Rapport 3ème Atelier EESS Du Lundi 7 au 10 décembre à Bohicon / BENIN Parole aux différents groupes thématiques et par structure 1-Groupe thématique sur l’entreprenariat Chef de fil du groupe thématique sur l’Entreprenariat L’animateur de ce groupe thématique, qui se trouve être la représentante du CEBEDES, a eu à échanger les informations avec solidarité mondiale et le CAO sur la Matrice Intégrale de Développement Entrepreneuriale (MIDE). Ce qui a permis l’application de cet outil de diagnostique présenté lors du précédent atelier par ces structures. Ces échanges ont permis de réduire les composantes de la matrice de 10 à 4 (pour le CEBEDES) et 5 (pour le CAO). Seulement les échanges n’ont pas été ouverts aux autres membres du groupe thématique. - - - - Le CEBEDES : a pu exploiter la matrice adaptée aux IES qu’il appuie et les résultats de ce travail ont été présentés. Aussi, les quelques contraintes survenues lors de l’application de la matrice ont été rappelé et qui sont entre autres : la compréhension des cases de la matrice et donc la difficulté à administrer l’outil en langue locale. Toujours dans le domaine de l’entreprenariat, le CEBEDES a pu aider au moins 4 IES à élaborer le plan d’Action et quelques outils d’auto évaluation. Le CAO : a également pu appliquer la matrice et ce, adaptée aux IES qu’il appuie. Les résultats de ce travail ont été aussi présentés, tout en mentionnant les mêmes contraintes que ceux mentionnées par le CEBEDES. Le DEDRAS : n’a pas pu nous faire un point de ce qui a été fait sur le thème entreprenariat car le représentant à cet atelier n’avait pas participé aux différents ateliers précédents et donc, n’a pas pu être briffé sur ce qui a été fait. Le CBDIBA : Les SUO : Le CIRAPIP : 2-Groupe thématique « Relation avec les autorités locales » : Le chef de fil de ce groupe thématique étant absent, ainsi que la majorité de ses membres, il n’a pas été possible d’avoir le point de ce groupe thématique. Néanmoins les autres structures présentes ont partagés leurs expériences en la matière : Le CEBEDES : Le maire a été sensibilisé par l’initiative des activités. Il a promis d’intégrer les activités et doléances dans le PDC de la commune et que Solidarité Mondiale à travers CEBEDES viennent sensibiliser le conseil communal. Le CEBEDES doit faire un suivi à ce niveau. Aussi dans la mise en place d’un champ démonstratif de production de semences améliorées, la CEBEDES a initié un partenariat avec le CeCPA qui suit à travers un agent technique le champ et plus tard les IES pourront fournir de la semence améliorée au PUASA via le CeCPA pour toute la commune. CIRAPIP : Collaboration avec la mairie, la gendarmerie (contentieux entre agriculteurs et éleveurs), la direction de l’Alphabétisation, le service hydraulique. Mise en place d’un cadre de concertation mairie-groupement de production éleveur. SUO : Echange avec la commune de Dogbo, par rapport aux activités menées dans le cadre de la mise en place d’une unité de transformation de manioc. LE chef d’arrondissement (C.A.) de Lokogohoué est toujours à nos côtés et lors de la visite des partenaires belges, c’est le C.A qui a présenté les activités de SUO. Intégrer le réseau d’IES dans ces activités. Voir comment la mairie peut avoir un budget pour répliquer les activités vers d’autres localités de la commune. CAO : Accompagnement de la mise en place de 25 IES pour la mise en place d’une caisse d’épargne-crédit. Introduction d’une lettre sur ce qui se fait et ce que nous comptons faire dans la localité de la mairie. Echange avec le responsable de l’alphabétisation de la mairie pour les appuyer dans cette activité ce qui a permis de faire le choix des maîtres alphabétiseurs. Le CA a aussi été sensibilisé pour la mise en place de l’unité de transformation de manioc dans la localité. Il a promis de défendre les activités des IES dans la section budgétaire de la mairie pour novembre. Suggestion de la mise en place d’un cadre de concertation au niveau de la mairie car beaucoup d’ONG interviennent dans la localité, mais pas en synergie afin de mieux orienter les actions de tous et savoir qui fait quoi. Démarrage d’un stage de fin de formation à la mairie de Houeyogbé dans une administration : constat la commune peut beaucoup apporter et c’est au niveau des élus que nous constatons