Charente D. DOC 2 Pleuville Château de Gorce Fiche signalétique

Charente
D.
DOC
2
Pleuville
Château
de
Gorce
Fiche
signalétique
Localisation
:
Charente
-
Pleuville
(département,
commune)
Dénomination
:
Château
de
Gorce
(fonction
+
appellation)
Localisation
complémentaire
:
(autre
commune,
ancienne commune, commune associée)
Adresse
:
16264
Pleuville
-Arrt
:Confolens
-
Canton
:
Confolens
Nord.
(iïeudit,
voirie,
n"..)
Références cadastrales
: H 327
Coordonnées Lambert
: X
=
457 650 m
Y-
2120352m
Type
de
protection existante
:
immeuble
non
protégé
D
site
protégé
intitulé
:
date
:
D
immeuble
protégé
MH
D
autres
(ZPPAUP,
POS,
secteur sauvegardé)
intitulé
:
intitulé
:
date
:
date
:
Utilisation
actuelle
:
résidence secondaire
D
désaffecté
Statut
de la
propriété
:
n
publique
privée
Epoque(s)
de
construction
:
15ème
Date(s)
:
Epoque(s)
de
restauration (remaniement)
:
19
et
20eme
Date(s)
:
Maître(s)
d'oeuvre
:
Catégorie
:
architecture
domestique
Etat
de
conservation
:
D
complet
D
vestiges
restauré
Q
remanié
Etat
sanitaire
:
bon
n
mauvais
état
D
en
péril
Ouverture
au
public
:
EU
oui non
D.
Doc
3
Charente
Pleuville
Château
de
Gorce
Historique
D'après
DUMONT
(Jacques).
Gorce.
In.
Châteaux,
manoirs
et
logis.
Le
premier seigneur connu
de
Gorce
est
Antoine Fontlebon
en
1473.
Les
Fontlebon
portent
un
blason d'argent
à
trois aiglettes
de
sable.
En
1510,
Tunique
héritière
d'Antoine Fontlebon
fait
don de son fief à son
neveu,
Antoine
de La
Tour,
écuyer,
qui
devient
seigneur
de
Gorce.
Le 3
juin 1615, Elisabeth
de La
Tour épouse Jacob
d'Asnière
de
Vilîefranche.
Par
acte
du 27
septembre 1787,
le
marquis Jean d'Asnière vend
le fief de
Gorce
en
viager, contre 7000 livres
par an à
Jacques
du
Verrier
de
Boulzat, chevalier
et
dame
Corderoy,
son
épouse. Jacques
du
Verrier, électeur
de la
noblesse
d'Angoumois
aux
Etats
Généraux
de
1789
est un
grand propriétaire foncier.
Il est
maire
de
Pleuville sous
la
Révolution
et
jusqu'à
sa
mort
en
1829
où il
laisse
à ses
sept enfants
une
importante
fortune.
Son
fils
aîné,
Nicolas Auguste (1781-1860) hérite
de
Gorce. Cette
famille
sera propriétaire
jusqu'au
début
du
20eme
siècle.
Les
propriétaires actuels tiennent
le
château
de Mme de
Cugnières.
D.
Doc
4.1
Charente
Pleuvillc
Château
de
Gorce
Description
La
commune
de
Pleuville
se
trouve enclavée dans
le
département
de
La
Vienne,
entre
Charroux
et
Confolens (arrondissement
et
canton
de
Confolens)
[D.Doc
8al].
Le
Château
de
Gorce
est au sud du
bourg, isolé dans
la
campagne.
Des
bâtiments
de
ferme
et une
stabulation (prévue
à
démolir)
se
trouvent
au sud du
château.
Un
étang longe
l'aile
nord
des
communs
et un
ancien chemin
qui
part
de la
D38.
L'accès
à la
propriété
se
fait
de
l'ouest
par
la
route communale
n°
9
pour aboutir
au
châtelet d'entrée [D.Doc
8a2].
