dans son contexte.
a. « elles » : Mariane et sa mère ; « je » : Frosine ; « les » : Mariane et sa mère ; « l’une » :
Mariane ; « l’autre » : la mère de Mariane ; « vous » : Harpagon ; « vous » : Harpagon.
b. Ces mots servent à éviter des répétitions constantes et en même temps permettent
d’identifier avec clarté les personnages dont il est question.
Application page 277 n° 1, 2, 3, 6, 7 et 10.
Repérer
1 « le » » (pays) ; « le » (compte) ; « du » (roi) ; « la » (recherche) ; « du » (chevalier) ; « aux »
(armes) ; « sa » (garde) ; « ce » (chevalier).
2 1 . il : pronom personnel ; 2 . Je : pronom personnel ; vous : pronom personnel. 3. Il : pronom
personnel ; la sienne : pronom possessif. 4. Celui-ci : pronom démonstratif. 5. la (porte) :
pronom personnel. « la » peut également être un déterminant, il s'agit donc d'être attentif au
mot qu'il complète . 6. qui : pronom relatif ; les siens : pronom possessif.
3 ce : déterminant ; ses : déterminant ; une : déterminant ; elle : pronom ; l’ : pronom ; le :
déterminant ; lui : pronom ; le : pronom.
Manipuler
6 1. Les autobus sont arrivés sur les places.
2. Des journalistes ont enquêté dans des écoles.
3. Les tables sont installées sur mes terrasses.
4. Ces repas sont délicieux et ces crèmes sont parfumées.
5. Tes chats apprécient ces terrines.
7/ 1 . Ils assistent à l’examen des élèves.
2. Il est automatisé.
3. Et toi, tu tiens la mienne.
4. Et toi, me crois-tu aussi ?
5. Je les attends.
Accorder
10/ Lorsque leur(s) est déterminant, il est indiqué en gras, quand il est pronom, il est
souligné.
1. Leur amitié était sincère et leurs lettres le montrent bien.
2. Il leur accorde une grande confiance.
3. Alain-Fournier leur a écrit à tous, très longtemps.
4. Leur point commun était l’amour des livres et de la poésie.
5. Il ne cherche pas leur pitié, il ne veut pas provoquer leur colère.
6. Les écoliers leur ont confié leurs joies et leurs peines.
7.
Séance 4 : Un héros amoureux
texte : Lancelot ou le chevalier à la charrette, Chrétien de Troyes, 1176-1181
objectif : lecture analytique
Ce texte parle d'amour : celui de Lancelot pour la reine Guenièvre. Cette dernière a été
enlevée par le prince Méléagant qui la retient prisonnière. Pour parvenir à la délivrer, Lancelot
va devoir franchir le pont de l'épée. Le narrateur précise qu’« il n’y a jamais eu d’aussi mauvais
pont, fait d’une aussi mauvaise planche ». Cette répétition souligne le caractère rude de
l’épreuve. En effet, il risque de se noyer, de se couper et, s'il arrive de l'autre côté, il devra
faire face à deux bêtes. Ses deux compagnons ne vont pas tenter le coup.
Lancelot risque de se couper car l'épée est « plus tranchante qu’une faux ». Pour être plus