ils sont en
légère augmentation par rapport à 2010.
CONSTRUCTION SUR BÂTIMENTS EXISTANTS
5,7 %
Baisse du nombre de permis de
construire sur bâtiments existants de
mai 2012 à juillet 2012 par rapport à
la même période en 2011.
14,2 %
Augmentation du nombre de mises
en chantier sur bâtiments existants
de mai 2012 à juillet 2012 par rapport
à la même période en 2011.
LOGEMENTS COLLECTIFS
9,9 %
Augmentation du nombre de permis
de construire de logements collectifs
de mai 2012 à juillet 2012 par rapport
à la même période en 2011.
8,7 %
Baisse du nombre de mises en
chantier de logements collectifs de
mai 2012 à juillet 2012 par rapport à
la même période en 2011.
La construction de logements
toujours en berne
Entre mai et juillet 2012, les chiffres sont toujours défavorables,
notamment dans la construction neuve de logements. Le nombre
de permis de construire dans le collectif et le nombre de mises en
chantier sur bâtiments existants tirent leur épingle du jeu.
Vecteur Plus, SOeS, ECLN
Les chiffres
CONSTRUCTION NEUVES
2,5 %
Baisse du nombre de permis de
construire de logements neufs de
mai 2012 à juillet 2012 par rapport
à la même période en 2011.
12 %
Baisse du nombre de mises en
chantier de logements neufs de
mai 2012 à juillet 2012 par rapport à
la même période en 2011.
APPELS D’OFFRES ÉTANCHÉITÉ ET TOITS-TERRASSES
Nombre de marchés
HABITATIONS COLLECTIVES / TERTIAIRE / BUREAUX
Marchés privés en m2 SHON
LOCAUX INDUSTRIELS/STOCKAGE/SURFACES COMMERCIALES
Marchés privés en m2 SHON
ACTUALITÉS 9
EN BREFÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012
© Lavigne Architectes & M. Virlogeux / SOGEA / CG du Finistère / JF Chapuis
Un logiciel pour la prévention
des risques
George Balavoine, expert santé sécurité au sein de l’Union des syndicats de
l’industrie routière française (USIRF), a présenté le logiciel Cimarout (centre
d’information des matériaux routiers), véritable base de données de l’ensemble
des soixante-dix études réalisées sur l’exposition des opérateurs de l’industrie
des asphaltes aux fumées. Afin d’obtenir un panorama complet, des chantiers
aux caractéristiques différentes ont été examinés (chantier ouvert, semi-
ouvert ou fermé, asphalte coulé à chaud ou à basse température). Si les
résultats sont bons, l’objectif reste d’élaborer une méthodologie de prévention
des risques cancérogènes. Cinq étapes ont ainsi pu être définies : identifier
les risques (respiratoires, cutanés…), les délimiter (à quelles fumées est-on
exposé ?), estimer le risque potentiel avec une observation visuelle, mesurer
par prélèvements et analyses et enfin prévoir des actions de prévention.
Par exemple, il a pu être déterminé qu’une baisse de 35°C de la température
de coulage de l’asphalte réduit de manière conséquente les risques liés à
l’exposition.
OFFICE DES ASPHALTES
L’asphalte coulé comme référence
pour l’entretien
L
Assemblée générale de
l’Office des asphaltes s’est
déroulée le 26 juin der-
nier au siège de la Fédération
nationale des travaux publics
à Paris. Les principaux acteurs
du secteur se sont réunis pour
évoquer « l’asphalte coulé comme
référence pour l’entretien ». Cette
thématique se justifie par les per-
formances de durabilité, d’étan-
chéité et de souplesse d’utilisation
du matériau, capitales pour pré-
server les réseaux de voirie, les
espaces publics et les ouvrages
d’art actuels et à venir.
Plusieurs interventions ont
rythmé l’événement, avec tout
d’abord, une présentation du
logiciel Cimarout (voir enca-
dré). Ont ensuite été abordées
les techniques d’entretien des
revêtements en asphalte coulé
des voiries et espaces publics
urbains. Le matériau, malgré
ses qualités reconnues de dura-
bilité, peut être victime d’alté-
rations esthétiques (coloration,
encrassement…) et structurelle
monocomposant (soit 510 kg),
d’une épaisseur de 15 mm d’as-
phalte élastomère EG30 (soit
115 tonnes) adhérent au support
et d’une couche de roulement
de huit centimètres d’épaisseur
(soit 500 tonnes) a été préfé-
rée à un complexe traditionnel
(indentation, fissuration, retrait,
soulèvement…). Frédéric Loup,
chef de projet recherche et déve-
loppement chez Eiffage travaux
publics, a présenté les diffé-
rentes solutions d’entretien selon
les cas. Pour conclure sur le fait
que la durabilité de l’asphalte
dépend aussi du respect des
règles de l’art lors de sa mise en
œuvre et de l’adéquation entre
la formule choisie et les sollici-
tations thermo-dynamiques aux-
quelles est soumis le revêtement.
