N°
19
Juin 2016
p.1-5 Article de Une
MaG
ÉDITO
Rétrospective Nouveaux
membres Focus culinaire
& Avantages
p.6-13 p.14-15 p.16
LA LETTRE D’INFORMATION DU CLUB B4C
b4c.be
À l’image de notre pays, la région de Charleroi vit
actuellement une transition économique portée sur l’innovation
et les nouvelles technologies. Mais, au-delà du développement de
secteurs d’activité porteurs, il est aujourd’hui primordial
d’encourager la création d’entreprises.
« Les anciennes villes industrielles font face au dé
de la transition vers l’économie de la connaissance.
Pendant une grande partie du 20e siècle, dans un sys-
tème de production de masse, ces villes ont construit
leur richesse en exploitant un avantage compétitif basé
sur leurs ressources naturelles et la disponibilité de leur
main-dœuvre peu quali ée. Aujourd’hui, le contexte
économique a changé. Dans un système de production
basé sur la connaissance, ce sont les idées, l’innovation
et la création de connaissances qui constituent le socle de
la compétitivité. Pour certaines villes, cette transition a
été particulièrement dif cile. Charleroi en fait partie ».
C’est notamment par ces mots que Thomas Dermine,
alors étudiant à Solvay, introduit son mémoire
« Un plan stratégique pour Charleroi » en 2010.
À lépoque, il se penche sur lanalyse stratégique des
besoins de Charleroi pour se développer et assurer
sa reconversion industrielle en proposant des axes
d’actions concrètes pour y parvenir.
« La transition vers l’économie de la connaissance à
laquelle font face les villes européennes en reconversion
implique dune part, une migration sectorielle délaissant
les spécialisations traditionnelles au pro t de secteurs
nouveaux et, d’autre part, un changement profond
de l’importance des dynamiques entrepreneuriales »
souligne-t-il.
À
travers l’actualité et les
thématiques abordées par
le club B4C, l’évolution
de notre environnement
semble inéluctable. Ces changements
ont déjà commencé, impactent notre
vie quotidienne et notre perception de
la société. Il est parfois dif cile de les
intégrer et nous sommes contraints de
sortir de notre zone de confort, de nous
remettre en question.
Aujourd’hui, nous devons faire face
à de nombreux défis avec courage
et ténacité. Nous ne pouvons pas
céder au pessimisme ambiant ou aux
frustrations quotidiennes. Le positi-
visme et la volonté sont indispen-
sables pour mener à bien des projets,
quels qu’ils soient. Peter Drucker,
professeur et consultant en Manage-
ment, le soulignait : « l’innovation
systématique requiert la volonté de
considérer le changement comme
une opportunité ».
L’éducation des jeunes et la forma-
tion permanente seront sans doute
parmi les dé s les plus importants de
la société de demain. Ne tombons pas
dans un marasme stérile, ne risquons
pas de décourager les futures géné-
rations. Soyons créatifs, innovons,
entreprenons !
Et comme le disait Seth Godin, ancien
responsable marketing de Yahoo, « la
seule chose de pire que de commencer
quelque chose et d’échouer… est de
ne rien faire du tout ».
Benjamin Bullman,
COORDINATEUR B4C
Considérons
le changement
comme une
opportunité
Encourager
la formation, la créativité et
l’entrepreneuriat
- suite en page 2 -
ARTICLE DE UNE | ENCOURAGER LA FORMATION, LA CRÉATIVITÉ ET L’ENTREPRENEURIAT
L’IMPORTANCE DU
CAPITAL HUMAIN ET CRÉATIF
En évoquant les moteurs potentiels de croissance, Thomas Dermine
aborde également une autre hypothèse : la dotation en capital humain et
en capital créatif est un levier de croissance économique. « Les villes ayant
une proportion plus grande de travailleurs quali és ont des niveaux de richesse
plus élevés, mais leffet inverse vaut aussi, les villes présentant une proportion
forte de travailleurs non quali és sont fortement pénalisées. La transition vers
l’économie de la connaissance ne se marque pas seulement par l’évolution
du tissu économique des villes, mais renforce aussi le rôle des compétences,
des quali cations et de l’apprentissage en tant que moteur du développement
économique. Lattraction, la rétention et la formation de personnes quali ées
deviennent donc des déterminants majeurs de la croissance des villes ».
