LA CROIX DE JESUS CHRIST
Jn 19 : 16b-42
Verset clé : Jn 19 : 30
Par rapport aux évangiles synoptiques, Jean, l’auteur parle très peu de la
prédiction de la mort de Jésus. Par exemple, Marc raconte que Jésus après avoir reçu la
confession de Pierre qui disait : Tu es le Christ, se mit à parler ouvertement. Nous
appris il y a quelques semaines : Paresia qui signifie avec courage et assurance, de sa
mort et de sa crucifixion. Mais par contre, Jean parle dans son évangile, de l’heure de
Jésus. Est-ce 7 fois, il est intéressant de voir que ce chiffre correspond au nombre de
parole de Jésus sur la croix. En tout cas, l’auteur Jean pointe son évangile vers la mort
de Jésus Christ et met un accent incomparable sur cet événement.
Nous avons appris durant la conférence francophone d’été, que l’optique de
Matthieu était que Jésus est le roi et Matthieu essaie de convaincre ses destinataires qui
étaient juifs bigauts par la citation aussi fréquente que possible des promesses de
l’ancien testament. Mais l’optique de Jésus est différente. Son but de l’écriture de
l’évangile est qu’il démontre par les signes que Jésus Christ est le fils de Dieu. Et que
Jésus Christ est Dieu lui-même. Il met l’accent en citant les paroles de l’ancien
testament sur le fait que Dieu Créateur ne peut se contredire et qu’il est celui qui
accomplit ce qu’il avait promis. C’est la raison pour laquelle, ces mots de la bouche de
Jésus crucif‘Tout est accompli’ portent une grande importance pour l’auteur Jean.
Qui pourra dire à la fin de sa vie : ‘Tout est accompli ». Nous nous souvenons des
mots de Tolstoï qui disait ‘tragédie, tragédie’ et Marc TWAIN, « cela n’aurait pas du
être », mais en mourant sur la croix, Jésus dit : Tout est accompli. Juste avant ces mots,
il est dit : Jésus qui savait que cela déjà que tout est achevé, dit afin que l’écriture soit
accomplie : J’ai soif. Bien sûr que Jésus avait soif. Ce Dieu incarné souffrant dans la
chair humaine comme les hommes dans ce châtiment incomparable. Mais ces mots
sont sortis de sa bouche plus du fait lié à son obéissance à la volonté divine qu’à sa
propre soif physique. Ainsi aux yeux de l’auteur Jean fut reflété le fils de Dieu
rédempteur qui obéit en tout point à l’ordre de Dieu. Alors en quoi la mort de Jésus
est-elle un accomplissement comme il le disait.
Avant d’aborder ce sujet, je voudrais vous parler de cette tâche divine assumé et
achevé par Jésus Christ. Jésus Christ a certainement agis par volontarisme pour venir
sur la terre quand Dieu l’interpella. Qui enverrais-je ? Alors Esaïe disait ‘Me voici’.
De même qui mourrait pour l’humanité, le prix de ce salut est la mort sur la croix, le
supplice le plus cruel que l’humanité avait inventé. Mais Jésus se porta volontaire.