UN EXEMPLE :
LA RÉNOVATION DE PONT
Jean-Pierre Dean, ancien direc-
teur technique chargé de missions
chez Smac, est revenu sur les tech-
niques de rénovation d’un pont de
2 500 m² en asphalte coulé sur
l’autoroute du Littoral. Avec
deux contraintes importantes :
un arrêt du trafic limité au maxi-
mum et une optimisation des
coûts. L’association de 200 g/m²
d’un primaire type bouche pores
à base de résine polyuréthane
8 + 22. Le liant de l’asphalte
gravillonné est un bitume 35/50
modifié par ajout de polymère
PSA et de polymère SBS. Ces der-
niers permettent une application
du produit entre 180 et 200°C
et accroissent sa résistance aux
fissures. l
ACTUALITÉS
10 EN BREF ÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012
© Knauf
Respecter l’environnement, être économe en énergie et être confor-
table, tels sont les critères à respecter pour recevoir le prix décerné
par EDF Bleu Ciel dans le cadre de son trophée habitat. 230 com-
pétiteurs se sont lancés dans l’aventure. Le constructeur de mai-
sons individuelles Trecobat a reçu la distinction, décernée par un
jury composé de professionnels, de fournisseurs industriels et de
constructeurs.
Deux maisons témoins existent déjà, l’une à Lannion (22) et l’autre
à Gouesnou (29). Leurs caractéristiques : ce sont des maisons basse
consommation (CEP = 43,1 kW.EP/m².shon/an) réalisées par des
artisans locaux et avec des matériaux produits dans un rayon de
vingt kilomètres. En phase construction, les déchets ont été triés
et conduits en déchetterie. Nuisances sonores et pollutions ont
également été strictement contrôlées.
Du point de vue de la conception, l’isolation des murs, du toit et
des plafonds est en laine minérale. Le confort d’été est assuré par
des volets bidirectionnels avec sonde solaire. Les planchers hauts
sont équipés de rupteurs thermiques périphériques et la ventilation
est hygro-réglable B micro watt (15 W). Le chauffage est program-
mable et régulable. l
© Trecobat
TROPHÉE
EDF Bleu Ciel récompense « la maison idéale »
ADEME
Les travaux de performance énergétique dans
les logements sont de plus en plus performants
L
’observatoire permanent
de l’amélioration énergé-
tique du logement réalisé
par l’Ademe analyse le marché
global de la performance éner-
gétique. La publication des résul-
tats de l’édition 2010 permet à
l’agence de faire le point sur les
évolutions de ce type de travaux
dans le logement. Les résultats
sont plutôt positifs, notamment au
regard de la situation économique
actuelle. En effet, malgré la crise,
le nombre de chantiers se main-
tient et les rénovations techniques
gagnent en qualité. Ainsi, en 2010,
135 000 rénovations ont été clas-
sées en efficacité énergétique★★★*,
soit 1,5 point de plus qu’en 2008.
Ce qui porte le total de rénova-
tions performantes à 295 000.
Néanmoins, « ce chiffre devra encore
progresser sensiblement pour que
l’ensemble du parc existant soit
convenablement rénové sur le plan
thermique dans 40 ans », précise
l’Ademe.
En matière de financement, les
ménages préfèrent le recours à
l’épargne plutôt qu’au crédit et
les dépenses diminuent. Les chan-
tiers ayant le plus progressé en
2010 sont ceux dont le montant
était inférieur à 2 000 euros. Les
recours à au moins l’un des dis-
positifs d’aides financières (crédit
d’impôt, prêt livret développe-
ment durable (LDD), éco-prêt à
taux zéro…) concernent quand
même 60 % des ménages, par-
ticulièrement quand il s’agit de
gros projets. Un exemple : « 16 %
des rénovations énergétiques
★★★
,
dont le coût moyen est estimé à
20 500 euros, ont été financées par
l’éco-prêt à taux zéro. »
Enfin, l’observatoire a identi-
fié les trois principaux types de
rénovation privilégiés par les
ménages. L’isolation des ouver-
tures représente 40 % du marché,
l’amélioration du chauffage 30 %
et l’isolation des parois, seul seg-
ment à croître entre 2008 et 2010,
30 %. l
* traitement des trois composantes du confort
thermique : chauffage, couverture, isolation
ACTUALITÉS 13
EN BREFÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012
ANALYSE
La construction
pourrait être
en difficulté dans
les années à venir
Baisse des aides publiques, attentisme, dimi-
nution des investissements de capacité dans
l’industrie, obligation de réduction de la
dette publique, nécessité d’écouler les stocks
de bureaux vacants… Autant de raisons
qui poussent le BIPE (bureau d’information
pour les entreprises), société d’études éco-
nomiques et de conseil, à prévoir un avenir
plutôt sombre au secteur de la construction.
