N°7
egards
Mars 2014
CENTRE HOSPITALIER DE SARREGUEMINES
CENTRE HOSPITALIER SPÉCIALISÉ DE SARREGUEMINES
JOURNAL D’INFORMATION INTERNE
L’équipe soignante de l’Hospitalisation à Domicile
Editorial A la une
A LA UNE A LA RENCONTRE DE
ÇA SE PASSE ICI QUALITE - SECURITE
REPERE
ACTUALITES DU PERSONNEL
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Ouverture du service
d’HAD
La Structure de
Coordination des Soins
L’informatisation du
dossier patient
La certifi cation Le DPC Fêtes de fi n d’année
Sécurité des patients
Jean-Claude KNEIB,
Directeur des Hôpitaux de Sarreguemines
J’ai le plaisir de vous faire découvrir le numéro 7
de « Regards », avec toute la richesse et
la diversité des sujets qui y sont traités. Nos
hôpitaux vivent et se développent à bon rythme.
Le dénominateur commun de tout ce qui est
entrepris est la recherche de la satisfaction de
l’intérêt général et c’est là notre force collective.
Un hôpital qui fonctionne et évolue bien reçoit
la reconnaissance des patients qu’il soigne
et permet à ses personnels d’entretenir leur
motivation et leur sentiment d’utilité sociale. Avec
une activité médicale en constante augmentation,
nous ne devons pas perdre de vue que notre
principale obligation est de délivrer des soins et
des prestations de la meilleure qualité possible.
Les résultats de la certi cation par la Haute
Autorité de Santé sont là pour le rappeler. Nos
progrès sont réels et nous encouragent à encore
nous améliorer. Aujourd’hui, la qualité n’est plus
perçue comme un gadget ou une contrainte mais
comme l’aspiration de chaque professionnel à
valoriser son travail au béné ce des patients
et de l’hôpital. Un hôpital qui va de l’avant
doit s’adapter en permanence et proposer
des nouvelles organisations et des nouveaux
modes de prise en charge. Il en est ainsi de
l’ouverture, depuis quelques semaines, du service
d’hospitalisation à domicile qui est l’un des grands
enjeux de notre offre de soins, avec la chirurgie
ambulatoire et l’hospitalisation de jour. Bien que
tous les articles méritent une lecture attentive,
celui consacré à la « Structure de Coordination
des Soins » du CHS explique de manière très
détaillée le fonctionnement et le rôle de cette
« tour de contrôle » : je vous invite à en prendre
connaissance.
Je vous remercie pour votre intérêt dèle à la
lecture de « Regards » et vous donne rendez-vous
pour le prochain numéro qui paraîtra en juillet.
Suite à l’autorisation d’activité
accordée par l’Agence Régionale
de Santé, le service d’Hospitalisation
à Domicile du Centre Hospitalier
Général a débuté son activité le 4
Novembre 2013.
Les patients pris en charge dans
le cadre de cette nouvelle activité
du Pôle de Médecine Polyvalente
béné cient d’une hospitalisation à
part entière, tout en restant à leur
domicile ou dans leur EHPAD. En effet,
en l’absence d’un tel service, ces
mêmes patients seraient hospitalisés
en établissement de santé.
L’orientation du patient en HAD
peut être à l’initiative d’un médecin
hospitalier ou du médecin traitant.
L’accord de ce dernier, étant
obligatoire, il est donc toujours
sollicité ainsi que celui du patient.
Le médecin traitant, pendant le
séjour de son patient en HAD,
prend la responsabilité médicale
des prescriptions médicamenteuses
et des soins, conjointement, le cas
échéant, avec des médecins d’autres
spécialités. Cette formule de soins
nécessite un important travail de
coopération entre tous les intervenants
(dont les professionnels de santé
libéraux) permettant de garantir
une continuité de la prise en charge
par une équipe pluridisciplinaire,
coordonnée et médicalisée, dans
le respect de tous les impératifs de
qualité et de sécurité auxquels sont
soumis les établissements de santé.
Le rôle du médecin coordonnateur est
donc fondamental; il est assuré par
le Dr Ali PEZESHKNIA, avec l’aide de
l’in rmier coordonnateur, Christian
DOURSON, et l’ensemble de
l’équipe présente à ce jour : Michael
FREYERMUTH, Natacha WSZOLEK,
Julie WENDLING et Aline MAYEUR.
