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LA FOI DE GRAIN DE MOUTARDE SUFFIT
Matthieu 17 :14-23
Verset 17 :20
« C’est à cause de votre petite foi, leur dit Jésus. En vérité je vous le dis, si
vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous dires à cette montagne :
Transporte-toi d’ici là, et elle se transportera ; rien ne vous sera impossible. »
Nous avons aujourd’hui comment Jésus guérit l’enfant démoniaque. Or, Jésus
reprocha sévèrement les disciples impuissants. Pourquoi étaient-ils si impuissants ?
Qu’est-ce qui diantre infirma leur puissance d’autrefois ? C’est le thème de mon sermon
de ce matin à laquelle je vous invite cordialement à réfléchir ensemble et
personnellement. Que Dieu vous bénisse donc avec cette parole en vous accordant son
Esprit !
Les disciples descendirent avec Jésus au pied de la montagne. Leurs yeux étaient
encore éblouis de la lumière éclatante de l’aspect de Jésus sur la montagne de
transfiguration. C’était en un mot pour eux le royaume de Dieu ou le paradis. Mais c’était
aussi comme un rêve de la nuit d’été dont la sérénade se finissait.
Or, quand ils atteignirent les pieds de la montagne, voilà ce qui arriva exactement
comme Pierre en avait prévision. Celui-ci aurait dit, « Voilà, qu’est-ce que j’ai dit. Les
maux font toujours gémir les gens innocents et je ne dis pas, souvent les gens méchants se
disputent impitoyablement pour détruire les autres et gagner leur profit. Bonjour les
dégâts ! » Il aurait vraiment regretté que Jésus n’avait pas écouté sa requête au sujet des
trois machins dont il avait montré le plan d’architecte -haut. De plus, son estomac
commence à lui faire un signe. « Oh mon pauvre ventre, qui grouille tout le temps. Encore
la guérison qui nous attend, après cette longue marche montagnarde. Ah, mes jambes. »
Puis il jeta le regard rancunier aux disciples qui clignotaient les yeux en grattant la tête,
comme un signe de l’excuse de leur impuissance de la guérison, c’est-dire de leur non
préparation des repas de communauté pour Jésus et ses trois compagnons.
En effet, quand Jésus n’était pas là ayant été parti avec ses trois disciples, les 9
restant reçurent une bonne chance de se faire valoir leur pouvoir spirituel par une visite
impromptue d’un père et son fils malade. C’était vraiment une opportunité d’or pour
montrer que sans maître, ils pouvaient faire quelques choses. Donc, la première personne
nommé Philippe cria à haute voix, « Sors de cette homme, démon. » Mais le démon le
regardait au blanc des yeux et haussaient ses épaules. Puis, Simon le Zélote retroussa les
manches et cria à haute voix, « Satan, Sors ! sinon, je te… » Mais l’esprit s’en moquait.
Thomas, plus conciliant, « Oh ! pas comme ça » et adoucissant sa voix et dit, « Satan, ne
veux-tu pas sortir de ce garçon ? Que gagne-tu pour souffrir ce petit enfant ? » Mais Satan
tourna son regard ailleurs comme s’il n’avait rien entendu. Puis, l’enfant se mit à tortiller
son corps. André, c’est lui qui avait apporté 5 pains et 2 poissons pour nourrir 5000
hommes, donc il était homme de foi certifié. Donc, quand il avança, les autres le
regardaient avec une certaine assurance, en se disant les uns aux autres, « Oui, toi, tu peux
le faire. Vas-y ! » Mais malheureusement, l’homme de foi ne put rien faire. Satan fit sa
demeure continuellement dans l’homme. Presque tous ont essayé, mais malheureusement,
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Satan ne pensait point bouger même un de ses petits doigts. Le garçon se tortillait de plus
en plus violemment.
Au fur et à mesure que la scène avança, la face du père se renfrognait de douleur. Au
début, il avait l’espoir, car il avait entendu que Jésus était assez puissant pour guérir tous
les malades, mais Jésus s’étant absenté, il demanda à ses disciples de guérir son fils, ayant
entendu quelque part que ses disciples aussi exerçaient le même pouvoir que leur maître.
Mais ils échouaient inexorablement. Selon la chronologie de Matthieu, l’entrée de Jésus à
Jérusalem n’était pas si loin, donc on peut facilement situer l’épisode vers la fin du
ministère de Galilée. Luc situe cet épisode après le départ de l’évangélisation de 70
pendant laquelle ils exerçaient le grand pouvoir. Mais il est bien probable que ces 12 ont
déjà reçu ce genre d’entrainement de partir deux à deux prêcher la parole, et la parole
dans leur bouche guérissait les malades et chassaient les démons. Mais ces hommes ne
purent rien faire face à la puissance de Satan. C’était l’échec total.
