
Ce travail n’aurait pas vu le jour sans le soutien du professeur Michel Hupet
qui a dirigé ma thèse avec attention tout en me laissant la plus grande autonomie.
C’est avant tout lui qui m’a convaincue de revenir travailler à Louvain-la-Neuve,
alors que j’entreprenais mes recherches sur l’accord en français à University
College London. Il est, avec Brian Butterworth, parmi ceux qui m’ont donné
confiance en moi pour me lancer dans cette entreprise intellectuelle.
Je remercie également mon comité d’encadrement, les professeurs Gabriella
Vigliocco et Pierre Feyereisen, ainsi que les membres du jury, les professeurs
Gerry Altmann et Jean Costermans, qui ont accepté de prendre le temps de lire ce
travail et de le commenter précieusement. Je m’adresse tout particulièrement à
Gabriella Vigliocco avec qui j’ai mené plusieurs recherches. Notre collaboration a
été, et continue d’être mon principal point d’ancrage dans le monde de la
psycholinguistique. Les séjours de travail passés chez elle, les centaines
d’échanges par courrier électronique, la confiance mutuelle que nous nous
témoignons et la proximité de nos points de vue ont fait d’elle bien plus qu’un
superviseur ou une collaboratrice.
Merci aussi aux amis et collègues de l’unité EXCO et de la Faculté pour leurs
conseils et l’ambiance détendue grâce à laquelle le travail a toujours été un
plaisir.
Papa, maman, Jean-Sé, John, Jean, Gérard et ceux que je ne peux citer faute
de place mais qui, je l’espère, se reconnaissent dans ce paragraphe ; merci d’avoir
éveillé et/ou entretenu ma curiosité intellectuelle et ma sensibilité politique sans
lesquels je n’aurais jamais trouvé le fil conducteur d’un tel travail théorique de
recherche.
Tout ce temps que ma thèse a absorbé ces derniers mois, j’aurais voulu le
passer avec toi, Elise. Mais tu comprendras un jour qu’une maman, pour être
vraiment heureuse, a besoin de travailler.
Jean-Sé, ce travail est pour toi. Merci pour tout ce que nous vivons ensemble
depuis douze ans.