Journal 2013 octobre - Hôpital Départemental de Felleries

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Hôpital infos
N°79
Octobre 2013
SOMMAIRE
2 Éditorial
Le mot du Directeur
Les rendez-vous
Ensemble pour la Qualité
3 Evaluation interne de la MAS
4 Questionnaire pharmacie
La gestion des risques
5 Les précautions standard
6 Les nouveaux chariots
d’urgence
Au cœur de l’Hôpital
7 Départ du directeur
Suivi des travaux à la MAS
8 Archivage du dossier patient
9 Bon à savoir
Point RH
10 L’événement en images
Journée portes ouvertes
11 Quoi de neuf ?
Le personnel
Le journal du personnel
Éditorial
Le mot du Directeur
Les
L es
rendez-vo
us
FORMATION
ESTHETIQUE
MERCI
Mes 5 années à l'HDFL m'ont
comblé.
En arrivant, je n'avais pas
d'expérience. J’y ai beaucoup
appris.
C'est grâce à vous, votre travail,
vos efforts, votre soutien dans la
stratégie globale de l'hôpital que
j'ai pu obtenir une nomination à
Calais.
Je n'oublierai jamais mon
passage parmi vous.
L'HDFL n'est pas un hôpital
comme les autres.
J'y ai rencontré des personnes
exceptionnelles entièrement
dévouées à leur travail et se
sentant concernées par leur
avenir.
J'y ai rencontré des personnes
avec des idées et un potentiel qui
ne demandaient qu'à s’exprimer.
Continuez avec la même
ambition, la même dynamique.
Il n'y a plus de complexe à avoir.
La poursuite d'une gestion
financière saine vous permettra
d'obtenir l'accord et le
financement des travaux tant
attendus qui redonneront un
peu de lustre à notre fameux
crépi jaune.
Je vous remercie une nouvelle
fois et souhaite bonne chance à
mon successeur.
Cordialement
Un outil de valorisation des
personnes en difficulté,
handicapées et/ou âgées.
4 - 5 - 18 - 19
Novembre 2013
FORMATION
INCENDIE
12 Novembre 2013
4 Décembre 2013
CGOS
Spectacle LEGENDERS
Spectacle et fête du village
Lille Grand Palais
Le 22 décembre 2013
À 14 heures
Pour tout renseignement :
Votre correspondant CGOS
Mme TRIQUET au 7212
Martin TRELCAT
Directeur de la publication : Martin Trelcat - Rédactrice / Conception maquette : Mélanie Vitrant - Assistantes : Christelle Fauveaux ; Franckie Mara
Comité de lecture : Marie-Ange Douce ; Franckie Mara - Photographes : Christelle Fauveaux ; Franckie Mara Le journal du personnel - Trimestriel - 420 exemplaires - Impression : Service Communication - Hôpital Départemental de Felleries-Liessies
2
Ensemble pour la Qualité
Evaluation interne
de la MAS
TOTAL GENERAL DES DOMAINES
100%
80%
60%
LA DEMARCHE
43%
En janvier 2014, l’établissement doit envoyer à l’ARS
(Agence Régionale de Santé) son évaluation interne de la
Maison d’Accueil Spécialisée.
Cette évaluation interne est une “certification” pour le
médico-social et revêt la même importance que la
certification HAS.
38%
40%
16%
20%
2%
0%
systématiquement
satisfait
globalement
satisfait
partiellement
satisfait
non satisfait
RAPPEL DES ETAPES ET DES ECHEANCES
Pour rappel, un comité de pilotage a été mis en place afin Octobre à Décembre 2013
d’évaluer chaque critère du logiciel.
- Relecture par les personnes concernées et le service qualité du
bilan
de chaque domaine et des actions d’amélioration prévues
Ensuite, le COPIL a oeuvré à la mise en place des actions
Rédaction
du rapport
pour chaque critère devant être amélioré.
- Relecture du rapport définitif
Janvier 2014
Les résultats de l’évaluation interne par
- Envoi de l’évaluation interne à la tutelle
Janvier 2015
domaine
- Evaluation externe. L’établissement devra choisir une société
extérieure agréée pour cette évaluation.