Le Dr Vincent SANCHEZ, Chef de
Pôle, Mesdames Laurence BOLARDI,
Cadre Supérieur de Santé et
Dorothée CZARNECKI, Directeur
des Soins à l’hôpital de Bitche, en
assurent la supervision.
Le service d’hospitalisation à domicile
est sur les rails
Regards N°072
A la rencontre de
La Structure de Coordination des Soins du centre hospitalier spécialisé
LA SCS est une structure transversale qui assure, 24h/24, de
multiples missions et coordonne un certain nombre d’activités.
Globalement, elle est en charge de gérer et d’anticiper des
situations d’urgence, an d’assurer la sécurité de tous et d’apporter
une réponse rapide aux différentes problématiques ponctuelles.
Elle a été créee en juin 2006 et trouve son origine dans la fusion
du Bureau du Service Inrmier (qui date des années 1990 pour
la gestion des unités de secteur et PHA) et des Loges UMD où
se trouvait, en permanence, un cadre de santé dédié. Aujourd’hui,
placée sous la responsabilité directe d’un Cadre Supérieur de
Santé, elle fonctionne avec 2 cadres de santé par poste. Elle est
localisée entre les 2 enceintes UMD, ce qui facilite sa mission de
contrôle des autorisations d’entrée et de sortie des unités de soins
pour malades difciles (admissions, sorties, visites aux patients,
clients pour l’ergothérapie, interventions d’équipes techniques …)
Les objectifs de ce service sont :
Contribuer à des soins de qualité
Participer au management et à la gestion des ressources humaines
Veiller à la sécurité des patients et des personnels
Apporter son expérience et participer à la démarche qualité au CHS
LES MISSIONS DE LA SCS
Gestion du personnel
En l’absence du cadre de l’unité, an de garantir un effectif
minimum de soins et de sécurité, la SCS est chargée d’organiser le
remplacement du personnel manquant. Par ailleurs, elle organise,
avec les cadres des unités (et notamment en UMD), le tableau de
surveillance des patients placés sous la responsabilité du CHS et
transférés vers des établissements de soins généraux.
Elle est également en charge de l’élaboration des plannings des
agents de sécurité et des agents d’accueil des loges UMD.
Enn, elle gère les autorisations d’absence anticipée du personnel.
Concernant les stagiaires, elle participe à la planication des
lieux de stages des étudiants en soins inrmiers et aide-soignants.
Gestion des soins
Lors des admissions, la SCS oriente les patients en fonction des
critères de sectorisation et des disponibilités en lits sur le CHS.
A la demande des médecins, elle assure de manière sécuritaire,
la mutation d’un patient en crise, vers une unité disposant d’une
chambre de soins intensifs.
En l’absence du cadre de l’unité, elle organise les consultations
extérieures et les hospitalisations (particulièrement en UMD).
La coordination participe à l’organisation des transferts de
détenus de la maison d’arrêt de Sarreguemines vers l’hôpital,
notamment vers l’USIP.
Les week-ends et les jours fériés, elle met à disposition des PH
de garde, la liste des patients en isolement strict, ainsi que celle
des patients nécessitant la rédaction d’un certicat médical dans
le cadre des soins sous contrainte. Si nécessaire, elle contacte le
médecin de garde au CH Pax pour l’examen somatique.
En cas de fugue ou de réintégration, elle coordonne les actions
nécessaires à la recherche, au signalement et, éventuellement, à
la réintégration du patient.
Sur le terrain, la SCS intervient en cas de situations de détresse
vitale avec, si nécessaire, la mise en œuvre du DSA (débrillateur
semi-automatique) en complément d’une RCP déjà démarrée
par les soignants du service. La nuit, elle peut être amenée à
participer aux soins, en l’absence d’inrmiers dans un lieu de vie.
De manière générale, en dehors des heures d’ouverture de la
pharmacie du CHS, elle participe au management du circuit des
médicaments, selon un protocole établi, et s’occupe de la mise à
disposition sur prescription, de produits de substitution.