Parfois la mission vient du volontarisme. Je veux bien. Mais parfois elle vient par une
sorte d’imposition, d’obligation. Mais le fait qu’elle vient d’une sorte d’imposition ne
signifie pas que l’on peut facilement abandonner que le fait le fait d’être volontaire. Le
problème est surtout qu’il s’agit plutôt de comment y faire face. Selon John Stott,
Jésus n’était pas mort. Il a été tué mais qui l’a tué. Bien sûr que Judas par sa cupidité,
l’a livré aux leaders religieux qui par leur jalousie ont livré Jésus dans la main de
Pilate et qui de son côté ont livré à cause de son ambition ou par la crainte des hommes
Jésus aux mains des soldats. Mais Stott dit que ce n’est pas eux qui l’ont livré ou l’ont
tué, mais Dieu qui selon sa volonté l’a tué. Cela étant, Jésus a pleinement accepté ce
supplice redoutable. Mais si l’on voit l’autre partie de la Bible, Dieu parcourant la terre
ne trouva nulle part un homme intègre. Cette trouvaille serait d’autant plus nécessaire
que ce serait une victime expiatoire de l’homme mais il n’y avait personne parmi les
hommes qui puissent porter un tel fardeau. Donc Dieu choisit son Fils pour l’envoyer
au monde. Donc Jésus fut obligé d’assumer en quelques sortes cette lourde croix
malgré lui. Mais Jésus accomplit cette tâche bon gré mal gré en acceptant que c’était
sa tâche et enfin il finit par l’achever. Ici nous pouvons constater que Jésus accomplit
sa promesse coûte que coûte quoiqu’il fit dans une extrême angoisse de la mort. C’est-
à-dire que Jésus n’abandonne pas sa promesse dans son état le plus humble. Je pense
que ce fait est très important parce que le désir d’accomplir quelque chose peut être
intense dans le ur de l’homme. Par exemple, les gens de l’entourage de Braveik de
Norvège ont trouvé que cette personne avait un ferme caractère d’accomplir ce qu’il
avait décidé, désiré. Finalement dans son arrogance, il fut transformé en un démon.
Alors si c’est la volonté humaine de la sorte, nous pouvons nous interroger. Cela aurait
été mieux de ne pas avoir une volonté ferme. Mais dans cette état d’une extrême
humiliation dans laquelle, les bleus les cicatrices, le sang, partout Jésus ne renonça pas
à sa promesse mais en vain à la tenir et l’accomplir jusqu’au bout. En effet dans ces
mots, tout est accompli, comporte un sens très profond car c’est vraiment une extrême
humiliation et une souffrance indescriptible qui a été provoqué par tout le cumul des
péchés du passé, du présent et du futur de toute l’humanité pécheresse. Mais par cette
mort cruelle de la croix et par l’entière acceptation de cette mission, il en vint à
l’accomplir complètement. Donc dans ces mots, pèsent une sentence accablante de la
mort rédemptrice de Jésus pour tous les hommes. Autrement dit, tout son être toute sa
personne et toute son existence doivent être complètement offert comme une libation
pour le salut de l’homme.
Pour le message d’aujourd’hui, il me paraît assez judicieux de faire des citations
abondantes de John Stott que j’ai déjà cité, étant donné qu’il est bien décédé cette
semaine et de qui le Times dit : une des figures évangéliques les plus influentes et les
plus populaires, et c’est lui qui dirigeait la rédaction de l’alliance de Lausanne en
1974 qui ont réunis quelques 2300 leaders du monde de quelques 150 pays pour
affirmer le vouement à l’évangélisation du monde global. En un mot, Stott, la raison
de ce cruel supplice est pour atteindre le pardon. Un jour Stott avait rencontré un
docteur psychologique qui avait organisé une sorte d’association nommé, groupe
d’intégrité. Ce docteur a donné quelques séances en disant que tous les patients réunis
doivent faire une sorte de exomologesis, c’est un mot grec qui signifie : confession.