La création dactivité se pose donc comme axe stragique develop-
pement de Charleroi et de sa région. « Lanalyse sur les déterminants du
développement économique semble con rmer que le secteur des PME est
une force positive pour la création demplois à long terme et de la croissance
économique. Le niveau de richesse des villes similaires à Charleroi peut être
expliqué par la structure de leur tissu entrepreneurial ».
Pour ce faire, il évoque différentes pistes :
Renforcer la motivation et la formation entrepreneuriale gce à un
programme de médiatisation et de valorisation et à un concours annuel
de Business Plan.
Renforcer les compétences entrepreneuriales à travers la sensibilisation
à l’entrepreneuriat dans les  lres d’enseignement et le développement
d’un programme d’enseignement court de haut niveau pour porteur de
projets et chefs de PME.
« Pourvelopper le dynamisme entrepreneurial, il faut des structures
favorisant la création dactivités. Pour cela, férer les acteurs de soutien et
d’animation économique au niveau local savère nécessaire. Les compétences
de chacun d’eux doivent être correctement nies et la stragie doit être
coordonnée au niveau régional » précise Thomas Dermine.
LE PLAN MARSHALL 4.0
Le Gouvernement Wallon a adopté le 29 mai 2015 son nouveau plan
dactions prioritaires pour la période 2015-2019, le Plan Marshall 4.0,
resserré autour des mesures de redéploiement économique. Celui-ci se
structure en cinq axes prioritaires. Trois d’entre eux semblent s’inscrire
dans la même logique que les pistes déjà évoquées précédemment :
L’axe 1 :
Faire du capital humain un atout
Cet axe visera le développement des compétences en lien avec
les besoins socio-économiques, dans une perspective de forma-
tion tout au long de la vie. Il visera des actions en matière dalter-
nance, d’enseignement qualifiant, d’orientation des apprenants,
d’apprentissage des langues, de soutien à lesprit d’entreprendre…
L’axe 2 :
Soutenir le développement de l’industrie
par une politique d’innovation et de
croissance des entreprises
Il sagira d’une part de développer une politique d’innovation industrielle
permettant de consolider la Stratégie de Spécialisation intelligente de la
Région. Au cœur de la démarche, la politique des Pôles de Compétitivité
sera poursuivie et approfondie avec un accent renforcé sur linnovation
(via les Key Enabling Technologies (KET) et les TIC notamment) et la
valorisation industrielle des projets innovants, l’internationalisation, les
PME. Léconomie circulaire sera également intégrée de manière transversale.
D’autre part, l’émergence de nouveaux « champions » et la croissance
des entreprises seront soutenues via un ensemble de mesures en matière
d’innovation, d’internationalisation, d’accompagnement, de nancement.
2
ARTICLE DE UNE | ENCOURAGER LA FORMATION, LA CRÉATIVITÉ ET L’ENTREPRENEURIAT
L’axe 5 :
Soutenir l’innovation numérique
A n de soutenir la transition numérique en Wallonie et de relever les
dé s de la quatrième révolution industrielle, un plan intégré de transition
numérique sera développé et mis en œuvre. Celui-ci visera les différentes
dimensions de la problématique : développement des compétences et
de la culture numériques, développement de l’économie numérique,
déploiement de l’Industrie 4.0.
UNE STRATÉGIE FORTE
POUR CHARLEROI
Si la région wallonne semble consciente du dé à relever pour permettre
à léconomie de se redresser grâce, notamment, à linnovation et à la
création dactivités, la région de Charleroi-Sud Hainaut peut également
compter sur un pôle de ré exion stratégique responsable de la mise en
œuvre des actions de développement dans sa région. Depuis quelques
années, le club B4C est d’ailleurs représenté par son Président au Comité
de Développement Stratégique (CDS) de la région de Charleroi Sud-
Hainaut, un lieu d’échange d’informations, de ré exion, daction et de
promotion en lien avec le développement stratégique de ce territoire.