LE SERVICE DANS SON ENVIRONNEMENT
100%
GRANDS AXES
D’AMELIORATION
RETENUS
80%
60%
45%
40%
Mise à jour du projet de
27%
18%
20%
9%
0%
systématiquement
globalement
partiellement
non satisfait
LE PROJET
ET LEsatisfait
PROJET DE SERVICE
satisfait D'ETABLISSEMENT
satisfait
100%
80%
80%
59%
60%
60%
40%
20%
LA PERSONNALISATION DE L'ACCOMPAGNEMENT
100%
53%
40%
18%
12%
31%
16%
20%
12%
0%
0%
0%
systématiquement
globalement
partiellement
non satisfait
PROMOTION
DE L'AUTONOMIE,
LAsatisfait
QUALITE DE VIE, LA
satisfait
satisfait
systématiquement
globalement
partiellement
non satisfait
LA GARANTIE
DES DROITS DE
L'USAGER
satisfait
satisfait
satisfait
SANTE ET LA PARTICIPATION SOCIALE
ET LEUR PARTICIPATION
100%
100%
80%
80%
60%
73%
60%
50%
42%
40%
40%
20%
18%
20%
8%
9%
0%
0%
0%
0%
systématiquement
globalement
partiellement
non satisfait
L'ORGANISATION
DU
SERVICE AU SERVICE
satisfait
satisfait
satisfait DE L'USAGER
systématiquement
globalement
partiellement
non satisfait
LA
PROTECTION satisfait
ET LA PREVENTION
DES RISQUES
satisfait
satisfait
100%
100%
80%
80%
Soit 18 projets
d’amélioration suivis par
le comité de pilotage
60%
60%
41%
60%
48%
40%
40%
20%
9%
27%
13%
20%
2%
0%
0%
0%
systématiquement
satisfait
globalement
satisfait
partiellement
satisfait
non satisfait
systématiquement
satisfait
service et ajout de certaines
informations.
Création d’indicateurs liés au
projet de service.
Mise à jour des différents
projets (médical, éducatif…).
Mise en place, suivi et évaluation du projet individualisé.
Amélioration et sécurisation
de la prise en charge médicamenteuse.
Analyse des besoins du
territoire.
Evaluation des actions de
formation.
Sensibilisation des agents sur
certains domaines.
Rédaction d’un plan de
communication.
Sécurisation des accès pour
les résidents.
globalement
satisfait
partiellement
satisfait
non satisfait
Chaque pilote a en charge un ou
plusieurs projets, le but étant
d’améliorer les critères pour
l’évaluation externe.
MV
3
Ensemble pour la Qualité
Questionnaire de satisfaction pharmacie
Une enquête de satisfaction concernant l'ensemble des services prestataires de l'établissement est réalisée annuellement. A ce
titre, S. Cormont, pharmacien, a souhaité qu'un questionnaire de satisfaction spécifique à la pharmacie soit réalisé
également. C'est la raison pour laquelle courant mai 2013, un questionnaire a été adressé à tous les médecins, cadres et IDE de
l'établissement. Un délai de 1 mois leur a été laissé pour y répondre. Ce sont donc au total 91 questionnaires qui ont été
adressés, avec un retour de 43 réponses.
Ce questionnaire portait sur un certain nombre d'éléments d'appréciation comme la qualité de l'accueil à la pharmacie tant
physique que téléphonique, mais également sur les jours de commande, de livraison, etc… Depuis la réalisation de cette
enquête des actions d’amélioration ont été mises en place.
1. D'une manière générale, les services offerts par
la pharmacie vous donnent-ils satisfaction ?
Taux de réponse : 100,0%
10. Souhaiteriez-vous une aide de la pharmacie
pour structurer votre manière de gérer votre stock
?
Taux de réponse : 100,0%
6. Les jours de livraison correspondent-ils à vos
besoins ?
Taux de réponse : 100,0%
A l’analyse des résultats, il est à noter, entre autre, qu’à la question
“Pensez-vous que les informations réalisées par la pharmacie sont
suffisantes ?” 74% des personnes sont satisfaites et qu’à la question “De
manière générale, quel est votre degré de satisfaction sur les notes
d’information de la pharmacie ?” 60% sont satisfaits. Toutefois,
malgré leur degré de satisfaction, il reste des thématiques sur
lesquelles les agents souhaiteraient avoir plus d’information, à savoir :
- Nouveau dispositif médical : 74%
- Nouveau médicament : 72%
- Rupture momentanée : 60%
- Remplacement de produit : 58 %
- Reconstitution de médicaments : 44%
Il ressort donc de cette analyse que malgré le fort taux de satisfaction
sur les informations faites et données, les agents attendent tout de
même d’autres éléments de réponse sur des points précis.
