Annexes budgétaires - Ministère de l`Economie, des Finances et de l

PLR 2013 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION :
ÉCOLOGIE, DEVELOPPEMENT ET AMENAGEMENT DURABLES
Version du 20/05/2014 à 20:46:17
PROGRAMME 203 :
INFRASTRUCTURES ET SERVICES DE TRANSPORTS
MINISTRE CONCERNE AU TITRE DE L'EXERCICE 2013 : PHILIPPE MARTIN, MINISTRE DE LECOLOGIE, DU
DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE LENERGIE
TABLE DES MATIERES
Bilan stratégique du rapport annuel de performances 2
Objectifs et indicateurs de performance 7
Présentation des cdits et des dépenses fiscales 22
Justification au premier euro 32
Opérateurs 64
Analyse des coûts du programme et des actions 75
2
PLR 2013
Infrastructures et services de transports
Programme n° 203
RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCES
BILAN STRATEGIQUE DU RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCES
Daniel BURSAUX
Directeur général des infrastructures, des transports et de la mer
Responsable du programme n° 203 : Infrastructures et services de
transports
L’année 2013 a été marquée par la poursuite et le lancement dopérations et de formes s’inscrivant dans le cadre de
la transition énertique et environnementale de léconomie fraaise. Cette transition vise à répondre aux enjeux de
pservation de l’environnement et du cadre de vie des Français, et d‘amélioration durable de la comtitivi, pour
laquelle la quali des infrastructures et le bon fonctionnement des services de transport constituent un atout majeur et
reconnu.
L’orientation nérale de l’action de l’État en matre d’infrastructures de transports avait vocation à être définie par le
schéma national dinfrastructures de transport (SNIT). Toutefois, au regard de lampleur des investissements à trente
ans inscrits dans le projet de SNIT et de la cessi d’en appcier la soutenabilité financre, le Gouvernement a
char en 2012 la commission « Mobili 21 », constituée de parlementaires et de personnalités qualifiées, de
hrarchiser les projets d’infrastructures du SNIT au regard de leur utili, de leur coût et de leur contribution à
l’aménagement du territoire, au veloppement économique et à la vie quotidienne. Dans son rapport remis le 27 juin
2013, la commission pconise comme premre priorité la conservation et la modernisation des réseaux existants, afin
d’assurer une meilleure qualité de service, de gularité et de confort pour les usagers dans leur vie quotidienne.
A la suite de ces travaux, l’élaboration des volets « mobilité multimodale» des futurs contrats de projets État-gion
(CPER) 2014-2020 a été engae par le Gouvernement, en fixant les priorités en accord avec les pconisations de la
commission Mobili 21. Ces futurs contrats porteront sur les investissements routiers, ferroviaires, fluviaux et
portuaires et prendront la relève de l’actuelle génération de CPER ainsi que des programmes de développement et de
modernisation des itinéraires routiers (PDMI).
Dans le domaine ferroviaire, la réalisation des grands projets ferroviaires lancés sest poursuivie à un rythme
soutenu ; quatre lignes à grande vitesse (LGV) étaient en chantier en 2013 : les LGV Est euroenne, Sud Europe
Atlantique, Bretagne-Pays de Loire, ainsi que le contournement de mes et de Montpellier (contrat de partenariat
signé en juin 2012), dont le gros œuvre a été lancé fin 2013.
À la suite des travaux de la commission Mobili 21, le Gouvernement a affirmé la priorité donnée aux trains du
quotidien et au réseau structurant porteur des enjeux les plus importants. Ainsi, le rythme annuel de renouvellement
d’environ 1000 kilomètres de voies ferrées a été maintenu en 2013, avec un investissement de 2,5 Md dans les
orations de renouvellement et de mise en conformité du seau, en très forte augmentation par rapport aux anes
pases. Pour les années à venir, RFF a propo un nouveau plan de modernisation permettant de renforcer la
sécurité du réseau ferré national et la qualité de services aux usagers, et de répondre aux besoins damélioration de
capacité. La déclinaison gionale de ce grand plan de modernisation est en cours, en lien avec la définition des
orations qui pourraient être finanes au titre des CPER 2014-2020.
