CIRAPIP : Collaboration avec la mairie, la gendarmerie (contentieux entre agriculteurs et
éleveurs), la direction de l’Alphabétisation, le service hydraulique. Mise en place d’un cadre de
concertation mairie-groupement de production éleveur.
SUO : Echange avec la commune de Dogbo, par rapport aux activités menées dans le cadre de la
mise en place d’une unité de transformation de manioc.
LE chef d’arrondissement (C.A.) de Lokogohoué est toujours à nos côtés et lors de la visite des
partenaires belges, c’est le C.A qui a présenté les activités de SUO. Intégrer le réseau d’IES dans
ces activités. Voir comment la mairie peut avoir un budget pour répliquer les activités vers
d’autres localités de la commune.
CAO : Accompagnement de la mise en place de 25 IES pour la mise en place d’une caisse
d’épargne-crédit. Introduction d’une lettre sur ce qui se fait et ce que nous comptons faire dans
la localité de la mairie. Echange avec le responsable de l’alphabétisation de la mairie pour les
appuyer dans cette activité ce qui a permis de faire le choix des maîtres alphabétiseurs.
Le CA a aussi été sensibilisé pour la mise en place de l’unité de transformation de manioc dans la
localité. Il a promis de défendre les activités des IES dans la section budgétaire de la mairie pour
novembre.
Suggestion de la mise en place d’un cadre de concertation au niveau de la mairie car beaucoup
d’ONG interviennent dans la localité, mais pas en synergie afin de mieux orienter les actions de
tous et savoir qui fait quoi.
Démarrage d’un stage de fin de formation à la mairie de Houeyogbé dans une administration :
constat la commune peut beaucoup apporter et c’est au niveau des élus que nous constatons
qu’ils n’ont pas intériorisé cela. C’est également une piste pour développer des actions de
relations avec les autorités locales.
CEBDIBA : Organisation des journées de réflexion pour les groupements de femmes mis en
réseau. Augmentation de la caisse du réseau des femmes qui est passé de 300 mille et 3 millions.
Le chef village est impliqué dans les activités avec aussi le C.A de Tokanmè-kpodji (Commune de
Kloukanmè). Sensibilisation sur le Lévira et les maladies sexuellement transmissibles avec un
résultat de 35%. Amener les groupements à savoir comment faire le plaidoyer envers les
autorités locales. Mise en place d’un champ d’un hectare pour la production de manioc par les
groupements, mais le titre de donation n’est pas définitif.
Présentation des travaux des autres pays
Un petit document fut distribué reprenant des élémenst des autres pays.
Au Niger et au Sénégal les participants ont agancé les différents éléments de EESS dans des figures.
L’effet de ces formes de présentation permet d’avoir à l’idée les six quatre facteurs et comment elles
interagissent/
Dans le schéma du Niger il est mis l’accent sur l’équilibre entre l’association et l’entreprise. Dans le
schéma du Sénégal c’est la culture démocratique qui châpaute le tout. L’entreprise doit avoir un
statut d’entreprise mais en même temps d’un collectif. Mais ce qui garantit la finalité sociale c’est la
culture démocratique.
Chacun est donc libre de produire d’autres formes qui visualisent les différents aspects et leur
interdépendence.