Gestion administrative
En collaboration avec la garde administrative, elle vérie la validité
et la régularité des documents d’admission pour les personnes en
soins sous contrainte, admises en dehors des heures d’ouverture des
bureaux. En lien avec le bureau des admissions, elle programme
et organise le passage des patients hospitalisés, devant le juge
des libertés et de la détention, en tenant compte des contraintes
sécuritaires, notamment pour les patients hospitalisés en UMD.
A l’issue des audiences, les cadres de la coordination réceptionnent
les ordonnances du juge et se chargent de les transmettre au bureau
des admissions. En cas de mainlevée d’hospitalisation, après 17h,
elle en informe les gardes administrative et médicale et faxe le
document à l’astreinte ARS, ainsi qu’au procureur de la république.
Le week-end ou après 17h, en cas d’événement particulièrement
grave, la SCS contacte les personnels médicaux et administratifs
pour application des procédures respectives. Il en est de même
pour un événement sanitaire particulier.
Gestion du matériel et des systèmes de sécurité
La SCS gère un stock de matériel, en assure le suivi et le bon
fonctionnement (matelas anti-escarres, aspirateurs à mucosités,
oxymètres de pouls…). Elle tient ce matériel à la disposition des
équipes qui en formulent la demande.
Avec l’hygiéniste, elle est relais de la matério vigilance au CHS et
traite les messages de l’ANSM et de l’ARS dont elle est destinataire.
Dans le domaine de la sécurité, son rôle est multiple : il va de
la gestion des trousseaux de clefs qui lui sont conés à celle du
tableau de réservation et d’entretien des minibus (prévus pour
les sorties thérapeutiques) en passant par la gestion des alarmes
reliées à la SCS. Ces alarmes internes (intrusion pharmacie
centrale, cafétéria…) ou externes (intrusion CAST, CMP...) sont
traitées selon les procédures en vigueur. L’alarme incendie qui est
également reliée à la SCS renvoie à des consignes très précises.
Gestion des alarmes et des urgences
La notion de sécurité est fondamentale pour les cadres de la
SCS ; ils se déplacent avec l’équipe de sécurité dans les unités
dès le déclenchement d’une alarme PTI (ou prise Jack en
UMD). De manière plus générale, ils se déplacent dès qu’ils ont
connaissance d’une situation délicate où la sécurité des patients
ou du personnel pourrait être menacée.
Collaboration avec les équipes soignantes de l’hôpital R-PAX
Dans le cadre de cette collaboration, la SCS est amenée à
intervenir régulièrement, avec l’équipe de sécurité, au service des
urgences en présence d’usagers agressifs ou menaçants. Cette
intervention est prévue en première intention, en attendant l’arrivée
des forces de l’ordre. Ces interventions concernent principalement
le service des urgences mais peuvent également intéresser d’autres
services. Cette collaboration s’étend également aux fugues de
personnes vulnérables hospitalisées au PAX.
Au l du temps, un réel partenariat s’est instauré entre l’équipe des
inrmiers psychiatriques des urgences, la SCS et l’équipe de sécurité.
De fait, la prise en charge du patient en est souvent facilitée.
Lieu de convergence de demandes diverses et variées, la SCS
s’efforce au quotidien d’y répondre de manière rapide et
efcace, son objectif premier étant de participer à une prise en
charge de qualité 24h/24. Elle travaille en collaboration avec
tous les services de l’hôpital (soignants, administratifs, techniques,
logistiques…) et a de nombreux contacts avec l’extérieur (autres
hôpitaux, centre 15, forces de l’ordre, JLD, IFSI…) sans perdre
de vue que ce travail en partenariat repose sur des relations
professionnelles cordiales et respectueuses.
Repère
Regards N°07 3
Vers la dématérialisation
totale des ux comptables
Le dossier patient informatisé au Centre Hospitalier de Sarreguemines
Le projet du Dossier Patient Informatisé, déployé au Centre
Hospitalier de Sarreguemines, est conduit, sous la responsabilité
du Directeur, par le groupe projet appelé GP-DMI (Groupe
projet Dossier Médical Informatisé). Ce groupe est composé
du Docteur Vincent SANCHEZ, Madame Yvette WEISS cadre
de santé, Madame Isabelle RAYNAUD inrmière, Madame
Ludivine GRUN et Monsieur Sélim HAOUCHINE informaticiens.
