en cliquant ici - VOG, centre d`art contemporain de la ville de Fontaine

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 Stencil MGM Review Dans le cadre du Street art fest 2016
Romain Minotti ­ M4U ­ Groek And Groel DOSSIER PEDAGOGIQUE
Vog ­ 10 avenue Aristide Briand ­ 38600 Fontaine ­ 04.76.27.67.64
EVENEMENTS
> VERNISSAGE Mardi 14 Juin à 18 h au VOG.
> VISITES COMMENTÉES AU VOG :
Par une médiatrice culturelle
Du mercredi au Samedi entre 14h et 19h
ARTISTES : ROMAIN MINOTTI (France)
Cet artiste est originaire de la région. Il se présente comme un peintre instinctif
polymorphe, ni graffeur ni peintre d’atelier, mais pourtant les deux à la fois. Il s’illustre dans le street art à travers plusieurs types de peintures : acrylique, à
l’encre. Son travail est très diversifié : il réalise autant des pochoirs que des graffitis et
des bas­reliefs à partir de matériaux. Romain Minotti est un artiste multi­
support, toujours dans la recherche de l’originalité.
M4U (France) :
Cet artiste est originaire de la région. Il réalise ses pochoirs à partir de photos de
personnes célèbres.
Ses premiers coups de bombe datent de 1992 en région parisienne, il a
abandonné cette pratique, tout en gardant pour elle un attrait profond. Après des
études d’art et d’architecture, des années de travail en agence, ce besoin de
s’extérioriser est devenu incontournable c'est en 2012 qu'il décide de s'exprimer
graphiquement. Il s’est naturellement tourné vers le spray et le découpage,
technique précise et pointue qui va de pair avec certains aspects de sa
personnalité. Ses inspirations sont diverses, allant de l’amour de la sensualité
féminine et du féminisme, aux valeurs de respect et de maturité, aux
revendications de rupture avec le système actuel, tout en passant par son amour
de la musique et de certains films ou séries cultes. Sa pratique du pochoir reste
modeste et en constante évolution, afin de trouver une personnalité graphique
qui lui conviendra peut­être un jour.…
GROEK (France) :
Cet artiste grenoblois, issu des Beaux­Arts, pratique l’art urbain sous plusieurs
formes : à base de collages, graffitis, pochoirs, installations au scotch, tape art,
stickers… Il alterne son travail entre art abstrait et personnages figuratifs, en
conservant les couleurs acidulées qui lui confèrent ce côté unique.
Designer graphique de formation, Groek est un éternel curieux en quête
d’expérimentation. Comme beaucoup, il fait ses premières armes dans la rue au
travers du graffiti. Il varie ensuite les techniques et les supports au gré de ses
envies et de ses découvertes. Aérosols, pochoirs, affiches, scotch, stickers, peu
importe le moyen, ce n’est pas tant le rendu final qui compte mais le chemin pour
y parvenir. Toujours en quête de nouveaux espaces, c’est naturellement qu’il
appose le fruit de ses recherches dans son environnement urbain. Il se construit
une approche artisanale, où le temps n’est pas compté, basée sur la spontanéité,
l’intuition et l’expérimentation, en opposition directe à son quotidien
professionnel, où règne en maître outils numériques, contraintes temporelles et
compromis. En constante évolution, son univers graphique est un foisonnement
de forme colorée et texturée, où se mélangent figuratif et abstrait.
Pour aller plus loin
1/ Petite histoire du Graffiti : Le street art existe depuis la nuit des temps, en Egypte, à Athène ou encore à
Pompeï, des illustrations sur les pierres ont été retrouvées, qui diffusait des
messages politiques, religieux ou personnels. A. Le graffitti comme acte d'amour : Le graffiti a débuté à Philadélphie dans les années 1960. Darryl A. Mc Cray surnommé Cornbread, est le parrain du graffiti. Il a passé une partie de sa scolarité dans une maison de redressement. C'est quand il est retourné à l'école publique, que cet artiste est tombé amoureux d'une fille de qu'il était séparé. Ce personnage avait des difficultés pour s'exprimer et une très grande timidité. Pour lui exprimer son amour il écrivait de partout dans la ville « Cornbread loves Cynthia ». Ce tag se retrouvait sur les murs, les voitures de police, les trains etc.. En 1971, un média avait annoncé sa mort. Pour prouver à la population qu'il était bien vivant, il a écrit sur le flanc d'un éléphant d'un zoo « Cornbread alives ».
