
 SP/Information économique/CCIR Paca – 8/10/14 
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dossiers de candidature et la création d’un nouveau type de marché public, le partenariat d’innovation, pour favoriser la 
recherche et l’innovation dans le cadre de la commande publique. 
http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20140928&numTexte=31&pageDebut=15782&
pageFin=15788 
Les Echos, p.8 – 2/10/14 
 
RivieraWaves rachetée par l’américain Ceva 
L’entreprise, implantée à Sophia Antipolis, est spécialisée dans les technologies sans fil wi-fi et bluetooth. Afin de poursuivre 
son développement, elle a choisi de se rapprocher de la société californienne Ceva, spécialiste des processeurs DSP. Le site 
de Sophia Antipolis deviendra le 3
e
 centre de recherche de Ceva hors Etats-Unis. La marque RivieraWaves sera conservée. 
L’entreprise azuréenne a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires de 3,1 M€. 
Les Echos, p.26 – 3/10/14 
 
Aqualux rejoint le groupe Chemoform 
L’entreprise familiale, implantée à Saint-Rémy-de-Provence, est spécialisée dans la conception et la fabrication 
d’équipements et de produits de piscine. Elle vient d’officialiser son rapprochement avec le groupe allemand Chemoform, un 
des principaux producteurs européens du traitement de l’eau et de l’entretien des piscines. En 2013, Aqualux a réalisé un 
chiffre d’affaires de 16 M€. Le nouvel ensemble pèsera 100 M€ pour 450 salariés présents dans 15 pays. Complémentaires 
dans leurs offres, les deux sociétés familiales mettront en commun leurs savoir-faire pour construire des solutions 
performantes et répondre aux besoins du marché. http://www.aqualux.com/home.asp 
Les Echos, p.25 – 3/10/14, La Provence, p.III – 6/10/14 
 
La SAPB engagée sur de grands projets 
La Société alpine de préfabrication béton, implantée à La Bâtie-Neuve dans les  Hautes-Alpes, est spécialisée dans la 
fabrication de pré-murs et de pré-dalles pour le bâtiment. Cette année, elle a œuvré sur d’importants projets,  notamment la 
rénovation du stade Vélodrome à Marseille, celle du centre pénitentiaire des Beaumettes et d’ici à avril 2015 participera au 
grand chantier du contournement ferroviaire Nîmes-Montpellier.  Des contrats qui récompensent le savoir-faire et les 
techniques innovantes de la société. Elle réalise un chiffre d’affaires de 7,5 M€. 
Le Dauphiné Libéré, supp. Entreprises, p.2 – 7/10/14 
 
 
FORMATION / EMPLOI 
 
L’Université de Toulon rejoint Aix-Marseille 
Le conseil d’administration de l’Université de Toulon a voté le 25 septembre en faveur d’un regroupement avec Aix-
Marseille Université. Une décision prise conformément aux regroupements d’universités prévus par la loi sur l’enseignement 
supérieur et la recherche du 22 juillet 2013. Toulon avait le choix entre Aix-Marseille ou Nice. Le rapprochement avec Aix-
Marseille est apparu comme étant le plus favorable au développement de l’université varoise. Un contrat de site doit être 
élaboré d’ici à 2018. Porté par Aix-Marseille, il regroupera quatre autres établissements d’enseignement supérieur : les 
universités d’Avignon et de Toulon, l’Ecole Centrale de Marseille et l’Institut d’études politiques d’Aix. 
La Provence, p.III – 2/10/14 
 
 
INDUSTRIE / INNOVATION 
 
Mobilisation de la filière rizicole  
L’ensemble des acteurs de la filière rizicole du territoire arlésien étaient réunis le 1
er
 octobre à la CCI du pays d’Arles pour 
alerter les pouvoirs publics sur l’avenir menacé du secteur. Les producteurs mais aussi les usines de transformation et de 
conditionnement du riz, les concessionnaires de machines agricoles, les distributeurs de produits phytosanitaires… se 
mobilisent contre la suppression des aides couplées en provenance de la Pac. Pour Francis Guillot, président de la CCI, la 
perte de ces aides pourrait faire disparaître une filière « qui génère 100 à 120 M€ de chiffre d’affaires par an et qui représente 
2 000 emplois directs et induits sur le Delta du Rhône ».  
La Provence « Arles », p.3 – 2/10/14 
 
Présentation de la candidature French Tech Côte d’Azur 
La Côte d’Azur, candidate à l’appel à labellisation « French Tech », lancé par le gouvernement pour mettre en avant quelques 
métropoles « porteuses d’un écosystème numérique de niveau international », a reçu le 3 octobre la mission nationale chargée 
de délivrer ce label.  Le dossier de candidature azuréen, porté par l’ensemble des élus et des acteurs du numérique, lui a été 
présenté sur le campus SophiaTech de Sophia Antipolis. Le projet French Tech Côte d’Azur dispose de nombreux atouts 
pour décrocher le label : Sophia Antipolis, la technopole la plus importante d’Europe et pionnière du numérique, un secteur 
numérique dynamique avec une croissance de 7 % en 2013, portée notamment par les start-up, une animation B2B 
importante avec 400 manifestations nationales… 
www.frenchtechcotedazur.fr 
Nice-Matin, p.25 – 4/10/14, Nice-Matin, p.II-III – 6/10/14