Toutes les typologies de bâtiments seraient
touchées. Un exemple : le nombre de loge-
ments neufs livrés chaque année ne devrait
pas être supérieur à 350 000 d’ici à 2017.
Or, les besoins en la matière s’évaluent à
500 000 unités. Seul l’entretien-améliora-
tion des bâtiments devrait voir son niveau
d’activité progresser. l
QUALIFICATION
Du nouveau
chez Qualibat
Le Syndicat des
énergies renou-
velables (SER),
le Syndicat
national du
bois lamellé
(SNBL), l’Union
nationale des
économistes de
la construction (UNTEC) et l’Association
nationale pour l’information sur le logement
(ANIL) ont intégré récemment le conseil
d’administration de l’organisme de quali-
fication des entreprises de construction. Ce
dernier élargit ainsi sa représentativité au
sein du secteur. Ces nouveaux adhérents
participent désormais aux travaux de l’un
des trois collèges « entreprises », « utilisa-
teurs » et « intérêts généraux ».
Cette arrivée anticipe les évolutions de
Qualibat dans le domaine des métiers du
bâtiment liés à l’énergie. L’introduction de
cette dernière thématique dans le volet
social de l’association lors d’une assem-
blée générale extraordinaire le confirme.
L’assemblée générale a également instauré
des droits de vote égaux entre les différents
collèges, de même qu’une double vice-pré-
sidence au groupe « entreprises ». l
CERTIFICATION
La HQE prend son envol
à l’international
Lancée à l’occasion d’une rencontre
officielle à Bruxelles le 7 juin, la certification
française HQE pour les bâtiments
non résidentiels prend son envol
à l’international.
D
éjà annoncée fin 2011 lors de la dernière
édition du Simi et expérimentée entre-
temps sur une demi-douzaine d’opéra-
tions pilotes, l’exportation de la certification
Haute qualité environnementale est désormais
effective. Présentée par le président de Certivéa
Patrick Nossent lors de son lancement officiel
le 7 juin à Bruxelles, HQE « internationale »
conserve l’approche globale multicritère de la
certification d’origine (énergie, environnement,
santé et confort) basée sur des indicateurs
de performances, l’intégration d’exigences de
management environnemental ainsi que le
principe de certification par « tierce-partie inté-
grale ». Mais à la différence de sa version hexa-
gonale, « le dispositif se présente sous la forme
d’un référentiel générique selon une méthode de
nouvelle génération compatible avec les indica-
teurs internationaux de la Sustainable Building
Alliance et du comité technique CEN TC 350 »,
détaille le président de Certivéa. Le même réfé-
rentiel est applicable tant pour les ouvrages en
construction que ceux en phase d’exploitation
ou faisant l’objet d’une rénovation.
UN DISPOSITIF SIMPLIFIÉ
Cette simplification de la certification natio-
nale entend promouvoir le plus aisément
possible son adoption aux quatre coins de
la planète en s’adaptant aux
spécificités (climatiques, éco-
nomiques, architecturales et
réglementaires) de chaque
pays et en ce sens, les maîtres
d’ouvrage restent libres dans le
choix des process, des matériaux
ainsi que des solutions architec-
turales et techniques du projet.
Autre souplesse du dispositif :
contrairement à la HQE « natio-
nale » qui impose trois cibles
au niveau « très performant »
et quatre « performantes », la
certification internationale n’exige que des
seuils minimums. Le système lui-même peut
en outre être adapté localement, les deman-
deurs de la certification ayant la possibilité
de proposer des « principes d’équivalence »
pour attester des performances de façon dif-
férente du référentiel original dans leur pays.
