Adam Smith et l`économie

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CONFÉRENCE DU FORUM DES SAVOIRS
“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.”
Voltaire
ADAM SMITH ET L’ÉCONOMIE
CONFÉRENCE PAR JACQUES PASSERAT
Association ALDÉRAN Toulouse
pour la promotion de la Philosophie
MAISON DE LA PHILOSOPHIE
29 rue de la digue, 31300 Toulouse
Tél : 05.61.42.14.40
Email : [email protected]
Site : www.alderan-philo.org
conférence N°1000-166
ADAM SMITH ET L’ÉCONOMIE
Une philosophie générale de l’Homme appliquée à l’économie
conférence de Jacques Passerat donnée le 28/04/2006
à la Maison de la philosophie à Toulouse
C’est en 1776 que le philosophe anglais Adam Smith (1723-1790) publia son enquête sur la
nature et les causes de la richesse des nations, dans lequel il expose les idées théoriques du
libéralisme économique. Beaucoup en parlent, peu l’on lu.
Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-166 : “Adam Smith et lʼéconomie” - 20/01/2005 - page 2
ADAM SMITH ET L’ÉCONOMIE
PLAN DE LA CONFÉRENCE PAR JACQUES PASSERAT
Adam Smith publie son principal ouvrage en 1776 : Recherches sur la nature et les
causes de la richesse des nations. Présenté comme la bible des économistes classiques,
il date ainsi les débuts remarqués de la pensée classique moderne; celle-ci se développe
et s'épanouit jusque vers 1870. Adam Smith ne va pas tout inventer : il va surtout faire
œuvre d'homme de synthèse. Son ouvrage organise les connaissances selon une
problématique : comprendre les mécanismes de croissance d'une nation.
I
DEUX ÉLÉMENTS ESSENTIELS : LA DIVISION DU TRAVAIL ET SON MOTEUR,
L'INDIVIDUALISME MÉTHODOLOGIQUE
1 - Principe de la division du travail
Adam Smith (1737 - 1790) va s'attacher à démontrer ce qu'est la division du travail, et en
quoi cette division est créatrice d'opulence et de richesse.
2 - Principe qui donne lieu à la division du travail : l'individualisme méthodologique
Poussé par le seul aiguillon de l'intérêt personnel, chacun cherche à satisfaire au mieux
les autres pour en tirer un bénéfice. Il fait du comportement égoïste de l'homme la base
d'un ordre naturel qui surgit de la concurrence...
3 - La nation comme espace de marché !
Concevoir les limites de la nation comme espace d'échange.
Surface où cohabitent des intérêts personnels distincts mais complémentaires.
Oriente la théorie économique vers l'espace national, vers l'intérêt national
Revient donc à définir du même coup le discours économique comme économie
politique.
II
COMMENT SE CRÉE ET SE REPARTIT « L'OPULENCE GÉNÉRALE »
DANS UNE NATION OU RÈGNE LE MARCHE ET LA DIVISION DU TRAVAIL
1 - Le travail seul créateur de valeur
«Le travail annuel d'une nation est le fond primitif qui fournit à sa consommation annuelle
toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont ou le produit
immédiat de se travail, ou achetées des autres nations avec ce produit. »
2 - L'accumulation du capital facteur de richesse
Au cœur de l'analyse classique de la croissance et de l'emploi, il y a l'idée que le capital
est rare. Or, l'origine du capital pour A.S. est l'épargne qui fournit la base de
l'accumulation et donc la source d'une nouvelle richesse.
3 - Le revenu de la rente
« Dès l'instant ou le sol d'un pays est devenu propriété privée,les propriétaires comme
tous les autres hommes, aiment à recueillir où il n'ont pas semé, et ils demandent une
rente, même pour le produit naturel de la terre »
Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-166 : “Adam Smith et lʼéconomie” - 20/01/2005 - page 3
III
QUELQUES ÉLÉMENTS IMPORTANTS DE LA PENSÉE DE SMITH
1 - Travail productif et improductif
« Un particulier s'enrichit à employer une multitude d'ouvriers fabricants; il s'appauvrit à
entretenir une multitude de domestiques. »
2 - Salaire, travail et capital
« Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins qu'ils
peuvent ; les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires, les seconds
pour les abaisser.
