
L’activité institutionnelle :
L’IResD, membre du CLUD, réalise avec le CLUD et la direction qualité des audits,
des projets d’amélioration… Au sein du CLUD, elle participe à l’élaboration et la
réévaluation des protocoles. Elle coordonne et anime des groupes de travail.
L’activité « logistique » :
L’IResD gère les besoins en matériel de l’unité (dans le champ douleur), le secrétariat
et les appels téléphoniques. Elle participe à l’élaboration des statistiques, des bilans
d’activités, des audits de satisfaction…
Quel que soit le lieu ou le mode d’exercice (CHU, CHR, clinique, hôpital pédiatrique ou
gériatrique, EHPAD, centre de rééducation…) l’activité principale de l’IResD est identique.
Seuls les outils utilisés, les techniques thérapeutiques et les façons d’animer seront adaptés à
la population concernée.
Exemples : au CHU Necker et CH Meaux , la population accueillie est différente (population
principalement pédiatrique à Necker et population principalement adulte et âgée à Meaux)
mais nos activités sont identiques : intervenir sur demande à l’évaluation et la PEC de la
douleur, éducation des patients à l’utilisation du TENS, formation des équipes à l’utilisation
du MEOPA etc..
AU MCO Pasteur , à Necker ou au CH Meaux, le poste IResD est intégré dans une équipe
mobile donc transversal. Les IresD sont donc amenées à aller dans tout l’établissement pour
aider à l’évaluation des patients et utiliser des techniques non médicamenteuses spécifiques
(Necker et Meaux = Hypno-analgésie).
Pour être reconnu par le personnel soignant médical ou paramédical, les fonctions de l’IResD
doivent être définies dans un cadre bien délimité. Chacun sachant « qui fait quoi », cela
permet d’éviter les doublons, les missions impossibles, les incompréhensions et autres
freins… Quand chacun connaît sa place et son fonctionnement, le service rendu au patient est
de meilleure efficacité et qualité.
En conclusion
Avec la pratique, les fonctions des IResD et IRefD qui œuvrent à l’amélioration de la prise en
charge de la douleur auprès des patients se dessinent peu à peu.
Il reste néanmoins des questions :
• De qui dépend médicalement et hiérarchiquement l’IResD ?