D’où vient cet échec ? Quelle est la cause de cette impuissance ? Jésus donnera par
la suite la réponse. Manque de foi et de prière. Mais avant tout, Jésus dit, « race incrédule
et perverse. » Par rapport à cette parole, nous avons tout lieu, me semble-t-il, d’y réfléchir
et faire un aperçu de la cause d’impuissance. Ce mot résumé d’incrédule et perverse,
comporte plusieurs causes inhérentes.
D’abord, la jalousie. La jalousie est comparée dans la Bible à la carie d’os. Elle est
un facteur fatal de l’homme qui infirme lamentablement sa puissance. Quand Saül prit la
jalousie à l’égard de David pour qui les femmes de Jérusalem sortaient et chantaient en
dansant, « Saül a frap ses milles, Et David ses dix mille », une très grande colère
s’empara de lui et le fit dire, « On en donne dix mille à David, et moi, on ne donne que
mille, quoi d’autre encore pour ce garçon, n’est-ce pas la royauté. » Dès lors, Saül ne put
exercer son pouvoir initial qui n’était pas négligeable et finit sa vie comme un persécuteur
vertébré d’un innocent, toute sa vie restante. La force de jalousie est vraiment redoutable.
Elle est destructrice, sans parler d’infirmer la puissance d’un homme. Les neuf ne purent
maitriser ce sentiment facilement en restant dans la salle d’attente du pied de la montagne.
Ensuite, le sentiment d’apitoiement et d’infériorité. Cela est lié au premier, mais
digne d’être séparé pour y réfléchir. C’est aussi un facteur fatal pour un homme. Il y avait
ce conte assez qui aurait intéresnos enfants. Une jolie fille fut emprisonnée dans un
donjon par une sorcière. Celle-ci implanta sans cesse à la fille le sentiment qu’elle était
mondialement moche. Cela jusqu’à ce qu’elle rencontre un beau prince. Celui-ci persuada
la fille de jeter sa longue natte de cheveux à la fenêtre et le prince grimpa le mur par cette
natte et finit par la sauver. Quand le regard d’un prince plein d’amour caressa son regard,
la fille a compris qu’elle n’était pas moche. La fille en vint à accepter elle-même comme
telle merveilleuse par cet effet d’amour, et cela l’a libéré non seulement du donjon de
sorcière, mais aussi surtout de son sentiment d’infériorité et put être enfin libre. Les
immigrés sont souvent victime de ce sentiment, par rapport aux autochtones. Ils ont donc
une certaine faiblesse à ce sujet. Cela se révèle sous forme de nostalgie. La nostalgie est
une tendance des gens qui aiment à regarder en arrière. Un missionnaire surfait toute la
soirée la toile électronique pour écouter les chansons préférées de sa jeunesse à cause de
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la difficulté de la vie en mission. C’est la nostalgie. Le berger qui remémore sa belle
époque du passé porte difficilement du fruit. Le berger qui s’habitue de se souvenir de sa
vie d’enfant douillette ne porte du fruit non plus.
Les disciples laissés seuls au pied de la montagne s’attroupèrent dans un recoin et se
bavardaient. Ils étaient dans une situation les enfants sont laissés par leurs parents
comme s’ils étaient orphelins, et ne savent quoi faire. Mais à ce moment, ils durent
comprendre avec perspicacité que cet événement de solitude était par la grâce de Dieu et
surtout par la volonté de Dieu c’est-à-dire que Dieu voulut qu’ils deviennent adultes. Une
de nos sœurs confesse qu’elle épiait toujours l’amour de sa bergère, mais par
l’entrainement, maintenant elle aspire être satisfaite par l’amour de Jésus seul. Quel
formidable avancement ! Ressasser toujours une mémoire d’enfance heureuse fait arrêter
la croissance et fait devenir l’homme comme une poule mouillé. Comme laigle bateleur
lâche ses petits au bout d’un an, un chrétien est invité à prendre une décision de voler
seul. Chacun a un chemin dans sa chrétienté, et la volonté de Dieu est souvent que nous
nous séparions du passé pour défricher un nouveau chemin. Ca donne souvent peine, mais
il est dispensable pour grandir. En Dieu, il n’y a pas de hasard. Tous concourent bien pour
ceux qui se confient en LUI. Dieu veut que d’une manière ou d’une autre notre intérieur
murisse chaque jour, chaque mois, et chaque année. Alléluia !
