
es technologies de l’information et de la communication font désormais partie intégrante de
l’environnement professionnel des
données et des connaissances difficilement imaginables il y a 15 ans à peine. En favorisant
l’échange et le partage de documents médicaux, elles jouent un rôle important dans la
coordination des s
oins. Elles contribuent, de façon générale, à l’amélioration de la qualité des soins en
facilitant l’accès, sans perte de temps, aux données nécessaires à la prise de décision et à la continuité
de la prise en charge. L’informatisation de la pratique médic
du temps pour l’écoute et les soins aux patients.
Les transformations induites par l’avènement du numérique dans la santé doivent cependant
s’accomplir dans un cadre de confiance renouvelé et adapté. Le Conseil National de l’Ordre des
Médecins s’y implique activement.
Ainsi, c
ette publication complète
sur l’informatisation de la santé, en mai 2008,
sur la télémédecine, en janvier 2009.
Par son engagement dans la construction du système d’information de santé, le CNOM poursuit un
double objectif :
accélérer l’usage des technologies de l’information et de la communication pour
améliorer la qualité des soins et contribuer à garantir les fondements de la confiance des médecins et
des patients dans le nouvel espace numérique de santé.
En passant à l’è
re de la dématérialisation, les médecins se retrouvent confrontés à des questions
pratiques nouvelles sur les plans déontologique et réglementaire. C’est pourquoi le CNOM a souhaité,
en publiant ce rapport, rappeler et synthétiser les principes et recomman
exigences déontologiques de leur exercice.
Bien que les exercices professionnels soient divers, tant dans les secteurs de soins que dans les autres
secteurs d’activités médicales, le CNOM rappelle que tous les médecins sont soum
de déontologie professionnelle qui s’attachent ici principalement à la protection et la préservation de la
confidentialité des données personnelles de santé. C’est, avec la reconnaissance confirmée de leurs
compétences, le socle de la c
onfiance massive dont les médecins disposent près des patients.
Docteur Michel Legmann
Président
L
Dématérialisation des documents médicaux
es technologies de l’information et de la communication font désormais partie intégrante de
l’environnement professionnel des
médecins. Elles offrent des possibilités d’exploitation des
données et des connaissances difficilement imaginables il y a 15 ans à peine. En favorisant
l’échange et le partage de documents médicaux, elles jouent un rôle important dans la
oins. Elles contribuent, de façon générale, à l’amélioration de la qualité des soins en
facilitant l’accès, sans perte de temps, aux données nécessaires à la prise de décision et à la continuité
de la prise en charge. L’informatisation de la pratique médic
ale apporte, enfin, les moyens de dégager
du temps pour l’écoute et les soins aux patients.
Les transformations induites par l’avènement du numérique dans la santé doivent cependant
s’accomplir dans un cadre de confiance renouvelé et adapté. Le Conseil National de l’Ordre des
Médecins s’y implique activement.
ette publication complète
les deux livres blancs déjà diffusés par l’Ordre :
sur l’informatisation de la santé, en mai 2008,
sur la télémédecine, en janvier 2009.
Par son engagement dans la construction du système d’information de santé, le CNOM poursuit un
accélérer l’usage des technologies de l’information et de la communication pour
améliorer la qualité des soins et contribuer à garantir les fondements de la confiance des médecins et
des patients dans le nouvel espace numérique de santé.
re de la dématérialisation, les médecins se retrouvent confrontés à des questions
pratiques nouvelles sur les plans déontologique et réglementaire. C’est pourquoi le CNOM a souhaité,
en publiant ce rapport, rappeler et synthétiser les principes et recomman
dations qui répondent aux
exigences déontologiques de leur exercice.
Bien que les exercices professionnels soient divers, tant dans les secteurs de soins que dans les autres
secteurs d’activités médicales, le CNOM rappelle que tous les médecins sont soum
de déontologie professionnelle qui s’attachent ici principalement à la protection et la préservation de la
confidentialité des données personnelles de santé. C’est, avec la reconnaissance confirmée de leurs
onfiance massive dont les médecins disposent près des patients.
Vice président, chargé des SIS
Juin 2010
Dématérialisation des documents médicaux
es technologies de l’information et de la communication font désormais partie intégrante de
médecins. Elles offrent des possibilités d’exploitation des
données et des connaissances difficilement imaginables il y a 15 ans à peine. En favorisant
l’échange et le partage de documents médicaux, elles jouent un rôle important dans la
oins. Elles contribuent, de façon générale, à l’amélioration de la qualité des soins en
facilitant l’accès, sans perte de temps, aux données nécessaires à la prise de décision et à la continuité
ale apporte, enfin, les moyens de dégager
Les transformations induites par l’avènement du numérique dans la santé doivent cependant
s’accomplir dans un cadre de confiance renouvelé et adapté. Le Conseil National de l’Ordre des
Par son engagement dans la construction du système d’information de santé, le CNOM poursuit un
accélérer l’usage des technologies de l’information et de la communication pour
améliorer la qualité des soins et contribuer à garantir les fondements de la confiance des médecins et
re de la dématérialisation, les médecins se retrouvent confrontés à des questions
pratiques nouvelles sur les plans déontologique et réglementaire. C’est pourquoi le CNOM a souhaité,
dations qui répondent aux
Bien que les exercices professionnels soient divers, tant dans les secteurs de soins que dans les autres
secteurs d’activités médicales, le CNOM rappelle que tous les médecins sont soum
is aux mêmes règles
de déontologie professionnelle qui s’attachent ici principalement à la protection et la préservation de la
confidentialité des données personnelles de santé. C’est, avec la reconnaissance confirmée de leurs
onfiance massive dont les médecins disposent près des patients.
Vice président, chargé des SIS