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Les problèmes de l’agriculture, des paysans
et du développement rural du Vietnam
Par Dao The Tuan
Association pour le développement rural.
Le Vietnam après l’unification du pays en 1975 a rencontré des difficultés dans le
développement. En 1986 on a déclenché la Rénovation, un processus de réformes
économiques pour sortir de la crise. Les réformes les plus importantes sont le retour à
l’économie familiale paysanne après une période d’insuccès de l’économie collective
paysanne et le retour à l’économie de marché après une période de planification centralisée.
La Rénovation a crée un coup de choc dans le développement économique, a aidé le pays de
sortir de la pénurie dans la production agricole, développer l’agriculture marchande et
commencer l’industrialisation.
Mais la Rénovation amène à une forte différenciation de la société, à une augmentation de
l’écart entre la ville et la campagne, provoque l’exode rural excessif et amènerai à l’abandon
de l’agriculture. C’est un développement non durable.
En 2008 la flambée des prix du pétrole et des vivres, crée l’inflation qui selon les
économistes est une inflation importée. La crise économique de 2008 a permis de voir que
notre développement basé sur l’exportation des produits bruts et l’attraction de
l’investissement direct étranger. Les problèmes de l’agriculture des paysans et du
développement rural substantiellement c’est le problème du développement durable.
Problèmes de l’agriculture
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Dans le processus d’industrialisation la part de l’agriculture dans le PIB diminuera
mais le rôle de l’agriculture restera encore important.
Les deux plus grands pays industrialisés comme les Etats unis et la France sont aussi
des puissances agricoles.
Les pays de l’Asie de l‘Est qui ont presque perdu leur agriculture pendant le
processus d’industrialisation ne pourraient être les modèles d’industrialisation pour
notre pays.
L’agriculture est nécessaire pour:
- assurer la sécurité alimentaire
- pour le développement de l’industrie de transformation des produits
agricoles et de l’exportation.
- contribue à la sécurité alimentaire internationale
- éviter dans le futur une subvention pour l’agriculture comme les pays riches
après l’industrialisation.
En 2020 le secteur agricole restera encore important.
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Les pays en développement ont un superflu de la main d’oeuvre agricole trop élevé,
après l’industrialisation devrait soutenir un pourcentage de main d’oeuvre agricole
assez important car la main d’oeuvre augmentée ne serait pas être tout absorbée par
l’industrie et les services.
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Un modèle de prévision de l’organisation Carnegie pour la Chine a montré qu’en 2020
quand la part de l’agriculture serait 4,8 % du PIB, la main d’oeuvre agricole restera
34,6 % et la population rurale - 45 %.
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Pour le Vietnam notre modèle de prévision a montré qu’en 2020 la part de
l’agriculture dans le PIB serait 9,6 %, la main d’oeuvre agricole serait encore de 22,6
à 49% (selon les différents scénario) et la main d’oeuvre rurale - 61,3 à 72,6%.
Gestion de la qualité des produits agricoles
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L’exportation des produits agricoles bruts rapporte une basse valeur ajoutée. La
transformation des produits agricoles développée par les entreprises d’état est de
basse efficacité. Le développement des petites et moyennes entreprises n’est pas
soutenu par l’état. La taille des exploitations trop petite augmente le prix de revient
et a une basse productivité du travail. Le développement des coopératives pour
améliorer l’effet de taille n’est pas encouragé.
La gestion de la qualité par l’élaboration des AOC et des produits sains répondant aux
standards hygiéniques est encore au stade d’expérimentation. Ils manquent des
institutions pour lutter contre la fraude.
Les institutions du marché
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Le système d’agriculture de contrat promulgué par le gouvernement mène au
monopole des entreprises. Les paysans n’ont pas de pouvoir de marchandage sur le
marché. Un système de commerce équitable est nécessaire.
Il faut développer des coopératives intégrant la transformation et le commerce des
produits avec la production.