Dans le même esprit, un important travail
de « reconnaissance des modes de preuves »
est en cours pour permettre à des ouvrages
disposant déjà de certifications internatio-
nales comme LEED ou BREEAM d’obtenir
également des « équivalences » sur certaines
cibles. Reprenant le modèle du « passeport
bâtiment durable » de la HQE française mis en
place il y a quelques mois, le niveau global de
performance et celui des quatre thèmes de la
HQE Internationale sera lui aussi indiqué dans
un « certificat ». Annoncé par Certivéa, le coût
moyen d’une opération de certification – hors
frais de mission de l’auditeur – tourne autour
de 15 000 euros. À ce jour, neuf opérations
sont certifiées à l’étranger, au Royaume-Uni,
en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne
et en Italie, mais également au Maroc pour
un ensemble d’ouvrages en construction de
la BMCE Bank de 17 800 m
2
, comprenant
un centre de formation, un data-center et
des bureaux. l
© BMCE Bank
ACTUALITÉS
14 EN BREF ÉTANCHÉITÉ.INFO #35 SEPTEMBRE 2012
PARIS
Nouveaux immeubles
de bureaux pour la ZAC
Claude Bernard
Trois nouveaux immeubles de la ZAC Claude Bernard, l’un des
premiers éco-quartiers parisiens situés dans le dix-neuvième arron-
dissement de la capitale, ont été inaugurés en juillet dernier. Ils
viennent s’ajouter aux logements et à l’EHPAD déjà existants. D’une
surface globale de 41 000 m², ces bâtiments R+7 sont reliés entre
eux par des passerelles. Avec une démarche globale de Haute qua-
lité environnementale (HQE) et 25 % d’énergies renouvelables, ces
ouvrages visent l’obtention de la certification Bâtiments tertiaires
– démarche HQE et le label Très haute performance énergétique
(THPE, label réglementé se référant à la RT 2005).
BÂTIR UN NOUVEAU QUARTIER
En plus de bureaux, l’ensemble propose près de 500 places de
parking, un restaurant d’entreprise, deux cafétérias, un audito-
rium… Il sera loué au groupe BNP Paribas, également promoteur,
commercialisateur et investisseur.
La ZAC Claude Bernard fait partie intégrante du grand projet de
renouvellement urbain de Paris Nord-Est initié par la Mairie de
Paris depuis dix ans. Son enjeu principal : bâtir un nouveau quar-
tier contemporain, à forte mixité d’activités, intergénérationnel
et social. Pour Anne Hidalgo, première adjointe au maire de Paris
chargée de l’urbanisme et de l’architecture, « la qualité urbaine, la
qualité de vie et la dimension métropolitaine sont au cœur du projet
Paris Nord-Est ». l
DÉCLARATION
Le gouvernement annonce
500 000 logements par an
Lors de sa déclaration de politique générale le 3 juillet der-
nier devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre Jean-
Marc Ayrault a évoqué les mesures qui seront prises en
direction du secteur du bâtiment. L’objectif de construction de
500 000 logements par an, promis par François Hollande pendant la
campagne présidentielle, a été confirmé pour « permettre à chacun
de nos concitoyens d’accéder à un logement correspondant à ses besoins
et à son pouvoir d’achat. » Quand on sait qu’à la fin 2012, on prévoit
un peu plus de 300 000 mises en chantier, les chiffres avancés par le
gouvernement sont ambitieux. Pour les atteindre, un plan de mobilisa-
tion « sans précédent » des terrains inoccupés appartenant à l’État sera
lancé au bénéfice des collectivités locales, sous réserve de respect de
la mixité sociale. De plus, le plafond du Livret A devrait être rehaussé
pour aider les bailleurs à construire des logements sociaux. Dans le
même esprit, le Premier ministre a annoncé que « les communes qui
ne respectent pas leurs obligations en matière de logement social verront
leurs pénalités multipliées par cinq ».
La « performance thermique de l’habitat » dans le neuf et dans l’ancien
a été intégrée dans le contexte plus large d’une « économie verte ».
Cette thématique n’a pas été développée plus longuement. l
PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE
Un nouveau groupe de travail
pour le plan bâtiment Grenelle
« Favoriser l’émergence d’outils innovants du financement des travaux
de performance énergétique », tel est l’objectif du nouveau groupe
de travail du Plan bâtiment Grenelle (Financements innovants de
l’efficacité énergétique) crée il y a quelques semaines. Son pilotage
est confié à Inès Reinmann, associée en charge de l’immobilier et
présidente d’Axcior corporate finance et à Olivier Ortéga, avocat et
associé au sein du cabinet Lefèvre et Pelletier & Associés.
De nouvelles pistes de sources de financements avaient déjà été
proposées par le groupe de travail dédié à l’innovation qui avait
remis son rapport final en septembre 2011. Pour augmenter les
ressources financières dédiées à l’efficacité énergétique, le rapport
recommandait d’étendre la contribution au service public pour l’élec-
tricité (CSPE) à la distribution de combustibles fossiles consommés
par les ménages et les entreprises, complétant ainsi le système des
certificats d’économie d’énergie (CEE). Le nouveau rapport est prévu
pour le premier trimestre 2013. l
© Vincent Fillon
© Assemblée nationale-2012
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