Mais le docteur ne le savait mais il disait que tous les patients doivent confesser tous
ce qu’ils ont fait dans le passé pour résoudre tous les problèmes de blessure, de
cicatrice… dans leur cœur. Alors Stott a dit à ce docteur qui s’appelle Mohrer, voyez
exomologesis signifie en grec : confession et pour la conception des chrétiens, la
confession a pour but d’obtenir le pardon. Alors ce docteur a répondu et nous n’avons
jamais pensé, nous ne réfléchissons pas sur le pardon. En effet pour atteindre le pardon,
John stott énumère 4 étapes nécessaires :
- La gravité du péché
- La responsabilité morale de l’homme
- La vraie et fausse culpabilité
- La sainteté et le courroux de Dieu
Il écrit dans son livre représentatif : La croix de Jésus Christ. Dans lequel il
donne une illustration excellente du monde moderne que les gens se posent des
questions pourquoi Dieu doit se donner une telle peine, des histoires très compliqués,
de la croix de Jésus pour résoudre le problème du péché de l’homme. N’est ce pas que
Dieu pardonne les pécheurs comme si entre nous quelqu’un pardonne son prochain et
oubli tous ses méfaits. En effet n’est-ce pas, le pardon est que nous donnons et que
nous accordons aux autres n’imposent pas au préalable la mort de quelqu’un. Pour y
répondre, Stott cite Anselme qui avait vécu au 11ème siècle, qui disait, si une personne
s’imagine que Dieu peut nous pardonner de la même façon que nous pardonnons aux
autres, c’est qu’elle n’a pas encore compris la gravité du péché. Ou plus littéralement,
combien lourd est le péché. Alors qu’est-ce que le péché. Sans avoir besoin de nous
évoquer le mot grec qui correspond à Hamartia qui suggère que l’homme n’a pas
atteint la cible visée, qu’il a échoquant au but poursuivi, le péché est surtout la
coupure avec Dieu à cause de la violation de sa loi. Or tous ont péché et sont privés de
la gloire de Dieu dit la Bible. Or le péché a une étroite relation avec notre esprit
indépendant. Quand Esaïe 53 : 6 dit : Nous étions tous errants comme des brebis,
chacun suivait sa propre voie, nous avons abandonné la position de dépendance
qu’implique notre condition de créature et nous tentons de conquérir notre
indépendance. Selon Stott, la définition d’un certain théologien Brüner était le plus
adéquat à ce sujet dont il cite : Le péché est un défi lancé à Dieu, le désir arrogant
d’être égal de Dieu. La prétention humaine à l’indépendance vis-à-vis de Dieu et la
naissance de la raison, de la morale, de la culture autonome. Je voudrais vous citer la
remarque du psychiatre américain, Karl Meringer, qui était un observateur perspicace
de la condition humaine selon la présentation de Stott. Il décrit dans son livre le
malaise qui s’est emparé de la société occidental et il observe son humeur maussade.
Et il fait cette constatation suivante, on y évite toute mention du péché. Autrefois
ajoute-t-il, tout le monde avait ce mot présent à l’esprit, et aujourd’hui, rare sont ceux
qui le prononce. Or cela signifierait-il que le péché n’intervient pas dans le malheur de
la société ? Selon lui, la notion de péché s’est dissipé et absorbé en d’autres choses,
soit dans le crime poursuivi et punit par la police. On confond. Soit dans une maladie
psychiatrique qui demande des traitements médicaux. La conception du ché est
devenue très floue. Ensuite vient le problème de la responsabilité. En résumé, notre
responsabilité peut être atténuée par la situation atténuante. Par exemple dans la Bible,
il est souligné que l’homme après avoir rencontré Jésus Christ, il garde quant même de
la faiblesse, constamment asservi au monde, à la chair et au diable. Cela ne change pas
grand-chose après avoir rencontré Jésus Christ nous semble-t-il. C’est une situation
atténuante selon laquelle l’apôtre Paul disait une fois que selon l’intelligence je suis
esclave de la loi de Dieu mais selon mon désir de la chair, je suis esclave de la loi de la
mort. Donc Dieu considère en quelque sorte la situation atténuante mais pourtant cette
atténuation Dieu ne supprime jamais la responsabilité. Alors l’homme est obligé de
subir la conséquence de ce qu’il a fait un jour devant Dieu car l’homme est créé par
Dieu comme les créatures libres, capables de faire des choix, de raisonner et de
prétendre librement leur décision.
