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* Pour les -18 ans, demandeurs d’emploi, étudiants. Présentation d’un justificatif
joint au bulletin d’abonnement ou à la billetterie.
P 96
Cie du Dagor
Texte : Christophe Honoré (Editions L'Ecole des loisirs)
Adaptation et mise en scène : Marie Blondel
Avec : Thomas Gornet ou Guillaume Cantillon
Scénographie : Frédéric Pickering
Lumières : Frédéric Rebuffat
Régie : Claude Fontaine ou Lucie Joliot
Collaboration artistique : Julien Bonnet
Photos : Thierry Laporte
Design de l'affiche : Laurent Besson
Spectacle à partir de 9 ans
Durée 1 heure
Co-production Cie du Dagor/Cie Martine fait du théâtre/Cie Commediamuse
Soutien : Conseil Régional du Limousin et l'aide de La Marmaille-Limoges
L’auteur…
Christophe Honoré est né en Bretagne (Carhaix, Finistère). Il fait des études de Lettres
Modernes et de Cinéma à Rennes.
En 1995, il s’installe à Paris et écrit une dizaine de romans pour la jeunesse édités pour
la plupart aux éditions L'Ecole des Loisirs parmi lesquels Tout contre Léo, Mon coeur
bouleversé ou L'affaire P'tit Marcel. Il devient également chroniqueur pour plusieurs
revues tel que Les Cahiers du Cinéma ou Première.
En 1997, il publie son premier roman pour adulte L'Infamille, suivi en 1998 par une
première pièce de théâtre Les Débutantes. En 1999, il publie son deuxième roman pour
adulte La Douceur, sélectionné pour le Prix Renaudot.
Après avoir co-écrit le scénario de Les Filles Ne Savent Pas Nager avec Anne-Sophie
Birot et celui de Novo, film de Jean-Pierre Limosin en 2002, il réalise son premier long
métrage, sélectionné à Cannes dans la section Un Certain Regard, 17 Fois Cécile
Cassard avec Béatrice Dalle et Romain Duris.
Il continue son ascension en dirigeant, en 2004, Isabelle Huppert et Louis Garrel dans
l’adaptation du roman de Georges Bataille, Ma Mère.
En 2006, il tourne Dans Paris, un film auquel participe Romain Duris, Guy Marchand et
Louis Garrel, présenté à la quinzaine des réalisateurs à Cannes.
L'année suivante, il accède à la compétition officielle pour sa comédie chantante Les
Chansons D'Amour.
L’histoire…
C’est l’histoire d’une insouciance qui disparaît brutalement. Un soir, P’tit Marcel grandit
d’un seul coup, par mégarde, en attrapant au vol une conversation de Grands. La
nouvelle tombe, invraisemblable : son grand frère Léo est malade, peu lui importe si
c’est du sida. P’tit Marcel est là devant nous, il est grand maintenant, et l’adulte réservé
qu’il est devenu ne s’est pas remis de ce coup dur de la vie, il a encore mal aux
mensonges, aux préjugés, à l’absence. Il se livre avec la révolte naïve de l’enfant à qui
l’on fait croire au Père Noël et autres mondes merveilleux, jusqu’au jour où il faut cesser
tout enfantillage. Thomas Gornet nous livre, après L’Œil de l’ornithorynque, un nouveau
portrait sensible de l’enfance qui s’en va. Il s’empare avec une vérité étonnante de cette
partition jeune public pour dire, sans mièvrerie, l’amour à hauteur de petit garçon :
familial, filial, fraternel. Une chasse aux souvenirs, bien vivante, comme pour en
apprivoiser certains, en garder d’autres tout contre, et en rire aussi.
Avec l’adaptation de ce texte fondateur de la littérature jeunesse, la Cie du Dagor
emprunte à nouveau les routes du théâtre contemporain pour le jeune public. En
défendant l’idée que les enfants ont autant le droit d’être émus que d’être divertis.