Il n'est pas difficile de prévoir lequel des deux partis, dans toutes les circonstances
ordinaires, doit avoir l'avantage dans le débat, et imposer forcément à l'autre toutes ses
conditions. Les maîtres, étant en moindre nombre, peuvent se concerter plus aisément; et
de plus, la loi les autorise à se concerter entre eux, ou au moins ne le leur interdit pas,
tandis qu'elle l'interdit aux ouvriers. »
3 - Le rôle du marché (la main invisible !)
« Le marché récompense alors le plus efficace car l'argent que l'on verse comme client
est l'équivalent d'un bulletin de vote; acheter un produit à une entreprise, c'est la désigner
comme sa préférée entre toutes (…) La main invisible de la concurrence assure la société
que ce qui est produit correspond aux besoins de ses membres ».
4 - La place de l'état
Précurseur d'une nouvelle philosophie politique de type libéral, qui pense que les lois
économiques sont éternelles et que la nature détermine un ordre social idéal .
En conséquence elle indique qu'il faut diminuer les pouvoirs du prince, réduire le rôle de
l'État et permettre à la liberté du marché de s'exprimer.
5 - Smith théoricien du libre échange
«Ce qui est prudence dans la conduite de chaque famille en particulier, ne peut guère
être folie dans celle d'un grand empire. Si un pays étranger peut nous fournir une
marchandise à meilleur marché que nous ne sommes en état de l'établir nous-mêmes, il
vaut bien mieux que nous la lui achetions avec quelque partie du produit de notre propre
industrie, employée dans le genre dans lequel nous avons quelque avantage.»
IV
CONCLUSION
1 - Une pensée toujours actuelle !
“ Donnez-moi ce dont j'ai besoin, et vous aurez de moi ce dont vous avez besoin vousmême”
Adam Smith
Recherches... Livre I, chap. 2
“ Résumons en quatre mots le pacte social des deux. Vous avez besoin de moi, car je
suis riche et vous êtes pauvre; faisons donc un accord entre nous : je permettrai que vous
ayez l'honneur de me servir, à condition que vous me donnerez le peu qui vous reste,
pour la peine que je prendrai de vous commander”
Jean-Jacques Rousseau
article “Économie politique”
ORA ET LABORA
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Document 1 : La division du travail selon Smith.
Un homme est riche ou pauvre, suivant les moyens qu'il a de se procurer les besoins, les
commodités et les agréments de la vie. Mais la division une fois établie dans toutes les
branches du travail, il n'y a qu'une partie extrêmement petite de toutes ces choses qu'un
homme puisse obtenir directement par son travail ; c'est du travail d'autrui qu'il lui faut
attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances ; ainsi il sera riche ou pauvre,
selon la quantité de travail qu'il pourra commander ou qu'il sera en état d'acheter.
Ainsi la valeur d'une denrée quelconque pour celui qui la possède, et qui n'entend pas en
user ou la consommer lui-même, mais qui a l'intention de l'échanger pour autre chose est
égale à la quantité de travail que cette denrée le met en état d'acheter ou de commander.
Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise.
Le prix réel de chaque chose, ce que chaque chose coûte réellement à celui qui veut se
la procurer, c'est le travail et la peine qu'il doit s'imposer pour l'obtenir. Ce que chaque
chose vaut réellement pour celui qui l'a acquise, et qui cherche à en disposer ou à
l'échanger pour quelque autre objet, c'est la peine et l'embarras que la possession de
cette chose peut lui épargner et qu'elle lui permet d'imposer à d'autres personnes. Ce
qu'on achète avec de l'argent ou des marchandises est acheté par du travail, aussi bien
que ce que nous acquérons à la sueur de notre front. Cet argent et ces marchandises
nous épargnent, dans le fait, cette fatigue. Elles contiennent la valeur d'une certaine
quantité de travail, que nous échangeons pour ce qui est supposé alors contenir la valeur
d'une quantité égale de travail. Le travail a été le premier prix, la monnaie payée pour
l'achat primitif de toutes choses. Ce n'est point avec de l'or ou de l'argent, c'est avec du
travail, que toutes les richesses du monde ont été achetées originairement ; et leur valeur
pour ceux qui les possèdent et qui cherchent à les échanger contre de nouvelles
productions, est précisément égale à la quantité de travail qu'elles le mettent en état
d'acheter ou de commander.
Adam Smith (1737 - 1790)
Recherches sur la Nature et les causes de la richesse des nations, 1776
Document 2 : Travail productif et travail improductif.
Il y a une sorte de travail qui ajoute à la valeur de l'objet sur lequel il s'exerce ; il y en a un
autre qui n'a pas le même effet. Le premier, produisant une valeur, peut être appelé
travail productif; le dernier, travail non productif.
Ainsi, le travail d'un ouvrier de manufacture ajoute, en général, à la valeur de la matière
sur laquelle travaille cet ouvrier, la valeur de sa subsistance et du profit de son maître. Le
travail d'un domestique, au contraire, n'ajoute à la valeur de rien. Quoique le premier
reçoive des salaires que son maître lui avance, il ne lui coûte, dans le fait, aucune
dépense, la valeur de ces salaires se retrouvant en général avec un profit de plus dans
l'augmentation de valeur du sujet auquel ce travail a été appliqué. Mais la subsistance
consommée par le domestique ne se trouve nulle part. Un particulier s'enrichit à
employer une multitude d'ouvriers fabricants; il s'appauvrit à entretenir une multitude de
domestiques. Le travail de ceux-ci a néanmoins sa valeur, et mérite sa récompense aussi
bien que celui des autres. Mais le travail de l'ouvrier se fixe et se réalise sur un sujet
quelconque, ou sur une chose vénale qui dure au moins quelque temps après que le
travail a cessé. C'est, pour ainsi dire, une quantité de travail amassé et mis en réserve,
pour être employé, s'il est nécessaire, dans quelque autre occasion. Cet objet, ou ce qui
est la même chose, le prix de cet objet peut ensuite, s'il en est besoin, mettre en activité
une quantité de travail égale à celle qui l'a produit originairement. Le travail du
domestique, au contraire, ne se fixe ou ne se réalise sur aucun objet, sur aucune chose
qu'on puisse vendre ensuite. En général, ses services périssent à l'instant même où il les
rend, et ne laissent presque jamais après eux aucune trace ou aucune valeur qui puisse
servir par la suite à procurer une pareille quantité de services.
Adam Smith (1737 - 1790)
Recherches sur la Nature et les causes de la richesse des nations, 1776
Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-166 : “Adam Smith et lʼéconomie” - 20/01/2005 - page 5
Document 3 : L’harmonie des intérêts.