Ensuite la troisième chose était, le problème de la culpabilité. S’il y a un
problème de culpabilité, il y a la fausse joie, c’est-à-dire une joie superficielle basée
sur un pardon que l’on croit avoir mais à tort. Mais il y a aussi la fausse culpabilité, par
exemple on verse les larmes très facilement sur des fautes insuffisamment ressenties
comme telles. Jésus a dit précédemment à Pilate : Tu n’auras sur moi aucun pouvoir
s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui me livre à toi est coupable
d’un plus grand péché. La culpabili juste et vrai qui est sortie est nécessaire pour
obtenir le pardon. Ces jours les gens critiquent en disant que l’église rend les hommes
malades pour obtenir la conversion après. Il y en a qui se dise sans péché car ils
n’éprouvent aucun sentiment de culpabilité mais qui souffre en fait d’un mal plus
grave. Donc le rôle de l’église est le suivant : qu’il aide les gens à être conscient de
leur maladie et les encouragent à se tourner vers ce grand médecin, sus Christ. Mais
attention, se sentir coupable n’est pas le but en soi. Le péché confesser défriche
franchement un chemin vers le salut. Selon la quatrième étape pour atteindre la pardon
selon Stott, le saint courroux de Dieu. Ce dernier terme s’est révélé dans la Bible de
différents termes pour exemple, Dieu se fait appelé très haut, et distance ou lumière et
feux ou vomissement, mais dans l’assemblée le sentiment exaltant prend de
l’importance, il risque que la superficialité et la légèreté domine. Malgré l’ambiance
très chaude, on observe que parfois l’église est froide, voire timide, tiède, à cause de ce
manque de grâce venant du pardon. Quelle est la raison ? Stott Dit que notre insistance
évangélique à mettre l’accent sur l’œuvre de l’expiation peut être dangereuse si nous
brûlons les étapes. Nous avons appris 4 étapes. C’est dans ce sens, si je cite encore
notre théologien Daal, est très significatif, c’est que en partie parce que le péché ne
provoque pas de colère en nous que nous ne croyons pas qu’il provoque la colère de
Dieu. Maintenant nous pouvons comprendre mieux pourquoi Jésus dut supporter un tel
cruel supplice sur la croix en répandant son sang précieux. C’est pour porter notre
péché grave. Et notre responsabilité lourde indéniable d’avoir commis le péché. Notre
culpabilité est le sein courroux de Dieu. Il est évident que comparé le pardon de Dieu à
celui entre les hommes est non seulement un acte inutile mais un acte arrogant de la
part de l’homme qui se substitue à Dieu. J’ai lu récemment un livre: La croix de Jésus,
car le célèbre auteur a contribué énormément à la chrétienté occidentale me semble-t-il
est une sorte d’hommage à lui. L’auteur soulignait que l’église ne peut jamais se
rétrécir quoique parfois les membres diminuent en quittant. La raison en est que Dieu
attire ce qu’il a destiné à être sauvé. Donc selon l’auteur, les gens qui quittent l’église
étaient des faux chrétiens qui n’étaient pas dès le début dans la liste des sauver. Donc
il n’y a pas de diminution du nombre. C’est l’arithmétique divine. La croix de Jésus en
est une autre. Les gens se diront que si Jésus a porté une si lourde croix comme une
conséquence des péchés de toute l’humanité alors ma portion dans cette souffrance ne
sera pas minime. Mais c’est faux car Jésus a souffert sur la croix à cause de vous et à
cause de moi. La Bible dit que par la désobéissance d’un homme Adam, le péché est
entré dans le monde. La puissance du monde d’un individu est assez grande pour
dérégler tout l’ordre de l’univers. Quand nous commettons le péché, nous sommes peu
conscient de ce fait à cause de notre ignorance au niveau individuel. Plus les sciences
des mondes modernes se développent, plus cette ignorance se propage. Qui suis-je moi,
