Programme RuralStruc
Les implications structurelles de la libéralisation sur l’agriculture et le
développement rural au …
Première phase : synthèse nationale
Contenu attendu du rapport de phase 1
Cette trame de sommaire du rapport de phase 1 (voir la trame résumée en dernière page)
détaille la structure qui a été discutée lors de l’atelier de M’bour (cf. le compte-rendu).
Elle précise, complète et développe certains aspects qui n’ont pu être abordés faute de
temps ; et elle renvoie à quelques notes spécifiques (signalées en gris) qui viennent ou
viendront en appui pour étayer le propos ou préciser certains concepts.
Cette trame est détaillée : elle vise à servir de guide d’accompagnement à l’exercice,
sans prétendre à l’exhaustivité. Elle doit être respectée afin que les comparaisons soient
possibles.
Le but de la première phase est de passer des éléments de contexte à la question centrale
du changement structurel et ses conséquences, qui est articulée autour des trois
hypothèses de : intégration-segmentation, impasses de transition et recomposition des
économies rurales. Les résultats obtenus seront affinés lors des études de cas de la
seconde phase.
Les intitulés des parties et sections sont bien sûr indicatifs. La liste des données à
rechercher fournit une orientation pour le travail de collecte. Ce sont bien sûr d’abord la
trame, l’esprit de l’exercice et l’enchaînement de l’exposé qui sont importants.
Pour chaque thème traité, l’objectif est de disposer des grandes évolutions et des
tendances et de repérer les ruptures majeures, puis de repositionner des faits concrets.
Les indicateurs servent à fonder le raisonnement et la démonstration : il est important
d’en disposer du plus grand nombre. Toutefois, plus que le nombre d’indicateurs
mobilisés, il convient d’identifier ceux qui sont indispensables et qui font sens, à la fois
par rapport au thème central du programme, et par rapport aux particularités nationales
[voir note sur les indicateurs].
Les équipes devront se concentrer sur le recueil des donnés nationales pour lesquelles
elles ont un « avantage comparatif » ; il serait contre-productif par exemple de
reconstruire des séries à partir d’indicateurs de la Banque mondiale. Dans cette optique,
une petite base de données statistiques pour chaque pays sera produite parallèlement par
l’équipe de la Banque mondiale à partir des sources d’information internationales
existantes (Banque mondiale, OCDE, FAO, PNUD).
Enfin, les séries d’indicateurs doivent être les plus longues possibles, en citant
précisément les sources : des années 1950 à aujourd’hui est la période de référence. Du
fait des problèmes de données évidents pour la période la plus ancienne, des « chiffres et
années repères » pourront être fournis.