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et de l’alcool.
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- aromathérapie
aromathérapie aromathérapie
aromathérapie
L’aromathérapie (
étym
: lat « aroma », grec « arôma »
= arôme ; grec « therapeia » = soin, cure) est
l'utilisation médicale des extraits aromatiques de
plantes (essences et huiles essentielles). Cela la
différencie de la phytothérapie qui fait usage de
l'ensemble des éléments d'une plante.
Le terme a été utilisé pour la première fois par le
chimiste René Maurice Gattefossé en 1935.
Dans une approche traditionnelle, branche de la
phytothérapie, elle s'apparente à la naturopathie
(Ayurveda, etc.) Elle est alors classée parmi les
médecines non conventionnelles.
Le terme d'aromathérapie recouvre des pratiques
médicales très variées utilisant les huiles essentielles,
par exemple sous forme d'onction (dissolution dans
une huile), de crème ou de lotion (émulsion huile dans
l'eau), pour l'usage externe.
Les usages le plus usuels des huiles essentielles
peuvent être l'automédication de confort, le calme et
la relaxation (bains, massages, cosmétique), la
préparation à l'endormissement, et une utilisation
aromatique en psychologie. En médecine, l’utilisation
recouvre la désinfection et la cicatrisation des plaies ou
le traitement de traumatismes (brûlures...), le
complément à un traitement médical chronique ou en
dermatologie, et la cosmétique dermatologique.
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- hortithérapie
hortithérapie hortithérapie
hortithérapie (méthode jeune, d’origine
nord–américaine)
L’hortithérapie propose un jardinage en pot, réalisé
dans des conditions optimales pour que le patient,
parfois handicapé, puisse profiter des plaisirs du
jardinage. Il s’agit d’une activité occupationnelle qui
est bénéfique pour la santé, voire une prévention
thérapeutique.
L’hortithérapie propose plusieurs dimensions :
- On peut occuper les malades ou convalescents par
des activités avec les plantes ; ceci est très utile en
hiver, par exemple, faire des centres de tables de
matériaux secs ou verts, presser des fleurs pour une
décoration au mur ou tout autre décoration.
- La couleur des plantes, l'odeur ou leur texture font
appel à la mémoire lointaine, apaisent plus quand on
choisit les pl antes appropriées, etc.
- L'activité physique, au grand air ou même en salle,
est souhaitable pour les gens qui n'en font pas assez.
- Association de roches, de pierres avec des végétaux,
ou du végétal ligneux rappelant dans une certaine
mesure la culture de l’inkevana.
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- plantes désintoxicantes d’intérieur
plantes désintoxicantes d’intérieur plantes désintoxicantes d’intérieur
plantes désintoxicantes d’intérieur
Certaines plantes d'intérieur éliminent des produits
chimiques présents dans l'air et notamment le
formaldéhyde, le benzène et le trichloréthylène. Ces
produits chimiques sont générés par la détérioration
des isolants anciens par exemple, mais aussi par
l'utilisation de solvants ou de produits d'entretien
ammoniaqués, de la fumée de cigarette dans certains
cas…
Comment ça marche ? Le principe de la dépollution
repose sur l'échange gazeux. Les polluants de l'air sont
absorbés par les feuilles. Des micro-organismes vivant
dans les racines convertissent les polluants en produits
organiques qui servent alors à nourrir les plantes. La
plante émet ensuite de la vapeur d'eau par un
processus nommé transpiration et améliore ainsi le
taux d'humidité dans la maison et le taux d'oxygène.
Plus les plantes sont grosses, plus la surface de feuille
est importante, et plus l'échange gazeux est important.
Quelles plantes ? Les plantes le plus efficaces pour
dépolluer l'air sont l'Aloe vera et le Philodendron qui
éliminent respectivement 90% et 86% du
formaldéhyde. Le Philodendron élimine aussi le
pentachlorophénol. L'azalée élimine quant à elle
l'ammoniac, le chrysanthème le trichloréthylène, le
Chlorophytum le monoxyde de carbone, le lierre le
benzène. Selon les dernières mesures réalisées en
laboratoire, l'Aglaonema neutralise 48 % du benzène
et 92 % du toluène, l'Aracaena marginata 78 % du
benzène et 60 % du formaldéhyde, la Sansevieria 53 %
du benzène...
Existence de plans Alzheimer : les thérapies non
médicamenteuses sont aidées.
- les plantes toxiques et allergisantes à éviter (pollen,
fruits et tiges dangereuses (laurier-rose…)
- le jardin pour tous (SaluTerre, la Valise…)
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d’ambiance
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Une réponse en fonction du contexte local
- référence aux paysages agricoles locaux
Les personnes âgées, pensionnaires des maisons de
retraite rurales, étant souvent des anciens agriculteurs
ou issus du monde rural. Le travail sur certaines
EHPAD a consisté à recréer des paysages agricoles
courants, en relation avec le contexte alentour. Cela
s’est surtout traduit sur les lisières, et les larges abords
périphériques. Le jardin est considéré comme une
ouverture, une transition vers le grand paysage (ch.