parmi tant de personnes sur la terre ? Qu’est-ce que notre planète parmi tant d’astres
dans la galaxie. Mais l’homme doit savoir que Dieu met l’importance inégalée. C’est-
à-dire égal à l’univers si vous voulez dans un être humain. Dieu créa l’homme comme
son alter ego. C’est pourquoi lorsqu’il tombe dans le péché, il mit et cherche sa
restauration coute que coute. C’est pourquoi il a livré son fils sur la croix. Donc
chaque fois que nous tournons le dos à Jésus, et nous nous en allons selon notre nature
propre, coupable, nous clouons Jésus de nouveau. Il y a quelques années, un cinéaste
voulut décrire ce supplice avec beaucoup de couleur et de sang, tellement cruel que les
quatre évangélistes gardent le silence en ce qui concerne sa description. Si bien qu’à
chaque évangile un demi-verset y est attribué. Mais l’atrocité de cette croix y est
inexplicable. La raison de cette invention est peut-être contraire à la guillotine. Que le
condamné ne meurt pas instantanément et meurt à longue haleine. Il dut supporter sa
peine aussi longtemps que possible jusqu’à épuisement total. Le psaume 22 le décrit le
mieux avec ce langage humain. Je suis comme de l’eau qui s’écoule et tous mes os se
disloquent. Mon cœur est comme de la cire, il se fond au milieu de mes entrailles. Ma
force s’assèche comme l’argile et ma langue s’attache à mon palais. Dieu me réduit à
la poussière de la mort.
Revenons à ce cri de Jésus : tout est accompli. Par sa mort, l’œuvre rédemptrice
est accomplir, c’est-à-dire que le pardon du péché est accordé à toute âme qui accepte
son sacrifice. Pour les mahométans, cette croix est inutile et impensable car chacun
doit s’occuper de son propre fardeau. Chacun doit accomplir son propre salut en
exerçant de bonnes actions durant sa vie. Mais pour les chrétiens, Jésus porta ce lourd
fardeau à leur place car Dieu sait que le fardeau du péché est trop lourd à porter pour
l’homme. Pourtant ce fardeau substitutif n’est pas pour que nous étions libérés, nous
commettions librement de nouveau le péché. Emu de la grâce, l’homme ne reviendra
pas à ses anciens péchés. Le sens de responsabilité est nécessaire comme Stott l’a
souligné, mais c’est jusqu’à ce que nous rencontrions notre rédempteur, après quoi
nous ne sentons plus cette lourde responsabilité, car il a porté tout à notre place.
Combien c’est une pensée redoutable d’aller nous présenter devant Dieu avec tous les
péchés que nous avons commis en public et en privé. Mais devant cette croix de Jésus,
nous pouvons être pleinement délivré de nos fardeaux et nous pouvons vivre une vie
nouvelle pleine de bonheur et de gloire. Gloire à Dieu.
Si nous lisons le récit de la croix continuellement, nous voyons que même après
la croix de Jésus, Dieu ne cesse de travailler pour la rédemption du monde. Jésus est
mort donc il est parti dira-t-on. Mais l’œuvre salvatrice de Dieu n’est pas arrêtée.
Premièrement Dieu utilise les hommes restants pour ce but continuellement et
deuxièmement Dieu lui-même continue d’accomplir ses promesses. Dieu néglige
jamais ceux qui respectent la promesse et s’efforcent de l’accomplir. Dieu prend le
relai et continue de tenir sa promesse. Ainsi en voyant qu’il fut déjà mort, le soldat ne
brisa pas la jambe selon la coutume mais perça seulement le côté par la lance. C’était
pour que s’accomplisse deux paroles. Aucun os ne sera brisé et puis ils regardent à
celui qu’ils ont percé. Ensuite vient Joseph d’Arimathée qui demanda le corps de Jésus
à Pilate, prit ce corps et l’ensevelit dans son tombeau bien taillé. Il n’y avait personne
qui pensaient à son ensevelissement ou sa mère ses proches pouvaient aller
chercher le corps de Jésus. Mais dans ce cas, il aurait été difficile d’accomplir une
1 / 6 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !