info bourse - SGI-TOGO

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Société de Bourse
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BULLETIN D’INFORMATION
SGI-TOGO
« INFO BOURSE »
N° 0096 du 08/03/2017
INTERNATIONAL
LA BOURSE
INFOS BRVM
Évolution du marché
La BRVM a clôturé sa séance de
cotation du 08 mars 2017 en hausse
par rapport à la séance précédente.
L’indice BRVM 10 est passé de 250,32
points à 251,35 points soit une
progression de 0,41%.L’indice BRVM
Composite, par contre a cédé 0,29%
pour clôturer à 282,15 points contre à
282,98 points précédemment.
La valeur des transactions s’est établie
à 1,17 milliard de FCFA contre à
881,72 millions de FCFA le mardi soit,
une hausse de 32,70% et le volume de
titres échangés s’est élevé à 558 278
titres contre 79 505 titres soit, une
progression de 602%.
La capitalisation boursière du marché
des actions s’est chiffrée à 7 452,56
milliards de FCFA contre 7 474,42
milliards de FCFA précédemment et
celle du marché obligataire est restée
inchangé à 2 475,81 milliards de FCFA.
Au cours de cette séance, les
transactions ont porté sur 33 titres qui
se sont comportés comme suit :
TOTAL CI, CFAO et VIVO ENERGY du
secteur distribution ont progressé de
995 FCFA, 495 FCFA et 5 FCFA pour
être respectivement à 16 995 FCFA,
64 500 FCFA et 1 990 FCFA
BOAS et SIB du secteur des finances
ont pris 500 FCFA et 95 FCFA pour
s’établir à 49 000 FCFA et à 29 995
FCFA
ONATEL et SONATEL du secteur
services publics ont gagné 275 FCFA et
5 FCFA pour terminer à 11 200 FCFA
et à 25 005 FCFA
Europe…
Par contre, SOLIBRA, SITAB, SMB et
AIR LIQUIDE du secteur industrie ont
régressé de 12 375 FCFA, 3 495 FCFA,
500 FCFA et 300 FCFA pour finir
respectivement à 152 675 FCFA,
114 000 FCFA, 24 000 FCFA et 10 200
FCFA
De même, TRACTARIC MOTORS,
TOTAL SN et SERVAIR ABJ du secteur
distribution se sont dépréciés de 5 000
FCFA, 350 FCFA et 50 FCFA pour être
à 280 000 FCFA, 17 350 FCFA et à
3 900 FCFA
Pareillement, BOAC, BOAB et BOAN du
secteur des finances ont reculé de
4 500 FCFA, 3 005 FCFA et 1 995
FCFA s’affichant à 150 000 FCFA,
199 995 FCFA et à 96 000 FCFA
BOAM, CBIBF et BOABF également des
finances ont enregistré une baisse de
500 FCFA, 300 FCFA et 10 FCFA
s’établissant à 53 500 FCFA, 57 500
FCFA et à 169 990 FCFA
Aussi, CIE et SODE du secteur services
publics ont cédé 1 500 FCFA et 495
FCFA terminant à 65 500 FCFA et à
71 005 FCFA
Enfin, SUCRIVOIRE et SAPH du
secteur agricole ont perdu 340 FCFA et
200 FCFA clôturant la séance
respectivement à 11 010 FCFA et à
13 500 FCFA
Les transactions ont également porté
sur les titres (SICABLE, FILTISAC,
NESTLE, UNILEVER, UNIWAX, ETIT,
SGB, PALMCI et SOGC ainsi que
l’obligation BOABF.03) dont les cours
restent inchangés.
ANNONCES
SONATEL : paiement de dividende exercice 2016 le 14/05/2017 d’un montant net de 1 500 FCFA
ONATEL : paiement de dividende exercice 2016 le 01/06/2017 d’un montant net de 636 FCFA
Etat de CI lance un emprunt obligataire «TPCI 6,25% 2017-2029» pour un montant de 120
milliards de FCFA avec une valeur nominale de 10 000 FCFA. Souscrivez du 27 février au 27 mars
2017 auprès de la SGI-TOGO
Etat du BENIN lance un emprunt obligataire « TPBJ 6,50% 2017-2027 » pour un montant de 150
milliards de FCFA avec une valeur nominale de 10 000 FCFA. Souscrivez du 28 février au 31 mars
2017 auprès de la SGI-TOGO
PARIS (awp/afp) - Les
Bourses européennes ont fini
mercredi en ordre dispersé,
faisant montre de prudence à
la veille d'une réunion de la
Banque Centrale Européenne.
Selon
les
attentes
unanimes des économistes, la
BCE ne devrait pas toucher à
sa
politique
ultraaccommodante, malgré une
inflation à 2% et une éclaircie
tangible sur le front de
l'économie européenne.
La Bourse de Paris a
terminé en petite hausse
(+0,11%). L'indice CAC 40 a
gagné 5,48 points à 4.960,48
points,
dans
un
volume
d'échanges faible de 2,8
milliards d'euros.
L'Eurostoxx50 a progressé
de 0,13%.
La Bourse de Londres a
terminé quasi stable (-0,06%).
L’indice FTSE-100 des
principales valeurs s'est effrité
de 4,38 points pour terminer à
7.334,61 points
L'indice Dax des 30 valeurs
vedettes a fini à 11.967,31
points (+0,01%)
Amérique…
La Bourse de New York a
fini mercredi en ordre dispersé,
le Dow Jones et le S&P-500
étant
particulièrement
pénalisés par la chute des
cours du pétrole.
L'indice Dow Jones a perdu
69,03 points, soit 0,33%, à
20.855,73. Le Standard &
Poor's 500, plus large et
principale
référence
des
investisseurs, a cédé 5,41
points, soit 0,23%, à 2.362,98.
Soutenu
notamment
par
Microsoft (+0,92%), le Nasdaq
Composite a en revanche
arraché un gain de 3,62 points
(0,06%) à 5.837,55.
1
* ECONOMIES - FINANCES *
Le Ghana compte réduire son déficit budgétaire a 6,5 % en 2017
Les autorités ghanéennes comptent réduire le déficit budgétaire du pays à 6,5 % du PIB en 2017
contre 8,7% l'année écoulée. En pleine crise économique, cette annonce a été faite à l'Assemblée
nationale en fin de cette semaine par le ministre ghanéen des Finances, Ken Ofori-Atta.
Les nouveaux dirigeants du Ghana ont du pain sur la planche pour redresser l'économie de ce pays
qui peine depuis un certain temps, à sortir la tête de l'eau sur le plan croissance économique.
Le ministre des Finances, Ken Ofori-Atta a annoncé en fin de semaine que le Ghana compte réduire le
déficit budgétaire du pays à 6,5 % du PIB en 2017 contre 8,7% l'an dernier.
« Le gouvernement entrevoit ensuite ramener l'inflation à 11,2% en décembre prochain contre 13,3%
en janvier de cette année. Il prévoit également une croissance du PIB de 6,3% en 2017 », a affirmé Ken
Ofori-Atta.
Selon lui, les autorités ghanéennes s'attellent déjà à une lourde tâche. Il s'agit de redresser une
économie sur laquelle a rejailli l'effondrement, à partir de 2014, des cours de matières premières,
pénalisant ses exportations d'or, de pétrole et de cacao.
« Le déficit budgétaire du Ghana a été de 10,2% du produit intérieur brut l'an dernier, soit près du
double des prévisions du gouvernement. Il s'est accentué par la baisse des recettes provenant des
exportations de cacao et de pétrole. La dette publique du pays, quant à elle, était de 122 milliards de
cedis (26 milliards de dollars), soit 74% du PIB en 2016 », avait déclaré Nana Akufo-Addo, le président
Ghanéen le 21 février dernier.
Deuxième producteur d'or et de cacao du continent, le Ghana a affiché 3,3% de taux de croissance
en 2016. Outre l'effondrement du cours de ces matières premières, dont il dépend, sur les marchés
internationaux, le pays pâtit aussi de la chute du prix du pétrole depuis deux ans. Dès juillet, le
gouvernement ghanéen avait réduit ses prévisions a +4,1% en 2016, contre +5,4% annoncées début
2016.
La croissance au plus bas depuis deux décennies
La crise financière du Ghana risque de durer plus qu'espéré. Le nouveau gouvernement n'ayant
pas les options pour financer les promesses électorales, il est obligé de revoir à la baisse le déficit
budgétaire du pays à 6,5 %. En effet, élu sur les bases des promesses électorales telles que la gratuité
de l'enseignement secondaire, la création d'emplois, etc., le nouveau régime ne semble plus détenir
toutes les marges de manœuvre pour exécuter son programme. Cette situation a créé des incertitudes
au niveau des investisseurs qui sont devenus plus méfiants vis-à-vis des finances du Ghana.
« Le nouveau gouvernement fait clairement face au dilemme de dissiper les craintes des investisseurs
tout en trouvant des fonds pour promouvoir le secteur privé domestique », a déclaré Simon QuijanoEvans, expert des marchés émergents à Legal & General Group Plc à Londres.
A en croire le ministère des finances du Ghana, le déficit budgétaire observé l'an dernier implique
que le Ghana, un des plus récents exportateurs de pétrole en Afrique, devra emprunter pour
rembourser les intérêts de sa dette. Ken Ofori-Atta avait pourtant dit le mois dernier que le
gouvernement mettra en place des allègements fiscaux et d'autres mesures pour soutenir le secteur
privé et stimuler l'économie nationale. La croissance économique est depuis tombée à 3,3 % en 2016,
selon le Fonds monétaire international (FMI) : la plus faible en deux décennies. Pour faire face à la
baisse du prix des matières premières et au ralentissement de la croissance économique, le Ghana a
dû recourir à l'aide du Fonds monétaire international (FMI) en 2015.
L'institution financière internationale lui accordera un prêt de 918 millions de dollars (855 millions
d'euros), conditionné à des réformes. Malheureusement, selon la Banque mondiale, 25% des 27,4
millions de Ghanéens vivent encore en dessous du seuil de pauvreté, un chiffre qui démontre la
faiblesse de l'économie.
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2
*DEVISE*
1 USD = 622,40 FCFA
1 EURO = 655,96 FCFA
1 Livre Sterling =757, 45 FCFA
*MATIERES PREMIERES*
Pétrole Brent (XBNT)
=
53,09 $ (-4,51%)
Pétrole Brut (WTI)
=
50,25 $ (-5,32%)
L’Once d’Or
=
Avec nous, investissez en toute confiance
1 207,69 $ (-0,65%)
Avec
nous,
investissezYork
en toute confiance
Café
Arabica–New
=
140,05 cents/lb (+0,76%)
1 Naira = 1,96 FCFA,
Café Robusta- Londres
=
2 163 $/tonne (+0,93%)
1 000 CFA = 75,90 GH cedis
Cacao – New York
=
1 945$/tonne (-0,26%)
Coton – New York
=
76,90 cents / lb (-0,49%)
*AUTRES INFORMATIONS*
Pétrole -Selon l’Agence d’information sur l’énergie, les stocks de pétrole brut ont augmenté de 8,21 millions de barils la
semaine dernière aux Etats-Unis, alors que le consensus tablait sur une hausse de seulement 1,9 million. A l’inverse, les
réserves d’essence ont baissé de 6,56 millions d’unités (- 1,4 million anticipé) et celles de produits distillés ont diminué de
2,68 millions de barils (- 900.000 attendu)
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GHC
Amélioration de la productivité agricole : Plus de 23 milliards de FCfa de la Fondation
Mastercard à 11 pays africains –
The Mastercard Foundation et trois organisations leaders établies en Afrique (AgDevCo, Icco Cooperation et Root Capital)
s’associent pour améliorer les conditions de vie de 1,1 million de petits producteurs africains. Selon Mark Wensley, gestionnaire
principal du programme Mf, ladite fondation octroie 38,3 millions de dollars américains (23.678.209.000 F Cfa) à Agdevco, IccoOrganisation inter-églises de coopération au développement et Root capital dans les programmes d’amélioration de la
productivité et de l’accès au marché pour de petits exploitants agricoles dans 11 pays africains qui sont le Burkina Faso, la Côte
d’Ivoire, l’ Éthiopie, le Ghana, le Malawi, le Mozambique, le Rwanda, le Sénégal, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie. Hier, ces
trois organisations établies en Afrique et travaillant avec les petits exploitants agricoles ont réaffirmé leur engagement, afin de
fournir aux agriculteurs plus de ressources financières et de faciliter la mise en relation dans le secteur de l’agriculture. Lors
d’un atelier d’une journée d’apprentissage pour optimiser l’utilisation de la technologie et l’innovation tenu à Dakar, les
partenaires ont dressé un bref bilan de leurs activités sur le continent et les améliorations déjà observées chez les paysans
africains.
Selon Idrissa Bâ, chef de file pays Sénégal à Icoo cooperation, ce programme Stars vise à transformer la vie de 210.000
producteurs ruraux dont 50 % sont des femmes du Burkina Faso, de l’Éthiopie, du Rwanda et du Sénégal, en facilitant leur
accès aux crédit de marché et services de conseil agricole. « Nous sommes conscients que 70 % des Sénégalais sont dans
l’agriculture et pendant 8 mois, ils peuvent nous nourrir. Mais, il y a un manque de qualité. Pour une autosuffisance en oignon
en 2017, nous devons travailler », a-t-il affirmé, non sans plaider pour que les rendements dépassent la subsistance, permettant
aux producteurs d’en faire profit et subvenir aux besoins de leurs familles. Pour Marinus Verweij, président du conseil exécutif
d’Icco cooperation, en 5 ans, il faudra atteindre 40.000 exploitants de niébé et d’oignons.
« Il faut que l’on s’intéresse aux petits exploitants agricoles africains pour accroître leur productivité et les sortir de
l’agriculture de subsistance. Nous sommes fiers de travailler avec des partenaires solides comme Agdevco, Icco cooperation et
Root capital pour permettre aux petits exploitants agricoles de produire plus, vendre mieux et travailler avec des organisations
locales sur des marchés équitables, transparents et durables, » a indiqué Ann Miles, directrice de l’inclusion financière à The
mastercard foundation.
Accès au marché.
.
Selon Chris Isaac, directeur des investissements chez Agdevco, « connecter les petits exploitants agricoles aux marchés rentables
est l’un des meilleurs moyens de sortir un grand nombre de personnes de la pauvreté. L’appui de The mastercard foundation
permettra à Agdevco de connecter les PME bénéficiaires de nos investissements qui sont des entreprises socialement
responsables et exerçant dans l’agro-transformation en Afrique à des centaines de milliers de producteurs afin de stimuler la
productivité, relever le niveau des revenus et améliorer la sécurité alimentaire. ».
« La structure a pour mission de réduire la pauvreté et d’améliorer la sécurité alimentaire. A ce jour, elle a investi plus de
90 millions de dollars (55.640.700.000 FCfa) dans 59 entreprises agroalimentaires en Afrique sub-saharienne. Agdevco a facilité
l’accès aux marchés à des dizaines de milliers d’agriculteurs et générant plus de 3.000 emplois.
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