Ensuite il s'est mis au défi de graffer dans les endroits les plus improbables, ce qui est encore un des fondements du street­art. Il est allé jusqu’à écrire sur le jet privé des Jackson 5. Au fil du temps, ses messages ont changé et il cherchait plus la notoriété. Parallèlement, de nombreuses autres personnes se sont mises à écrire leur nom un peu partout dans la ville et dans des endroits de plus en plus difficiles d'accès.
B. Les wagons de métro comme moyen de communication : Dans les années 1980, en amérique, les villes se transforment. Le béton et les murs ternes envahissent le paysage. Les banlieues apparaissent et la publicité est de plus en plus présente et agressive dans les villes. Les transports ferroviaires se
développent et sont de plus abondants. Le graffiti est un peu comme une réponse à la publicité qui est imposée aux yeux de tous dans la rue. Les graffeurs veulent, eux aussi, pouvoir s'exprimer librement
dans la rue et se réaproprier l'espace urbain. Entre New­York et Philadelphie, le nombre de voies ferrées augmentent et il y a beaucoup de trains qui circulent entre les deux villes. Pour les graffeurs, écrire sur les wagons est un bon moyen pour se faire connaître et diffuser leur message en dehors de leur ville. Les wagons deviennent un moyen de communiquer et d'exprimer les rivalités entre les deux villes. Durant cette période, les graffitis se
sont stylisés. Le lettrage et les couleurs sont de plus en plus travaillées et les graffeurs se sont organisés par groupe. Ils vont peindre dans les dépôts de trains pendant la nuit et ils sont poursuivis par la police antigraffitti,
mais ça ne les arrête pas. Entre 1970 et 1985, les autorités ont dépensé beaucoup d'argent pour effacer les graffitis des murs, ce qui a aussi aidé les graffeurs car ils manquaient de place. Les autorités ont dépensé par la suite beaucoup d'argent pour les systèmes de sécurité des dépôts. Quand les artistes New­Yorkais ne pouvaient plus aller dans des dépôts ils se sont tournés vers les peintures murales.
C. Keith Haring et le street art :
C'est en 1970 que le street art fait son apparition à New­York en même temps que
le grafitti. Le street art est un art qui se situe dans l'espace public et qui veut se distinguer d'un acte de vandalisme. Ce terme regroupe différentes techniques comme le pochoir, le collage, le graffitti ou encore la création d'affiche. Dessiner dans la rue permet aux artistes de s'exprimer librement et de faire circuler leurs idées aux plus grands nombres. L'oeuvre de street art doit être complètée par le passant. Cet art se veut accessible à tous, gratuit, éphémère et souvent anonyme. Il vient aussi pour faire contrepoids aux publicités et questionne sur certains tabous de notre société. Keith Haring est un artiste américain né en 1958. Ce peintre, dessinateur et sculpteur, voulait véhiculer ses idées au plus grand nombre. Il revendiquait la justice sociale, la liberté mais aussi, le changement. Il luttait contre le racisme, l'homophobie et le SIDA. Il était en opposition avec la société libérale et de consommation, tout comme les punk. Il dessinait dans la rue pour toucher
un plus grand nombre de personnes.