Quelques commentaires recueillis...
A la question “Quel type de problème de livraison rencontrez-vous le plus fréquemment ?”
- Médicament non disponible en pharmacie et équivalent proposé.
A la question “ effectuez-vous un contrôle systématique (=planifié) des dates de péremption ?”
- Selon la feuille de pharmacie qui nous est envoyée.
Vos suggestions
- Signaler lorsqu’il manque des médicaments dans la livraison si possible.
- Avoir le coût de certains médicaments pour responsabiliser certains agents.
- 1 jour fixe pour la livraison des stupéfiants
- ...
FM
4
La gestion des risques
Rappel sur les précautions standard
Les infections nosocomiales touchent
chaque année entre 600 000 et un
million de personnes en France. C’est
une infection contractée dans un
établissement de soins alors qu'elle
était absente au moment de
l'admission du patient. Lorsque l'état
infectieux du patient à l'admission est
inconnu, l'infection est généralement
considérée comme nosocomiale si elle
apparaît après 48 heures d’hospitalisation. Si elle apparaît avant ce
délai, on considère qu'elle était en
incubation lors de l'entrée dans
l'établissement.
On estime que les infections
nosocomiales sont la cause directe de
plus de 4 000 décès chaque année en
France.
Leur origine peut être endogène
quand le patient s'infecte avec ses
propres germes ou exogène lorsque les
germes proviennent d'autres malades,
on parle alors d'infection croisée, du
personnel ou de l'environnement
hospitalier (eau, air, équipement,
alimentation, etc...).
Les précautions standard
permettent de limiter ces
infections.
Les précautions standard sont des
moyens de prévention mis en oeuvre
afin de contrôler et maîtriser les
infections nosocomiales. Elles visent la
sécurité des patients tout en assurant
celle des soignants.
Ces précautions d’hygiène doivent
être appliquées pour tout patient,
quel que soit son statut
infectieux. Ces mesures permettent
d’assurer une protection systématique
de tous les patients et des personnels
vis à vis des risques infectieux, lors de
contact avec le sang, les liquides
biologiques ou tout autre produit
d’origine humaine.
RAPPEL DES PRÉCAUTIONS STANDARD à l’HDFL
(selon la procédure associée PR 083-0)
PORT DE GANTS
En cas de risque de contact avec du sang ou tout
autre produit d'origine humaine.
En cas de risque de contact avec une muqueuse
ou la peau lésée du patient/ résident.
Lors de manipulations de linge souillé et/ou de
matériel utilisé.
Lors de tout soin, lorsque les mains du soignant
comportent des lésions.
PORT D’UNE SURBLOUSE,
MASQUE ET LUNETTES OU PORT D’UN TABLIER
Si les soins ou manipulations exposent à un risque de
projection ou d'aérosolisation de sang ou tout autre
produit d'origine humaine (aspiration, intubation ...).
Port d’un tablier plastique pour les soins mouillants.
HYGIÈNE DES MAINS
Avant et après tout contact avec un malade ou son
environnement proche (chambre).
Avant et après tout port de gants.
En cours de soins chez un même patient/ résident pour
éviter une auto-contamination.
Lavage des mains avec un savon doux si elles sont souillées.
Désinfection des mains à l'aide d'un produit hydro
alcoolique si elles sont contaminées mais non souillées.
EVACUATION DES DÉCHETS DES
SERVICES DE SOINS
Le personnel doit se munir d'un tablier étanche pour
l'évacuation des déchets des services de soins.
Respectez le ou les protocoles de l'établissement .
NETTOYAGE DÉSINFECTION
DES SURFACES
GESTION DU MATERIEL SOUILLE
Les
surfaces
doivent
être désinfectées avec un détergent
Ne pas recapuchonner les aiguilles.
désinfectant
de surface.
Ne pas désadapter à la main.
Déposer immédiatement le matériel dans
Respecter le ou les protocoles de l’établissement
un conteneur adapté et sécurisé.
(Cf. Classeur vert d'hygiène).
Décontaminer après utilisation.
Vérifier que le matériel qui doit subir une maintenance soit
Et les visiteurs ?
bien désinfecté avant envoi au service biomédical.