qu’ils n’ont pas intériorisé cela. C’est également une piste pour développer des actions de relations avec les autorités locales. CEBDIBA : Organisation des journées de réflexion pour les groupements de femmes mis en réseau. Augmentation de la caisse du réseau des femmes qui est passé de 300 mille et 3 millions. Le chef village est impliqué dans les activités avec aussi le C.A de Tokanmè-kpodji (Commune de Kloukanmè). Sensibilisation sur le Lévira et les maladies sexuellement transmissibles avec un résultat de 35%. Amener les groupements à savoir comment faire le plaidoyer envers les autorités locales. Mise en place d’un champ d’un hectare pour la production de manioc par les groupements, mais le titre de donation n’est pas définitif. Présentation des travaux des autres pays Un petit document fut distribué reprenant des élémenst des autres pays. Au Niger et au Sénégal les participants ont agancé les différents éléments de EESS dans des figures. L’effet de ces formes de présentation permet d’avoir à l’idée les six quatre facteurs et comment elles interagissent/ Dans le schéma du Niger il est mis l’accent sur l’équilibre entre l’association et l’entreprise. Dans le schéma du Sénégal c’est la culture démocratique qui châpaute le tout. L’entreprise doit avoir un statut d’entreprise mais en même temps d’un collectif. Mais ce qui garantit la finalité sociale c’est la culture démocratique. Chacun est donc libre de produire d’autres formes qui visualisent les différents aspects et leur interdépendence. Au Congo R.D. le groupe est travaille surtout sur l’approche filière. Mais elle constate que si l’ensemble de la chaîne est capital (pour bien produire et vendre à profit) chaque segment doit être rentable et géré comme une entreprise. Un partage de rôles entre différents acteurs permet de se professionaliser sur un segment. Elle s’est aussi penché sur l’aspect genre. Le constat est que dès que l’on transforme une culture en culture de rente (vente commerciale de surplus) ce sont les hommes qui s’accaparent du bénéfice. Le dennier atelier en Belgique traitait du financement des EESS. Ce fut le sujet de présentation et de débat entre des gestionnaires de dossiers en Belgique travaillant sur des projets de développement en faveur de l’économie sociale. (voir le rapport sur le site) Acteurs Ressources ONG N/S Dimensionner Affecter Entités décentralisées V Institutions de finances N/S Clients Filières EESS N/S 0 Préfinancement Investisseurs privés N/S X X Co-Actionnaires X X Leasing 1 X X Dons et sponsors locaux X X ? Lignes de crédit (Payement des intérêts est à prendre en compte ici) X 0 X Subventions X ? X ? - L’idée étant que plusieurs stratégies sont possibles.mais qu’ilfaut d’abord bien fiare son travail de dimensionnement des besoins financiers. Trop souvent les budgets sont surdimensionnés et ne permettent pas de rentabiliser les fonds de roulement et investissements faits. Il faut croître lentement mais surement et ce en grande partie sur base des bénéfices réinvesties. Le cas contraire on vit vite au dessus de ses moyens et on consomme des ressources sur des charges fixes sans productivité y relative. ECHANGE SUR LA MATRICE MIDE La matrice MIDE basée sur l’original Espagnol traduit par ATOL, a été expérimentée au Bénin par deux partenaires de WSM avec l’appui-conseil de Rémi. AU Sénégal un partenaire de Broederlijk Delen l’a également expérimenté. Les participants en ont eu la copie. Elle distingue trois niveaux : 1 Système de location vente d’équipements à payer par tranche) ce qui permet de répartir le coût d’achat de l’équipement sur toute la période et donc permet de ranger ce coût parmi les coûts variables. 1. Entrées : est-ce que les outils et analyses sont en place, est –ce que les ressources ou bases sont là pour pouvoir produire ? Il s’agit donc pratiquement de préalables. 2. Opérateurs de changements : Comment est-ce que cela fonctionne en réalité. 