Extraits de presse…
Stéphanie Franchomme La voix du Nord, 23/03/10
"Le texte de Christophe Honoré parle ouvertement du sida avec les yeux de l’enfance. La Cie du
Dagor en a fait une pièce remarquable où Thomas Gornet, lui-même auteur de livres pour la
jeunesse, dépeint les troubles de ce petit frère meurtri par la maladie de son frère."
Elise Ternat. Les Trois Coups, 19/07/10
"Trop rares sont les spectacles accessibles au jeune public qui osent traiter de la maladie.
Encore plus rares sont ceux qui traitent du sida. C’est pourtant le cas de « Tout contre Léo »,
adapté du premier et remarquable roman de Christophe Honoré à destination des enfants. La
Compagnie du Dagor, qui a choisi de porter ce texte à la scène, peut se féliciter de ce choix qui
se révèle une vraie réussite. (...) Thomas Gornet, dans le rôle de Marcel, est bouleversant de
vérité. Le ton est juste, terriblement drôle, sait être grave, sans jamais être pathétique. (...) À
l’image du livre, le spectacle « Tout contre Léo » est une pièce forte, essentielle et nécessaire,
qui sait dire avec des mots simples sans jamais infantiliser, avec des mots justes et
extrêmement précis, la gravité d’une situation, celle de la maladie. C’est un de ces rares
spectacles qui ose traiter avec talent d’un sujet douloureux, permettant de comprendre et par là
même de grandir."
Thierry Macia, Directeur du Festival A pas contés, Dijon (21)
Le Piccolo, 3 décembre 2010
« Marcel, le petit Marcel, découvre ce qu’on lui cache de plus en plus difficilement : que son
cher frère ainé est gravement malade, et qu’il va mourir. Un texte magnifique sur l’amour
fraternel, le secret, la mort et puis le souvenir dans l’univers familial. Mis en valeur grâce à une
mise en scène efficace et belle, servie par un acteur, Thomas Gornet, particulièrement inspiré. À
partir de 9 ans. »
André Clave, Le Populaire du Centre, 10 décembre 2010
"C’est un superbe moment, riche en émotions et en réflexions que les jeunes ont pu passer au
théâtre du Cloître. Thomas Gornet, seul, incarne un enfant, Marcel, âgé de 10 ans, qui apprend
un soir que son grand frère Léo est atteint du sida. Dans une remarquable mise en scène,
Thomas Gornet relève le défi et réussit à transporter son public au milieu d’une foule de
personnages. En adaptant ce texte de la littérature jeunesse de Christophe Honoré, l’acteur
redore les lettres de noblesse du théâtre jeunesse et pose des problèmes contemporains avec
acuité. Le talent du comédien est réel."
Des liens vers des critiques écrites,
TV et radio…
http://www.radiocampusparis.org/?p=9127
http://www.lestroiscoups.over-blog.com/article-tout-contre-leo-de-christophe-honorecritique-d-elise-ternat-off-du-festival-d-avignon-2010-espace-alya-a-avignon54163302.html
http://www.altersexualite.com/spip.php?article202
http://www.envrak.fr/article-533-oh-boy-on-est-bien-tout-contre-leo
http://www.festi.tv/Cie-du-Dagor
http://www.dailymotion.com/video/xibb0x_interview-thomas-gornet-rcf-rennes_creation
Parcours de l’équipe artistique…
Thomas Gornet
Auteur, comédien et metteur en scène
De 10 à 16 ans, il travaille avec la troupe du Théâtre Espiègle, troupe semi professionnelle
composée d’enfants et d’adolescents.
Il suit les ateliers professionnels de la Compagnie Mack et les gars (Stéphanie Chévara) et
intègre la séquence 2 (1999-2001) de l'école du Théâtre de l'Union-CDN du
Limousin : l'Académie Théâtrale de l'Union.
En 2006-2007, il suit le Master de mise en scène et dramaturgie de Paris X-Nanterre durant
lequel il travaille avec David Lescot, Julie Brochen et Alain Françon.
