Résumé
C’est bien connu, à force de crier au loup, il finit par arriver.
C’est l’histoire d’un petit lapin indépendant et désinvolte qui n’aime pas
les contraintes. Chaque fois que sa maman ou sa maîtresse lui demande
de faire quelque chose, il détourne le problème en criant : « Au loup !».
Mais un jour, il découvre un loup dans sa maison, il se met à crier mais
personne ne le croit.
Album très coloré, couleurs vives et contours noirs.
Texte sur la page de gauche et illustration page de droite.
Exception : au cœur de l’album, illustration pleine page : le petit lapin est
confronté à la peur du loup !
Les personnages : le lapin, sa maman, la maîtresse, son papa… le loup ?
A noter, la disposition originale du texte et les variations typographiques
qui font ressortir les mots importants (voulait), insistent sur le sens
(petit), les mises entre parenthèses…
L’implicite : et comme sa maman avait peur du loup…
Nommer les personnages, définir leurs attitudes, leurs personnalités,
leurs émotions.
Reprendre l’histoire en s’attachant à chaque personnage : Que fait-il ?
Comment est-il ? Que pense- t’il ? Que pourrait-il dire ?
Repérer des indices dans les illustrations qui vont permettre de définir le
caractère de chacun, les mouvements…
Jouer l’histoire : chaque élève choisit un personnage.
Lexique : essayer de trouver d’autres verbes que dire, crier.
Noter qu’au début, quand il s’agit d’une blague, l’auteur emploie le verbe
crier puis quand la peur s’installe, l’auteur emploie le verbe hurler.
L’auteur va jouer avec les adjectifs : horrible, terrible, affreux,
abominable, effroyable…. (registre de la peur). S’amuser à trouver des
adjectifs dans d’autres registres (gourmandise…)
Arts visuels
Jouer avec l’image du mot : calligrammes de petit, pluie, vélo…
Dessiner des expressions d’un même personnage : la peur, la joie, le
chagrin… en faisant varier les éléments du visage.
Mettre l’histoire en bande dessinée en se servant des codes pour indiquer
le mouvement, en jouant sur les onomatopées, la typographie…