Le GP-DMI exécute les directives du Copil informatique
siègent la Direction, la présidente de CME, le médecin du
DIM, les ingénieurs informatiques, l’ingénieur biomédical et
des médecins représentants les services d’hospitalisation
et médico-techniques. Le COPIL informatique dénit les
orientations de tous les projets informatiques relatifs au
dossier du patient (dossier d’hospitalisation, de consultation,
d’imagerie, de biologie, …) et contrôle leur mise en œuvre.
Une autre instance intervient dans le cadre de ce projet : le
Copil D2i pour ce qui concerne le Dossier Inrmier. Celui-
ci est composé des 2 directeurs de soins (Sarreguemines et
Bitche), du directeur des systèmes d’information et de cadres
de santé. Sa mission est de dénir les orientations du dossier
inrmier informatisé et de prendre des décisions relatives
aux impacts organisationnels liés à cette l’informatisation.
La conduite du projet Dossier Patient Informatisé est donc bien
structurée et en lien avec la politique Qualité de l’établissement.
Le dossier patient informatisé représente aujourd’hui pour
tous les services de médecine, des prescriptions de traitements
sécurisées avec validation du pharmacien, des prescriptions de
soins et de demandes de biologie, la consultation directe des
images radiologiques et de ses comptes rendus, la consultation
directe des résultats de biologie, la consultation des feuilles
de surveillances du patient et l’édition d’ordonnances et de
courriers provisoires de sortie.
Au niveau des services d’urgence adultes et pédiatriques du CH
Robert-PAX et des Consultations de Soins Non Programmés du
CH Saint-Joseph, le dossier du patient est totalement informatisé.
Enn, toutes les unités de soins bénécient d’un accès direct
aux antériorités médicales du patient pris en charge, pour
ce qui est des comptes rendus d’examen et d’interventions
chirurgicales, des courriers de sortie d’hospitalisation et de
consultation, des certicats et attestations établis depuis 7
années.
Les logiciels qui alimentent le dossier du patient sont PASTEL
pour la gestion de l’identité et la création du dossier, CORPUS
pour la gestion du contenu médical et paramédical, TELEMIS
pour l’accès aux images et comptes rendus radiologiques, et
le SRI pour l’accès aux résultats biologiques.
Les codes d’accès sont gérés par le service informatique.
Les guides d’utilisation peuvent être consultés sur APTA, la
bibliothèque en ligne.
Les projets dénis pour 2014 sont en premier, l’abandon de
la version 4D de Corpus aux urgences adultes PAX et Bitche,
pour migrer vers la version Web. Ainsi, il ne sera utilisé au
niveau des unités de soins, plus que la version Corpus Web.
Les secrétaires médicales continueront à utiliser la version 4D.
Viendra ensuite la poursuite du déploiement des prescriptions
médicales (Pédiatrie, Hôpital de jour, Chirurgies, …) et
des pancartes (feuilles de surveillances) ainsi que des
prescriptions inrmières de soins.
En parallèle, il sera mis en œuvre les demandes connectées
d’imagerie et d’examens biologiques, via le logiciel Corpus Web.
Enn, une réexion sera enclenchée relative aux observations
des professionnels de santé. Pour certains professionnels
(diététiciennes, psychologues), cela est déjà le cas mais il
reste encore les transmissions ciblées inrmières, l’examen
clinique d’entrée, la gestion des antécédents médicaux …
L’aboutissement de ce projet d’informatisation du Dossier
Patient permettra de répondre aux exigences des directives
« Hôpital numérique » et, par là, participera à la sécurisation
de la prise en charge des usagers.
Le comité de pilotage des conventions de services comptables et
nanciers des hôpitaux de Sarreguemines, signées le 3 février
2011 s’est réuni le 18 décembre dernier, sous la co-présidence de
Jean-Claude KNEIB, directeur des hôpitaux, et Bernard RICHTER,
responsable du pôle gestion publique à la Direction Régionale
des Finances Publiques de Lorraine.