Pour aider
à la
description
et à
l'évolution architecturale
du
château
de
Gorce,
il
existe, outre
le
cadastre ancien,
des
dessins
de cet
édifice
malheureusement
non
datés.
Les
deux
élévations principales
du
logis
ont été
illustrées
par un
certain
Lemercier
[D.
Doc.dS
et
d4] qui
pourraient
dater
de la fin du
19ème,
début
20ème,
et par
Amédé Brouillet (vers
1825-
1850)
[D.
Doc.d5
et
d6].
Il
existe également
une
photo
[D.Doc9b],
vers 1920
qui
montre
un
édifice
déjà
partiellement
en
ruine.
L'ensemble
s'organise
en
trois ailes
de
plan
en
U
:
l'aile
ouest, constituée
du
châtelet d'entrée attenant
à un
bâtiment
de
commun
et le
logis
en
retrait
et
séparé
du
châtelet,
deux
ailes nord
et sud de
communs
de
part
et
d'autre d'une cour ouverte vers
l'est
et qui
devait être délimitée
par un
mur.
Un
pont enjambe
un
fossé dans
l'axe
du
châtelet,
fossé
qui
devait être
en eau
[D.Doc
8b2].
Il est à
noter qu'un portail
à
bossage
aujourd'hui
disparu,
s'ouvrait
au
devant
du
pont donnant
sur le
châtelet d'entrée (cf. dessins
de
Lemercier
[D.
Doc.d3]
et de
Brouillet
[D.
Doc.d5]).
Ces
dispositions sont, pour
l'essentiel,
identiques
à
celles
du
cadastre
de
1825
[D.Doc 8bl] avec
toutefois
quelques différences.
Si
Ton
fait
abstraction
des
bâtiments liés
à
l'exploitation agricole,
les
communs
n'ont
guère changé.
L'aile
sud est
cantonnée,
à
chaque
extrémité,
d'une
tour
de
section carrée.
Au
milieu
de
l'élévation sud,
un
contrefort, consolide
la
construction.
L'aile
nord
est de
même longueur
sur les
deux cadastres.
Le
châtelet
est
relié
sur le
cadastre ancien
au
logis.
Le
pont volant n'est
pas
dessiné
sur le
cadastre récent
qui
relie
les
premiers étages
du
châtelet
et de la
tour ouest
du
logis. Cette tour ronde
à
l'ouest
se
distingue
assez
mal sur le
cadastre
de
1825,
car
elle
est
dans
le
prolongement
du
logis tandis
qu'elle
se
découpe maintenant nettement
en
avant
du mur
goutterot très
en
retrait.
Le
dessin
d'Amédé
Brouillet (1825-1850) [D.Doc.d5]
qui
figure
cette élévation, indique
un
bâtiment
en
appentis
doté
d'une
haute cheminée
et qui
semble percé
de
cinq baies.
Ce
bâtiment (disparu)
n'est plus indiqué sur le dessin de Lemercier [D.
Doc.d3].
La tour Est du logis à pans coupés
est
dessinée
sur les
deux cadastres. Dans
la
première moitié
du
20eme,
l'édifice
a été
tronqué
d'un
tiers
de sa
superficie
et
n'est
plus depuis, relié
à la
grosse tour ronde jouxtant quasiment
l'aile nord
des
communs. Cette tour
est
maintenant
en
ruine
et non
figurée
sur le
cadastre
actuel [D.Doc
8b3].
Le
châtelet d'entrée
:
Pièce
majeure
de cet
ensemble,
le
châtelet
se
développe
sur
deux étages placés
au
dessus d'un passage couvert voûté
et
percé d'une porte piétonne
et
cochère
en
anse
de
panier
disposant
chacune
autrefois
de
leur
pont-levis
à
flèche dont
il
reste
les
rainures côté
ouest [PL,
1,
2].
Cette élévation
est en
pierre
de
taille tandis
que les
trois autres sont
en
moellon enduit.