Cet artiste était le précurseur du « street­art ». Dans ses oeuvres, les traits étaient simples mais précis et le message, clair. Il n'avait pas beaucoup de
temps pour dessiner dans la rue car il pouvait se faire arrêter par la police. A ses débuts, il dessinait à la craie sur les bouches de métro, sur des espaces réservés à la publicité. Son art, tout comme le mouvement punk, était là pour interpeller et éveiller les consciences en leur révélant une réalité plus dure que celle présente dans les médias de masse. 2/ Des œuvres d'arts pour dénoncer Les artistes utilisent l'art comme un moyen d'expression : ils veulent nous énoncer des idées et des points de vue qui peuvent être éloignés de notre cadre de
vie. Certaines œuvres sont faites dans le dessein de choquer ou de provoquer, pour dénoncer les failles d'un système ou faire réfléchir. Certaines œuvres offrent une nouvelle vison de notre monde, ce qui permet de prendre du recul et ouvrir de nouveaux questionnements. A. Les ready­mades de Marcel Duchamp : Marcel Duchamp est un artiste français né en 1887. Ce plasticien a révolutionné
l'art du 20ème siècle avec l'invention des « ready­mades » : des objets déjà tout faits, qui sont sélectionnés pour leur neutralité esthétique.
Il s'est posé beaucoup de questions sur l'art et son esthétique. Il a ouvert la voie à
l'art conceptuel ou l'art qui analyse et se questionne sur ce qu'est l'art. Ce qui est important, c'est le message et la réflexion autour de l'oeuvre et non sa forme finale.
Fontaine, 1917/1964, titre attribué : Urinoir.
L'original, perdu, a été réalisé à New York en 1917. La réplique a été réalisée sous la direction de Marcel Duchamp en 1964 par la Galerie Schwarz, ( Milan ) et constitue la 3e version.
Faïence blanche recouverte
de glaçure céramique et de
peinture.
Cette œuvre nommée « urinoir », de son titre officiel, ou « fontaine », est une
réflexion autour du monde de l'art. Marcel Duchamp a acheté cet objet et l'a
envoyé à un comité de sélection d'une exposition dont il faisait partie, où les
membres s'engageaient à exposer toutes les œuvres d'art qu'ils recevaient.
L'artiste avait pris un pseudonyme : « R. Mutt », pour ne pas être reconnu. Mais le
comité a fait le choix de ne pas exposer cette œuvre qu'il ne considérait pas
comme telle.
Lors de l'exposition, il a demandé à un de ses amis collectionneurs de faire
semblant de réclamer cette « fontaine », car il souhaitait l'acheter. Ensuite, il a écrit de nombreux textes sur cet évènement pour expliquer qu'un
artiste n'a pas besoin de fabriquer des œuvres d'art mais qu'il peut choisir des
objets du quotidien, les sortir de leur contexte et changer leur dénomination dans
le but de leur donner une nouvelle vie autre que celle que nous leur connaissons.
Cet urinoir est un message et une idée. A l'époque de Duchamp, la définition
d'une œuvre d'art était assez rigide et stéréotypée. C'est pour cette raison qu'elle
a beaucoup choquée. B. Les œuvres révolutionnaires de Jean­Michel Basquiat : Jean­Michel Basquiat est un artiste new­yorkais, d'origine thaïtienne né en 1960. Au début de sa carrière, il réalisa des œuvres avec des objets qu'il trouva dans la rue ( fenêtres, portes, mousses ) mais aussi avec des bombes de peinture. Ses graffitis étaient conceptuels et portaient un message politique et provocateur.