Les travaux de mise en œuvre de la réforme du système ferroviaire, lancée par le Gouvernement en octobre 2012, se
sont poursuivis en 2013 avec lélaboration du projet de loi et la préfiguration, dans la limite du respect des règles de
libre concurrence, du « gestionnaire d’infrastructures unifié » ; ce dernier rassemblera les difrents intervenants de
RFF et de la SNCF qui concourent aujourdhui à la maintenance et à l’exploitation du réseau ferré.
Concernant le transport de marchandises, la mise en œuvre des mesures visant à favoriser le développement des
modes alternatifs à la route s’est poursuivie en 2013. Ainsi, afin d’encourager le veloppement des services de
transports combis, tous modes confondus, un nouveau dispositif de soutien a été notif à la Commission
euroenne pour la période 2013-2017.
Par ailleurs, les trafics des services commerciaux de l'autoroute de la mer Nantes-Gijón, de l'autoroute ferroviaire
Perpignan-Bettembourg et ceux de l’autoroute ferroviaire alpine ont continué à se développer respectivement de
PLR 2013
Infrastructures et services de transports
RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCES
8,3 %, 7,4 % et 23,1 % par rapport à l’année précédente. Ils représentent au total environ 12 % du transport intermodal
en 2013. Le veloppement important de lautoroute ferroviaire alpine a é rendu possible gce à la mise au gabarit
du tunnel du Mont-Cenis, qui a ouvert le service aux semi-remorques standardisées. L’objectif estsormais de
consolider les offres de services, par une amélioration de la comtitivi des modes massifiés, notamment
ferroviaires, selon les axes définis dans le cadre de la conférence ministérielle sur le fret ferroviaire de septembre
2013. Celle-ci s’inscrit dans le contexte de l’important programme de rénovation du seau ferroviaire en cours, et
d’une stragie portuaire plus offensive à mener par les grands ports maritimes pour le développement de leurs
dessertes terrestres non routières.
Concernant les voies navigables, le transfert des services de lÉtat en charge de la navigation à Voies navigables de
France (VNF), en application de la loi du 24 janvier 2012, est effectif depuis le 1er janvier 2013.
Les actions de modernisation et de développement du réseau fluvial ont é poursuivies, afin daméliorer le service
rendu à l’usager et la sécurité, dans le cadre de la mise en œuvre du contrat d’objectifs et de performance de VNF
pour la riode 2011-2013. La produre de dialogue compétitif pour l’attribution du contrat de partenariat pour la
reconstruction et l’automatisation de vingt-neuf barrages manuels des bassins de l’Aisne et de la Meuse, lancée en juin
2011, s’est conclue par la signature du contrat en octobre 2013.
Par ailleurs, il a é cidé en 2013 de renoncer à l’attribution du contrat de partenariat relatif au canal Seine-Nord
Europe en raison de la dérive des coûts observée par rapport au projet initial. Une mission de reconfiguration du projet
a été confiée par le ministre gué chargé des transports, de la mer et de la pêche au pu Rémi Pauvros, qui,
dans son rapport remis au ministre le 11 décembre 2013, confirme l’intérêt du projet et propose plusieurs pistes
d’optimisation tant sur le plan technique, qu’organisationnel et financier.
À la suite du débat public relatif au projet de mise à grand gabarit de la liaison fluviale Bray - Nogent-sur-Marne qui
s’est tenu au premier trimestre 2012, et des conclusions de la commission Mobilité 21, le conseil dadministration de
VNF a déci en octobre 2013 de poursuivre les études en vue de lenqte publique.
