La propagande à travers la presse mais aussi les affiches,le cinéma,la
littérature pour enfants jouent 1 rôle considérable pour influencer l’arrière.
La censure est impitoyable, la propagande devient « bourrage de crane »
quand elle nie les réalités du front,masques les défaites et idéalise la vie
des soldats toujours présenté comme des héros.
SURVIVRE SUR LE FRONT ET VIVRE A L’ARRIERE
I L’HORREUR DE LA GUERRE AU FRONT
a) la vie quotidienne des « poilus »
L’expérience de TRANCHEES reste pour ceux qui l’ont connu l’image de
l’enfer.
Malgré l’horreur des combats,
Malgré l’inconfort (pluie,boue,froid,les pouxles rats….),
b)les combats =douleurs morales et physiques
Les soldats tiennent et résistent aux assauts.
Faîtes de longues périodes d’attentes ;d’assauts rares (« guerre d’usure »)
et violents, cette guerre multiplie les peurs des hommes(gaz).
Les soldats considèrent que les sacrifices sont indispensables ET des amitiés
se créent entre les soldats.
Ils résistent aussi grace au souvenir et au soutien de l’arrière
(familles,marraine de guerre)
C) les mutineries
Néanmoins en 1917 des mutineries éclatent mais la discipline est maintenue.
II LES MALHEURS DE L’ARRIERE
a)la pénurie alimentaire
A l’arrière tous se mobilise pour soutenir et participer à l’effort national.
Pour la population civile, la vie est bouleversée=les problèmes de
ravitaillement apparaissent=pénurie alimentaire ,les prix et la vie est
difficile
La main d’œuvre féminine est sollicitée (munissionette =femmes qui
travaillent dans les usines d’armements).
Les enfants, les personnes âgées et les travailleurs des colonies sont
embauchés
b) De nombreuse victimes chez les civiles
Dans les zones occupées(NORD DE LA France),les populations subissent les
rigueurs de l’occupation ennemie(réquisitions, exécutions d’otages, travail
forcé)