La production des services aux paysans ne pourrait pas être réalisé par l’état et le
marché, Il faut remettre cette opération aux associations paysannes. Un projet avec
le GRET dans le cadre du projet DIALOGS a démontré l’efficacité de ce système
décentralisé.
La défense contre la perte des terres agricoles
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La défense contre la perte des terres agricoles est la base de l’assurance de la
sécurité alimentaire.
Il faut avoir une base législative plus rigoureuse pour gérer les terres agricoles et
lutter contre la spéculation foncière. L’expérience des pays avancés a montré que
l’exode rural augmente la superficie agricole car la demande de la terre d’habitations
des citadins est plus basse que celle des paysans.
Si on laisse l’exode rural se produire spontanément sans aucune régulation et d’aide
de l’état, le manque de la main d’oeuvre agricole, la féminisation de l’agriculture et le
passage de l’intensification à l’extensification vont détruire tous les résultats du
développement de l’agriculture obtenus durant les 20 années de Rénovation.
La prévision du manque des vivres dans le XXI ème siècle est une opportunité pour
notre pays dans le développement. Il ne faut pas la lâcher.
La science et la technologie nouvelle
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Notre système de recherche n’a pas encore de réponse aux problèmes de la science
et technologie du XXI ème siècle comme sur la biotechnologie, l’agriculture
biologique, le réchauffement de l’atmosphère, le manque de terre agricole dans le
futur et les problèmes de l’environnement.
Les risques climatiques et du marché se multiplient, mais nous n’avons pas encore de
système d’assurance de l’agriculture.
Nous n’avons pas encore une stratégie d’industrialisation de l’agriculture et de
l’espace rural. Dans un contexte de manque de terre agricole et de trop de main
d’oeuvre, de petite taille des exploitations, comment faire pour élever la productivité
agricole.
Problèmes des paysans
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Les paysans étaient des initiateurs de la Rénovation, maintenant reçoivent peu de
bénéfice de ce processus. Les paysans sont très pauvres, et les résultats de la
réduction de la pauvreté ne sont pas liés avec le développement économique, c’est
pourquoi ils ne sont pas durables.
Les paysans sont des citoyens qui bénéficient le moins de la sécurité sociale, surtout
de l’éducation et de la santé. Les assurances contre les désastres naturels et les
risques du marché, la sécurité sociale ne sont pas encore résolues. L’expérience des
différents pays a montré que ces problèmes sociaux ne seront pas résolus par le
marché.
Le sous emploi à la campagne oblige les paysans à venir en ville pour travailler avec
un salaire misérable, et sont considéré comme citoyen de deuxième classe, n’ayant
aucun services de sécurité sociale, pourtant ils sont le moteur de la Rénovation. Ce
processus s’est réalisé d’une manière spontanée, sans aucune projection et d’aide de
l’état, pourtant que c’est un processus déterminant l’industrialisation.
Exode rural: processus déterminant
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L’exode rural était considéré par Marx comme un processus pour créer la réserve de
main d’oeuvre à bon marché pour le développement du capitalisme dans le XIX ème
siècle, et maintenant pour attirer l’investissement direct étranger.
Les chinois aujourd’hui considèrent que la politique de retention de la main d’oeuvre
agricole à la campagne dans le passé était obsolète. L’industrie rurale qui s’était
développée rapidement dans les années 1980, était délaissée dans les années 1990,
car les paysans préfèrent aujourd’hui l’exode rural.
L’exode rural crée des impacts suivants:
- élève la productivité du travail agricole et le revenu des paysans,
- réduit rapidement la pauvreté
- induit l’industrialisation de la campagne, diminuant la disparité ville
campagne,
- complètent la classe ouvrière avec les forces jeunes et de qualité (avec la
formation).