Les visiteurs présentant une maladie des voies
respiratoires ou toute autre maladie transmissible ne
devraient pas entrer dans les secteurs de soins.
io
RAPPEL SUR LES AES
En cas de contact avec du sang ou tout autre liquide biologique,
une procédure est à respecter.
Elle est affichée dans les infirmeries et disponible dans le classeur
des procédures de soins (PR 018).
RENDEZ VOUS PAGE 9 DU JOURNAL !
Ils doivent se laver les mains avant et après la visite
d'un malade afin d'éviter la transmission manuportée
de germes.
k
Ils doivent accepter qu'un malade soit placé en
isolement.
MV
5
La gestion des risques
Les nouveaux chariots d’urgence
Pour parer aux différents risques
potentiels, un groupe de travail a été
initié courant juin 2009 avec pour but
de revoir la procédure chariots,
valisettes et sacs d'urgence. Après
plusieurs réunions et consultations des
agents et afin de répondre au mieux à
leurs attentes, la priorité du groupe de
travail a été de faire l'inventaire des
matériels d'urgence et acquérir de
nouveaux chariots pour leur
uniformisation dans les services où ils
sont situés.
collaboration avec un(e) aidesoignant(e) afin que chacun puisse
connaitre les différents matériels
d'urgence ainsi que leur bon
fonctionnement et utilisation. De
plus, un roulement de vérification a
été instauré afin que ce ne soit pas
toujours le même service ni les
mêmes agents qui la réalisent. A ce
propos, ce dispositif a d'ores et déjà
été communiqué aux équipes qui
trouvent cela fort approprié et
nécessaire.
Cette uniformisation que ce soit pour les
défibrillateurs, le matériel d’aspiration, les respirateurs, etc… et plus
largement les chariots d'urgence
permettra aux agents faisant des
remplacements dans un autre service
de connaitre le matériel et d'être ainsi
plus sereins en cas d'urgence et d’éviter
d'ajouter du stress là où il n'y a pas lieu
d'en avoir.
Autre point abordé, l'allègement du
contenu des chariots. En effet, le
groupe de travail est parti du
principe que le chariot, la valisette
ou le sac d'urgence reste un dispositif
d'urgence et donc de premier
secours. En aucun cas, ils ne doivent
suppléer les médicaments ou
dispositifs disponibles dans les
services.
Toujours dans cette optique, un
planning de vérification mensuelle des
équipements d'urgence a été mis en
place. Pour ce faire, un(e) infirmier(e)
devra réaliser cette vérification en
De plus, des scellés de couleur ont été
instaurés. En effet, en cas de
commande de produits manquants
pour le chariot, valisette ou sac
d’urgence, le dispositif sera rescellé
DATES DE MISE EN PLACE
DES NOUVEAUX CHARIOTS D’URGENCE
- Pavillon A : le vendredi 8 novembre 2013 à 13h30
- Pavillon B : le lundi 4 novembre 2013 à 13h30
- Pavillon C : le Jeudi 21 novembre 2013 à 13h45
avec un scellé de couleur jaune et le
produit sera indiqué sur une feuille de
couleur réservée à cet effet. Dès que les
produits manquants seront remis, le
scellé de couleur jaune sera remplacé
par un scellé de couleur rouge. Cette
mesure permet, à tout agent qui doit
utiliser le matériel d'urgence, de savoir
si le chariot, la valisette ou le sac
d'urgence est complet.
Dernier point important, le contenu ne
devra en aucun cas être modifié.
Toutefois, toute demande de modification devra être soumise et validée
par le groupe de travail et ceci afin de
conserver l’uniformité mise en place.
Voici les principaux points revus par le
groupe de travail « chariot d'urgence ».
Prochainement, les nouveaux chariots
d'urgence seront mis à disposition dans
les services concernés et la procédure
modifiée sera diffusée.
RAPPEL
OU SONT-ILS SITUES ?
Les chariots d’urgence
- Pavillon A : infirmerie du niveau 2
- Pavillon B : infirmerie du niveau 1
- Pavillon C : infirmerie du niveau 2
Les autres services sont équipés de sacs et valisettes.