Une
table
se
trouve entre
les
deux rainures
de la
porte cochère ornée d'un
blason
martelé. Cette table
est
limitée dans
sa
partie supérieure
par un
bandeau saillant
mouluré.
Au
dessus,
une
fenêtre entourée d'un chambranle
en
table éclaire
le
premier étage
du
châtelet.
Une
seconde fenêtre
à
appui mouluré interrompt
les
consoles
à
ressauts
en
quart
de
rond,
sur
lesquelles vient
se
poser
la
toiture
en
pavillon
en
tuile plate
et qui
devaient soutenir
un
parapet
de
mâchicoulis.
Au
niveau
de
cette
fenêtre,
les
consoles sont doublées
d'une
72/08/2002
Charente
Pleuville
Château
de
Gorce
Propriétaire
:
privé. Demande
de
protection
des
propriétaires
en
date
du
4/01/2002
Présentation
:
Brigitte MONTAGNE
RAPPORT
Le
premier seigneur connu
de
Gorce
est
Antoine Fontlebon
en
1473.
Les
Fontlebon portent
un
blason
d'argent
à
trois
aigtettes
de
sable.
En
1510,
l'unique héritière d'Antoine Fontlebon fait
don de son
fief
à
son
neveu,
Antoine
de La
Tour,
écuyer,
qui
devient seigneur
de
Gorce.
Le 3
juin
1615,
Elisabeth
de La
Tour
épouse
Jacob
d'Asnière
de
Villefranche.
Par
acte
du 27
septembre
1787,
le
marquis Jean
d'Asnière
vend
le
fief
de
Gorce
en
viager, contre 7000 livres
par an à
Jacques
du
Verrier
de
Boulzat,
chevalier
et
dame Corderoy,
son
épouse. Jacques
du
Verrier,
électeur
de la
noblesse
d'Angoumois
aux
Etats Généraux
de
1789
est un
grand propriétaire foncier.
Il est
maire
de
Pleuville
sous
la
Révolution
et
jusqu'à
sa
mort
en
1829
où if
laisse
à
ses
sept enfants
une
importante
fortune.
Son
fils
aîné,
Nicolas Auguste (1781-1860) hérite
de
Gorce. Cette famille sera propriétaire jusqu'au début
du
20ème
siècle.
Les
propriétaires
actuels tiennent
le
château
de Mme de
Cugnières.
Le
Château
de
Gorce
est au sud de
Pleuville,
isolé dans
la
campagne.
Un
étang longe l'aile nord
des
communs. L'accès
à la
propriété
'se
fait
de
l'ouest
par la
route communale
nc
9
pour aboutir
au
châtelet
d'entrée.
L'ensemble
s'organise
en
trois ailes
de
plan
en U :
l'aile
ouest, constituée
du
châtetet
d'entrée
attenant
à un
bâtiment
de
commun
et le
logis
en
retrait
et
séparé
du
châtelet, deux ailes nord
et
sud de
communs
de
part
et
d'autre d'une cour ouverte
vers
l'est
et qui
devait être délimitée
par un
mur.
Un
pont enjambe
un
fossé dans l'axe
du
châtelet,
fossé
qui
devait être
en
eau.
L'aile
sud des
communs
est
cantonnée,
à
chaque extrémité,
d'une
tour
de
section carrée.
Au
milieu
de
l'élévation
sud,
un
contrefort, consolide
la
construction.
L'aile
nord
fait
près
de 100 m de
long.
Le
châtelet
communique
avec
le
logis
par un
pont volant
qui
relie
les
premiers étages
du
châtelet
et de la
tour
ouest
du
logis
. Ce
dernier
a été
tronqué
d'un
tiers
de sa
superficie
et est
maintenant séparé
de la
grosse
tour ronde
en
ruine jouxtant quasiment
l'aile
nord
des
communs.
Le
château
de
Gorce remonte pour l'essentiel
à la fin du
Moyen
Age.
