Facteurs sociologiques

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Travail de méthodologie
Premier brouillon 20%
Travail remis à Madame Hélène Rompré dans le cours (300300RE-02) Initiation pratique à la
méthodologie des sciences humaines
Le tutoriel Word demandait des illustrations et une bordure en page couverture. Ne pas oublier
la numérotation des pages, ainsi que le nom de famille Caron en en-tête à chaque nouvelle
page.
parMarie-Pier Caron (CARM11619319)
Mercredi 31 octobre 2012
Table des matières
ABSTRACT
3
INTRODUCTION
4
FACTEURS SOCIOLOGIQUES
5
INTEGRATION DANS LE MILIEU SOCIAL
LES TRAUMATISMES VECUS
LES SYMPTOMES PSYCHOLOGIQUES DU BEGAIEMENT
5
5
6
FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX
7
ENVIRONNEMENT FAMILIAL
ANTECEDENTS DES PARENTS
INTERVENTION PRECOCE OU RETARDEE
7
8
9
CONCLUSION
11
BIBLIOGRAPHIE
12
2
Quels sont les facteurs susceptibles d’avoir une incidence sur le développement du bégaiement
chez les jeunes ?
Le titre est très bien, mais ne pas oublier d’en trouver un plus intéressant à la
prochaine étape.
Abstract
The purpose of this paper is to find out what are the factors that influence the
development of language disorder of stuttering in young children. It has been shown that
two factors influence the development of this speech disorder. The first is a sociological
factor including the integration of young people in their social environment, events or
traumas they live as well as the psychological symptoms associated with stuttering. The
second is an environmental factor that includes the family environment of young children,
parental health background and finally, the early or delayed intervention. To demonstrate
that these factors indeed influenced the development of stuttering in young children, more
research was needed and an interview with a speech therapist allowed us to go further with
the subject. Despite much research showing that these two factors, sociological and
environmental, affect stuttering in children, it was found that more factors have a role to
play in the development of this speech disorder. Among these aspects not developed in this
research, there are neurophysiological aspects, that is to say, among other things, the
operation of the nervous system. Ce résumé est vraiment très bon. D’habitude, ils sont plus
courts, mais celui-ci me convient.
3
Introduction
(Le sujet amené est très bien, mais il pourrait être encore plus intéressant, vendeur…)
Chaque instant du développement des enfants est important et il est primordial
d’accorder autant d’importance à chacun de ceux-ci. Qu’il s’agisse des tout premiers pas ou
encore des premiers balbutiements, les parents, tout comme les spécialistes de l’éducation ainsi
que les médecins sont touchés de près par l’évolution des jeunes. Malheureusement, il arrive
que les enfants éprouvent des difficultés au cours de celle-ci. Défini comme étant un «trouble
de la communication affectant la parole»1, le bégaiement en fait notamment partie. Les
spécialistes en débattent encore aujourd’hui afin d’arriver à le démystifier, à découvrir ses
origines ainsi que les méthodes adéquates à utiliser dans le but de le traiter. On donne au
bégaiement deux définitions : une associée au domaine de la médecine, ainsi qu’une autre se
rapportant au domaine de la psychologie. La définition médicale caractérise le bégaiement
comme un «trouble de la parole consistant en l'impossibilité d'enchaîner harmonieusement les
différentes syllabes de la phrase préparée, en l'absence de toute anomalie de l'appareil
phonateur.»2, tandis que la définition psychologique caractérise le bégaiement comme un
«trouble du langage consistant en un rythme déformé de la parole : répétition de certaines
syllabes et arrêt tendu, suivi d'une prononciation explosive pour d'autres.»3 Ce travail se
rapportera au domaine de la psychologie et non au domaine médical. Selon moi, les facteurs
pouvant avoir une incidence sur le développement du trouble du langage du bégaiement chez
Habituellement, les notes de bas de page sont à simple interligne et un peu plus petites que
le reste du texte, par exemple en 10 pt.
1
SIMON, A.-M. «Le bégaiement de l’enfant», dans Claude Chevrie-Muller et Juan Narbona (dir.),
Le langage de l’enfant Aspects normaux et pathologiques, 1999, page 435.