Il est à noter qu’à propos du choix du
chariot et de son contenu, les agents ont été
consultés. En effet, 2 modèles de chariots
ont été mis à disposition dans les pavillons
afin de recueillir leur préférence. De plus, les
agents ont eu la possibilité de donner leur
avis sur le contenu du chariot.
FM
6
Au coeur de l’hôpital
Pot de départ du Directeur
Ce mercredi 23 octobre 2013, fut l'occasion pour notre directeur, Martin Trelcat,
de faire son pot de départ suite à sa nomination à la tête du Centre Hospitalier de
Calais.
Le Dr Jean-Luc Moreau, représentant la CME, a débuté son discours en félicitant
M. Trelcat pour sa nomination mais en précisant que c'est aussi avec regret qu'on
le voit partir pour découvrir d'autres horizons.
Il a fait ensuite le bilan des projets réalisés au sein de l'établissement en étroite
collaboration avec M. Trelcat, et ce grâce à sa pédagogie, sa transparence, sa
confiance et son respect. Par ses qualités, il a su bousculer le quotidien de chacun
en instaurant entre autre la délégation de gestion dans les pôles, l'analyse de
l'activité, etc… bref une véritable et sincère gestion participative. « Malgré des
moments difficiles, sa pédagogie a su triompher » selon le Dr Moreau, porteparole de la communauté médicale. Le discours du Dr Jean-Luc Moreau fut du
début jusqu'à la fin empreint d'une touche d'humour. Celui-ci a terminé ses
propos en remerciant Martin Trelcat de leur avoir inculqué ou stimulé l'esprit
d'entreprendre.
Puis, Philippe Lety, Président du Conseil de Surveillance, a pris la parole pour à
son tour lui témoigner de sa sympathie ainsi que de celle des membres du conseil
de surveillance. Il est lui aussi revenu sur le parcours professionnel de ce « jeune
directeur » en rappelant l'objectif qui lui avait été fixé lors de son recrutement, à
savoir rétablir la situation financière de l'établissement et le projeter dans le 21ème
siècle. Cette mission est accomplie malgré les difficultés rencontrées. Il a terminé
son allocution en lui souhaitant réussite dans ses nouvelles responsabilités.
Martin Trelcat a fait enfin part de son ressenti non sans émotion et à cœur ouvert.
Pour sa part, il est revenu sur l'ensemble des projets qui ont vu le jour depuis son
arrivée au sein de l'établissement mais également sur les projets à venir. Il a tenu à
remercier de nombreuses personnes qui l'ont aidé tout au long de sa carrière et ce
depuis sa réussite au concours de directeur.
Il s’est vu ensuite remettre plusieurs cadeaux dont celui des agents de l’HDFL mais
également de personnes d’établissements extérieurs avec lesquels il a travaillé.
FM/MV
Future MAS : suivi des travaux
7
Au coeur de l’hôpital
L’archivage du dossier patient en toute sécurité
Une nouvelle procédure est en cours de rédaction par un groupe de travail afin de définir une organisation claire et précise
d'archivage des dossiers médicaux dans le but de maitriser les risques liés à l'identitovigilance.
Le service des archives a, dans un premier temps, détruit les dossiers médicaux de plus de 20 ans, selon la réglementation. Ce
travail de tri, extrêmement long, a permis de libérer de l'espace nécessaire dans les locaux pour réorganiser un archivage plus
sécurisé.
Le groupe de travail a réfléchi aux différents risques liés à l'archivage, de l'entrée du patient à sa sortie, tout en prenant en
compte les risques liés aux nouveaux séjours.
Nous avons tous un rôle à jouer dans l'identification du patient et de son dossier médical.
LA SECRETAIRE MEDICALE
Son rôle est primordial dans
l'identitovigilance car c’est elle qui crée
le dossier du patient. La procédure
prévoit que la secrétaire effectue une
recherche d'antériorité avec le nom
de naissance pour chaque patient,
c'est-à-dire qu'elle vérifie si le patient
a déjà été hospitalisé dans
l'établissement ou non. Cette
recherche permet d'avoir un
DOSSIER UNIQUE pour chaque
patient.
La création du dossier sera également
uniformisée afin de faciliter son
archivage. Les pochettes de dossier
seront donc modifiées en conséquence.
L'identification par le biais des
étiquettes est également primordiale
et sera un élément à retrouver
obligatoirement sur la pochette afin
d'éviter toute confusion.