Le CDS est composé de membres issus du monde économique, des
organisations syndicales et des autorités politiques locales. Par ailleurs,
les personnalités issues de la région de Charleroi et du Sud-Hainaut
exerçant des fonctions ministérielles, que ce soit au niveau régional,
communautaire ou fédéral sont intégrées au Comité. Plusieurs com-
missions composent le Comité de Développement Stratégique. Parmi
elles, la Commission « Capital humain » responsable des matières liées
à l’enseignement, la formation, etc…
La Commission « Capital humain » est présidée par Eric Van Sevenant,
Chef de Cabinet du Ministre wallon de léconomie Jean-Claude Marcourt,
également Président de la Société Wallonne des Eaux. C’est dailleurs à
ce titre quil est membre du club B4C depuis plusieurs années. « Cette
commission est en fait un écosystème composé dacteurs de lenseignement, de
la formation, de linsertion socio-professionnelle et de repsentants du monde
de l’entreprise » explique Anne Janssens, coordinatrice du comité. « Elle
entend favoriser l’émergence d’idées et susciter des projets fédérateurs, sur le
territoire de Charleroi et du Sud Hainaut, qui permettent de développer les
savoirs et les expériences de tout un chacun à travers, notamment, la formation
et l’enseignement. La commission Capital humain mène donc, à la fois, une
ré exion sur loffre de l’enseignement et de formation dans la région mais
elle porte également des projets concrets. Ces dernières années, les dossiers
phares sont la cation de l’Université Ouverte et la naissance de la Cité des
Métiers. Actuellement nous concentrons nos efforts sur l’émergence d’un pôle
d’enseignement supérieur et, notamment, une implantation de divers acteurs
sur le plateau de lUniversité du Travail (futur Campus des Sciences, des Arts
et destiers) avec, en corollaire, la création d’habilitations universitaires
sur le territoire de Charleroi, leveloppement de formations et d’actions
visant à encourager l’innovation et la créativi et, bien évidemment, dans
la foue du plan nurique arrê par lagion Wallonne, une ré exion
sur les actions à mener en la matre sur notre territoire ».
Concrètement, lobjectif est de continuer à augmenter laccès à l’ensei-
gnement supérieur et notamment universitaire. Pour relever ce dé ,
plusieurs pistes sont évoquées :
velopper de nouvelles habilitations.
Booster les  lières scienti ques et
technologiques, en ce compris le numérique.
Offrir un panel de nouvelles formations qui nexistent
pas et qui répondent à un besoin sur le marché de
l’emploi.
Miser sur l’orientation.
Développer des infrastructures d’enseignement
novatrices et les infrastructures de vie collective.
LES ENTREPRISES ONT
UN RÔLE À JOUER
« Les entreprises jouent un rôle permanent et essentiel dans le développe-
ment du capital humain : formation continue de leur personnel, formation
en alternance dans le secondaire, actions de sensibilisation sur leurs actions
et leurs potentiels en termes d’emploi, accueil de stagiaires » poursuit
Anne Janssens. « Je pense quelles doivent encore plus prendre conscience de
limportance de la formation de leur capital humain, de leur propre personnel.
Lancien paradigme de lenseignement supérieur, une formation standardisée
à plein temps concentrée sur 3 ou 5 ans, qui serait ensuite rentabilisée sur
toute la vie professionnelle – est de moins en moins pertinent. L’économie
et la technologie changent trop vite pour quune formation initiale suf se à
faire des professionnels ef caces.
Un axe novateur, qui induirait un rôle du monde économique dans le développement
du capital humain, est la présence d’opérateurs économiques au sein-même de
campus. Cette tendance implique généralement la présence dincubateurs d’entre-
prises, despaces de coworking, de centres dentreprises ou encore de laboratoires
3
Simon Bullman
Groupe Bullman
« Largent est nécessaire pour faire tour-
ner une entreprise mais ne peut pas être
la première motivation d’un entrepreneur.