Dans sa vie quotidienne, il a souvent été confronté au racisme et à l'hypocrisie sociale due à sa couleur de peau. Il ne pouvait, par exemple, pas prendre de taxi à New­York malgré sa célébrité. Dans ses peintures, il évoquait souvent l'histoire des colonies et de l'esclavagisme des peuples noirs et faisait le lien avec le racisme de l'époque, pour le faire éclater au grand jour et faire réfléchir les personnes sur ce phénomène. Dans cette peinture, Basquiat remet en question l'histoire occidentale en créant des images qui glorifient l'homme noir comme saint ou roi. Dans l'histoire, les peuples noirs ont souvent été considérés comme inférieurs. Ils n'étaient pas égaux et beaucoup de clichés de l'époque perdurent encore aujourd'hui. Souvent dans ses peintures, les personnages ont des couronnes d'épines ou des halos de lumières au­dessus de leurs têtes pour faire référence aux martyrs, à des personnes qui sont mortes ou qui ont enduré des tortures à cause de leur croyance ou de leur origine. Ses personnages sont de véritables guerriers noirs et il est important de ne pas les oublier et de les montrer. Le ring ( the ring ), 1981, acrylique et bâton à l'huile sur toile. Dans l'oeuvre ci­dessous, Basquiat évoque certains clichés qui existent sur les personnes de couleur noire et blanche. Il essaye de remettre en question nos conventions et notre idée du bien et du mal. A travers ses peintures, il veut aussi nous dire qu'il serait possible de cohabiter ensemble malgré nos différences. Six crimee, 1982, acrylique sur panneaux de fibres de bois à haute densité, 3 panneaux. C. Banksy, une révolte contemporaine
Banksy est le pseudonyme d'un artiste anglais né à Bristol en 1974. Il souhaite
rester anonyme. Personne ne sait vraiment qui il est et de cette manière il peut
intervenir plus tranquillement dans l'espace urbain. Il utilise différentes techniques pour réaliser ses œuvres et entre autre, le graffiti,
les installations, le détournement d'objets et le pochoir. Ses œuvres sont provocatrices et dénoncent la société de consommation, le
capitalisme et la condition humaine. En intervenant directement dans la rue, il essaye de toucher un public plus large
mais aussi, il met à la vue de tous, des événements et des questionnements sur
des sujets polémiques. L'artiste a créé des faux billets de banque anglais en utilisant l'image de la princesse de Galles, Lady Diane, qui est morte lors d'un tragique accident de voiture. Sur le billet il a changé le « bank of England » en « Banksy of England ». Ensuite, il les a distribués lors d'un festival. Beaucoup de questions se sont posées sur la véracité de cet accident, certaines théories expliquent que ce serait en réalité un meurtre. L'artiste essaye de nous questionner sur le monde médiatique, ses manipulations et ses différents points de vue. Cette œuvre a été réalisée en 2005
sur le mur de Gaza qui sépare Israël de la Palestine. Il réalise 9 illustrations très incisives, qui dénoncent la privation de la liberté liée à la guerre entre ces deux pays. Il dessine des ouvertures sur la plage ou sur les nuages. Il a effectué la même action sur le
mur de Jérusalem. En agissant de cette manière, il fait parler de ses œuvres mais avant tout, il met en lumière, questionne et dénonce ce qui se passe dans le monde.
EN CLASSE 1/ Enrichir son vocabulaire artistique :
•
Contre­culture : La contre­culture désigne un ensemble de manifestations culturelles, d'attitudes, de valeurs, de normes utilisées par un groupe, qui s'oppose à la culture dominante ou la rejette. •
Graffiti : dessins ou inscriptions sur un mur de façade, réalisés souvent à l'aide d'une bombe de peinture •
Street­art : Il s’agit de toutes formes d’art réalisées dans la rue ou dans des endroits publics et englobe diverses méthodes telles que le graffiti, le graffiti au pochoir, les stickers, les posters, la projection vidéo, les installations de lumière, la céramique, etc. •
Masse­média : Ensemble des moyens de diffusion de masse de l'information, de la publicité et de la culture, c'est­à­dire des techniques et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux.
•
Ready­made : Objet, généralement utilitaire, élevé au rang d'œuvre d'art par certains surréalistes, sans aucune élaboration.
•
Art conceptuel : Donner plus d'importance aux modalités de conception de l'oeuvre d'art plutôt qu'à sa matérialisation.
•
Stéréotype : Idée, opinion toute faite, acceptée sans réflexion et répétée sans avoir été soumise à un examen critique par une personne ou un groupe et qui détermine à un degré plus ou moins élevé, ses manières de penser, de sentir et d'agir.
2/ Suggestion d'atelier : •
Mon règlement idéal : Donner aux enfants une partie d'un
exemplaire du règlement intérieur de l'école, leur demander
d'entourer avec quelles règles ils ne sont pas d'accord et leur
demander pourquoi. Ensuite, les faire dessiner de manière simple
leur idée. Ou, faire écrire et dessiner aux enfants leur règlement intérieur idéal.
•
Mes ready­made : Apporter des objets banals ( cure­dent, gobelet en
plastique, brosse à dents etc. ) et demander aux enfants de réaliser
une sculpture avec. Ou, demander aux enfants de réaliser des personnages ou animaux
avec ces éléments. ( Il est possible de coller les objets sur une image
déjà imprimée ) .