Le
châtelet d'entrée
particulièrement élégant avec
son
pont-levis
à
flèche
et ses
tourelles
en
encorbellement évoque
le
raffinement
du
15eme
siècle,
de
même
que les
fenêtres moulurées
du
logis.
Il
pourrait toutefois être
plus
tardif
(à la
charnière
des 16 et
17eme
siècles).
La
porte
d'accès
à
l'escalier
du
logis ornée
d'un
blason
sculpté
est par
contre
empreinte
du
style
de la
Renaissance
voir
début
17eme.
Les
communs
avec
leurs éléments
de
défenses (tours carrées, bouches
à
canon
et
trous d'arquebuse)
ainsi
que
leurs
ouvertures évoquent plutôt
le
17ème
siècle.
Enfin,
une
seule date
est
visible
:
1654 (sur
une
poutre
des
communs).
I!
est
ensuite donné lecture
des
avis
:
AVIS
REQUIS
:
Avis
du
conservateur
du
patrimoine
chargé
d'inspection
des
monuments
historiques.
M.
PEYRE
Ici,
à
l'évidence,
les
dépendances
présentent
une
plus
grande authenticité
que les
parties
principales.
Ces
dernières
comportant cependant
des
éléments intéressants comme
le
châtelet d'entrée
ou la
porte
de la
tour
du
logis,
M.
PEYRE donne
un
avis
favorable
à
l'inscription
sur
l'inventaire
supplémentaire
des
façades
et
toitures
de
l'ensemble.
Avis
du
conservateur
régional
de
l'inventaire.
M.
BOUFFANGE
C.R.P.S.
du
25/06/2002
12/08/2002
II
s'agit
d'un
bon
exemple
de
petit château
en
terrain
de
granité
et de
tuile
plate,
bien intégré
dans
le
paysage.
Son
intérêt
est
dans
sa
structure
:
ouvrage d'entrée
et
logis
à
large tour d'escalier demi hors œuvre, mais
également
pour
son
aspect
défensif.
L'ouvrage
d'entrée
est
bien conservé avec
son
passage couvert, protégé jadis
par un
pont-levis
dont
il
reste
des
traces,
et sa
façade
pourvue
de
tourelles d'angles
en
encorbellement
et
couronnée
de
mâchicoulis
sur
consoles.
Ces
éléments, comme
les
quelques
archèrcs-canonnières
et les
canonnières
encore
visibles
sont
de
bons témoignages
de
l'architecture
militaire
à la
fin
du
Moyen Age.
Le
logis,
bien
que ses
ouvertures
et le
décor intérieur aient
été
refaits,
est
intéressant
par ses
volumes
et par la
qualité
du
décor
de sa
porte
d'entrée.
M.
BOUFFANGE
propose
la
protection
de
l'ouvrage
d'entrée
en
totalité,
des
façades
et
toitures pour
le
reste.
Avis
de
l'architecte
en
chef
des
monuments
historiques.
M.
VILLENEUVE
Quoiqu'assez
restauré,
le
château
de
Pleuville présente aujourd'hui
un
ensemble architectural
fort
intéressant,
notamment pour
ce qui
concerne
le «
donjon-porte
».
La
documentation
fournie
par le
dossier documentaire montre
assez
les
particularités
de ces
types
de
défense,
dont Pleuville
a
conservé
la
plupart
des
dispositions. Certes,
les
menuiseries
ou les
couvertures mériteraient
une
restauration,
mais l'essentiel
est.
L'intérieur
de ce
châtelet
a
conservé également
ses
cheminées, quoique l'on croit
y
discerner
de
vilains joints
en
ciment,
sans parler
des
enduits,
des
plafonds
et des
sols
qui ne
peuvent nier leur appartenance
au 19e et au 20e
siècle.
La
petite passerelle, aujourd'hui
fixe,
reliant
le
châtelet
au
logis
est
tout aussi importante pour
la
compréhension
du
système
de
défense originel.
La
pile médiane,
la
rainure
d'encastrement
de la flèche de la
partie autrefois
mobile,
dont
on
voit encore
la
feuillure dans
le
mur, s'ajoutent
à
l'intérêt
de ce
témoignage.
