ÉVÉNEMENT :
GBMP FÊTE SES 10 ANS
GBMP
DES CHANTIERS ET DES HOMMES
GB IMMO
L’EXPERTISE DU MONTAGE
AU SERVICE DE VOS PROJETS
SAB
PARTENAIRES : GRANDIR ENSEMBLE
Collaborations de longue durée
GB AGENCEMENT
LE MENUISIER TOUS CORPS D’ETAT DE
VOS INTÉRIEURS
EMP
CAPITALISER L’ÉNERGIE
Prêts pour l’évolution verte
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GBMP FÊTE SES 10 ANS
LA CONSTRUCTION DU GROUPE GÉNÉRALE DETIMENT
GBMP GBMP - GB IMMO - SAB
GB AGENCEMENT - EMP
GBMP - GB IMMO- SABGBMP - GB IMMO - SABGBMP - GB IMMO
LE 12 JUIN PROCHAIN au Casino Lucien Barrière GBMP fête ses 10 ans au
cours d’un spectacle prestigieux placé sous le signe de la fête et de la convivialité !
PROGRAMME :
Chire d’aaires : 3 939 K
Eectif : 21
Chire d’aaires : 18 609 K
Eectif : 80
Chire d’aaires : 33 097 K
Eectif : 137
2005
2004
1998
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GBMP FÊTE SES 10 ANS
LA CONSTRUCTION DU GROUPE GÉNÉRALE DETIMENT
GBMP GBMP - GB IMMO - SAB
GB AGENCEMENT - EMP
GBMP - GB IMMO- SABGBMP - GB IMMO - SABGBMP - GB IMMO
LE 4 JUILLET Une soirée de prestige pour GBMP à la Médiathèque José
Cabanis, plaçée sous les thèmes de l’humour et du charme !
Chire d’aaires : 33 097 K
Eectif : 137
Chire d’aaires : 43 053 K
Eectif : 161
Chire d’aaires: 67 523 K
Eectif : 205
2006
2007
2008
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INTERVIEW
Cet Ingénieur en génie civil formé à l’INSA
diplômé de l’Institut d’Administration des
Entreprises de Toulouse, présente volontiers la
Générale de Bâtiment comme une fédération
d’entreprises, chacun devant se consirer, à
son poste, comme l’entrepreneur de son chantier.
Le capital conance dans l’homme et la réussite
collective pour venir à bout de tous les challen-
ges est sa devise. Soutenue par une éthique et
des équipes solidaires.
Quand arrive la n du chantier et le dernier repas pris sur
place, le café attend au chaud l’arrivée du patron.
Hier encore sur ce site d’AIRBUS ou du Métro toulousain
on évaluait ensemble le travail en cours, chacun concentré sur
les derniers mètres, regroupé sur l’action, lui, autant que les hom-
mes en tenue : « À la n du chantier, c’est le moment du bilan,
des évaluations. On prend le temps d’apprécier un travail qui ne
peut pas s’accomplir sans une certaine erté. Parce que notre mé-
tier demande non seulement beaucoup aux professionnels que
nous sommes mais aussi aux hommes. » Bernard GATIMEL l’as-
sure : « Le Bâtiment, c’est un peu un sacerdoce. On y entre au
service d’un objectif en homme responsable de l’ouvrage à réaliser
autant que des hommes qui vont s’y investir à ses côtés. »
Management et pérennité
Durant son parcours débuté à 24 ans à la SGE (Société Géné-
rale d’Entreprise) et poursuivi chez BOUYGUES dans sa liale de
Midi-Pyrénées BISSEUIL, il a « appris énormément et approché,
notamment dans les grands groupes, certaines méthodes mana-
gériales… que j’estimais perfectibles.
Les miennes ont convaincre puis-
que nous avons toujours travaillé avec
des équipes stables. La stabilité d’une
structure est un gage de pérennité.
Précisément parce que l’on peut dif-
cilement mettre le Bâtiment en équa-
tion. Une opération n’est jamais identi-
que à une autre. Nous travaillons tout
le temps sur un prototype. Certains
éléments répétitifs sont calibrés sous
forme de paramètres, de procédures,
mais c’est la réactivité et l’adaptabilité
des hommes, la qualité du dialogue entre eux qui forge la réussite.