L’ensemble des éléments du dossier
devront être dans la pochette (radios,
comptes rendus des prestataires, ...).
TOUT LE PERSONNEL
Chaque agent impliqué dans la prise en
charge d'un patient doit s'assurer avant
tout acte que le patient est le bon, cela
passe par son identification administrative. Le nom usuel du patient doit
être demandé ainsi que sa date de
naissance.
LES ARCHIVISTES
Le service des archives a, en lien avec le
groupe de travail, défini une
méthodologie d'archivage afin de
s'assurer de la sécurité de l'identification
du dossier. Le dossier administratif du
patient sera archivé par le nom de
naissance car celui-ci est immuable.
Quel que soit le service où le patient a été
hospitalisé, quelle que soit la situation
personnelle du patient (notamment pour
les femmes : mariées, divorcées, etc…) ou
la date d'hospitalisation, le dossier sera
toujours au même emplacement.
Il est primordial que le patient soit
identifié correctement dès son entrée.
La partie administrative du patient et
son identification lors de tout acte
peuvent être des étapes à risque dans
l'identification de celui-ci.
C'est la raison pour laquelle des règles u
sont établies et doivent être respectées LES ADMINISTRATIFS
Pour les agents du bureau des entrées et
pour la sécurité de tous.
tout agent administratif, l'identification
du patient repose sur 3 éléments
fondamentaux :
* Le nom de naissance
* Le nom usuel pour les femmes
* La date de naissance
LES LOCAUX
Pour faciliter la gestion des dossiers médicaux, le groupe a défini un emplacement unique, le
pavillon du personnel niveau -1.
Les dossiers étant encore au pavillon A ou au pavillon C y seront regroupés afin d'éviter les
doublons.
Les archivistes feront un archivage par ordre alphabétique sur le nom de naissance du patient.
Un bureau et un poste informatique seront installés au niveau -1, ce qui permettra un suivi des
demandes, des destructions et une vigilance supplémentaire concernant les recherches
d'antériorité de dossiers.
LE DOSSIER UNIQUE
Chaque patient qui est hospitalisé dans l'établissement aura à présent un dossier unique,
évitant ainsi les doublons de dossiers et donc les risques d'identitovigilance.
De plus, quel que soit le parcours du patient dans l'établissement, toutes les informations
doivent être contenues dans un même dossier afin d'assurer la continuité de la prise en charge
et d'avoir toutes les informations sur la pathologie du patient et ses antécédents par exemple.
LA PROCEDURE
La procédure de retrait des archives et de demande d'archivage sera quelque peu modifiée,
mais sans changement fondamental, la marche à suivre restant identique.
LES AUTRES ARCHIVES
Les archives administratives seront réorganisées dans un second temps et seront regroupées
aux archives du pavillon A.
RAPPEL
Le NOM USUEL est celui
avec lequel le patient
s'identifie, celui qu'il
utilise. Il est utilisé dans les
secrétariats médicaux pour
les patients présents
« archives vivantes »
Le NOM DE NAISSANCE est
le nom immuable, mais pas
forcément celui utilisé par
le patient (femmes par
exemple). Il est utilisé pour
les dossiers archivés afin
d'identifier le dossier à tout
moment sans risque
d'erreur.
MV
8
Bon à savoir
Point RH : des informations utiles
pour les agents
Au sein des secrétariats médicaux
des différents pavillons et du
secrétariat de direction, le « classeur
d'informations générales » est à
votre disposition pour consultation.
Ce classeur regroupe de nombreuses
informations relatives :
A l'organisation de l'hôpital (les
organigrammes médical et
administratif, les livrets d'accueil
du personnel et du stagiaire, la
politique d’évaluation des
pratiques professionnelles, la
politique qualité, la politique
d’identitovigilance, la charte du
mieux être au travail, la charte
éthique …).
A u x i n s t a n c e s e t s o u s commissions (CTE, CME, conseil
de pôles, CSIRMT…),
Aux patients (charte de la
Les agents ont également à leur
disposition les procédures suivantes :
La stagiérisation et titularisation
des agents à l’HDFL

L’organisation et le suivi de la
De plus, d’autres procédures
vaccination des agents
relatives aux ressources humaines
L’entretien annuel d’évaluation
sont aussi à votre disposition dans les
La prise en charge d’un agent lors
classeurs de procédures et
de la survenue d’un accident de
protocoles.
travail, de service
La prise en charge des accidents
Pour rappel, chaque service dispose
d’expositon au sang et à tout
de son propre classeur, soit de
autre liquide biologique.
couleur grise, soit de couleur
blanche.
personne hospitalisée, charte
Marianne, procédure concernant
le dossier médical…).