Il faudra toujours un bon projet qui
apporte quelque chose à quelqu’un ».
Pedro Dormal
Lapino Albino
« On parle de perte demploi et c’est vrai,
certains jobs vont disparaître. Mais avec
l’évolution de notre environnement, de
nouveaux jobs seront à créer ».
Jean-Jacques Cloquet
Brussels South Charleroi Airport
« Charleroi comporte de nombreux
atouts. Parmi ceux-ci, laccessibilité.
C’est une chance incroyable qui contri-
bue à la qualité de vie ».
Viginie Dufrasne
Lixon
« Lenvironnement évolue en perma-
nence. Il faut se remettre en question
et se former pour saisir les nouvelles
opportunités ».
EXTRAITS.
Jean-François Ghigny
Notaire
« La numérisation est indispensable
et incontournable. Cependant, nous
n’avons jamais ressenti un besoin aussi
grand chez les clients d’avoir un contact
téléphonique ou physique ».
de recherche appliquée. La coexistence du monde de lenseignement supérieur
avec le monde des entreprises, dans des mêmes lieux, permet de démysti er de
part et dautre et donc daccompagner de manière plus naturelle les évolutions des
besoins de la société et des entreprises elles-mêmes. Par ailleurs, cette cohabitation
facilite l’ingration des étudiants dans le monde du travail, ce qui nest pas un
luxe de nos jours. Cest donc dans cet esprit que nous œuvrons pour qu’au niveau
du futur Campus des Sciences, des Arts et des Métiers, se structure un réel pôle
d’innovation, d’entrepreneuriat et de créativi. »
LE CLUB B4C VEUT SENSIBILISER LES
JEUNES À L’ESPRIT D’ENTREPRENDRE
Dès les premières années qui ont suivi sa création, le club B4C a voulu
marquer son soutien aux initiatives de jeunes désireux de s’impliquer
dans le redressement de leur région. On se rappellera notamment du
projet Youth for Charleroi, porté par six jeunes étudiants, dont le but
était de créer une plateforme interactive de mise en relation des entre-
preneurs et des jeunes a n que ces derniers puissent pro ter de conseils
sur l’orientation à donner à leurs études, trouver des stages ou consulter
des offres d’emplois dans la région. Ce projet, qui n’aura  nalement pas
abouti, cristallise l’envie des jeunes générations de se réapproprier leur
ville, dentreprendre et de porter leur pièce à lédi ce.
C’est d’ailleurs cette même génération qui est à l’origine de la création
des apéros urbains carolos sous le nom de lassociation « Charleroi,
WakeUp ! ». Aujourd’hui, les apéros urbains organisés par cette asbl
composée de ses fondateurs et soutenues par plus de 100 jeunes bénévoles
constituent des rendez-vous incontournables dans l’agenda des Carolos,
toute génération confondue.
Il semblait dès lors évident qu’une association ponctuelle entre « Charle-
roi, WakeUp ! » et B4C pouvait permettre de toucher à la fois les jeunes
et les entrepreneurs dans le cadre d’un événement de sensibilisation à
l’esprit entrepreneurial. C’est ainsi que la première édition de « Start &
C » est née en avril 2016. Par cette initiative, B4C entend répondre à
son objectif de dynamiser la région de Charleroi, encourager les jeunes
à se former, à revenir travailler dans la région après leurs études, à mieux
appréhender le rôle d’un entrepreneur et peut-être à le devenir eux-mêmes.
Ce sont plus de 200 étudiants, issus de cinquième et de sixième secondaire,
qui étaient présents pour la première édition de Start & C. L’objectif était
clair : offrir l’opportunité aux jeunes de rencontrer des entrepreneurs et
managers carolos a n qu’ils puissent partager leur expérience.
Nathalie Marly, modératrice, as le départ cé une ambiance très
décontractée et conviviale entre les différents intervenants et leur public.