2
Le grand dictionnaire terminologique. Le grand dictionnaire terminologique. Site consulté le
lundi 29 octobre 2012. http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/Resultat.aspx
3
Le grand dictionnaire terminologique. Le grand dictionnaire terminologique. Site consulté le
lundi 29 octobre 2012. http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/Resultat.aspx (La deuxième fois qu’on répète
le même site, on peut simplement indiquer Idem., ce qui signifie « la même chose » en latin.)
4
les jeunes sont multiples. Il sera question des facteurs sociologiques ainsi que des facteurs
environnementaux qui jouent des rôles importants dans l’évolution du langage chez les jeunes.
(Il faut spécifier ceux-ci afin que la thèse soit la plus claire possible.)
Facteurs sociologiques
Intégration dans le milieu social
Tout d’abord, dès la petite enfance, les jeunes sont soumis à des changements tels que
l’apprentissage de la séparation lorsque les parents vont les conduire à la garderie ou encore
l’obéissance à une autre forme d’autorité que les parents, comme un éducateur ou une
éducatrice qui leur ordonnera de faire certaines actions. Ces changements qui conduisent les
enfants pas à pas vers l’autonomie leur procurent de fortes émotions qu’ils n’arrivent pas
encore à exprimer clairement. Selon la chercheure Anne-Marie Cimon, : «parfois aussi ces
étapes qu’il faut franchir se déroulent trop rapidement pour l’enfant…»4 En effet, il peut être
plus difficile pour certains enfants de passer au-travers de ces différents changements qui se
manifestent parfois trop rapidement pour eux, ce qui fait en sorte qu’une tension se fera
ressentir par ceux-ci. L’intégration difficile d’un enfant dans son milieu social peut entraîner des
tensions et c’est en réponse à celles-ci qu’il sera possible de voir apparaître chez certains
enfants, un trouble du rythme de la parole, c’est-à-dire un bégaiement.
Les traumatismes vécus
Les traumatismes ou encore les événements marquants vécus à la période de l’enfance
font également partie des facteurs sociologiques pouvant influencer le développement du
4
SIMON, A.-M. «Le bégaiement de l’enfant», dans Claude Chevrie-Muller et Juan Narbona (dir.),
Le langage de l’enfant Aspects normaux et pathologiques, 1999, page 441.
5
bégaiement chez les jeunes. Parfois, les parents peuvent être témoins du développement
soudain du bégaiement chez un de leurs enfants à certains moments précis de la vie de l’enfant.
Dans un ouvrage destiné aux parents qui souhaitent s’informer sur les divers troubles du
langage chez les jeunes, une mère affirme ceci : «Il a commencé à bégayer un été avant son
entrée en CP.»5 En effet, certains traumatismes vécus ou événements à venir procurent une
grande quantité de stress aux jeunes pouvant les porter à développer un bégaiement.6 Il peut
s’agir d’événements tel qu’un déménagement, un changement d’école, la naissance d’un autre
enfant, une séparation conjugale ou la mort d’un proche. Peu importe la nature des
événements ou des traumatismes, parfois leur impact est assez important pour porter le jeune à
bégayer. Il se peut fortement qu’une fois la période générant une grande quantité de stress
terminée, le bégaiement disparaisse définitivement. Le traumatisme qu’a vécu le philosophe
John Rawls démontre que ces événements et traumatismes peuvent réellement avoir un impact
sur le développement du bégaiement. En effet, le philosophe états-unien a été témoin du décès
de ses deux frères qui ont perdu la vie en raison d’une maladie infectieuse qu’il leur a transmis:
«Rawls en éprouve un tel choc que son élocution s’en trouve perturbée : il devient bègue.»7 En
effet, les traumatismes ou même les événements vécus peuvent porter une personne à devenir
bègue.
Les symptômes psychologiques du bégaiement
Facteur sociologique important, certains signes d’un bégaiement peuvent être difficiles à
déceler chez certains jeunes et s’ils ne sont pas découvert rapidement ou pris au sérieux, ils
influenceront le niveau d’intensité du trouble. The American Speech-Language-Hearing
Association donne une série d’informations concernant les symptômes du bégaiement. Elle
affirme que la caractéristique principale d’une personne qui souffre de ce trouble aura tendance
5
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, page 17.
Idem
PROVENCHER, Martin. Petit cours d’éthique et politique, Montréal, Chenelière Éducation,
2008, page 87.
6
7
6
à démontrer des signes de tension : «Some people who stutter appear very tense or out of
breath when talking»8 Ainsi, à part le signe bien connu soit l’accroc de parole en début ou en fin
de mot, la tension soudaine qui saisit l’enfant lorsqu’il tente de parler est un symptôme à
considérer et énervera le jeune qui veut désespérément s’exprimer de manière à être compris.