La procédure d’accueil des
nouveaux arrivants définit les
modalités organisationnelles pour
accueillir dans de bonnes conditions
tout nouvel agent ou stagiaire.
A tout moment, toutes ces
informations sont consultables
par tout agent, alors n’hésitez
pas à en prendre
connaissance.
Rappel sur les AES
Si un agent est victime d’un Accident d’Exposition au
Sang ou à tout autre liquide biologique (AES), une
procédure est établie dans l’établissement afin de définir
les 4 grandes étapes à respecter.
Des délais sont également renseignés afin que cet
accident soit pris en charge le plus rapidement possible et
dans de bonnes conditions.
Ci-dessous un rappel de ces étapes :
ETAPE 2
EVALUER LE RISQUE INFECTIEUX
Dans les 30 minutes
Avec le médecin du service ou le médecin de garde
Un prélèvement sanguin est à réaliser chez le patient
source, s’il est connu, (3 tubes secs) en respectant la
procédure PR 083 “Précautions standard”.
ETAPE 1
LES SOINS IMMEDIATS
Dans les 10 minutes
En cas de piqûre ou blessure :
 ne pas faire saigner
 nettoyer la plaie à l'eau + savon
 rincer
 sécher de suite
 aseptiser
En cas de projection sur les muqueuses ou dans les
yeux
Sur peau lésée
Rinçage immédiat et prolongé au sérum physiologique
ou à l'eau au moins 10 minutes.
Désinfection (DAKIN ou BETADINE dermique).
Pour les muqueuses (yeux)
Rinçage abondant à l'eau ou au sérum physiologique au
moins 10 minutes et instillation d'un collyre antiseptique.
Dans les 4 heures
ETAPE 3
ORIENTER VERS LE SERVICE
D'URGENCES DU CHSA
Le plus tôt possible dans un délai de moins de 4 heures,
téléphoner aux urgences pour les informer de l'arrivée
d'un agent victime d'un AES.
Ne pas oublier de prendre le prélèvement dans un
transport étanche et fermé.
ETAPE 4
DECLARER
L'ACCIDENT DE TRAVAIL
Dans les 24 heures
Déclarer l’accident par le biais du document
réglementaire, accompagné d’un certificat médical.
Un suivi de l’agent sera ensuite effectué par le médecin
du travail (dans les 15 jours, 1 mois, 3 mois et
6 mois).
LL/MV
9
L’événement en images
Journée portes ouvertes
L'établissement a ouvert ses portes aux professionnels ainsi qu'au grand public le
11 Octobre 2013 à partir de 13 heures 30, à la salle des fêtes, afin de faire découvrir
ou redécouvrir certaines de ses diverses activités.
Cette journée fut l'occasion pour les professionnels de l'établissement, médecins,
cadres de santé et psychologues, d'intervenir sur différentes thématiques. Trois
thèmes ont été abordés, à savoir la prévention des chutes, la prise en charge de
l'obésité et le rôle des aidants dans la prise en charge des patients. Ainsi, les
médecins, cadres de santé et psychologues ont développé ces thèmes et répondu
aux questions des personnes présentes.
“LA PREVENTION DES CHUTES”
Une présentation a été faite par le Dr Ben Amor, réalisée
en concertation avec les Drs Bacha et Bénidir. Puis ce fût
Mme Calonne, psychologue, qui a développé « les
conséquences psychologiques suite à une chute » et enfin,
l'intervention de Mr Loubatier, masseur-kinésithérapeute,
sur la problématique des chutes.
“LE ROLE DES AIDANTS DANS LA PRISE
EN CHARGE DES PATIENTS”
Mmes Duvivier et Matton, cadres de santé, et Mme
Dremaux, psycholoque, ont développé ce vaste sujet
qu'est les aidants et présenté les activités du pôle C.
“LA PRISE EN CHARGE DE L’OBESITE,
POURQUOI ET COMMENT ? ”
L'intervention a été présentée par le Dr Thorel, réalisée en
concertation avec le Dr Thomas. Elle a abordé les causes et
les conséquences de l’obésité ainsi que les différentes prises
en charge.
