Elena Perekhvalskaya
DICTIONNAIRE MWAN-FRANÇAIS
www.mandesud.net.
Avant-propos
1. Information générale
La langue mwan (mona) appartient au groupe mandé-sud de la famille linguistique mandé. Selon
l'Ethnologue-14, en 1993 le mwan était parlé par plus de 17’000 personnes dans la sous-préfecture Kongasso. On
peut supposer qu’actuellement ce chiffre a augmenté.
Les données pour ce Dictionnaire ont été recueillies au cours de nos séjours à Abidjan (Côte d'Ivoire) en
octobre-novembre 2003 et en janvier-février 2004 et 2005. Nous tenons à remercier nos collaborateurs mwan,
Antoine Yegbé1, Moïse Yegbé et Amos Gogbé, de leur aide précieuse sans laquelle le présent Dictionnaire
n’aurait pas vu le jour.
Nous exprimons également nos remerciements au Fonds National Suisse qui a financé le projet dans le
cadre duquel nos recherches se sont effectuées (SUBJ 062156.00), et aussi la branche ivoirienne de la Société
Internationale de Linguistique, en particulier Mme Margrit Bolli.
2. Organisation du Dictionnaire
2.1. Alphabet. Dans le Dictionnaire, on emploie l’alphabet officiel de la langue mwan. Cet alphabet a été
créé par la Société Internationale de Linguistique (SIL)2, il est utilisé dans les publications mwan, et surtout dans
la traduction de la Bible:
a aa b bh c d e ee ôôô f g gb gw i ii j k kp kw l m n À o oo ñññ p r s t u uu v w y z
2.2. Nasalisation. En mwan la nasalisation est un trait pertinent de la syllabe entière, c’est-à-dire dans une
syllabe nasalisée, les voyelles et les consonnes doivent être nasalisées ; à l’écrit, la nasalisation n’est marquée
dans la syllabe qu’une seule fois – en utilisant
m
ou
l
:an [aË], ÿÿn [ÿËÿË], mlÿ [mlÿË], -nÿ [nÿËÐ]3etc.
2.3. Désignation des tons
La langue mwan compte trois tons phonologiques de base : haut, moyen et bas. En outre le ton tombant qui
est supplémentaire. Le ton haut est indiqué par le signe d'apostrophe préfixé au mot, le ton bas par le signe de
trait d'union, le ton descendant par le signe égal. L'absence de marque tonale désigne le ton moyen.
La notation des tons sur les mots dissyllabiques suit les règles suivantes :
– si les deux voyelles ont le même ton, on marque seulement le ton de la première voyelle: ‘kýý [kýÉýÉ]
main’, bie [biæeÞ] ‘éléphant’ ;
– si la première voyelle du mot a le ton bas et la deuxième a le ton haut ou moyen, le trait d'union est
préfixé au mot pour le ton bas et l'apostrophe lui est suffixé, ce qui désigne « un ton plus élevé » : -gbaan’
[gbaËÐaËÖ] ‘chien’, -yima’ [yi°maÉ] ‘comprendre’.
Si le ton de la première voyelle est moyen et le ton de la deuxième voyelle est haut, on marque seulement le
ton de la deuxième voyelle comme « plus haut » par l'apostrophe: kýnÿ’ [kýÞnÿÉ] ‘bestiole’. Si le ton de la
deuxième voyelle est bas, il est marqué par le trait d’union après le mot: nina- [niænaØ] ‘revenir’.
Le ton haut de la première voyelle est noté par l'apostrophe devant le mot, le ton « plus bas » (moyen ou
bas) de la deuxième voyelle est marqué par le trait d'union après le mot: ‘nua- [nuÉaØ] ‘frère, soeur’; ‘pubý-
[puÉbýÞ] ‘saluer’.
Si le ton de la première syllabe est moyen, aucune marque tonale n'est préfixée ; l'apostrophe suffixée au
mot désigne le ton haut, et le trait d'union désigne le ton bas.