Notamment au niveau des délais et des coûts. » Et de la créativité
qui n’est une valeur ajoutée pour le client que si elle s’allie à la
compétence.
Ethique et compétence
Par conviction et par expérience, Bernard GATIMEL sait que l’ap-
proche humaine des salariés de l’entreprise fera la différence. Il
BERNARD
GATIMEL
UN HOMME EN MARCHE
À 24 ans, son premier
gros chantier
-"le transfert du 9ème
RCP de Toulouse
à Pamiers. C’est là
que j’ai pris goût aux
challenges techniques
importants, souvent
stressants mais
toujours passionnants.
En 2 ans, j’ai capitalisé
10 ans d’expérience. "
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UN HOMME EN MARCHE
la privilégie au diplôme, au moment de l’embauche, parce
que dit-il « de toute façon, en sortant de l’école, tout reste à
apprendre, quels que soient les mérites de l’étudiant et de
l’enseignement reçu et même si aujourd’hui il existe d’ex-
cellentes structures ». Ce qui est recherché ici, ce sont les
qualités techniques, humaines, de gestion, animées par une
vraie conscience professionnelle et pour cela « au moment
du premier entretien, à diplôme équivalent je choisirai tou-
jours celui ou celle qui s’implique auprès des autres, qui est
porteur d’une expérience du partage au quotidien, dans l’as-
sociatif, le sport par exemple, plutôt que celui qui est major
de sa promotion. » En un mot une éthique recherchée et
reconnue comme valeur-métier de départ.
« Chez GBMP et dans le groupe, il n’y a pas de hiérarchie
articielle, mais des hommes qui se connaissent bien et
s’estiment, tous centrés sur le respect de nos valeurs. Ils
forment un tout cohérent, une homogénéité de fond pour une
efcacité du système dans le comportement vis-à-vis des
clients, des hommes sur le chantier et dans les bureaux, de
la force de motivation, ... »
Une démarche certiée
« Nous avons conforté cette démarche par l’acquisition des
certications 14001 et 9001. Cette gestion de la qualité est
un facteur de progrès à tous les échelons, du manutention-
naire au chef de chantier, au bureau d’étude… parce que
je considère que la conance n’est jamais acquise déni-
tivement mais toujours à encourager par le professionna-
lisme. » GBMP se pose en « pourvoyeur de solutions » dont
les salariés connaissent le mot
d’ordre : « Quel que soit le pro-
blème, interdiction absolue de le
faire porter par le client. Quand
on se présente devant lui, nous
devons avoir trois solutions à lui
proposer. Certes, nos problèmes sont aussi ceux du client,
mais nous avons le devoir de faciliter son choix dans sa prise
de décision. »
Autonomie, responsabilisation de chacun envers soi et les
autres, management dont le balancier est stabilisé dans un
juste équilibre entre la tâche et le relationnel, le groupe GB
via l’entreprise GBMP, pilote son avenir entre sérénité et
exigence. La sérénité que donnent une conance toujours
en alerte et une exigence portée par la volonté de Bernard
GATIMEL que : « Chacun soit toujours à sa juste place, en
tenant compte de son évolution pour qu’il reste motivé, im-
pliqué dans son métier, mais aussi anticiper le marché. Cela
nécessite notamment une croissance externe. Nous l’avons
entamée par le rachat de SAB qui était avant tout le fruit de
la rencontre avec un homme M. DE POLO, et d’une vraie
culture d’entreprise commune. Nous y avons appliqué no-
tre management avec succès, l’avons étendu au domaine
de l’étanchéité, de l’agencement et à l’ensemble des autres
métiers qui constituent aujourd’hui le groupe. La suite vien-
dra de l’écoute de nos clients qui sont aussi nos partenai-
res dans le challenge que nous poursuivons : bâtisseurs de
conance. »
Le principal trait de mon
caractère ?
La ténacité et l’indulgence…je crois avoir un
grand cœur.
La qualité que jattends chez
un homme ?
L’honnêteté intellectuelle, l’adhésion à des
valeurs communes pour lentreprise, l’état
d’esprit, le comportement bref, la franchise.
La qualité que jattends chez
une femme ?