Il crée la Compagnie du Dagor en
2001 avec laquelle il met
notamment en scène Zilou parle
de Patrick Lerch, Des paillettes
sur ma robe d'après Music-Hall et
Hollywood de Jean-Luc Lagarce
et De toute(s) pièce(s) d’après
l’œuvre de Georges Feydeau.
Des spectacles nés de montage
de textes, Thomas Gornet se
souvenant de ses années de
formation en montage vidéo.
Par ailleurs, il écrit et joue L’œil
de l’ornithorynque (mise en scène
Sophie Tandel) et joue dans Tout
contre Léo (d’après le roman de
Christophe Honoré et mis en scène par Marie Blondel), deux monologues jeune public.
En tant que comédien et/ou assistant metteur en scène, il a travaillé avec Stéphanie Chévara,
Paul Golub, Silviu Purcarete, Emilie Valantin (Théâtre du Fust), Bertrand Bossard, Alban
Coulaud, Philippe Labonne, la compagnie Les Brigands, David Gauchard, Jorge Lavelli, Didier
Bezace et Johanny Bert.
Il a écrit pour la scène - Gavage une courte pièce pour deux actrices d'après les vies de Romy
Schneider et Grace Kelly - Motus et bouche cousue, écrite dans le cadre de rencontres avec
des habitants d'une cité de Gentilly (94) en rénovation - L'oeil de l'ornithorynque, monologue
pour le jeune public (spectacle actuellement en tournée) - Looking for Guillaume commande du
musée de Normandie et du Toutito Teatro autour de la vie de Guillaume le Conquérant.
Il est maintenant auteur jeunesse pour L’Ecole des Loisirs et Le Rouergue.
Il a publié Qui suis-je ?, roman pour adolescents, dans la collection Medium (2006), Je n’ai plus
dix ans (2008) et L'amour me fuit (2010), romans pour la jeunesse, dans la collection Neuf de
L’Ecole des loisirs. Mercredi c'est sport (2011), collection ZIg Zag au Rouergue.
Guillaume Cantillon
Comédien
Il fait partie de la promotion 94-97 de l’ERAC (Cannes) où il travaille notamment avec Pascal
Rambert, Catherine Marnas, Christian Rist, Simone Amouyal et Alain Maratrat.
Il a notamment joué dans :
Les nègres de Genet, La tragédie optimiste de Vichnevsky, Le juif de Malte de Marlowe, mises
en scène Bernard Sobel.
La surprise de l’amour de Marivaux, mise en scène de Christian Rist.
La nuit d’après Hervé Guibert et Samuel Beckett, La princesse blanche de Rainer Maria Rilke,
Premier village de Vincent Guédon, Ultimatum d’après Pessoa, Wojnarowitcz et Kermann,
Edouard II de Marlowe et Hercule/Oedipe les exilés de Thèbes de Sénèque, mises en scène
Cédric Gourmelon.
Talking Heads de Allan Bennet, Hamlet, Richard III et Le songe d’une nuit d’été de
Shakespeare, mises en scène David Gauchard.
Il crée la Cie Hi-Han au sein de laquelle il monte Cabaret Toy d’après l’oeuvre de Daniil Harms
et Pelléas et Mélisande de Maeterlinck.
En 2010, il crée Le cabinet de curiosité et met en scène Dandin Requiem, d’après Molière et
Dies Irae de Leonid Andreiev.
Pour la Cie du Dagor, il joue dans Des paillettes sur ma robe d’après Lagarce, De toute(s)
pièce(s) d’après Feydeau et Tout contre Léo de Christophe Honoré.