Dans presque toutes les espèces d'animaux, chaque individu, quand il est parvenu à sa
pleine croissance, est tout à fait indépendant, et, tant qu'il reste dans son état naturel, il
peut se passer de l'aide de toute autre créature vivante. Mais l'homme a presque
continuellement besoin du secours de ses semblables, et c'est en vain qu'il l'attendrait de
leur seule bienveillance. Il sera bien plus sûr de réussir, s'il s'adresse à leur intérêt
personnel et s'il leur persuade que leur propre avantage leur commande de faire ce qu'il
souhaite d'eux. C'est ce que fait celui qui propose à un autre un marché quelconque; le
sens de sa proposition est ceci: Donnez-moi ce dont j'ai besoin, et vous aurez de moi ce
dont vous avez besoin vous-même; et la plus grande partie de ces bons offices qui nous
sont si nécessaires, s'obtient de cette façon. Ce n'est pas de la bienveillance du boucher,
du marchand de bière ou du boulanger, que nous attendons notre dîner, mais bien du
soin qu'ils apportent à leurs intérêts. Nous ne nous adressons pas à leur humanité, mais
à leur égoïsme; et ce n’est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c'est toujours de
leur avantage. Il n'y a qu'un mendiant qui puisse se résoudre à dépendre de la
bienveillance d'autrui ; encore ce mendiant n’en dépend-il pas en tout: c'est bien la bonne
volonté des personnes charitables qui lui fournit le fond entier de sa subsistance; mais
quoique ce soit là en dernière analyse le principe d'où il tire de quoi satisfaire aux besoins
de sa vie, cependant ce n'est pas celui-là qui peut y pourvoir à mesure qu'ils se font
sentir. La plus grande partie de ses besoins du moment se trouve satisfait comme ceux
des autres hommes, par traité, par échange et par achat. Avec l'argent que l'un lui donne,
il achète du pain. Les vieux habits qu'il reçoit d'un autre, il les troque contre d'autres vieux
habits qui l'accommodent mieux, ou bien contre un logement, contre des aliments, ou
enfin contre de l'argent qui lui servira à se procurer un logement, des aliments ou des
habits quand il en aura besoin.
Adam Smith (1737 - 1790)
Recherches sur la Nature et les causes de la richesse des nations, 1776
Document 4 : La liberté économique selon Adam Smith.
Tout système, soit de préférence, soit de restriction, étant complètement écarté, le
système évident et simple de liberté naturelle s'établit de son propre accord. Chaque
homme, aussi longtemps qu'il ne viole pas les lois de justice, est laissé parfaitement libre
de poursuivre son propre intérêt sur son propre chemin et d'apporter à la fois son activité
et son capital dans la concurrence avec ceux de n'importe quel autre homme ou groupe
d'hommes.
Le souverain a seulement trois devoirs à remplir : 1° le devoir de protéger la société de la
violence et de l'invasion; 2° le devoir de protéger chaque membre de la société de
l'injustice et de l'oppression; 3° le devoir d'ériger et de maintenir certains travaux publics
qu'il ne peut jamais être de l'intérêt d'un individu ou d'un petit groupe d'individus d'ériger
et de maintenir.
L'intérêt d'une nation dans ses relations commerciales avec les nations étrangères est
d'acheter aussi bon marché et de vendre aussi cher que possible. Elle pourra
vraisemblablement acheter bon marché quand, par la plus parfaite liberté du commerce,
elle encouragera toutes les nations à lui apporter les marchandises qu'elle a l'occasion
d'acheter, et, pour la même raison, elle pourra vraisemblablement vendre cher quand ses
marchés seront emplis du plus grand nombre d'acheteurs.
Adam Smith (1737 - 1790)
Recherches sur la Nature et les causes de la richesse des nations, 1776
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POUR APPROFONDIR CE SUJET, NOUS VOUS CONSEILLONS
- Les cours et conférences sans nom d’auteurs sont d’Éric Lowen -
Livres d’Adam Smith
- Richesse des nations (tomes 1 et 2), Adam Smith, 1776, présentation par Daniel Diatkine, Flammarion,
1999
- La théorie des sentiments moraux, Adam Smith, 1759, Éditions PUF, 1999
Quelques livres sur Adam Smith
- Smith, Tocqueville, Hayek.... les textes fondamentaux du libéralisme, Dossier Spécial Hors-série Le point
N°12, janvier-février 2007
- Impasse Adam Smith, Jean-Claude Michéa, Flammarion, 2006
- Adam Smith et l'origine du libéralisme, Michaël Biziou, PUF, 2003
- Adam Smith - Le père de l'économie, Éric Pichet, Éds Du Siècle, 2003
- Adam Smith, le dieu du marché, François Dermange, Labor Et Fides, 2003
- Les grands théoriciens, Vie, oeuvre, concepts : Adam Smith, par Alain Bruno, Ellipses, 2001
- L'art du législateur, jurisprudence naturelle de David Hume et Adam Smith, Claude Gauthier et Knud
Haakonssen, PUF, 1998
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