Remerciements
Une thèse, c’est un peu comme une bonne aventure, on doit faire face à des obstacles, mais on
rencontre aussi au détour d’un chemin des compagnons de route qui nous aident à les franchir. On
peut penser à la fameuse Communauté de l’anneau, ou aux compagnons de Dragonlance, mais
même Conan n’aurait pas accompli tant d’exploits sans l’aide de Zelata, de Taurus ou de Valéria,
et sa réputation ne serait pas la même s’il n’avait pas rencontré Bêlit. Et pourtant, c’est toujours
son nom qui apparaît sur la couverture...
Alors, bien que cette thèse soit « présentée et soutenue par Laurent Di Filippo », ce travail n'aurait
pas été possible sans le soutien de nombreuses personnes que je tiens à remercier à présent.
En premier lieu, je remercie mes deux directeurs :
–le professeur Jacques Walter, pour son dynamisme, pour son enthousiasme et pour son
incroyable don à pointer du doigt les écueils et les vides d’un travail qui peut toujours être
amélioré. À de nombreuses reprises, il a su remettre à sa place, de manière fine et subtile,
le doctorant souvent trop sûr de lui que je suis.
–Le professeur Jürg Glauser, pour son écoute attentive et ses précieux conseils. Malgré ma
manière parfois peu académique de m’adresser à lui en Suédois, je n’en ai pas moins un
profond respect pour son travail et pour la confiance qu’il m’a témoignée, tout d’abord en
m’acceptant comme doctorant puis en m’invitant à participer à plusieurs de ses projets.
Tack ska du ha, Jürg !
Pour mener à bien ce travail, j’ai eu le plaisir d’intégrer le Centre de recherche sur les médiations
de ce qui était à l’époque l’Université Paul Verlaine de Metz et qui est devenue aujourd’hui
l’Université de Lorraine. Nul doute que faire partie d’une équipe exigeante et dynamique comme
celle-ci a grandement contribué à ce travail. Je remercie tous les membres du laboratoire,
chercheurs et personnels administratifs, pour leur accueil et pour leur soutien de tous les instants,
notamment au sein de l’équipe Pixel dont je faisais partie et avec qui j’ai eu l’occasion de travailler
régulièrement, ainsi que les membres de Praxitexte qui m’avaient invité en tant que discutant lors
d’un séminaire.
Merci aussi à Aude Meziani et à tous les personnels de la vie doctorale de l’Université qui nous
enlèvent régulièrement de vilaines épines administratives du pied.
Bien que j’y ai été moins présent, je remercie tous les membres du département d’Études
nordiques de l’Université de Bâle qui m’ont toujours accueilli en leur sein et grâce à qui j’ai pu
participer à plusieurs journées doctorales et à diverses conférences me permettant de consolider les
connaissances sur la matière nordique. Je remercie également le professeur Jürgen Mohn d’avoir
accepté d’être co-référent auprès de l’Université de Bâle.
Ce travail est l’aboutissement de réflexions qui avaient commencé durant mes années de licence
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