Comité de pilotage

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Comité de pilotage
pour l'organisation des
"Rencontres nationales Politiques publiques et Musiques actuelles"
CR du lundi 12 octobre 2009 de 10H30 à 13H00
Présents : Florent Teulé (Directeur RAMA), Stephan Le Sagère (Directeur FNEIJMA), Grégory Jurado
(Trésorier RIF, Président Pince-Oreilles), Matthieu Lambert (Animateur Réseau Ressource), Denis
Tallédec (Directeur Le Pôle), Philippe Berthelot (Directeur Fédurok), Stella Pinnisi (Présidente
FEMAG), Delphine Lambert(coordination rencontres nationales).
Excusés : Thierry Duval (Directeur CRY), Eric Boistard (Directeur Olympic)
Ordre du jour
Point sur l’organisation des rencontres (budget, dossier, intervenants forum…)
Restitution des travaux du CP à la plate forme des réseaux et fédérations
Les Rencontres :
Le budget :
Présentation globale du budget (CF. dossier en annexe)
Les partenaires sollicités sont :
L’Etat,
La Région des Pays de la Loire,
Le conseil général de Loire Atlantique,
La ville de Nantes
Ces rencontres seront co-financées par les réseaux et fédérations ainsi que par les BIS.
Le dossier :
Les textes de chaque référent devront être retravaillés (sur le fond, la forme sera validée par échange
de mails) afin d’être plus clair. Il va nous servir d’éléments de communication en direction des
différents partenaires ainsi que de support de demande de subventions.
Chaque référent doit fournir pour la fin de semaine (16 octobre au plus tard) dix lignes présentant les
forums et les types d’intervenants.
Afin d’être plus efficace Il y aura deux types de communication, une institutionnelle destinée aux élus
et une en direction des acteurs des musiques actuelles. Ainsi chaque personne est sollicitée afin de
diffuser largement la tenue de ces deux journées.
Les forums :
3 intervenants ainsi qu’un animateur de débat seront proposés par le référent puis débattu en CP
Journée 1 :
Sont conviés les acteurs du secteur, salariés et bénévoles des réseaux, des fédérations, des structures
du secteur des musiques actuelles...
1 Observation:
Le texte observation est un peu trop vague, il ne permet aucune remise en question, il faut éviter les
quiproquos. Il faut le simplifier, et faire attention à ne pas se positionner. La dernière phrase est très
bien.
Intervenants possibles :
Des témoignages d’utilisation de l’observation, ex dans l’emploi les GPEC, différents types
d’observation : nationale, territoriale, et sectorielle
On peut aussi mettre en avant les limites de l’observation.
2 Complémentarité de projets et diversité d’initiatives :
Ce texte doit être plus accessible, notamment au niveau de la syntaxe
Intervenants possibles :
Un représentant de réseau qui a une connaissance des acteurs, des politiques publiques et qui
témoigne de ce qui a marché ; un acteur du milieu rural qui témoigne d’initiative de développement
local ; il ne faut pas perdre de vue la difficulté de convergence entre le niveau national et local.
3 Les coopérations économiques :
Le deuxième texte proposé, plus court, est mieux.
Il faut faire attention à la trop-mutualisation, il faut relativiser la coopération, ce n’est pas toujours
facile à mettre en œuvre.
Intervenants possible :
Quelqu’un hors des Musiques Actuelles ? Le CNAR-financement ? L’AVISE ? Un organisme bancaire ?
Peut être un acteur de la culture et un acteur plutôt économique, comme un cluster ?
Journée 2 :
Sont conviés acteurs du secteur, organisations professionnelles, élus et techniciens des collectivités.
4 Les musiques actuelles et les populations :
Les 3 domaines proposés sont peut être à revoir, car ils sont trop restrictifs et pas assez parlant sur
un territoire.
On pourrait présenter une approche des MA par différentes portes : artistiques, sociale,
économique, dans leur rapport aux populations.
Gregory a un texte traitant de ce sujet, il voit ça avec Thierry.
Le rapport de la représentation des MA dans les politiques publiques.
Intervenants possibles :
Traiter les aspects sécurité, santé publique avec un acteur sur le social, un sur le culturel et pourquoi
pas un préfet sur la question des free parties.
5 Quels modèles économiques ? :
Très bon texte sur le fond, mais la forme doit peut être être revue, on s’adresse notamment aux
pouvoirs publics, certains termes ne sont peut être pas adaptés.
Intervenants possibles :
Traiter la question en termes d’emploi, d’économie privée pure, d’économie publique pure, et le
monde du milieu. On pourrait prendre des exemples d’autres pays ?
6 Quelle gouvernance pour une co-construction des musiques actuelles ? :
On ne peut pas parler des co-constructions sans expliquer les difficultés des concertations
territoriales, du CSMA.
Intervenants possibles :
Témoin d’une concertation en cours, témoin d’une ratée.
Aborder quel est le bon niveau ? Ne sommes-nous en train de démultiplier les instances ?
On pourrait aussi faire intervenir un acteur extérieur comme d’une chambre consulaire.
7 Synthèse :
Remettre en perspective ce qui a été dit durant ces journées
Le mardi soir :
Réunion en comité de pilotage élargi aux co-organisateurs des rencontres, seront invités à participer
à cette réunion un représentant par organisation.
Le temps consacré à la synthèse énoncée en plénière devra être suffisant afin de faire le tour de tout
ce qui a été dit durant la première journée et permettre à tout le monde de s’exprimer. L’on pourrait
ainsi désigner des rapporteurs qui mettent toutes leurs notes en commun le soir afin d’agrémenter
cette synthèse.
Il a été proposé d’anticiper dès maintenant les bases de cette synthèse, notamment en travaillant en
amont sur un texte qui reflèterait un discours unanime, construit et pérenne, qui serait ensuite
retravaillé le mardi soir lors de ce comité de pilotage élargi. Ce texte, assez large, traitant d’un
processus de construction, une convergence territoriale et fédérale sur des valeurs communes aura
un double objectif : poser un espace de coopération, formel (confédération, …) ou informel, et
énoncer ses valeurs. Ce texte restera un document de travail car l’objectif de la synthèse est bien de
faire un bilan de ce qui a été dit tout au long de la première journée.
La diversité du secteur des musiques actuelles, en termes de territoires, d’activités, devra se
reconnaître pleinement dans cet outil commun de représentation.
C’est pourquoi il est important de poser le débat dès maintenant, notamment en partant du texte
déjà produit : Projet de protocole de Coopération des Réseaux Territoriaux et Fédérations
Nationales de Musiques Actuelles (cf. annexe)
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