Du
logis, dont
une
moitié seulement
est
parvenue jusqu'à nous, nous pouvons admirer
la
remarquable porte
de la
tourelle
d'escalier ornée d'un très beau tympan armorié.
On
peut seulement regretter
le
traitement
des
baies
et des
enduits
qui
donnèrent
à ce
logis
un
caractère
par
trop
19e.
Il en est de
même
de la
toiture conique posée
sur la
tour
d'escalier
au
plan polygonal,
coiffant
du
même coup
la
petite tourelle
en
poivrière
qui
disparaît ainsi.
La
belle
charpente
.du
logis,
à
chevrons portant fermes
et
faîtage
-
sous faîtage,
est
également digne
d'intérêt.
L'intérieur
en
revanche
est
aujourd'hui assez appauvri
par les
aménagements
qui y ont été
faits.
Enfin,
les
communs,
à la
rude charpente
du 17e
siècle, pour
ce qui
concerne ceux
du
côté nord, dont
le
pied
baigne
dans
un
étang, participent avantageusement
à la
compréhension d'ensemble
du
domaine.
En
conséquence,
M.
VILLENEUVE propose
un
classement
au
titre
des
monuments historiques
des
façades
du
châtelet d'entrée, ainsi
que
l'inscription
sur
l'inventaire supplémentaire
des
monuments historiques
du
logis
et
des
communs.
Avis
de
l'architecte
des
bâtiments
de
France.
M.
AUZOU
La
première visite
de M.
AUZOU
au
château
de
Gorcc
est
assez récente (fin 2000
ou
début
2001)
et a
suivi
de
peu
son
acquisition
par M. et Mme
GURT.
Auparavant,
M.
AUZOU
ne le
connaissait
que par les
livres,
les
photos
et
pour l'avoir approché
par
l'ouest
jusqu'à
la
contrescarpe
du
châtelet.
Outre
le
charme
qui se
dégage
de son
environnement champêtre
et
agréablement vallonné,
cet
édifice, dans
ses
différentes
composantes (châtelet, logis, communs)
lui est
apparu tout
à
fait
remarquable, notamment
par la
qualité
et
l'authenticité
de
nombre
de ses
éléments
- et
particulièrement
le «
donjon-porte
»
formant
un
élégant
châtelet
- et ce
malgré
les
disparitions
intervenues
sur la
moitié nord
du
logis.
C'est
d'ailleurs
à
l'issue
de
cette visite
que M.
AUZOU
a
conseillé
à ces
nouveaux
et
sympathiques propriétaires
de
solliciter
pour
cet
ensemble castrai
une
protection
au
titre
des
monuments historiques qu'il
lui
semble
parfaitement
mériter.
M.
AUZOU propose
donc
l'inscription
sur
l'inventaire supplémentaire
des
monuments historiques
des
éléments
suivants
: le
châtelet
d'entrée
(ou
donjon-porte)
en
totalité
; le
logis,
en
limitant peut-être
sa
protection
aux
façades
et
toitures,
les
intérieurs ayant
été
fortement remaniés
; les
vestiges
de la
moitié nord
du
logis avec
l'ancienne
tour
en
ruines
;
enfin
les
façades
et
toitures
des
communs dont l'aile nord
est
tout
à
fait
extraordinaire
par
sa
longueur
et qui
présente
à cet
égard
le
grenier
le
plus
remarquable
que M.
AUZOU connaisse
en
Charente.
Celui-ci
ajoute
que
cette
protection permettra
à ses
services d'exercer
une
surveillance
et un
contrôle
sur les
travaux
envisages
car les
compétences
de
l'architecte retenue
par M. et Mme
GURT,
qui
sont nombreuses dans
d'autres domaines, sont,
de son
propre
aveu,
assez
limitées
en
matière
de
restauration d'un édifice ancien.
C.R.P.S.
du
25/06/2002
42
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