Völker Bro_KPF_Vis-a-Vis

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Völker Vis-a-Vis : Se coucher. S’asseoir. Se lever. Marcher.
Du nouveau dans le Care Concept de Völker !
Völker Vis-a-Vis, pour une plus grande mobilisation des patients et vers une meilleure participation à la vie active.
Le Care Concept de Völker consiste en l’application pratique de la philosophie de Völker. Il vise à offrir aux personnes nécessitant des soins la plus grande indépendance et la plus grande autonomie possible dans leur quotidien. Les fonctionnalités des
lits Völker y apportent une large contribution. Ils sont toujours une aide précieuse lorsqu’il est possible d’influencer positivement, au moyen d’une assistance technique, les capacités des patients à se prendre en charge eux-mêmes.1)
Après le lit hospitalier Völker S 960, qui peut être utilisé dans tous les services, et après le lit extrêmement bas Völker 5380 K,
le Völker Vis-a-Vis est un autre lit de construction modulaire. Il s’agit d’un équipement médicalisé qui permet d’aller encore plus
loin que la mobilisation : nous parlons d’activation.
Tout patient qui ne veut ou ne peut pas quitter son lit ne doit pas pour autant être totalement immobile. Bien souvent, des douleurs ou des dispositifs médicaux l’empêchent de sortir du lit par le côté. Pour favoriser la mobilisation même dans de telles
situations, nous avons imaginé un lit qui puisse se positionner de manière à former une position assise ouverte vers l’avant,
permettant ainsi au patient de poser les pieds par terre. A quelques exceptions près et en fonction des facultés du patient à se
prendre en charge lui-même, la mobilisation peut de cette façon se transformer à tout moment en activation, à savoir en une
participation à la vie active2).
1) cf. également Dorothea Orems « Selbstpflegemodell », voir également Nursing Concept of Practice, Orem 1991 2) voir également § 28 alinéa 4 SGB XI
A première vue, le Völker Vis-a-Vis ressemble à tous les
autres lits hospitaliers Völker, tant en termes de fonctionnalité que de conception et de dimensions.
Et pourtant, il présente un avantage supplémentaire de
taille : une télécommande personnelle et quelques manipulations suffisent pour le transformer en un lit qui permet d’inciter le patient à bouger vers l’avant ainsi qu’un
contact avec lui en face-à-face.
Un lit pour se coucher, pour s’asseoir, pour se lever et
pour marcher.
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Etre bien couché.
Etre couché, c’est pouvoir bouger.
Un couchage confortable est primordial, car il fournit le repos et le sommeil nécessaires pour disposer de l’énergie et de la motivation suffisantes indispensables à toute mobilisation. Les lits hospitaliers Völker facilitent les mouvements qui sont la condition sine qua non à toute guérison. Pour y parvenir, le lit Völker Vis-a-Vis est lui aussi équipé de la fonction de positionnement
variable des quatre parties du plan de couchage à entraînement électromoteur, visant toujours le confort individuel du patient
et les avantages recherchés. D’autre part, les changements de position1) sont plus fiables car les quatre éléments à réglage
variable du système de sécurités latérales protègent le patient en fonction de ses besoins.
La position couchée est une posture très relaxante. Cependant, le corps conserve une certaine tonicité, c’est-à-dire que tout
individu en bonne santé bouge constamment même lorsqu’il dort. S’il n’est plus capable de décider lui-même de sa position
lorsqu’il est couché, il est menacé par des risques de complication comme par exemple une pneumonie, une thrombose, des
contractures ou des escarres2). Afin de diminuer le plus possible ces risques, tous les lits Völker sont équipés en série du sommier Völker MiS®. Dans le cas de patients plus sérieusement menacés, de patients immobiles ou de patients souffrant d’escarres, quelques manipulations suffisent pour le remplacer par le système actif de micro-stimulation. Il a été prouvé que la technologie Völker MiS® Activ favorise la vigilance, la mobilité et l’orientation du patient, trois conditions indispensables à l’activation.
1) cf. également « Menschen pflegen », Springer 2006, p. 516 : les changements de positions comme alternative à la notion trop statique de « couchage »
2) cf. également « Thiemes Pflege », Thieme 2000, p. 292 et suiv.
Comme tous les lits Völker, le Völker Vis-a-Vis possède
toutes les conditions techniques nécessaires à un couchage véritablement confortable, en particulier avec le
sommier MiS® de Völker.
La rétroaction du système sur le patient assure une stimulation somatique et vestibulaire qui lui fournit des
informations au sujet de son corps. Les moindres mouvements le stimulent à effectuer des mouvements par luimême.
Ne restez pas couché si vous pouvez vous asseoir.
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De la position couchée à la position assise.
Grâce à l’idée de l’ingénieur français Pascal Poyet1).
Lorsqu’il est impossible d’inciter un individu à bouger latéralement, du fait d’un manque de ressources, de douleurs corporelles
ou de la présence de dispositifs médicaux, il convient souvent mieux, à quelques exceptions près, de l’inciter à bouger vers
l’avant. Bien que très simples, les réflexions de Poyet n’en sont pas moins surprenantes : il imagine un lit hospitalier dont le
repose-jambes peut effectuer un déplacement latéral tel qu’il permette au patient de se tenir en position assise. Et qui plus est
en une position assise qui lui offre la possibilité de poser les pieds par terre.
