Semaine 1
(36-37)
THEME 1 : NEURONE ET FIBRE MUSCULAIRE : LA COMMUNICATION NERVEUSE
Leçon 1 : Le réflexe myotatique, un exemple de commande réflexe du muscle
Un patient accidenté de la route pris en charge au Service des Urgences deux heures après le début des symptômes,
présente une hémiplégie gauche (paralysie du côté gauche du corps : face, membre supérieur, membre inférieur).
Problème : Quelles sont les structures dont l’intégrité est testé par le médecin urgentiste lors de cette auscultation ?
Acquis : Collège et Seconde (Régulation Pa) – Schéma et interrogations
I – L’organisation fonctionnelle, support du réflexe myotatique :
A - Nature du stimulus et récepteurs sensoriels mis en jeu :
B - Centre nerveux et autres structures intervenant dans le réflexe myotatique :
AP1 EXAO Serenis réflexes achilléens et rotuliens
Bilan
Semaine 2
(37-38)
C – Le trajet des messages nerveux :
Problème : Quels sont les neurones intervenant dans la propagation des messages nerveux lors d’un réflexe myotatique ?
Anatomie moelle épinière et nerf
Expériences de Claude Bernard et Lloyd
Premier schéma simplifié de l’établissement du réflexe
Problème : Où sont localisés les corps cellulaires des neurones permettant le réflexe myotatique ? Comment ces neurones sont-ils
connectés ?
AP2 Microscopie – Documents-ressources : expérience de Magendie et Waller – Expérience délai du réflexe – Données sur la
polyomyélite
Bilan
Cahier de textes des TerminaleS 1 2 3 4
Aide Personnalisée
1
Présentation des épreuves du Bac – Les exigences des différentes parties – partie 1 sur reproduction conforme
programme de 1
ère
S
Semaine 3
(38-39)
Problème : Quelles sont la nature, les caractéristiques et les modalités de la transmission des messages nerveux?
II - Le fonctionnement des réseaux de neurones :
A - Nature et caractéristiques des messages nerveux :
Logiciel Nerf.exe
Potentiel de repos – Potentiel d’action – Codage du message nerveux
Problème : Comment expliquer la transmission des messages nerveux entre le motoneurone et la cellule musculaire ?
B - La transmission synaptique des messages nerveux :
AP3 Rastop + récepteurs canaux et poisons (aide perso 3 et 4) : Le curare est un alcaloïde extrait d’une plante sud-américaine : le
Chondodendron. C’est un poison utilisé par les Indiens d’Amazonie aux extrémités de leurs flèches; l’animal même légèrement touché
s’effondre.
Précisez le mode d’action du curare.
Bilan
20/09/2014
DS1 (2heures)
Semaine 4
(39-40)
Schéma-bilan : fonctionnement synaptique et codage des messages
Si le flexe myotatique sert d'outil diagnostique pour identifier d'éventuelles anomalies du système neuromusculaire local, il n'est
pas suffisant car certaines anomalies peuvent résulter d'anomalies touchant le système nerveux central et se traduire aussi par des
dysfonctionnements musculaires. Ainsi, les mouvements volontaires sont contrôlés par le système nerveux central.
Leçon 2 : Motricité volontaire et commande du muscle
Problème : Quelle est l’origine de la commande motrice volontaire ?
I – De la volonté au mouvement :
AP4 Eduanatomist
II - Motricité et plasticité cérébrale :
Aide Personnalisée
2
Partie 2 exercice 2 : Etude des canaux transmembranaires
et des actions des différents poisons - logiciel Rastop
11/10/2014
DS2 (3h30)
Semaine 6
(40-41)
AP2
: effets de 2 anti
-
inflammatoires
Rastop
Problème : Quel intérêt peut-on trouver à prendre un médicament anti- inflammatoire après une blessure ?