Si les symptômes que démontre le jeune ne porte pas les parents à consulter assez rapidement,
il en résultera une intensification du trouble. Bref, l’intégration de l’enfant dans son milieu, les
traumatismes ou événements vécus ainsi que les symptômes pouvant être perçus chez les
jeunes, sont des facteurs sociologiques pouvant influencer le développement du trouble
rythmique de la parole.
Facteurs environnementaux
Environnement familial
L’environnement familial est crucial pour les enfants puisqu’il s’agit de la toute première
forme d’intégration sociale à laquelle ils font face. Il est primordial que cet environnement
familial soit le plus propice possible au bon développement des jeunes. Malheureusement, il
arrive que pour certains, cet environnement ne favorise pas leur bonne évolution et favorise
plutôt un climat de stress et même parfois de violence. Dans les toutes premières études faites
sur les enfants bègues, il a été révélé qu’un peu plus de la moitié d’entre eux souffrait de
bégaiement provoqué par quatre comportements adoptés par les parents. Dans ces quatre
caractéristiques de la communication observés chez les parents on retrouve : «la conversation à
un rythme trop rapide (…), des interruptions lors des efforts que fait l’enfant pour parler, (…) la
correction permanente des productions de l’enfant (…) ainsi que l’habitude de parler ou de
terminer les phrases à la place de l’enfant.»9 Donc, il est évident que l’environnement familial
8
«What are signs and symptoms of stuttering ?», dans American Speech-Language-Hearing
Association, http://www.asha.org/public/speech/disorders/stuttering.htm#two (page consultée
le 23 octobre 2012).
9
SIMON, A.-M. «Le bégaiement de l’enfant», dans Claude Chevrie-Muller et Juan Narbona (dir.),
7
des enfants a une influence importante sur le développement du trouble du langage du
bégaiement. Un parent entretenant des conversations à un débit trop rapide avec son jeune ou
un parent ayant l’habitude de terminer les phrases de son enfant ne fait que favoriser
l’apparition ou la croissance d’un bégaiement. Certains spécialistes mettent en cause, sans
aucune preuve irréfutable, les facteurs de tensions qui peuvent se développer au sein d’une
famille où l’emploi du temps est trop chargé ou encore au sein d’une famille où les parents ont
l’habitude de réprimander un enfant qui fait un erreur de langage. Dans l’ouvrage destiné aux
parents il est dit que des parents trop exigeants avec leur enfant au niveau du langage va
augmenter les risques de «déstabiliser la mécanique de sa parole.»10 En effet, selon
l’Association des Jeunes Bègues du Québec, ce qui est primordial pour un jeune c’est qu’il soit
dans un environnement familial favorisant son apprentissage. L’association précise ceci : «Il est
(…) essentiel de promouvoir un bon développement du vocabulaire, de la structure des phrases
et de la compréhension, en portant un intérêt à ce que l’enfant dit et non à comment l’enfant le
dit. De cette façon, on favorise un bon développement de l’ensemble de la fonction
langagière.»11 Bref, il ne faut pas sous-estimer l’influence que l’environnement familial peut
avoir sur le développement des jeunes. L’environnement familial aurait donc une grande part de
responsabilité sur le développement du trouble du bégaiement.
Antécédents des parents
Certaines recherches ont démontré que les antécédents des parents ont une part de
responsabilité dans le développement du trouble du langage du bégaiement chez leurs enfants.
La section des facteurs génétiques du livre Le langage de l’enfant confirme ceci : «Différentes
recherches ont montré que les descendants de personnes bègues avaient plus de risque d’être
Le langage de l’enfant Aspects normaux et pathologiques, 1999, page 442.
10
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, page 19.