Marie Blondel
Comédienne, chorégraphe, metteur en scène
Issue de la classe d’art dramatique du Conservatoire National de Région de Rouen, elle poursuit
également une formation de chant Lyrique. Après moult aventures théâtrales normandes, elle
intègre l’Académie Théâtrale de l’Union, séquence 3 à Limoges en 2001. Elle y travaille avec
Xavier Durringer (Quoi dire de plus du coq ?), Bertrand Bossard (Toute gueule
raisonnable…suscite en moi un sentiment désagréable) et Jacques Lassalle (Ouvrez). Elle
débute en mise en scène en présentant publiquement un travail sur La maison de Bernarda
Alba de Garcia Lorca. En novembre 2003, elle crée la Compagnie Martine fait du théâtre. En
2004, elle met en espace Rendez-vous confidentiel (lectures de textes du Marquis de Sade et
Gilbert Lely). Puis elle crée Un Visa pour l’Amour, spectacle musical, et Née de la dernière pluie,
en direction du jeune public. Elle joue pour la compagnie O’navio-La Marmaille (Flon-Flon et
Musette / Où va l’eau / L’égarée, mises en scène d’Alban Coulaud) et Les Brigands pour
lesquels elle joue, chante, danse et manipule dans Phi-Phi, opérette de Christiné et Willemetz,
mise en scène Johanny Bert.
Pour la Cie du Dagor, elle assiste Sophie Tandel à la mise en scène de L’œil de l’ornithorynque,
est collaboratrice artistique de Thomas Gornet sur Des paillettes sur ma robe et De toute(s)
pièce(s) (dans lequel elle joue également) avant de le mettre en scène dans Tout contre Léo.
Frédéric Rebuffat
Scénographe, costumier, créateur lumière
Frédéric Rebuffat crée des décors et des costumes depuis près de vingt cinq ans. Il est
également créateur lumière depuis une dizaine d’années. Il a travaillé pour le théâtre, l’opéra et
le cinéma avec notamment Stéphane Braunschweig, Roger Planchon, Guillaume Cantillon,
Laurent Delvert, Guy Coutance, Olivier Dahan, Simone Amouyal, Jean Claude Cotillard, Joël
Dragutin, Frédéric Garbe, Sophie Lecarpentier, Patrick Roger, Anne Marion Gallois, Laurent
Stachnick, Ronan Beaupérin...
Pour la Cie du Dagor, il crée les lumières de Tout contre Léo, de Christophe Honoré et travaille
sur Lapin d’après Malika Doray, en tant que scénographe.
Claude Fontaine
Régisseur, créateur lumière
"Je suis né à l’âge de 4 ans, dans un vallon du Perche avec une poule vivante à la main. On fait
ce qu’on peut. La dessus j’ai remonté la pente et suis allé pisser de rire en voyant Jour de Fête
de Jacques Tati. Ensuite on m’a surnommé le P’tit Claude et depuis je fais la guerre à tous les
boutons : les boutons d’uniformes, les boutons de portes toujours closes et les boîtes où on
enferme les boutons... on appelle ça l’acné juvénile y paraît ! Après je suis rentré en prison
pendant deux ans dans une ville de dix mille habitants où j’ai bien compris ce qu’on appelle la
croissance ce qui m’a encore filé des boutons. C’est là que pour en sortir et devenir riche et
célèbre, maman m’a fait faire de la danse ce qui m’a collé à la lumière comme un papillon et m’a
fait briller l’intérieur. Et après ne pas avoir eu brillamment mon Bac, j’ai traversé quand même et
suis arrivé dans le théâtre en autodidacte (j’avais passé mon permis entre-temps). Depuis j’ai
bien regardé des deux côtés du rideau : les ombres sont bien là, mais bienheureux les fêlés
parce que la lumière passe à travers. Et Voilà."
Pour la Cie du Dagor, il assure les régies de De toute(s) pièce(s), Tout contre Léo et crée les
lumières de Lapin.
Lucie Joliot
Régisseuse lumière
Elle étudie à l’école nationale supérieure des arts appliqués Duperré à Paris puis suit une
formation d’art dramatique dirigée par Anne Bourgeois. Elle assiste l’éclairagiste Marie-Hélène
Pinon pendant plusieurs années (Molière de la lumière 2009 pour Le diable rouge mis en scène
par Christophe Lidon) et travaille aussi auprès de la scénographe Lise-Marie Brochen. En
éclairage et en scénographie, elle travaille au théâtre avec les metteurs en scène Damien
Bricoteaux, Claude Bokhobza du Théâtre du mouvement, Jean Benguigui, Olivier Comte, Stella
Serfaty... Ces dernières années, elle collabore à plusieurs spectacles de témoignages,
notamment avec les metteurs en scènes Stella Serfaty et Valérie Alane.