•
Pochoir : Faire choisir aux enfants une forme simple (étoile, rond,
triangle, fleur etc…). Imprimer ou dessiner au centre d'un papier un
peu épais la forme, puis découpez la à l'aide d'un cutter. Donner aux enfants de la peinture, des feutres ou une bombe de
peinture, pour qu'ils puissent peindre la forme découpée plusieurs
fois sur un support avec des couleurs différentes. Variante : Vous pouvez aussi imprimer des formes plus complexes,
pour cela, imprimez la photo en noir et blanc. Puis découpez
uniquement les parties noires ou blanches. Ces réalisations peuvent être pensées pour être placées dans la cour
de l'école ou dans la rue.
Le Street art fest : Jérôme Catz, auteur spécialisé dans le Street Art, commissaire d’exposition indépendant et créateur du réseau Spacejunk Art Centers, est l’initiateur du projet street art fest. Cet événement est le premier festival en Europe à montrer le Street Art dans toute sa globalité et sa pluralité de disciplines : Fresques monumentales ­ fresques traditionnelles ­ collages ­ pochoirs ­ sculptures urbaines – installations – photographie ­ œuvres sur toile ­ œuvres numériques – anamorphoses – Street Art Naturel ­ vidéos... et bien sur expositions sont au programme. Du 8 au 26 juin, le centre ville sera ponctué chaque jour d’évènements aussi divers que la réalisation en live d’œuvres, le dévoilement de fresques, des vernissages, des temps de rencontre, des visites guidées, des conférences, de la projection, tout cela accompagné d’une médiation culturelle permanente sur tous
les sites concernés. Comme pour la première édition, le festival fera appel pour les réalisations aux artistes locaux mais également à des street artistes de renommée internationale tels que : ­ Ernest Pignon­Ernest (Fr) ­ Anthony Lister (Au) ­ Goin (Fr) ­ C215 (Fr) ­ Beast (It) ­ Animalitoland (Ar) ­ Monkey Bird Crew (Fr)
Un événement ancré localement. Le festival fera la lumière sur les réalisations des artistes locaux : ­ Petite Poissone ­ The Sheepest ­ Etien’ ­ Nesta ­ Snek ­ Juin ­ Ink4rt ­ Srek ­ M4U ­ Et beaucoup d’autres... Un festival didactique et pédagogique : Avec deux axes majeurs autours de l’origine du street art en France et ses débuts
à Grenoble avec les interventions répétées d’Ernest Pignon­Ernest, et le mouvement Vandal, fer de lance du bassin grenoblois, à croire que les révolutions
trouvent un terrain fertile en ces terres... ­ L’ensemble du public scolaire est partie prenante du festival, avant, pendant et après autour d’actions de médiations par les scolaires pour les scolaires, de visites dédiées, d’action EAC durant les années à venir et la formation des enseignants au street art dans sa globalité. ­ L’équipe de médiation du Grenoble Street Art Fest ! sera présente sur tous les sites concernés, entièrement dédiée aux questions des visiteurs.