11
Association des Jeunes Bègues du Québec. Le bégaiement touche qui ? Site consulté le lundi
29 octobre 2012, dernière mise à jour effectuée le 29 octobre 2012.
http://www.ajbq.qc.ca/fr/Le_b%C3%A9gaiement_touche_qui_21.html
8
eux-mêmes bègues.»12 En effet, il y aurait une part de vérité à affirmer que certains troubles du
langage incluant le bégaiement seraient génétiques. Jennifer Wenger du National Institute on
Deafness and Other Communication Disorders a écrit ceci dans un article: «Stuttering tends to
run in families, and researchers have long suspected a genetic component.»13 Ceci démontre
que non seulement l’environnement familial dans lequel l’enfant vit où on ne lui donne jamais
le temps de terminer ses phrases permet d’accroître un trouble du langage, mais qu’il y a en
effet des chances qu’un parent ayant déjà bégayé à l’enfance transmette ce trouble à son
enfant par l’entremise des gènes. Julie Fortier-Blanc, professeure à l’école d’orthophonie et
d’audiologie à l’Université de Montréal confirme ceci lors d’un reportage à l’émission Une
pilule, une petite granule intitulé Le bégaiement : du «Discours d’un roi» à nos jours : «S’il y a
d’autres membres de la famille qui continuent à bégayer il y a de fortes chances que l’enfant
garde son bégaiement aussi.»14 En fait, ce que madame Fortier-Blanc affirme c’est que
malgré le fait que le bégaiement se transmet de manière génétique, c’est-à-dire entre les
membres de la familles, si un enfant observe qu’un autre membre de sa famille bégaie de
manière continuelle, il sera porté à garder son bégaiement lui aussi. Donc, les antécédents
des parents sont importants puisqu’ils semblent avoir tendance à développer ou encore
accroître un bégaiement chez les jeunes.
Intervention précoce ou retardée
Est-il préférable d’opter pour une intervention précoce ou retardée? C’est la question
que de nombreux parents se posent. Malgré les dires de certains, plusieurs spécialistes
12
SIMON, A.-M. «Le bégaiement de l’enfant», dans Claude Chevrie-Muller et Juan Narbona
(dir.), Le langage de l’enfant Aspects normaux et pathologiques, 1999, page 438.
WENGER, Jennifer. «Researchers Discover First Genes for Stuttering», dans National Institute
on Deafness and Other Communication Disorders,
http://www.nidcd.nih.gov/news/releases/10/Pages/02_10_10.aspx (page consultée le 23
octobre 2012).
14 FORTIER-BLANC, Julie. «Discours d’un roi» à nos jours», dans Une pilule, Une petite granule.
Télé-Québec, http://video.telequebec.tv/video/9450 (page consultée le 29 octobre 2012).
13
9
affirment que l’intervention précoce est préférable. Les médecins qui sont d’avis contraire
tentent souvent de rassurer les parents en leur disant que le bégaiement peut disparaître
spontanément, ce qui est effectivement possible dans la majorité des cas. Pourtant, l’argument
faisant le plus sens est celui des spécialistes affirmant ceci : «Il ne faut pas hésiter à consulter un
pédiatre lorsque apparaissent des difficultés de langage…»15 Ils disent également : «Car même
s’il s’agit d’un bégaiement passager, (…) une intervention précoce peut éviter que n’apparaisse
plus tard un bégaiement qui risque alors d’être plus résistant.»16 (Ce n’est pas très élégant
comme manière de passer d’une citation à l’autre. Il est parfois plus utile de dévoiler une partie
de l’argumentation que d’écrire : il est écrit dans un livre que…) En effet, il est conseillé de
consulter un orthophoniste dès les premiers signes démontrant une difficulté à s’exprimer
correctement chez un jeune. «L’intervention précoce, c’est l’idéal», a affirmé Mathile De
Préaumont, une orthophoniste, lors d’une entrevue téléphonique.17 L’intervention précoce
est préconisée, c’est-à-dire qu’elle est fortement recommandée dans la simple intention
d’éviter que le bégaiement ne s’installe définitivement. Il ne faut pas pour autant s’inquiéter si
un bégaiement semble persister chez un enfant. Dans le livre intitulé Mon enfant bégaie, il est
dit ceci (voir note plus haut) : «Le bégaiement chronicisé chez un adulte est bien sûr plus difficile
à soigner que chez un enfant, mais il peut être traité et diminuer, voire disparaître
soudainement chez certaines personnes, soit suite à une thérapie qui aura enfin produit son
effet, soit – plus rarement – spontanément ou à la suite d’un évènement de vie important.»18 Il
y a plusieurs ressources à la disponibilité de tous ceux qui souhaitent recourir aux services d’un
orthophoniste. «L’orthophoniste et l’audiologiste au public exercent principalement leur
profession dans les écoles, les CLSC, les centres hospitaliers, les centres de réadaptation, les
15
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, page 20.
