IV. Le chemin à risques de la découverte
“Si Ariane n’avait remis une pelote de laine à Thésée, celui ci continuerait d’errer dans les
entrailles du labyrinthe”
Mes “fils d’Ariane” pour cet exposé ont été :
- Isabelle Orgogozo, avec “Les paradoxes de la communication” (Edition d’organisation – 1988)
- Robert Salmon, avec “Tous les chemins mènent à l’homme” (Interéditions – 1994)
- Michel Crozier, avec “ Le phénomène bureaucratique” (Editions du Seuil – 1963)
- Geneviève Thomas, avec “ L’éducation du patient, structure, organisation et développement”
(Editions Kluwer – 2003)
- Agnès Jacquerye, avec “Guide de l’évaluation de la qualité des soins” (Editions le Centurion – 1983)
- Michel Crémadez, avec “Le management stratégique hospitalier” (Interéditions – 1992)
- Henry Mintzberg, avec “Structure et dynamique des organisations” (Editions d’organisation, 1982)
- Philippe Hermel, avec “L’impératif humain” (1988)
- Myriam Hubinon, avec “Management des unités de soins" (Editions De Boeck université, 1998)
- Jean Nizet et François Pichault, avec “Comprendre les organisations” (Gaëtan Morin éditeur –
Europe – 1995)
- Philippe Cabin, avec “La communication : état des savoirs” (Editions sciences humaines - 1998)
- Shimon L. Dolan, Gérald Lamoureux et Eric Gosselin, avec “Psychologie du travail et des
organisations” (Gaëtan Morin éditeur – 1996)
Et
- Jean-Pierre Bayard, avec “Symbolique du labyrinthe” (Les éditions du huitième jour, 2003).
“Chaque jour, j’éprouve le besoin de partager des idées, des difficultés, des espoirs aussi
avec tous ceux qui s’impliquent dans une démarche éducative”
G. Thomas
V. Le chemin qui conduit vers le centre du labyrinthe : vers la recherche d’une partie de la
solution ?
L’hypothèse principale peut être formulée ainsi :
“la politique de gestion prévisionnelle des risques en milieu hospitalier est influencée par le(s)
modèle(s) de gestion des ressources humaines en vigueur dans l’établissement. La qualité du
programme de gestion des risques est liée de manière directe aux choix stratégiques appliqués à la
gestion des hommes et des femmes de l’entreprise".
Et les hypothèses secondaires peuvent être formulées de cette manière :
"des modèles de gestion des ressources humaines et de gestion des risques non en adéquation
provoqueront des réactions de résistance, de “sabotage”, et/ou de trahison (au sens “non adhésion au
projet”) qui sont des mécanismes sociaux régulateurs pouvant entraîner des effets pervers non désirés
sur la productivité, la motivation et l’ambiance au sein des équipes de travail” ;
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