Völker a concrétisé cette théorie sur la base des lits hospitaliers éprouvés déjà existants de la marque. Pour cela, il a fallu prévoir une division du lit à l’endroit exact où se termine le repose-cuisses du plan de couchage en quatre parties. Afin que le repose-jambes puisse se déplacer des deux côtés suffisamment pour permettre le réglage d’une position assise confortable, l’intégralité du cadre du lit avance vers l’avant sur le châssis (voir également légende photo).
1) Pascal Poyet, * 1970, Ingénieur et inventeur français, fut inspiré par un concept de lit-siège du fait de la perte d'autonomie de sa mère.
Le Völker Vis-a-Vis se règle rapidement et facilement en
position assise. Pour cela, une fois le relève-buste redressé, une télécommande personnelle permet de faire avancer le plan de couchage vers l’avant grâce à un entraînement électromoteur. Il suffit ensuite de débloquer à la
main le repose-jambes et de le basculer en toute simplicité sur le côté, pendant que le patient, en fonction de ses
capacités, pose l’un après l’autre les pieds sur le sol, avec
l’aide éventuelle du personnel soignant.
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Une position assise normale.
Le début de l’autonomie.
Contrairement à la position assise que l’on peut avoir dans un lit, celle que permet le lit Vis-a-Vis, avec les pieds du patient touchant le sol, revêt une toute autre signification. Elle lui donne le sentiment d’être à nouveau en bonne santé.
Se mettre en position assise dans un lit hospitalier est certes possible1), mais il s’agit dans ce cas d’une position assise provisoire visant un transfert prochain, et d’une position douloureuse, par exemple pour les patients qui viennent de subir une intervention chirurgicale à l’abdomen. Or c’est justement dans des situations similaires2) qu’une mobilisation est nécessaire, car des
soins compensatoires entraîneraient une nécessité de soins à trop long terme avec des coûts trop élevés et une durée d’hospitalisation trop longue.
Pour que le lit Völker Vis-a-Vis assure une position assise correcte en termes physiologiques, il est important que la cassure du
lit se situe au même niveau que les articulations des hanches. Toutefois, cette assise-là nécessite également une certaine tonicité musculaire. Si cette tonicité est trop faible, les patients glissent vers l’avant. C’est précisément ce qu’empêche le lit Völker
Vis-a-Vis, car le repose-cuisses du plan de couchage est légèrement surélevé (voir illustration en bas à gauche).
1) cf. également « Pflege heute », Urban & Fischer 2001, p. 227 2) par exemple après des interventions chirurgicales au niveau du cœur, après un accident vasculaire cérébral ou
dans le cas de pathologies neurologiques/gériatriques
Il faut apprendre aux patients à s’asseoir dans une position qui protège leur dos. On considère comme idéal un
angle cuisses-hanches de 90°, avec les deux pieds posés
à plat sur le sol et les jambes écartées de la largeur du
bassin, afin d’agrandir la surface d’appui. Les pieds sont
quant à eux situés sous les genoux, dans le prolongement des cuisses afin d’éviter un valgus du genou. Le
rachis dorsal doit être dressé afin de faciliter la respiration.
Cette position assise permet également de déclencher
les impulsions nécessaires au lever (cf. page 12).
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La position assise Völker Vis-a-Vis.
Plus d’autonomie dans les activités de la vie quotidienne.
Un individu assis perçoit son environnement d’une manière différente d’un individu couché. En fonction de leurs capacités, les
patients assis dans le lit Vis-a-Vis se réadaptent plus rapidement aux activités importantes1) de la vie quotidienne : ils peuvent bouger plus librement et leurs fonctions vitales sont mieux conservées. Ils sont plus indépendants et peuvent boire et manger normalement. Ils s’ennuient moins et retrouvent un intérêt pour les aspects sociaux de leur vie, en réapprenant à se préoccuper des expériences existentielles de la vie. Cela permet ainsi d’influencer positivement et favorablement les éventuels déficits de prise en charge personnelle du patient et donc dans un même temps ses besoins en soins.
Avec le lit Völker Vis-a-Vis, les patients peuvent de nouveau communiquer convenablement2), d’égal à égal avec leurs interlocuteurs, qu’il s’agisse du personnel soignant ou de leurs visiteurs. S’asseoir, et en particulier s’asseoir face à quelqu’un signifie que
l’on consacre du temps à la personne assise en face de soi. Les plus grandes facultés du patient à se prendre en charge lui-même
et ses besoins moins importants en soins sont les facteurs clés qui permettent de retrouver le temps de s’intéresser à l’autre.