Ensuite, la paresse. Napoléon a dit une fois que si quelqu’un a besoin de confier une
tâche, il faut qu’il le confie à celui qui s’est terriblement occupé. » Celui qui s’affaire est
en général celui qui a beaucoup de capacité. Il assume beaucoup de tâche d’ici et là. Celui
qui se meut avec lassitude paisiblement n’était jamais si efficace dans son travail. Romain
Rolland a dit que la vie n’émet pas le ticket de retour, et comme il n’y a que le ticket
d’aller simple, on ne doit pas espérer revoir le paysage. Mais les gens oublient
d’habitudes qu’ils sont montés dans un train de ticket d’aller simple. Si nous pensons que
nous ne reverrons plus le paysage, combien ce paysage nous paraitrons beau et précieux,
et lui donnerons nos cœurs et nos regards. Si on est à l’âge de 20, cette réalité ne lui parait
pas avec d’autant de gravité que le vieillard, et cela est vrai, car nous avons le temps.
Mais nous devons savoir que chaque moment est une chance de verser notre énergie et
cœur et vie. Mais les disciples n’avaient pas une telle disponibilité pour l’opération de
guérison, mais ils l’essaient simplement. Les mots que j’ai entendus le plus souvent des
gens sont, « je vais essayer. » Mais d’habitudes, ce qu’ils essaient ne marchent pas bien,
pourquoi ? C’est parce qu’ils sont au sens large du terme, paresseux. La paresse ne
signifie pas seulement qu’on fait une grasse matinée. Elle comprend aussi que nous
essayons, mais pas nous engager entièrement.
En ce qui concerne la gestion du temps, un serviteur dit que si on a un juste système
de priorité, on peut économiser d’énorme temps et augmente le taux de rendement de
façon exponentielle pour Dieu. Je crois que cela est un conseil utile et recevable pour un
chrétien, car Paul dit de racheter le temps, car le temps est mauvais. Il est certain que pour
lui l’affaire de Dieu est prioritaire par rapport à l’affaire du monde. Mais il y a souvent le
cas nous sommes confrontés aux différentes affaires de Dieu et en choisir une qui est
le plus important. Comment choisir l’important. Paul dit dans Ph 1 :10 que nous
connaissons, « qu’ainsi vous sachiez apprécier ce qui est important, afin d’être sincères et
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irréprochables pour le jour de Christ. » La sincérité et l’irréprochabilité devant le tribunal
sont les critères du choix. Et cela n’est pas enseigné par les autres, mais par Dieu lui-
même et par la propre conscience. Or, selon le consensus, changer d’avis est souvent
considéré comme un signe de manque de sincérité. Puis, convaincre les autres de différent
avis pour les joindre au sien est considéré comme quelque chose de reprochable. Ces
choses troublent notre discernement et nous font choisir ce qui est trivial en laissant du
côté ce qui est important. Ce qui est plus grave, c’est qu’elles infirment notre foi et notre
puissance pour soigner les autres gens. Satan ne se réjouit pas de ce que quelqu’un
conçoive le cœur de berger et commence à prier pour eux. Il infirme notre foi de façon
insidieuse. Certains gens pervers ne s’intéressent pas de la perte du cœur de berger chez
les autres, et ils ne savent pas qu’ils sont instrument de Satan. Si un serviteur a l’attitude
de racheter le temps, Dieu lui donne le pouvoir et l’audace pour conduire les âmes au
Christ. Les 9 disciples ne devaient pas rester dans la paresse, manquant le zèle et la
disponibilité. Ils durent s’engager dans l’œuvre de Dieu.
La réponse de Jésus à la demande des disciples sera explicitée plus tard. Et elle est
comme déjà mentionné, le manque de prière. Mais attention ! Même si nous prions
assidument, nous ne recevons pas l’exaucement. Jacques dit, « Vous demandez et vous ne
recevez pas, parce que vous demandez mal, afin de tout dépenser pour vos passions. » Si
nous ne résolvons pas les trois facteurs mentionnés là-haut, malgré nos temps précieux
consommés, l’exaucement de nos prières nous échappe. D’où cette exhortation du
serviteur de se repentir de nos sentiment de jalousie, apitoiement, et infériorité et notre
paresse inhérente. Le Seigneur nous donne non seulement la santé parfaite mais aussi la
puissance spirituelle pour vaincre l’ennemi Satan. Je trouve que dans le cœur de
quelqu’un dans notre communauté il y a toujours ce sentiment fataliste ombragé que sa
brebis ne changera point. S’il réfléchit sur ces trois points !