Programme : ­ 19 jours de Festival ! ­ 40 artistes ­ 2 villes ­ 4 Quartiers concernés ­ 6 fresques monumentales ­ 1 lieu éphémère ­ De nombreuses réalisations dans toute la ville de Grenoble Dimanche 22 Mai : Salle des fêtes de Tullins Rencontre avec les artistes Juin, Romain Minotti et les CrewCaracha dans le
cadre du marché de la création «Soupçon d’art» avec la Mjc de Tullins Vendredi 27 Mai : Esplanade Andry Farcy Conférence de presse et lâché de ballons du projet «Art to escape» en partenariat avec JR Mercredi 8 Juin : Inauguration du Grenoble Street Art Fest 2016 ! ­ Vernissage de l’exposition à l’ancien musée de peinture de 18h à 21h ­ Soirée à la Bobine à partir de 20h ­ Début des réalisations des oeuvres dans Grenoble Jeudi 9 Juin : Vernissage à Spacejunk, 15 rue de Génissieu Vernissage de l’exposition de Shepard Fairey : Obey Propaganda «A vision for our planet» à partir de 18h Vendredi 10 Juin : Séance de dédicace à la librairie Décitre Grenoble Séance de dédicace d’Augustine Kofie, Petite Poissone et Jérôme Catz de 17h à
19h Dimanche 12 Juin : 50 Galerie de l’Arlequin à Villeneuve Dévoilement de la fresque monumentale d’Augustine KofieLE PROGRAMME GRENOBLE STREET ART FEST 2016 Lundi 13 Juin : Musée de Grenoble ­ Conférence de 18h30 à 20h30 au Musée de Grenoble ­ Dévoilement de la fresque d’Animalitoland l’après­midi rue de Génissieu Mardi 14 Juin : Vernissage au Vog / Journée collage ­ Vernissage de l’exposition collective avec Groek, Romain Miontti et M4U au
centre d’art Le Vog à Fontaine à partir de 18h ­ Journée du collage dans le quartier Championnet Mercredi 15 Juin : Quartier Championnet Dévoilement de la fresque de Nesta & Short à la Maison des Associations l’après midi et de la fresque de Snek rue Doudart de Lagrée le soir Jeudi 16 Juin : Ancien musée de peinture ­ Dédicaces de Will Barras, Anthony Lister et Jérôme Catz de 13h à 15h ­ Conférence à la Maison Internationale de 18h30 à 20h ­ Dévoilement de la fresque de Veks Van Hilik bibliothèque d’Etudes Chavant le
soir Vendredi 17 Juin : Ecole Nationale Supérieure d’architecture de Grenoble Conférence de 18h30 à 20h30 Samedi 18 Juin : Quartier Championnet ­ Dévoilement de la fresque de Srek, Will & Greg l’après midi ­ Dévoilement de la fresque de Will Barras le soir sur le Boulevard Maréchal Foch Dimanche 19 Juin : Ancien musée de peinture, Bourse du travail Dédicace d’Ernest Pignon­Ernest et inauguration de la fresque restaurée à la Bourse du Travail Lundi 20 Juin : Villeneuve Dévoilement de l’anamorphose d’Etien’ 32 galerie de l’ArlequinLE PROGRAMME GRENOBLE STREET ART FEST 2016 Mercredi 22 Juin : Hyper Centre Dévoilement de la fresque d’Anthony Lister au gymnase Hoche
Jeudi 23 Juin : Cinéma Club ­ Projection­débat du film de Banksy «Faites le mur» à 18h30 ­ Dévoilement de la fresque d’Ekis, Ink4rt, Juin, M4U et Romain Minoti, rue de Turenne Vendredi 24 Juin : Lieux divers ­ Inauguration du projet «La Houille Blanche en couleurs» ­ Dévoilement de l’oeuvre des MonkeyBird Crew au lycée Emmanuel Mounier
Samedi 25 Juin : Championnet Dévoilement de la fresque des NeverCrew rue des Bergers Dimanche 26 Juin : Clôture du festival Visité guidée des oeuvres réalisées tout au long de la journée. Ouvert depuis 2005, Le VOG, centre d'Art Contemporain de la Ville de Fontaine,
expose aujourd'hui des artistes aux pratiques et aux horizons différents. Il se
revendique tant dans des supports d'aide à la jeune création artistique que dans
l'accueil d'artistes confirmés. Le VOG a ainsi une activité de soutien à la création,
à la recherche, à la diffusion, à la médiation et à l'édition de catalogues. Il est,
depuis 2011, membre de l'association d.c.a. (association de développement des
centres d'art). Le VOG, lieu incontournable de l'agglomération grenobloise, accueille plus de
6000 visiteurs par an.
Centre d’Art Contemporain de la Ville de Fontaine
10, av Aristide Briand 38 600 Fontaine
Tel : 04 76 27 67 64
Email direction : marielle.bouchard
@ville­fontaine.f
r
Email médiation : pauline.morgana@ville­fontaine.fr
Blog : http://www.levog­fontaine.eu
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