Pour la Cie du Dagor, elle assure la régie de Tout contre Léo.
Frédéric Pickering
Scénographe
Posant son regard sur l’univers du théâtre contemporain jeune public avec, tour à tour, l’œil du
scénographe, du vidéaste, ou du photographe, il réalise pendant dix ans plusieurs
scénographies pour la Cie Commédiamuse : L’appel du pont de Nathalie Papin, Histoire de l’oie
de Michel Marc Bouchard, Les aventures d’Auren, le petit serial killer de Joseph Danan et Ma
famille de Carlos Liscano.
Il mène parallèlement un travail audiovisuel en tant que vidéaste avec plusieurs Cies de danse
contemporaine ; Laps par la Cie Etant donné (Jérôme Ferron, Frédérike Unger), Standpunkt de
la Cie oZe (Célin Dundar), et une conférence dansée par la Cie Marie Laure Agrapart.
Il collabore récemment, toujours en tant que vidéaste, à la dernière création de Roland Shön Ni
Fini Ni Infini.
Il est actuellement responsable de la vidéo au Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique de Paris.
Pour la Cie du Dagor, il réalise la scénographie de Tout contre Léo, de Christophe Honoré.
Julien Bonnet
Collaborateur artistique
Il suit les ateliers de l’École de la Comédie-CDN de Saint-Étienne puis le DEUST formation aux
métiers du théâtre d’Aix-en-Provence. Il intègre ensuite l’Académie théâtrale de l’Union
séquence 2. Il a travaillé avec Les Tempestant (Roméo et Juliette d’après Shakespeare), Franck
Dimeck-la Cie Des Foules du Dedans, (Les noces du pape d’Edward Bond), Paul Golub (Noces
de sang de Garcia Lorca), Filip Forgeau (Phèdre et Hippolyte d’après Racine et Garnier), Karine
Geslin (Le petit poucet d’après Perrault), Benjamin Bodi (Queue, fusée, pierre tombale
d’Armando Llamas / Le moine d’après Artaud), Cécile Fraisse-Cie Nagananda (A tous ceux qui
de Noëlle Renaude / Le voyage de Jason de David Léon), Nadège Taravellier (Calme-toi
Platonov ! d’après Tchekhov), Gilbert Rault- Cie Commediamuse (Histoire de l’oie de MichelMarc Bouchard / Auren, le petit serial-killer de Joseph Danan / Ma famille de Carlos Liscano),
Martine fait du théâtre (Un Visa pour l’Amour), Nathalie Garraud-Du Zieu Dans Les Bleus (Les
Européens de Howard Barker / Atelier 3 (projet franco-libano-palestinien) / Ismène d’après
Eschyle et Sophocle / Ursule de Howard Barker / Victoria de Felix Jousserand / C’est bien, c’est
mal (de l’adolescence) ), Toutito Teatro (Obo).
Il a joué dans "Drugstore", court-métrage de Sébastien Laffont (1998), "Un dernier vers", courtmétrage de Bérénice André (2005), "Lundi, neuf heures", court-métrage de Renaud Guillemet
(2006), le téléfilm "Un goût de sel" d’Hélène Marini (2002), le long-métrage "Pauline et
François" de Renaud Fely (2010).
Il a suivi des stages de clown avec Delphine Eliet, Meriem Menant et Josée Shuller / Sylvie
Bitterlin et Thierry Heynderickx / Hami Attab et Lory Leshin, de biomécanique avec Gennadi
Bogdanov, de jeu face caméra avec Lyèce Boukitine et sur l’écriture contemporaine avec
François Rancillac et Anne-Laure Liégeois.
Pour la Cie du Dagor, il joue dans Zilou parle de Patrick Lerch, Des paillettes sur ma robe
d’après Jean-Luc Lagarce, De toute(s) pièce(s) d’après Feydeau et met en scène Le nez dans
la serrure.
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