Le père amena son fils et supplia Jésus de le guérir. Sa supplication était tellement
désespérante. Il se jeta à genoux devant Jésus et expliqua combien son fils a été emporté
par la maladie. Alors quelle était la réponse de Jésus ? Le verset 17 dit, « Race incrédule
et perverse, jusques à quand serai-je avec vous ? Jusques à quand vous supporterai-
je ? Amenez-le-moi ici. » Dans le cit de Marc, Jésus dit presque les mêmes mots, sauf
qu’elle omet pervers et Marc nous fait sentir que ces mots de sus si sévères étaient
destinés au père, car celui-ci dit enfin, « je crois ! viens au secours de mon incrédulité. »
Mais pour Matthieu ces mots sont plutôt destinés aux disciples. « Race incrédules et
pervers, jusques à quand… ? Jusques à quand… ? » Matthieu ajoute donc le mot pervers à
la version de Marc. Les disciples n’étaient pas des animaux sexuels ni addictifs de la
pornographie pour être pervers. Ce sens très usité de nos jours est de 3e sens dans le
dictionnaire Robert. Ce sens ne s’est produit qu’au 20e siècle. Le sens originel et
étymologique de ce mot pervers est du latin perverterer qui signifie renverser ou
retourner. Ainsi pervertir signifie de modifier en dérangeant ou en détournant de sa fin, de
son sens initial. Nous l’utilisons par exemple dans l’expression des effets pervers.
Donc, l’incrédulité est le détournement de la fin et du sens initial de l’homme. Que
veut dire cela ? L’homme est créé par Dieu avec l’image de Dieu afin que par son
existence il puisse glorifier son créateur Dieu. Selon la création, l’homme est créé pour
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être un intendant puissant de Dieu créant beaucoup de nouvelles histoires divines. Ainsi
dit la Bible, « Soyez fécond, multipliez-vous, remplissez la terre. Dominez sur les
poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout animal qui rampe sur la terre. » Mais
l’homme en vint à désobéir à Dieu et à déshonorer Dieu soit par sa corruption morale soit
par l’incrédulité. Donc, nous devons savoir que si nous sommes proies au doute ou à
l’incrédulité, ce n’est pas une psychologie qui est en cause, mais une perversité nous fait
écarter du but initial de la création divine. L’origine de mot péché est l’écarter de la cible.
Donc, l’incrédulité n’est autre que le péché. L’homme est créé comme un être ayant foi
endémique du paradis. Par la foi donc il doit agir dans toutes ses affaires. Ainsi, il peut
plaire à Dieu son Créateur. Nous sommes nés dans ce monde non comme un être jeté par
hasard, pour vivre selon nos sentiments, mais pour créer une histoire grandiose de Dieu.
C’est la raison pour laquelle, en voyant l’impuissance des disciples, Jésus soupira
profondément et fit des reproches sévères envers eux. Nous avons appris la cause de cette
perversité spirituelle. Nous devons combattre et vaincre les sentiments propres et humains
pour retourner au premier état générique de plein de foi, ne serait-ce que par le biais de la
sanglante lutte semblable à celle de Jacob au qué de Yabboq de Genèse 32. Si nous le
faisons ainsi par la foi, Dieu sauve de notre fatalisme ; nous serons rendus capables de
changer toute la donne. Nous pouvons même changer les institutions humaines et
juridiques, comme les Français le disent souvent : ça dépend. Vraiment tout dépend de
notre foi.
Dans l’ère chrétienne, Jésus dit que chacun pourra faire ce que souhaitait Dieu au
commencement. C’est-à-dire que même si la parole de Genèse 1 :28 semble être démodé
et difficile d’appliquer, il est bien possible que nous qui vivons même dans une ère
moderne empirique l’expérimente parfaitement. Donc, Jésus dit, « En vérité, en vérité, je
vous le dis, celui qui croit en moi fera, lui aussi, les œuvre que moi je fais, et il en fera de
plus grandes,… » (Jn 14 :12) Donc, assurez-vous, que vous pouvez être ces protagonistes
remarquables de l’œuvre de Dieu, chacun prenant soin d’au moins de douze brebis dans
chaque campus désigné.
Alors à la demande des disciples au sujet de leur impuissance de guérir le fils
démoniaque, Jésus répondit, « En vérité je vous le dis, si vous avez de la foi comme un
grain de moutarde, vous direz à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se
transportera : rien ne vous sera impossible. » Les disciples pensaient qu’il leur fallait la
foi comme la montagne pour guérir le fils malade. Mais le propos de Jésus était au
contraire. La foi d’une taille de tout petit grain de moutarde suffirait pour la guérison
complète. Nous sommes parfois confrontés à des événements semblables à une montagne.
Certains pour les études colossales, certain pour les affaires qui sont en chute libre.
Certains pour les enfants désinvoltes. Certains une maladie grave comme cancer. Que
faire ? nous dison-nous. Devant ce genre de problème, les gens se paniquent, sans voir la
moindre possibilité pour l’issue de leur tunnel noir.
Dire à la montagne dans l’expression de sus est un acte de prier. Donc, la foi de
grain de moutarde nous pousse à prier. Si nous prions par la foi, nous obtenons tôt ou tard
la réponse, et ce sans faute. Or, le grain de moutard dont Jésus parlait souvent se réfère à
la croissance qui est une autre facette de la persévérance. Il y a une intéressante histoire
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