Création des entreprises rurales
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Pour développer l’agriculture commerciale, il ne faut pas détruire l’économie
familiale, mais par le développement des coopératives aider les exploitations
familiales à devenir des fermes familiales. Les coopératives aident les entreprises
familiales à développer la transformation et la commercialisation des produits. La
création des coopératives doit commencer par la formation des groupes coopérative,
comme école de l’action collective.
Les fermes familiales sont des petites entreprises agricoles et ont besoin de l’aide des
programmes de support des petites et moyennes entreprises.
Parallèlement il faut aussi développer les petites entreprises d’industrie (des villages
de métier) et de services (y compris des entreprises commerciales) pour promouvoir
le changement de la structure économique de la campagne.
L’exode rural a besoin des programmes comme les programmes des nouvelles zones
économiques dans le passé pour organiser la migration des paysans des régions très
surpeuplées. Ces programmes seront accompagnés de la formation des ouvriers
selon les besoins des entreprises.
Syndicats paysans
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Les paysans forment une couche sociale la plus faible de la société. Ils ont besoin des
organisations pour défendre leur droit. Dans beaucoup de pays existent des syndicats
paysans. Le premier droit des paysans c’est le droit de marchandage sur le marché,
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Ensuite il y a le droit d’avoir de la terre pour assurer les besoins de la famille, le droit
d’avoir la sécurité sociale...
Suivant les conseils des pays capitalistes, le gouvernement vietnamien a accepté de
libéraliser le marché foncier qui a amené a une spéculation foncière qui amène une
grande perte des terres agricoles les plus fertiles. Cependant même dans les pays
avancés il existe un système de contrôle de la perte des terres agricoles comme le
système des SAFER en France.
Les paysans sont en général très passifs, attendant le support venu de dehors.
Cependant il existe des lieux où les paysans sont très dynamiques, développant des
activités que l’état ne peut pas faire. Nous sommes en train d’étudier le capital social
de ces régions pour propager ce dynamisme paysan à d’autres régions.
Problèmes ruraux
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Dans le développement rural nous avons observé one séparation du développement
économique et du développement social. Le développement de l’agriculture est le
développement économique, tandis que le développement rural est le
développement social. On croit que le développement de l’agriculture amène
l’amélioration du revenu des paysans. Mais dans la réalité on aperçoit que les régions
où l’agriculture est très développée comme le delta du Mékong ou les Hauts plateaux
du centre sont des régions où les problèmes sociaux sont les moins développés.
Le développement économique demande la spécialisation tandis que le
développement rural exige la diversification.
La disparité entre les villes et la campagne
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La disparité entre les villes et la campagne est aussi déterminée par la séparation du
développement économique et du développement social.
Il manque une stratégie de changement de la structure économique de l’espace rural
lié avec le processus d’urbanisation. La projection des villes est conduite par le
ministère de construction, tandis que la projection de l’espace rural est faite par le
ministère d’agriculture. Il n’y pas de coordination de ces deux projections.
Le développement des villes va vers le développement des mégapoles avec une
concentration des infrastructures. Ce modèle augmente la disparité ville campagne,
cause des difficultés au développement de l’agriculture et rural.
Il existe un autre modèle basant sur le développement des villes moyennes avec le
développement rural, qui s’appelle modèle d’urbanisation décentralisé ou Dakota (en
Indonésien: sa = ville, kota = campagne). Ce modèle est appliqué en Chine (province
de Guangdong et de Jiangsu).
L’approche cité région peut résoudre ce problème intégrant les projections villes
campagnes ensemble. Le développement des villes devrait entraîner le
développement rural de la campagne au alentour, qui est une potentialité interne.
L’environnement et la sécurité sociale
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L’environnement de la campagne devient de plus en plus polluer. L’expérience de
plusieurs pays a montré que si on confie la protection de l’environnement à la
communauté locale, la protection de l’environnement deviendra une activité
économique créant l’emploi et le revenu aux paysans.
Le réseau de sécurité sociale et d’assurance sociale peut être développé par la
société civile et non par l’état et le marché.