Outre le bilan 2013 des 2 conventions, cette rencontre a été
l’occasion de signer une convention de contrôle allégé en
partenariat, sur la chaîne des dépenses de pharmacie, après
celle des frais de déplacement mise en place à l’automne 2013.
Le dé de 2014 sera le passage à la dématérialisation de
l’ensemble des documents comptables, domaine dans lequel le
secteur hospitalier est aujourd’hui encore sous-représenté.
Yvette Weiss
Regards N°074
ça se passe ici
Un esprit sain dans un corps sain ou…. Comment entretenir sa forme
au travail !
Tous les mardis et jeudis, depuis plus d’un an, un petit groupe
de professionnels passionnés du CHS et de l’Hôpital Robert-
PAX se retrouve au gymnase du CHS pour participer à des
séances de renforcement musculaire : fessiers - abdominaux
- cuisses (FAC pour les initiés !), épaules - bras - taille…..
Ces séances se déroulent sur une demi-heure pendant la
pause déjeuner et sont encadrées bénévolement par Christine
Rubeck qui tient compte, consciencieusement et patiemment, du
niveau de chacun.
Pendant la période estivale, les « sportifs » quittent la salle
pour une marche le long du canal.
Chacun reprend ensuite son travail, er de l’effort fourni et
d’attaque pour l’après-midi au travail.
Nous avons de la chance : l’établissement met à notre
disposition pour cette activité, un grand gymnase !
Venez nombreux, vous êtes tous les bienvenu(e)s !
Des conférences-débat au centre social
Le Comité de Lutte contre la Douleur et les Symptômes
(CLUD-S) du Centre Hospitalier de Sarreguemines, sous la
Présidence du Dr Gérard TORLOTING et la Co-présidence
de Madame Nadine ALBERTUS, cadre supérieur de santé, a
organisé le 2 octobre 2013 une Conférence-Débat sur le thème
« Loi Léonetti, euthanasie et douleur » avec l’intervention du
Dr Jean-François VILLARD responsable de l’Unité de Soins
Palliatifs de l’Hôpital de Hayange et de M. Denis LEDOGAR,
aumônier de l’Hôpital de Hautepierre du CHU de Strasbourg.
A cette occasion, le Dr Alexandra JUNG, Présidente de CME
et du CLUD-S de l’Hôpital Saint-Joseph de Sarralbe, le Dr
Sylvane LYASSE, présidente du CLUD-S du CHS et Mme
Nadine ALBERTUS, ont présenté les activités des CLUD-S. M.
Didier FABING, président du Comité d’Ethique du CHS et Mme
Sabine MEYER, cadre de santé, ont exposé les activités des
Comités d’Ethique.
Au cours du débat très riche qui s’en est suivi, le public venu
nombreux au Centre Social du CHS, a été très marqué par
l’expérience du Dr VILLARD et par la générosité et la sensibilité
de M. LEDOGAR, auteur de nombreux ouvrages et articles sur
le sujet traité.
Une Conférence-Débat « Prescription Médicamenteuse chez
le Sujet Agé » s’est tenue le 24 octobre 2013 au Centre
Social du CHS de Sarreguemines à l’initiative des chefs de
projet, qui ont travaillé sur ce thème : Dr Samuel PEZZOLO, Dr
Valentina MATEI et Dr Sylvane LYASSE, Praticiens Hospitaliers,
psychiatres.
Les interventions, coordonnées par le Dr Vincent SANCHEZ,
Praticien Hospitalier, Gériatre, chef du pôle Médecine
Polyvalente à Orientation Gériatrique du Centre Hospitalier
de Sarreguemines et médecin responsable des unités USLD et
EHPAD du CHS, avaient pour thème « Qu’est-ce que la personne
âgée ? » (Dr Valentina MATEI, Dr SANCHEZ), « Particularités de
la prescription médicamenteuse chez le sujet âgé » (Dr Agnès
FISCHER Praticien Hospitalier, pharmacienne, Dr SANCHEZ,
Dr MATEI) « Rôle inrmier et prescription médicamenteuse »
(Mme Myriam FREYERMUTH Cadre de Santé).