16
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, page 20.
17
Mathile De Préaumont, 18 octobre 2012, entrevue téléphonique.
18
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, page 26.
10
centres d’hébergement et de soins de longue durée.»19 Bref, il est clair qu’une intervention
précoce est préconisée afin d’éviter une intensification du trouble. Enfin, l’environnement
familial, les antécédents des parents ainsi que l’intervention précoce ou retardée sont des
facteurs environnementaux ayant tous et chacun un impact important sur le développement du
trouble du langage du bégaiement chez les jeunes.
Conclusion
Pour terminer, les deux facteurs susceptibles d’avoir une influence sur le
développement du trouble du langage du bégaiement chez les jeunes sont les facteurs
sociologiques incluant l’intégration dans le milieu social, les traumatismes et les symptômes
du bégaiement ainsi que les facteurs environnementaux incluant l’environnement familial,
l’intervention précoce ou retardée ainsi que les antécédents des parents. Par contre, des
spécialistes en sont venus à une conclusion au sujet des éléments causant le bégaiement :
«Ce n’est qu’au cours des dernières années, qu’on a fait la preuve que les causes du
bégaiement sont génétiques et neurologiques et que ça n’a rien à voir avec la santé mentale
ou l’intelligence.»20 Cela ne veut pourtant pas dire que les éléments qui influencent le
développement de ce trouble de langage ne peuvent pas être d’ordre psychologiques.
Sachant que ce projet de recherche devait se limiter au domaine des sciences humaines, il
n’était pas possible de concentrer les recherches sur les aspects médicaux. Pourtant, il
aurait été intéressant d’aborder l’aspect médical du trouble du bégaiement, c’est-à-dire les
raisons génétiques et neurologiques pour lesquelles un trouble du bégaiement se produit
chez certaines personnes.
19
Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec. Où consulter ? Site consulté le lundi 29
octobre 2012, dernière mise à jour 2012. http://www.ooaq.qc.ca/ou-consulter/index.html
20
TéléQuébec. «Le bégaiement : du «Discours d’un roi» à nos jours», Télé-Québec. Vidéo [en
ligne], http://video.telequebec.tv/video/9450
11
Je ne sais pas pourquoi j’ai l’impression qu’il y a différentes polices de
caractère dans le texte… Uniformiser la présentation.
Bibliographie
Super.
AVIGAL, Amar-Tuillier. Mon enfant souffre de troubles du langage et des apprentissages,
Éditions La Découverte, 2004, 182 p.
CHEVRIE-MULLER, Claude et NARBONA Juan. Le langage de l’enfant Aspects normaux et
pathologiques, Belgique, Éditions Masson, 1999, 624 p.
FORTIER-BLANC, Julie. «Discours d’un roi» à nos jours», dans Une pilule, Une petite granule.
Télé-Québec, http://video.telequebec.tv/video/9450 (page consultée le 29 octobre 2012).
Mathile De Préaumont, 18 octobre 2012, entrevue téléphonique.
PROVENCHER, Martin. Petit cours d’éthique et politique, Montréal, Chenelière Éducation,
2008, 186 pages.
WENGER, Jennifer. «Researchers Discover First Genes for Stuttering», dans National Institute
on Deafness and Other Communication Disorders,
http://www.nidcd.nih.gov/news/releases/10/Pages/02_10_10.aspx (page consultée le 23
octobre 2012).
Association des Jeunes Bègues du Québec. Le bégaiement touche qui ? Site consulté le lundi 29
octobre 2012, dernière mise à jour effectuée le 29 octobre 2012.
http://www.ajbq.qc.ca/fr/Le_b%C3%A9gaiement_touche_qui_21.html
Le grand dictionnaire terminologique. Le grand dictionnaire terminologique. Site consulté le
lundi 29 octobre 2012. http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/Resultat.aspx
12
Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec. Où consulter ? Site consulté le lundi 29
octobre 2012, dernière mise à jour 2012. http://www.ooaq.qc.ca/ou-consulter/index.html
TéléQuébec. «Le bégaiement : du «Discours d’un roi» à nos jours», Télé-Québec. Vidéo [en
ligne], http://video.telequebec.tv/video/9450
«What are signs and symptoms of stuttering ?», dans American Speech-Language-Hearing
Association, http://www.asha.org/public/speech/disorders/stuttering.htm#two (page consultée
le 23 octobre 2012).
13
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