Concernant plus spécifiquement le transport fluvial, l’année 2013 a é marquée par la publication du nouveau
glement néral de police de la navigation, qui entrera en vigueur le 1er septembre 2014 et qui nécessite
l’actualisation de tous les glements particuliers de police existants, précisant les règles locales. Par ailleurs, deux
plans daides en faveur du transport fluvial, gés par VNF, ont été mis en place en 2013 pour la période 2013-2017 :
le plan d’aides à la modernisation et à l’innovation (PAMI) visant, par des aides directes aux entreprises, à moderniser
et à renouveler la flotte, et à permettre à la profession de singrer dans une chne logistique complexe ainsi que le
plan d’aides au report modal (PARM) dont lobjectif principal est de favoriser le recours au transport fluvial pour le
transport de marchandises.
Concernant le secteur portuaire, l'année 2013 marque, pour les grands ports maritimes tropolitains, lachèvement
d’un premier cycle de fonctionnement de cinq ans, principalement consacré à la mise en œuvre de la forme portuaire
de 2008. Elle sest notamment traduite par la modernisation de leur gouvernance, le recentrage des grands ports
maritimes sur leur rôle d’autorité portuaire, la promotion de la place portuaire, le renforcement de leur rôle
d’aménageur, l’unification de la manutention portuaire en transrant loutillage et le personnel grutier à des opérateurs
privés de manutention.
Laforme de 2008 a été étendue aux outre-mer avec la création au 1er janvier 2013 des quatre grands ports
maritimes de la Guadeloupe, de la Martinique, de la union et de la Guyane. Ces nouveaux établissements publics
portuaires, s’appuyant sur une gouvernance modernie, sont désormais en mesure de contribuer à l’alioration de
la compétitivité des ports français et au développement économique des territoires concernés.
Pour accompagner et favoriser le développement des ports dans les anes à venir, la stratégie nationale portuaire a
é puble en 2013. Ce travail sur l'avenir du système portuaire fraais, lancé par le ministre légué char des
transports, de la mer et de la che le 24 mai 2013 à Rouen, a été réalisé en étroite liaison avec l’ensemble des
principaux acteurs du secteur portuaire. La stratégie nationale portuaire finit des actions reposant sur trois piliers
tmatiques: logistique et intermodali, développement industriel et aménagement des espaces. Elle comporte en
outre un volet transversal relatif à la mobilisation des hommes et des moyens.
Au titre des transports collectifs, l’action de l’État sest traduite en province par la poursuite de ses engagements
financiers. Au total, dans le cadre des deux premiers appels à projets lancés en 2009 et 2011, près de 130 projets ont
é retenus, repsentant environ 1 000 km de lignes nouvelles et plus d1 Md de concours de l’État. L'année 2013 a
é marqe par la mise en service de nombreux projets : l'extension de la ligne B du métro à Lyon, la construction du
tramway de Tours, l'extension du tramway à Clermont-Ferrand, Lyon, Nice et Toulouse, la création de lignes de bus à
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PLR 2013
Infrastructures et services de transports
Programme n° 203
RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCES
haut niveau de service, notamment à Metz et à Perpignan, repsentant un linéaire de 127 km. De nouvelles
orations ont été lancées en 2013, à l’image du projet de ligne 5 du tramway de Montpellier ou du bus à haut niveau
de service de Montliard.
Le Gouvernement a lancé, en mai 2013, un troisième appel à projets « Transports collectifs et mobilité durable »
destiné à promouvoir les transports du quotidien ainsi que la desserte des quartiers prioritaires tout en s’inscrivant
pleinement dans la marche de transition écologique.
Concernant plus particulièrement lÎle-de-France, le projet de transport du Grand Paris a connu une redéfinition
partielle en mars 2013 visant une réalisation de lensemble du réseau d’ici 2030. Les recherches doptimisation des
cts et la concertation entre les difrentes parties se sont poursuivies. Lenquête publique de la ligne 15 sud sest
déroulée en octobre et novembre 2013, ce qui ouvre la voie à la prise du décret de déclaration d'utili publique pour la
fin de l'année 2014.