Dans les mots trisyllabiques seuls les tons des syllabes initiales et finales sont marqués selon les mêmes
principes que les tons des mots dissyllabiques.4
1Le mémoire sur la grammaire mwan d’Antoine Yegbé aussi bien que ses matériaux lexicaux nous ont aidé
dans nos recherches.
2 L’orthographe du mwan, Abidjan, 2000.
3 Dans la version de l'orthographe utilisé par M. Bolli et E. Flik [1978], les variantes [m] et [§] du même
phonème sont toujours écrites comme bh.
4 Dans la pratique de la notation des tons par les locuteurs du mwan ce principe est souvent violé : assez souvent
l’absence de la marque tonale après la syllabe finale d'un mot dissyllabique signifie que cette syllabe a le ton
moyen.
2.4. Transcription et règles de lecture
La transcription phonétique des mots est employée dans tous les cas.
2.4.1. Les signes de transcription et leur correspondances alphabétiques (du son à la lettre).
Signe Remarques Alphabet Exemple
Voyelles
[`]
`
ca [caÞ] dette
[]voyelle ouverte antérieure
‘fÿ Ze⁄§\maison
[d]
d
xd Zxd\voir
[h]
h
,xhZxhé\eau
[ÿ]voyelle ouverte postérieure
ÿ
,fÿ Zfÿ\chimpanzé
[n]
n
jnn Zjnn\dos
[t]
t
ct Zct\ buffle
[]l``Zl`±±\poulet
[],m⁄ Zm´\ enfant
[h],fahmZfahé\chasser
[ÿ¨]Âsqÿm Zsqÿ¨º\oreille
[]
voyelles nasales
Cf. 2.2
(Nasalisation
)
jtm Zjt¶ú\attraper
[]sonant vélaire nasal
‘÷ Z“ §\moi
Consonnes sonantes et implosives («faibles»)
[Ü.l]consonne implosive bilabiale / sonante
nasale
ZÜ \
ag
Zl \ „
l
agkdZÜkd\manger
lk⁄Zlk⁄¶±\serpent
[Å.k.q.m]consonne implosive alveolaire /
sonante nasale / sonante vibrante
ZÅ .k\„
k
Zq\ „
q
Zm \
m
,kÿZÅÿ\acheter
dri [driæ] boeuf
m⁄⁄ ZmÿËÖÿËÖ] mère
[i.Ú] sonante [x] / sonante nasale [Ú]Zi.Ú\ „
x
-yaa [yaØaØ] igname
x`m ZÚ`ú\finir
[v.] sonante [v] / sonante nasale []Zv .\„
v
wÿ Zv ⁄\sel
,v⁄mZvû⁄¶´⁄¶´\ vin de palmier
Consonnes fortes
[o]
o
Âoÿm Zoÿ¨º\percer
[a]
a
ahdZah¡d\éléphant
[e]
e
ÂekÿZek⁄§\peau
[u]
u
,u⁄ Zu⁄\fromager
[s]
s
Âs⁄m Zs⁄¶è\rouge
[c]
c
cn Zcn\un
[r]
r
,r`` Zr``\natte
[y]
y
yhZyh¡\chemin
[j]
j
jt§mZjtú\attraper
[f]
f
gaan [gaËÖaËÖ] pied
[jo]labio-vélaire bifocale sourde
jo
‘kpee [kpeÉeÉ] ventre
[fa]labio-vélaire bifocale sonore
fa
gbaan [gbaËÖaËÖ] babouin
[jv ]consonne labialisée sourde
jv
kwa [kwaÞ] kaolin
[fv ]consonne labialisée sonore
fv
gwe [gweÞ] ancien
[b]affriquée palatale sourde
b
-can [caËÐ] or
[j] affriquée palatale sonore
i
-jie [jieØ] grand-mère
Toutes les voyelles, sauf [], peuvent être longues, ce qui est marqué par la répétition de la voyelle.