“LE ROLE DES AIDANTS DANS LA PRISE
EN CHARGE DES PATIENTS”
En parallèle de ces interventions, des ateliers étaient
présentés. Un atelier de prévention des chutes était animé
par Charlotte Margoteaux et Clément Charlet, ergothérapeutes. Pour sa part, Carole Godfrin, animatrice
sportive, a présenté des ateliers d'activité physique sur
l'équilibre, le renforcement musculaire et les moyens de se
relever du sol après une chute. Nombreux ont été les
visiteurs à participer activement à ces ateliers.
A noter également que dans le hall d'accueil de la salle des fêtes, chaque pavillon avait un stand d'information leur
permettant de présenter toutes les activités que développe l'établissement comme le service de médico-diététique, les
services de rééducation de l'appareil locomoteur et neurologique (hospitalisation de jour, de semaine et complète) mais
également les services de cérébro-lésés, gériatrique à orientation Azheimer et le SSR polyvalents.
L'hôpital, à travers cette journée portes ouvertes, a voulu montrer ses ressources, ses compétences
et en particulier les soins de suite, principal créneau de l'établissement, et preuve en est que
l’établissement n'est pas un milieu fermé mais bien ouvert au public.
FM
10
Quoi de neuf
Le personnel
Arrivées
Marie-Amandine PIETTE
Masseur-kinésithérapeute
Nicolas BOISDEQUIN
Masseur-kinésithérapeute
Sébastien LEGRAND
Masseur-kinésithérapeute
(SSR polyvalents)
Marion-Adeline CALLA
Psychomotricienne
Charlotte MAGOTTEAUX
Ergothérapeute
Elodie LEBRUN
Infirmière
(SSR Polyvalents niv.2)
Adeline HOSTACHY
Aide-soignante
(SSR Polyvalents niv.2)
Aurélie CUVILLIER
Infirmière
(Service MAS)
Stéphanie JEU
A.S.H
(Service MAS)
Mariages
Julie MASCAUT née ANSSEAU (Service kinésithérapie)
Jimmy BORCEUX (Service Cérébro-lésés)
Nathalie HEUCLIN née GORIS (Service SSR Polyvalents niv.2)
Mélanie CALONNE née MASSIOT (Service MAS)
Naissances
Raphaël CHARRON fils de Guillaume CHARRON (Service Kinésithérapie)
Ugo DEQUESNE fils de Jérôme DEQUESNE (Service OASIS)
11 ?
Une semaine pour le plaisir des
papilles des petits et des grands
La 24ème édition de la Semaine du Goût
a eu lieu dans toute la France
du 14 au 20 octobre 2013.
De nombreuses initiatives étaient prévues toute cette semaine, de la crèche à
l'université ou encore dans les restaurants et chez les particuliers.
La Semaine du Goût promeut l’éducation au goût et la valorisation du patrimoine
alimentaire français, de la terre à l’assiette. Professionnels et non professionnels, chefs
étoilés et apprentis, passionnés et curieux, tous se mobilisent pour partager leur savoirfaire autour de cet événement, avec pour objectifs :
! L’éducation au goût des consommateurs, notamment des enfants,
! La découverte de la diversité des goûts et saveurs,
! L'information transparente et pédagogique sur les produits, leur origine, leur mode
de production et leurs spécificités,
! La transmission des métiers et du savoir-faire,
! Le plaisir du goût,
! L’encouragement des comportements et consommations alimentaires s’inscrivant
dans un mode de vie équilibré et durable.
8 enfants sur 10 ne savent pas reconnaître une betterave …
L’action de la Semaine du Goût est d’autant plus importante que l’Association Santé
Environnement France (ASEF) vient de publier une étude sur les enfants et
l’alimentation, dans laquelle apparaît que :
* 87% des enfants de 8 à 12 ans ne reconnaissent pas une betterave
* 30% ne savent pas que les pommes de terre sont à l’origine des frites, ni de quoi sont
faits les beignets de poulet, les chips ou encore le jambon…
Des milliers de professionnels des métiers de bouche se sont rendus dans
les écoles primaires pour des "leçons de goût"aux enfants de CM1 et CM2
afin de les apprendre à reconnaître les fruits et légumes, les produits frais et toutes
les bonnes choses de l'assiette.
CF
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