L’articulation entre le développement du réseau du Grand Paris et la modernisation des infrastructures existantes a par
ailleurs été clarifiée. Le 19 juillet 2013, lÉtat et la Région Île-de-France ont sig un protocole qui précise
conctement les engagements et les projets retenus dans le cadre du plan de mobilisation : il est prévu d’engager
7 Md sur la période 2013/2017. L’État participera à cet effort, par l’intermédiaire de la socié du Grand Paris et de
l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF).
Enfin, lannée 2013 a é marquée par la mise en service du prolongement de la ligne 4 au Sud et de plusieurs lignes
de tramway (T5 et, T7).
S'agissant des infrastructures routières, l’entretien et la maintenance du réseau ont fait l’objet de nombreux travaux.
L’effort important de curisation des tunnels routiers s’est poursuivi. L’optimisation de l’usage du réseau routier sest
également conctie par de nombreux projets de gestion dynamique du trafic ainsi que par la mise service du
nouveau site Bison Futé pour une meilleure information des usagers.
Par ailleurs, une dizaine dorations d'aménagement du réseau routier national ont été mises en service, représentant
un total denviron 60 kilomètres.
Concernant les grands projets, le contrat de partenariat pour la alisation et l’entretien penda nt trente ans de la
rocade L2 à Marseille a été signé le 7 octobre 2013. La mise en service complète de l'oration est prévue fin 2017
avec une mise en service partielle de la section Est en 2016.
S’agissant du seau autoroutier concédé, celui-ci a été complé en 2013 par la mise en service du troon final de
l’A89, entre Lyon et Balbigny, achevant ainsi la construction du barreau autoroutier transversal reliant Bordeaux à
Lyon. L’autoroute A63 a par ailleurs é comptement mise en service, améliorant sensiblement les conditions de
transit dans les Landes, et assurant une augmentation de la capacité portée à 2 x 3 voies. Les travaux de construction
de l'autoroute A150 au Nord-Ouest de Rouen se sont poursuivis en 2013, la mise en service étant attendue en vrier
2015.
Enfin, un plan de relance autoroutier est en cours de négociation. D’un montant denviron 3,5 milliards d euros, ce plan
confierait aux principales sociés autoroutières (Cofiroute, ASF, ESCOTA, APRR, AREA, SANEF et SAPN) la
alisation de nouveaux investissements structurants en contrepartie d'un allongement de la durée de concession. Ces
investissements importants devraient permettre la création de milliers d'emplois dans le secteur des travaux publics.
Après la conclusion d’un premier accord avec les sociés concessionnaires, lÉtat a enta des discussions avec la
Commission euroenne, visant notamment à assurer la compatibilité de ce plan avec la réglementation
communautaire.
Concernant le secteur du transport routier de marchandises, de multiples initiatives françaises ont é engagées en
2013 pour promouvoir aups des instances euroennes la nécessaire convergence des règles sociales et des coûts
salariaux comme palable à la libéralisation du secteur. Cet axe majeur du plan d'actions, psenté par le ministre
délégué chargé des transports aux partenaires sociaux et professionnels en octobre 2013, anticipe la tenue d'une
conférence européenne sur ce thème à l'initiative de la France au printemps 2014. La dimension interminisrielle des
actions sur lesquelles s'est engagé le Gouvernement a trouvé sa concrétisation dans une instruction interminisrielle
relative à la régulation et au contrôle dans le transport routier.
Concernant le secteur du transport routier de voyageurs, l’année 2013 a vu l'ente en vigueur des dispositions du
glement européen sur le droit des passagers, transposé en difrents textes gislatifs et glementaires nationaux en
concertation avec lensemble des acteurs concernés. Par ailleurs, dans le prolongement du rapp ort de la sénatrice
Campion, les travaux sur l’accessibilité des services publics de transport ont été poursuivis.