3. Composition du Dictionnaire
L’idée de ce Dictionnaire est d’inclure, en perspective, toutes les couches du vocabulaire de la langue
mwan, y compris les néologismes, les emprunts, les mots de tous les registres stylistiques. Sont exclus du
2
Dictionnaire les occasionalismes, y compris ceux en provenance de langues étrangères (surtout du français) que
les citadins, surtout éduqués, emploient couramment, mais qui ne sont pas encore ancrés dans la langue mwan.
3.1. Les morphèmes grammaticaux sont inclus dans le corpus du Dictionnaire comme des entrées à part, par
exemple :
nÿØ... mrph affixe diminutif (<enfant>): bienÿ- [biæeÞnÿØ] ‘petit éléphant’
’zi [ziá], zii’ [ziæiá]... part … marque du progressif
-a[aØ]... mrph … marque du perfectif: gbiß° – gbiß°aËÐ chasser
Les éléments des mots composés dont le sens peut être établi, même s’ils ne sont pas utilisés séparément
sont également recensés comme des entrées à part, par ex.:
miæ... mrph suffixe d’agent : yeÞwoÞmiæ ‘ouvrier’.
3.2. Information étymologique : elle est donnée entre <…> avant les définitions et les marques de partie
du discours. Pour les mots d’emprunt la forme dans la langue d'origine est donnée (fr. pour le Français, dj pour le
Dioula). Si le sémantisme du mot est modifié, le sens du mot d'origine est également indiqué.
3.3. Formes dérivées
Les formes dérivées sont présentées comme des entrées à part, sauf les formes dérivées dont le sens est
prévisible (autrement dit, celles dont le sémantisme correspond au sémantisme des composantes. Il s’agit surtout
de formes dérivées par les suffixes et les suffixoïdes tels que :
-nÿ – à sens diminutif (de -nÿ ‘enfant’)
le – féminin (des êtres humains ; de le ‘femme’)
da – féminin (des animaux ; de da ‘femelle’)
gwlÿÿn – du sexe masculin (de gwlÿÿn ‘mâle’)
Les formes dérivées avec ces suffixes sont retenues comme des entrées séparées seulement dans les cas où
ces formes ont une fréquence d’emploi très élevée ou un sémantisme décalé.
Pour les mots composés, une traduction française des composantes est donnée.
3.4. Parties de discours (catégories grammaticales)
Si un mot mwan peut être employé dans la fonction des parties du discours différentes, tous ces usages
(«homonymes lexico-grammaticaux») sont donnés sous une seule entrée. La fonction qui peut être considérée
comme la principale pour le mot en question (verbale pour le sens d’une action, nominale pour le sens d’un objet
ou un phénomène, etc.) est donnée en premier.
La liste des parties du discours en mwan (et de certaines catégories d’autres niveaux taxonomiques) est
présentée ci-dessous:
Abréviations pour les parties de discours mwan :
adj – adjectif
adv – adverbe (sauf adv. expressif)
adv.exp – adverbe expressif
art – article
conj – conjonction
dct – déictique
dtm – déterminant
intrj – interjection
mrph – morphème lié
n – nom (substantif)
num – numéral
onomat – onomatopée
part – particule
pm – marque prédicative
postp – postposition
prd – marque prédicative
pron – pronom
v – verbe
3.5. Sémantisme du mot polysémique : (ainsi que des homonymes lexico-grammaticaux) est divisé en
sens, dont chacun est marqué par un chiffre arabe. Un «sens» peut avoir les subdivisions suivantes: marque
d’usage; définition (traduction); commentaires ethnographiques et encyclopédiques; commentaires
grammaticaux; synonymes; unités phraséologiques et phrases plus ou moins figées par l’usage; exemples
d’illustration.
3
3.5.1. Traduction
Les sens des mots polysémiques riches sont présentés, selon l'histoire dérivative, comme une hiérarchie. La
place du sens particulier dans cette hiérarchie est codée par des chiffres arabes avec des points. Les sens
terminologiques sont donnés après des sens généraux. Si une expression placée dans la zone "expressions
idiomatiques" a plus d’un sens, ces expressions sont marquées par des chiffres romains en minuscules avec une
parenthèse: i), ii)...
3.5.2. La polysémie
Les sens d’un mot polysémique sont disposés, conformément à l’histoire de leur dérivation et à leur
proximité sémantique, dans une hiérarchie (marquée par les chiffres arabes suivis de point). Les sens
terminologiques suivent les sens généraux. Si une locution donnée dans la zone «expression idiomatique» a
plusieurs sens, ceux-ci sont indiqués par des chiffres romains en minuscules: i), ii)...
3.6. Verbes
3.6.1. Pour des verbes de la structure CV à tons moyen ou bas (dÿÞ ‘tuer’, gbiß° ‘chasser’, etc.), le type du
paradigme tonal est indiqué: constant (Const) ou mobile (Mob). Les verbes du paradigme constant ne modifient
guère leur ton lexical, mais les verbes du paradigme mobile changent leur ton dans différentes formes aspecto-
temporelles différentes selon le ton du complément d'objet direct, qui est toujours placé devant le verbe.
Parmi les classes des verbes, les classes suivantes sont recensées dans le dictionnaire:
3 – les verbes comportant le suffixe laØ;
4 – les verbes comportant un préverbe.
3.6.2. Les formes irrégulières du Perfectif sont également distingués :
yeÞ Mob, Perf. yaØ … ‘regarder’
3.6.3. Les sous-catégories des verbes (distinguées par rapport à la présence ou l’absence du complément
d’objet direct et la nature de celui-ci) liées dans une « chaîne de dérivation » par les modèles plus ou moins
réguliers de dérivation syntactico-sémantique sont présentées dans le cadre d’un « sens » et séparées par les
chiffres suivis de parenthèses et marquées par des « marques de valence ». Ainsi, dans le cadre d’un «sens» on
peut trouver les sous-catégories suivantes:
vi – verbe intransitif;
vt – verbe transitif (le critère formel de la transitivité est la présence du complément d'objet direct devant le
verbe) ;
vi' et vt' – l’usage intransitif et transitif d'un verbe ambivalent (un verbe dont le sujet reste le même dans les
deux types d'usage, vi et vt).
3.6.3.1. Les autres valences des verbes sont aussi présentées de façon explicite autant que possible : une
postposition mwan est précédée, entre parenthèses, de la préposition française appropriée, par ex. :
peÞ Mob vt ‘… dire’ (à qui – niæ)
Si l’équivalent français a une préposition qui n’est pas mise entre parenthèses, cela veut dire que
l’‘argument introduit par la préposition française correspond au complément d’objet direct en mwan, par ex.:
týkpa 4vt ‘… accuser de’ (qui maÞ)
3.6.4. La présentation des verbes au sémantisme large (qui comptent des dizaines de sens) suit les principes
élaborés par les auteurs de [NERD 1993-1994]. Tous les sens sont classés dans les groupes marqués par les
chiffres romains en majuscules:
I – sens libres
II A – sens lexicalement liés (c’est-à-dire, les sens qu’on ne rencontre que dans des combinaisons
particulières)
II B – sens conditionnés par des constructions syntaxiques particulières
III A – sens « semi-vides »
III B – sens « vides » (le verbe est employé à titre d’auxiliaire ou de demi-auxiliaire).
3.7. Noms (substantifs)
3.7.1. Il y a deux marqueurs pour indiquer les différents types de valence :
rn – « nom relatif », nom qui entre dans un groupe terminatif nominal à titre de son second élément sans
aucune marque possessive (c.-à-d. sans a), par ex.: le gbe «la main de la femme» – cf. «nom libre» le a dunÿ-
«le vêtement de la femme »; indépendamment les rn ne s’emploient pas en mwan.
an – « nom libre » (autosémantique). Dans le Dictionnaire, tout nom qui n’est pas marqué comme rn est a
priori un « nom libre ».
3.7.2. Avec les noms, les particules et les postpositions qui changent leur ton initial selon le ton du mot
4
précédent, on marque le modèle du changement du ton comme suit :
Elv (élevant) – le ton haut après les tons haut ou bas, le ton lexical après le ton moyen :
-lu [luØ] rn 2 … ‘fille’
Abs (abaissant) – le ton tombant après le ton haut, le ton bas après le ton moyen ou bas :
-la [laØ] postp 3 … ‘au-dessus, dans’.5
3.8. Pronoms
3.8.1. Le système pronominal mwan. Le tableau suivant présente des séries pronominales:
Singulier Pluriel
séries éléments
incorporés
1 2 3 1 excl. 1 incl. 2 3
I Subjective de
base
÷É eØ oÉ kýØýÉ kaÉ
I’ Contractée
(+ copule)
÷ÉoÉoØ yoÉoØ yoØoØ woÉoØ kýØýÉ oØ kaÉ oØ woØoØ
III Emphatique miá §iá yeÉeÞ oÉmýÞýÞ kýØýÉ muÞ kaÉ muÞ woÉoÞ muÞ,
woÉoÞ
IV Contrastive
focalisée
miá §iá yeÉ oÉmýÞýÞ kýØýÉ muÞ kaÉ muÞ muÉ
V Impérative kýØýÉ kaØ
VI Négative laÞaÞ aØ naÉaÉ yaÉaÉ yaÞaÞ waÉaÉ kýØýÉ laÉaÉ kaÉ laÉaÉ waÞaÞ
VI’ Négative
contractée
(+ copule)
laÞaÞ oØØ naÉaÉ oØ yaÉoØ yaÞoØ waÉoØ kýØýÉ laÉoØ kaÉ laÉoØ waÞoØ
VI’’ Négative
contractée du
progressif
laÞaÞ oØ aØ naÉaØ yaÉaØ yaÞaØ waÉaØ kýØýÉ laÉaÉ kaÉ laÉaÉ waÞaØ
VII Non-sujette ÷É aØ (aÞ, aÉ) koØoÉ kaÉ
VIII Possesive a˱ yaÉ yaÞaÞ waÉaÞ kýØýÉ aÞ kaÉ aÞ waÞaÞ
Les combinaisons des pronoms sujets avec les pronoms du complément d’objet direct réalisés comme
formes contractées. Il faut reconnaître que parmi ces combinaisons, certaines sont purement hypothétiques («tu –
vous», «nous-deux – nous-pluriel», etc.). Les formes «je – me», «tu – te» ont, en fait, une valeur réfléchie.
Objet direct
Sujet
÷É kýØýÉ kaÉ
÷É ÷É ÷É ÷eÉeÉ a˱ ÷É oÉ ÷É kýØýÉ ÷É kaÉ ÷É oØ
yeÉ÷É yeÉeÉ yaÉ yeÉ oÉ eÉ kýØýÉ eÉ kaÉ yeÉoØ
yeØ÷É yeØeÉ yaØ yoØoÉ eØ kýØýÉ eØ kaÉ yoØoØ
woÉ÷É oÉ eÉ waÉ woÉoÉ oÉ kýØýÉ oÉ kaÉ woÉoØ
kýØýÉ kýØýÉ ÷É, kýØ÷É kýØýÉ eÉ kýØaÉ kýØýÉ oÉ kýØýÉ kýØýÉ kýØýÉ kaÉ kýØýÉ oØ
kaÉ kaÉ ÷É kaÉ eÉ kaÉaÉ kaÉ oÉ kaÉ kýØýÉ kaÉ kaÉ kaÉ oØ
woØ÷É woØ eÉ waØ woØoÉ oØ kýØýÉ oØ kaÉ woØoØ
5 Par exemple, ‘÷ ‘lu [÷É luÉ] « ma fille », mais le -lu [leÞ luØ] « la fille de la femme » ; ‘fÿ =la [fÿÉ laÚ] « dans la
maison », ɧɨ -vÿ -la [vÿØ laØ] « au-dessous d'un fromager ».
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