Huit représentants, issus de secteurs d’activité différents, étaient conviés à
la présentation : Simon Bullman, Jean-Jacques Cloquet, Virginie Dufrasne,
Dominique Deliège, Pédro Dormal, Jean-François Ghigny, Dominique
Demonté et Thierry Piron.
ARTICLE DE UNE | ENCOURAGER LA FORMATION, LA CRÉATIVITÉ ET L’ENTREPRENEURIAT
4
Dominique Demonté
Biopark
« Il y a aujourd’hui des emplois très
intéressants sur Charleroi, vous devez
vous former et demain venir travailler
avec nous au développement de notre
ville ».
Dominique Deliège
Deloitte Ambassador
« Dans les professions comptables, l’ap-
proche va complètement évoluer avec la
digitalisation. On va pouvoir travailler
en temps réel et consacrer plus de temps
à l’analyse et au conseil ».
Thierry Piron
Piron Ingénieurs
Piron Architectes
La Ruche Théâtre
« Les jeunes doivent se former, apprendre
les langues et voyager pour revenir
ensuite à Charleroi et y apporter des
idées neuves ».
POUR CRÉER DES EMPLOIS,
CRÉONS DES EMPLOYEURS
LAssociation Réseau Entreprendre est née de la conscience d’un homme,
André Mulliez, alors PDG du Groupe Phildar, initiateur du concept énoncé
ci-dessus. Une première association est créée en 1986 à Roubaix. Elle
repose sur le principe suivant : « Qui de mieux qu’un chef dentreprise
peut accompagner un entrepreneur débutant ? ».
Le Réseau compte actuellement 110 implantations réparties dans 10
Pays, dont 7 en Belgique (Anvers, Bruxelles, Brabant Wallon, Wallonie
Picardie, Charleroi Hainaut, Liège, Namur Luxembourg) ; ce qui repré-
sente 6.400 chefs d’entreprise, 10.100 lauréats et 102.000 emplois créés.
86 % des entreprises soutenues sont toujours en activité après 5 ans. En
Belgique, on dénombre, depuis 2004, 330 chefs d’entreprise, 315 lauréats,
1.350 emplois créés et 3.300 heures d’accompagnement chaque année.
La mission du Réseau Entreprendre consiste à accompagner des entre-
preneurs, de leur permettre de développer leur entreprise et de créer
des emplois. Ce soutien sopère à travers laccompagnement de lauréats,
créateurs et repreneurs de PME, par des chefs dentreprises qui sont
membres du réseau. Cet accompagnement est gratuit pour le lauréat.
Les chefs d’entreprises expérimentés consacrent, bénévolement et en
moyenne, deux heures par mois pour accompagner un lauréat. Lesprit
du réseau repose sur la réciprocité. Les lauréats sont accompagnés durant
une période de 3 ans et sont amenés, par la suite, à devenir eux-mêmes
membres accompagnateurs.
Le Réseau Entreprendre Wallonie connaît une très forte croissance.
Il compte à ce jour plus de 30 membres engagés, contre 18 en 2014. 16
Lauréats y sont en cours d’accompagnement, dont 9 à Charleroi. Issus de
secteurs, parfois, totalement différents, membres et lauréats sont unanimes
quant à la richesse des échanges qui en découlent. Il n’est pas rare que
les ré exions menées s’avèrent utiles pour l’accompagnateur lui-même.
Réseau Entreprendre Hainaut
BARBARA MEDINA
Coordinatrice Charleroi-Hainaut
Tél +32 475 86 47 56
ARTICLE DE UNE | ENCOURAGER LA FORMATION, LA CRÉATIVITÉ ET L’ENTREPRENEURIAT
Après la présentation, les jeunes étaient invités à
rejoindre un espace de rencontre au sein duquel
ils avaient l’opportunité de discuter en tête à tête
avec des représentants des différents secteurs.
Au total, l’événement a accueilli quelque 300
participants dont de nombreux membres du
club B4C venus soutenir l’initiative et rencontrer
les étudiants.
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