PLR 2013
Infrastructures et services de transports
RAPPORT ANNUEL DE PERFORMANCES
Sur le volet financier, l’année 2013 a é marqe par la suspension de lécotaxe sur les poids lourds, décidée par
le Premier ministre le 29 octobre 2013 compte tenu des mouvements de contestation survenus. A travers le paiement
de l’usage des routes et autoroutes non concées par l’utilisateur, l’écotaxe constitue un facteur d’évolution des
comportements vers l’usage des modes alternatifs à la route et sinscrit pleinement dans le cadre de la transition
énergétique et environnementale.
Suite à la décision de suspension, une mission d’information a é instituée par lAssemblée Nationale pour analyser
les choix effectués et définir les corrections ou ajustements qui pourraient être apportés à lécotaxe.
Cette taxe doit apporter, en année pleine, près dun milliard d’euros de ressources à l’AFITF. Malg la suspension,
l’AFITF a néanmoins pu jouer son le en apportant, en 2013, plus de 1,93 milliards d’euros de crédits
d’investissement, dont près de 65 % en faveur des modes alternatifs à la route. En particulier, la mise en œuvre des
contrats de projets 2007-2013 (avec environ 85 % d'autorisations d'engagement mises en place fin 2013 sur le volet
transports) a é poursuivie activement.
L’ane 2013 a enfin été marqe par différentes actions générales concernant les transports, à l’exemple du
travail enga avec le groupe du Commissariat ral à la stratégie et à prospective sur l’évaluatio n socio-
économique des projets, et lélaboration d’un nouveau rérentiel dévaluation des projets de transports destiné à
remplacer la précédente instruction minisrielle de 2004.
De me, concernant plus particulrement les sysmes de transport intelligents, l'adoption par la
Commission européenne de trois scifications dans le cadre de la directive n° 2010-40 va entraîner dans les États
membres différents travaux de mise en place, coordonnés au niveau européen.
Pour une meilleure utilisation des systèmes d'information au profit des politiques publiques, le Comi interministériel
sur la modernisation de l'action publique (CIMAP) a également ci des bats sur l'ouverture des données, dont un
dans le domaine de l'offre de transport, qui sera lancé en 2014.
Enfin, concernant lorganisation des services de l’État, la loi 2013-431 du 28 mai 2013 a créé le centre d’études et
d’expertises sur les risques, lenvironnement, la mobilité et laménagement (CEREMA). Ce nouvel établissement
public, placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l'urbanisme, du développement durable et des
transports, regroupe à partir du 1er janvier 2014, les moyens et les missions alies auparavant par les huit centres
dtudes techniques de l’équipement (Cete), le centre d'études sur les réseaux, les transports, l'urbanisme et les
constructions publiques (Certu), le centre d'études techniques, maritimes et fluviales (Cetmef) et le service d'études
sur les transports, les routes et leurs aménagements (Sétra).
RECAPITULATION DES OBJECTIFS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE
OBJECTIF 1
aliser au meilleur ct les projets de desserte planifiés et moderniser efficacement
les seaux de transports
INDICATEUR 1.1
Ecart entre les alisations et les pvisions de cts pour les projets mis en service
INDICATEUR 1.2
Intét socioconomique des projets mis en service
INDICATEUR 1.3
Coût kilométrique de construction des opérations routières mises en service
OBJECTIF 2
Améliorer l’entretien et la quali des infrastructures de transports
INDICATEUR 2.1
Coût des opérations de régénération et dentretien du réseau fer
INDICATEUR 2.2
Etat des ouvrages routiers et ferroviaires
INDICATEUR 2.3
Qualité de service des seaux de transport
OBJECTIF 3
Améliorer le niveau de sécurité des transports routiers et assurer les conditions dune
concurrence loyale
INDICATEUR 3.1
Taux de contrôle des transports routiers de matières dangereuses
INDICATEUR 3.2
Infractions à la réglementation sociale euroenne constatées lors des contrôles
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