Les mêmes. Mais c’est vrai que j’attends en
plus qu’elle apporte davantage d’organisa-
tion, de méthodologie, de précision.
Ce que japprécie le plus
chez mes amis ?
Que je puisse les déranger à nimporte quelle
heure et pour n’importe quoi. Lécoute. Que
je puisse compter sur eux et eux sur moi bien
sûr.
Mon principal défaut ?
Parfois je suis un peu trop directif. Je ne laisse
pas toujours le temps aux gens de s’appro-
prier mon objectif. J’ai en tête le scénario
nal et suis pressé d’y parvenir. Je sais que si
je me laisse aller à ce naturel, je me prive de
l’avis des autres qui est souvent enrichissant.
Mon occupation préférée ?
Il me faut me régénérer dans la nature. Je
suis un hyperactif et quand je ne travaille
pas jaime aller partager un bon moment
autour d’un terrain (de rugby par exemple),
ou avec des amis et mon chien à la chasse…
Mais aussi minstaller au bord d’une rivière
tout seul,pêcher la truite dans un cadre ma-
gnique.
Mon rêve de bonheur ?
Pouvoir vivre tous ces moments et faire plai-
sir. Je suis plutôt généreux et partager ce qui
me rend heureux me comble d’autant plus.
Au quotidien, j’aime les gens dont le travail
est aussi une passion, qui s’approprient les
valeurs de l’entreprise et qu’elle soit la leur
autant que la mienne.
Quel serait mon plus grand
malheur ?
De perdre les gens que j’aime.
Ce que je voulais être ?
Vétérinaire. Après mon Bac, j’étais admissible
en prépa Véto et à l’INSA*. J’ai choisi le cur-
sus le plus direct et le moins onéreux pour ma
famille et sans regrets encore aujourd’hui.
Le pays où je désirerais
vivre ?
Il me faut de la verdure ! Je vais chasser un
peu partout dans les pays méditerranéens,
mais au bout d’un moment jai besoin de
retrouver mes arbres, mes torrents, mes pay-
sages pyrénéens.
La couleur que je préfère ?
Le vert.
Mes héros ?
Plutôt des découvreurs. J’aurais bien aimé
être Vasco de Gama, Magellan. Un aventurier
avec une équipe qui a un projet et qui va de
l’avant. Un découvreur d’espaces ou d’autres
choses d’ailleurs.
Ce que je déteste par-dessus
tout ?
La mauvaise foi et l’injustice. Elles peuvent
me faire rentrer dans des colères terribles.
Mais ça s’arrange en vieillissant…bien que
cela me mette encore les nerfs à vif. Dans
l’entreprise et malgré la solidarité du chef, je
n’hésiterais pas à désavouer quelqu’un qui est
de mauvaise foi que ce soit devant un client
ou un sous-traitant.
Personnage historique que
j’admire le plus ?
S’il faut en choisir : les gens de la Résistance.
Ces gens de l’ombre qui ont su poser la bonne
analyse prospective et faire le bon choix. Je
suis toujours un peu admiratif de ceux qui,
pour des idées, communistes, républicaines
ou simplement patriotes ont pris le maquis
pour être en accord avec leur conscience.
Le don de la nature que je
voudrais avoir ?
Le mimétisme du caméléon pour m’adapter
à toutes les situations. Pas ladaptabilité de
pure forme non, celle qui permet de com-
prendre vraiment lautre en se mettant à sa
place. Je m’eorce je pense, j’espère avec suc-
cès le cultiver.
Faute qui minspire le plus
d’indulgence ?
Lerreur d’appréciation, d’inexpérience. La
crainte de faire mal qui est parfois mauvaise
conseillère. Mais si par la suite on a l’honnête-
té de dire que l’on s’est trompé…je considère
que cela fait partie du capital expérience.
Ma devise ?
Pour l’entreprise : On est rien tout seul. C’est
de la qualité de son comportement envers les
autres que naît la réussite. Un pour tous, tous
pour un. Et ma devise d’homme : proter des
bons moments et les partager.
* Instituts Nationaux des Sciences Appliquées
L’HOMME EN 17 QUESTIONS
" Il n’y a pas de
hiérarchie artificielle,
mais des hommes qui
se connaissent bien et
s’estiment. "
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