Véritable enjeu de santé publique chez la personne âgée, ce
thème a passionné les médecins et les soignants des Hôpitaux
de Sarreguemines, mais aussi ceux des établissements de santé
voisins qui se sont mobilisés nombreux, soucieux d’approfondir
leurs connaissances.
Regards N°07 5
ça se passe ici
Journée sécurité des patients
En novembre 2013, la troisième édition de la semaine de la
sécurité des soins apportée aux patients, était lancée par le
ministère de la santé.
Comme l’année précédente, la Cellule Qualité et Gestion
des Risques s’est inscrite dans ce projet en organisant, le
26 novembre 2013, une journée d’information et d’échanges
dans ses locaux.
3 thèmes étaient à l’honneur :
• Bien utiliser le médicament : avec l’intervention du
Docteur BURES, pharmacien.
• Communiquer et apprendre de ses erreurs : thème qui
a donné l’occasion de présenter les « CREX » (Comité
de Retour d’EXpérience), les IPAQSS (Indicateurs Pour
l’Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins),
l’identito vigilance ainsi que d’autres sujets d’actualité
touchant la sécurité des soins (Sophie WEINSTEIN et
Sabine MEYER)
• Préparer la sortie des patients : thème pour lequel
sont intervenues : Mme A. DALMAS, Inrmière au CMP
(missions et rôle de l’équipe mobile de psychiatrie dans
la sortie du patient hospitalisé en situation de précarité),
Mme A. STOCKY, inrmière et Mme P. SCHAER LALLIER,
Cadre de santé aux Glycines (Dynamique de l’autonomie
sociale à la sortie du patient).
Merci à tous les participants !
Près de 1200 personnes, dont plus de 610 enfants, ont assisté
cette année au traditionnel spectacle de l’Arbre de Noël. Le
magicien Allan Hart s’est chargé d’amuser enfants et parents,
lors des trois représentations à l’Hôtel de Ville, grâce à son
spectacle d’illusion avec ses oiseaux. A l’issue du spectacle, les
petits ont pu rencontrer le Père Noël et lui coner leur liste de
cadeaux.
Les fêtes de n d’année ont également été l’occasion de divertir
patients et personnel des établissements lors de nombreuses
manifestations organisés dans les unités de soins.
Les festivités ont débuté n novembre au CHS avec le traditionnel
marché de Noël organisé par le Club Psychothérapique et le
Pôle de Réadaptation Psychosociale. Ce marché, qui expose
et propose à la vente les créations des patients, a acquis
au l des années une solide réputation et attire désormais
de nombreux et dèles visiteurs. Cette notoriété a d’ailleurs
permis de proposer, pour la première fois, un mini-marché de
Noël dans le hall de l’hôpital Robert-PAX, pendant deux jours.
A l’Hôpital Saint-Joseph de Bitche, c’est le marché de
Noël organisé par l’association “ Visite des Malades en
Etablissements Hospitaliers”qui s’est tenu durant 4 après-midis
au mois de décembre.
De nombreux concerts ont également été donnés, notamment
celui de la Chorale du Parc aux pavillons des Myosotis et des
Genêts, puis celui des élèves du conservatoire de musique pour
les services de Polyhandicapés adultes et, le 19 décembre, le
concert de Noël à la Chapelle du CHS où patients et bénévoles
ont mis leurs talents à contribution pour enchanter toutes les
personnes présentes et chanter avec elles.
Saint-Nicolas et le Père-Noël ont rendu visite, comme chaque
année, aux enfants hospitalisés en pédiatrie pour leur remettre
quelques friandises.
Enn, les festivités se sont achevées par la traditionnelle
Crèche vivante, mise en scène par le personnel des Espaces
Verts, à la ferme du CHS. Les pensionnaires de la maison
de retraite du Blauberg sont venus chanter à cette occasion,
puis patients et personnel de l’Hôpital se sont relayés an
d’admirer le tableau vivant et de partager une boisson et une
collation. Depuis une dizaine d’années, les visiteurs peuvent
rencontrer, pendant 3 jours, les personnages de la Crèche et
leurs animaux ; un événement devenu incontournable.
La crèche vivante au CHS
L’Arbre de Noël Le marché de Noël du CHS Le marché de Noël à l’Hôpital Robert-PAX
Une n d’année riche en animation !
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