II - Rôle et mode d’action des anti-inflammatoires :
Bilan
Correction DS2
Aide Personnalisée
3
Mises en relation et schéma de synthèse : les acteurs cellulaires et moléculaires de l’inflammation
Semaine 8
(41-44)
Leçon 2 : Le prolongement de l’immunité innée : l’immunité adaptative,
Pb : quelles sont les propriétés des anticorps ? Comment le patient a-t-il pu les produire ?
I - La réponse immunitaire à médiation humorale ou RIMH
Hypothèses : - AC présente un ou des sites de reconnaissance de l’Ag,
- Site de reconnaissance structure tridimensionnelle complémentaire forme Ag donc spécificité AC,
- AC = protéine donc structure tridimensionnelle de ce(s) site(s) dépendant de la séquence d’AA.
A – Nature, structure et rôle des anticorps
AP3 : Anticorps – Rastop - Ouchterlony
Semaine 8
(44-45)
B - Origine des anticorps :
C – Mécanismes d’élimination des complexes immuns :
AP4 Rôle des lT4 et conséquences d’une infection par le VIH
Bilan
Semaine 9
(45-46)
II – Destruction des cellules infectées :
A – Mode d’action des lT cytotoxiques :
B – Origine des lTc spécifiques :
III – Relations entre les lymphocytes lors des phases asymptomatique puis SIDA :
A - Le rôle des lymphocytes T4
B – Conséquences de la destruction massive des lT4 lors des phases asymptomatique et surtout SIDA :
AP réalisation du schéma-bilan : Réaction innée – RIMH - RIMC
Aide Personnalisée
4
Traiter une partie II exercice 2 : Variabilité des séquences et spécificité des AC ou algues vertes, rouges, lumière et
photosynthèse
Semaine 10
(46-47)
Problème : Comment la vaccination en faisant évoluer le phénotype immunitaire permet-elle une protection
individuelle, collective et une éradication du pathogène (lorsque son seul hôte est l’Homme) ?
Leçon 3 : Le phénotype immunitaire au cours de la vie
I - Le phénotype immunitaire : relation génotype et infinie diversité des lymphocytes
II - Le phénotype immunitaire : rôle de l’environnement
A- Les conséquences d’un 1
er
contact avec un antigène
B - La vaccination : une modification volontaire du phénotype immunitaire
AP5 Importance de l’adjuvant dans un vaccin : test ELISA
III- le système immunitaire : un système en équilibre dynamique
Semaine 11
(47-48)
Thème 3 : Le domaine continental et sa dynamique
Au début du XXe siècle, l’explication dominante des mouvements verticaux de la croûte terrestre est la contraction thermique de la
Terre, lors de son refroidissement, aboutissant à une surface ridée, comme une pomme desséchée avec des creux (océans) et des
bosses (montagnes).
Travaux de Pratt et Airy - Travaux de Mohorovicic en 1909
Distribution bimodale des altitudes avec une centaine de mètres pour le domaine continental et environ 4500 mètres pour le domaine
océanique.
Image proposée par Wegener : « les continents et les sols sous-océaniques constituent deux couches distinctes de l’écorce terrestre
qui se comportent comme des icebergs tabulaires et l’eau qui les baigne »
Problème : Comment expliquer cette distribution bimodale des altitudes terrestres d’après les connaissances
scientifiques actuelles ?
3 axes pour les hypothèses explicatives des différences d’altitude liées :
- à des différences de densité des matériaux des croûtes continentales (CC) et océaniques (CO),
- en relation avec la tectonique des plaques au niveau des limites de plaques = épaississement = empilements
d’anciens matériaux crustaux et/ou création de nouveaux matériaux s’accumulant et épaississant la croûte
- disparition à des vitesses différentes des matériaux crustaux (altération et érosion)
I – Caractéristiques lithologiques de la croûte continentale :
II- Densités comparées des croûtes et mobilité verticale :
AP1 Eprouvez le modèle d’Airy d’après les données géologiques et sismiques en domaine continental.
Mesurim ; Google Earth ; Excel ; Mesure de densité
Calcul mathématique de la profondeur de la racine crustale
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