1) cf. également AEDL (activités et expériences existentielles de la vie), le modèle conceptuel des soins hospitaliers de Monika Krohwinkel, présenté en 1984 ;
cf. également ATL (activités de la vie quotidienne), introduites par Virginia Henderson (modèle des 14 besoins fondamentaux) ;
2) cf. également le « modèle à quatre oreilles » de Schulz von Thun
Le lit Völker Vis-a-Vis est équipé du système breveté
Völker de sécurités latérales : elles sont divisées en deux
parties de chaque côté du lit et peuvent être réglées de
manière variable.
Ce système permet d’utiliser chacun des éléments en
fonction des besoins réels. Pour améliorer encore le
confort du patient, et pour l’aider à s’asseoir, des accoudoirs ergonomiques peuvent être utilisés des deux côtés
(voir photo à gauche).
Ne restez pas assis si vous pouvez vous lever.
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Ne restez pas assis si vous pouvez vous lever.
L’incitation des personnes à bouger vers l’avant grâce au lit Völker Vis-a-Vis.
Se lever ou sortir d’un lit hospitalier traditionnel consiste généralement en un transfert dans une position assise plus confortable, dans un fauteuil par exemple, ou dans un fauteuil roulant, c’est-à-dire une position que le lit Völker Vis-a-Vis permet déjà.
Lorsqu’un patient se lève du lit Völker Vis-a-Vis, c’est au contraire pour marcher. Un personnel soignant expérimenté teste les
activités liées aux positions couchée, assise, debout et à la marche avant même une opération. Cela n’en facilitera que davantage ces mêmes mesures plus tard, pour les patients manquant de capacités. Pour ce faire, l’individu concerné doit toujours
obtenir une aide appropriée qui lui permette de mettre en application ses capacités et aptitudes en fonction de sa pathologie.
Du point de vue de principes kinesthésiques, il est particulièrement important que le patient ait un maximum d’auto-contrôle
et qu’il soit en mesure de répartir en permanence le poids de son corps sur les différentes parties de son corps.1)
Une assistance en face-à-face des patients mobiles s’impose et permet à un unique membre du personnel soignant de le manipuler plus facilement qu’en cas de lever par le côté sur les lits hospitaliers normaux. Les impulsions nécessaires au lever sont
déjà déclenchées par une position assise correcte, qui est favorisée sur le lit Völker Vis-a-Vis par le rabaissement du reposejambes et par le redressement du cadre du lit au niveau de la tête.
1) cf. également « Menschen pflegen » Tome 2, Springer 2006, p. 520
Les meilleures conditions pour un redressement du buste
sont les impulsions correspondantes, qui sont déclenchées par une position assise adéquate et préparatoire.
Cela inclut une hauteur d’assise individuelle et un positionnement correct des jambes et des pieds afin d’agrandir la surface d’appui.
Dans l’exemple illustré, le personnel soignant incite un
patient qui a subi une intervention chirurgicale à l’abdomen à bouger en lui donnant des conseils et/ou par le
biais d’un contact physique.
Avant chaque lever, le patient doit respirer profondément
afin d’éviter toute réaction orthostatique.
Ne restez pas debout si vous pouvez marcher.
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Ne restez pas debout si vous pouvez marcher.
Pas à pas vers une participation à la vie active.
Marcher fait partie des automatismes, c’est un mode de comportement déclenché automatiquement par le système nerveux
central et sans l’action extérieure d’un stimulus. C’est un mouvement complexe qui place l’individu dans un état fondamentalement peu sûr, car le poids du corps est en mouvement, l’obligeant constamment à rééquilibrer son centre de gravité. Si le
centre de gravité se modifie, par exemple du fait de membres enflés par une opération ou une maladie, la marche est souvent
restreinte. Cela peut rendre nécessaire une assistance provisoire par du personnel soignant ou des physiothérapeutes, et/ou
le cas échéant le recours définitif à des accessoires d’aide à la marche.1)
Les patients qui sont restés alités pendant une période prolongée doivent eux aussi souvent commencer par réapprendre à marcher. Car un alitement prolongé dans des lits hospitaliers normaux peut entraîner un sentiment d’insécurité et de raideur. Le
métabolisme doit d’abord se réhabituer à la position verticale qui ne lui est plus familière.2) Une introduction progressive à la
marche, la véritable position assise du lit Völker Vis-a-Vis et un entraînement régulier à la position verticale permettent de favoriser considérablement l’incitation des patients à effectuer des mouvements par eux-mêmes ainsi que leur motivation.
1) cf. également « Thiemes Pflege » 2000, page 292 2) cf. également « Menschen pflegen », Tome 2, Springer 2006, page 526
Guider un patient ne doit jamais limiter sa liberté de mouvements. Les épaules et le bassin du personnel soignant
se trouvent toujours un peu en arrière de ceux du patient.
Le personnel soignant le soutient en plaçant la main soit
dans le dos au niveau des côtes inférieures, soit au
niveau du bassin. L’autre main saisit le poignet sans le
bloquer. Elle donne des indications de mouvements grâce
à des signaux, par exemple de légères pressions.
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ProSell! KPF7126f 12.08-1.000
Sous réserve de perfectionnements techniques, sans préavis.
Völker S.à.r.l.
13, avenue de l’Energie · 67800 Bischheim
Téléphone 03.88.83.14.52
Télécopie 03.88.83.15.69
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