L’expérience des pays avancés a démontré que le système de sécurité sociale et
d’assurance sociale pour les paysans développé par l’économie sociale est mieux
réussi.
Le développement durable
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1. Le développement durable demande un développement économique de pair avec un
développement social. Il faut lutter contre le néolibéralisme, construire une économie sociale
pour conduire le développement social
2. L’industrialisation ne pourrait pas se baser sur les avantages comparatifs comme la main
d’oeuvre, la terre et l’environnement à bas prix, nécessite une stratégie basée sur la
technologie et les forces intérieures.
3. Il faut réduire la disparité entre les villes et la campagne par une industrialisation et
urbanisation spontanée, basant surtout sur la réduction de l’écart de la productivité du
travail.
4. Il faut conserver la sécurité alimentaire, et l’agriculture marchande, fruit de la Rénovation.
Le développement durable demande :
1. Le développement économique doit être accompagné par le développement social
•
Le développement écologique dans notre pays est très influencé par le
néolibéralisme, promulgué par le Washington consensus, dans le programme
d’ajustement structurel.
•
Ce programme a été en faillite dans plusieurs pays d’Amérique latine et critique par
plusieurs économistes américains.
•
Le développement social devrait être réalisé par one économie sociale que les forums
sociaux mondial veulent promouvoir dans la tendance altermondialiste.
2. Une stratégie d’industrialisation: basée plus sur les forces intérieures, les nouvelles
technologies et le développement rural
•
Notre industrialisation est en train de se baser sur la main d’oeuvre, la terre et
l’environnent à bas prix pour attirer l’investissement étranger. Si les problèmes de
l’agriculture, des paysans et du développement rural seront résolus ces avantages
concurrentiels vont disparaître. Il faut élaborer une nouvelle stratégie
d’industrialisation basée sur les nouvelles technologies, les forces intérieures et les
ressources naturelles.
•
Le développement de l’agriculture devrait être basé sur la qualité et la transformation
des produits pour élever la valeur ajoutée, et aussi la productivité du travail. Si
l’abondance de la force du travail restera encore dans le futur seul la mécanisation ne
sera pas suffisante, il faut aussi utiliser les biotechnologies pour améliorer la
productivité du sol.
3. Réduire la disparité ville campagne
•
Cette disparité consiste surtout sur la productivité du travail. La nouvelle industrie
devient de plus en plus capital intensive, laisse la main d’oeuvre superflue à la
campagne.
•
Il faut procéder ensemble l’industrialisation et l’urbanisation des villes et de la
campagne. (Notons qu’au Vietnam il y a des régions rurales où la densité de la
population est supérieure aux villes).
•
Nous sommes en train d’observer des régions ou les paysans sont en train de
développer des clusters industriels et agricoles très dynamiques avec un très riche
capital social. Ce sera un modèle de développement post-fordiste comme les districts
industriels marshalliens en Europe.
•
L’urbanisation des campagnes sera être réalisé par le modèle DESAKOTA qui va
réduire la disparité ville campagne.
4. Conservation de la sécurité alimentaire et l’agriculture marchande
•
La sécurité alimentaire et le développement de l’agriculture marchande sont les fruits
de la Rénovation, il faut les conserver.
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Pour cela il faut élaborer une prospective du changement structurel de l’utilisation
des terres et de la force de travail.
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•
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L’exode rural est nécessaire pour l’industrialisation ainsi que pour résoudre le
problème d’emploi à la campagne. Mais il faut élaborer un plan scientifiquement
basé, au lieu de laisser le marché résoudre d’une façon spontanée.
L’exode rural selon l’expérience des pays avancés ne causera pas de perte de la terre
agricole, mais au contraire l’élargit, car un citadin demande de la terre d’habitation
plusieurs fois moins qu’un rural.
La crise économique mondiale
1. Sur la stratégie de développement
• La crise économique est le résultat d’une stratégie de veloutement non durable qui
mène le capitalisme vers des crises cycliques. C’est aussi le résultat de la
mondialisation.
• On pense que le Vietnam du au retard de l’ouverture n’est pas très touché par la crise
mondiale. On attend que la récession va finir dans quelques temps et on pourra
continuer à se développer comme avant la crise.
• Comme nous avons montré dans la partie supérieure que la stratégie de
développement de notre pays suivant les tendances néoliberalistes du capitalisme
financier contribuent à l’inflation assez forte et à la récession de notre système
économique orienté surtout sur la marché mondial.
2. Il faut déterminer la stratégie d’industrialisation
• Après la II guerre mondiale le problème de la stratégie d’industrialisation les pays en
développement commençaient à discuter sur la stratégie d’industrialisation. Le
problème le plus discuté c’est la substitution d’import ou l’orientation vers
l’exportation. L’expérience des pays d’Asie de l’Est a montré la superiorité de la
deuxième tendance. Mais ici il y a un malentendu c’est que les pays de l’Asie de l’Est
exportaient la main d; œuvre dans les produits manufacturiers et non des produits
bruts. Plus tard la tendance principale est attirée par l’Investissement direct des pays
étrangers (FDI) qui n’est pas durable.
3. Déterminer les avantages compétitifs
• Pour attirer le FDI il faut se baser sur les avantages compétitifs comme les bas prix
de la main d’œuvre, de la terre et de l’environnement. Selon Michael Porter (1992) les
avantages compétitifs devraient avoir une originalité et seuls les clusters industriels
du Système d’innovation national peuvent les trouver.
Au Vietnam un réseau développé des clusters industriels des villages de métier
comme en Italie sera l’origine de ces avantages avec le support des institutions de
recherche et des universités
4. Changement structurel de la la force de travail et de l’utilisation de la terre
• L’essence de l’industrialisation c’est le changement structurel de la force de travail
qui a besoin d; être étudie. La difficulté de la création de l’emploi c’est qu’il existe
dans tous les pays une population superflue que l’agriculture et l’espace rural e
devraient supporter. La création de l’emploi nécessite une recherche et innovation#.
Déterminer lé n pour créer de l’emploi qui n’existe pas encore dans la marche. , la
réduction du taux de naissance et le développement des métiers q\a labeur intensive.
• Le changement structurel de la force de travail devrait être accompagne par un
changement structurel de l’utilisation de la terre. Avec l’industrialisation et
l’urbanisation rapide un pourcentage des terres agricoles fertiles est change en terre
de construction. La perte de la sécurité alimentaire est prévisible. Il faut contrôler le
changement de l’utilisation de la terre, lutter contre la spéculation foncière pour
préserver la production agricole qui aura une demande plus forte dans la période
industrielle. L’’industrialisation et l’urbanisation devraient être réalises en même
temps dans ‘l’espace urbaine et rurale, avec un plan unique.
5. Liaison entre industrialisation, urbanisation et utilisation de la terre
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Le processus d’industrialisation et d’urbanisation a été commence pendant la période
ou le taux de croissance est de plus de 7 % par an. C’est pourquoi le développement
a été très optimiste, avec un taux de croissance de plus de 8 % le Vietnam aurait
moins de 10 % dans le PIB après 2020.
Mais depuis 2008 notre pays est entré dans la crise économique, Avec un taux de
croissance moins rapide, le vitesse d’industrialisation et d’urbanisation seraient plus
lents. Il faut construire des modèles reliant les processus ensemble pour éviter des
projets trop ambitieux qui pourrait mener a des nouvelles crises économiques.
Les moyens et outils du développement rural
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Le développement rural devrait être réalisé par les paysans eux-mêmes.
Le moyen principal c’est l’action collective, des groupes d’interet commun aux
coopératives,
Les acteurs du développement rural ce sont les communautés de base.
La relation des acteurs du développement c’est le capital social.
Les institutions optimales ce sont les institutions de l’économie sociale.
Hanoï. Aout 2009
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