3. Sorties : Quels sont les effets, résultats ou encore incidences Analyse : l’usage de couleurs permet d’avoir une vue d’ensemble des points forts et points faibles. En effet, différents niveaux ou degrés de mise en place corespondent avec différents couleurs. Le tableau ou matrice de synthèse sert donc à comparer les compartiments (Entrée ou références, O.C ou mise en œuvre, sortie ou résultats) Nous avons procédé à l’étude de la matrice de MIDE (Modèle Intégral de Développement Entrepreneurial). Cet outil permet de mesurer la performance entrepreneuriale. L’étude détaillée des différentes composantes de la matrice nous a amenés à une meilleure compréhension de l’outil afin de nous en servir au niveau de nos organisations. Après l’interprétation des quatre colonnes déjà expérimentées par CEBEDES les participants se sont penchés sur l’élaboration d’une colonne en lien avec l’apprentissage organisationnel. Pour que les associations puissent évoluer vers de entreprises de type EESS, il leur faut mettre en place des pratiques d’apprentissage. En annexe nous reprenons les élemnts de contenu plus détaillé et concret des différentes cases. Présentation des plans d’action de CEBEDES Nous avons terminé la journée par la présentation du plan d’action 2010 de l’IES GANTCHE HO de Domè, dans la Commune de Zogbodomey, réalisé par Madame Mireille HOUINSOU. Par le biais de cette présentation, le facilitateur de l’atelier a eu à nous montrer comment nous pouvons nous servir de l’outil SEPO dans nos IESS (Initiatives d’Economie Sociale et Solidaire). LES RELATIONS AVEC LES AUTORITES LOCALES Lors dela présentation il s’est avéré que chaque participant a travaillé dans ce domaine. L’atelier précédent a aidé à prendre conscience que l’économie sociale et solidaire est une responsabilité partagée des ONGD et des autorités locales. Chacun de son coté peut y jouer un rôle. Les thèmes abordés avec elles sont par exemple relatifs à : - la gestion des conflits entre éleveurs et agriculteur, - la fourniture de semence améliorée - l’élaboration de label pour les produits - l’invitation aux séances de rencontre avec la délégation des bailleurs - le choix des alphabétiseurs - l’octroi de parcelles et de locaux Un rappel est fait sur le MINDMAP élaboré ensemble lors la séance précédente. Ainsi, pour travailler avec les autorités locales, il faut tenir compte des aspects stratégiques suivants : - plaidoyer/lobbying pour qu’elles s’impliquent - sensibilisation pour qu’elles comprennent l’intérêt - communication pour que l’on valorise les informations et opportuniéts - travailler avec les techniciens de la Commune pour plus d’efficience En se basant sur l’expérience du CANADA, les éléments ci-après ont été abordés pour compléter les éléments de relation avec les autorités locales du Mindmap. En effet au Canada les autorités ont des budgets spécifiques pour subventionner les initiatives dans le domaine de EESS. Ellesont élaborés des grilels d’analyse pour pouvoir juger de la pertinence relative d’un programme EESS par rapport à un autre et ainsi faire des choix judicieux à qui donner des fonds publics et sous quelles conditions. Un élément important est l’ANCRAGE DES EESS L’ancrage comme apprécié en annexe (avec des témoignages et appuis bénévoles et financiers) reste un peu subjectif. Il faut faire un effort d’une part de quantifier et d’autre part de démontrer de par la nature des services rendus qui ne sont intéressantes, accessibles et disponibles (que) pour certaines couches. Faire la nuance entre le taux de pénétration (élément d’analyse de sa part dans le marché potentiel) et le taux d’ancrage (niveau social). Pour les politiciens, sensibles aux aspects de régionalisme, le taux de couverture et même la répartition géographique sont également importantes. Un autre paramètre est l’UTILITE SOCIALE DES EESS (cfr annexe) L’utilité sociale est importante puisqu’elle permet d’apprécier l’incidence et l’impact de l’action de l’EESS. C’est cet impact social que l’on peut tenter de “convertir” dans un gain économique (pour le budget de l’Etat) et ainsi justifier les subventions éventuelles reçues. Les éléments suivant peuvent jouer: Accessibilité des offres et service Revitalisation économique et sociale du territoire Amélioration des conditions de vie des individus ou communautés Effet sur la cohésion sociale et le renforcement des solidarités Qualité des services offerts Renforcement des liens d’appartenance à un territoire ou à une communauté Le niveau de démonstration de l’utilité sociale part du service rendu, pour apprécier ensuite l’emploi (ou employabilité) crée. Viennent ensuite des effets indirects comme ceux dus au mode de gestion, et enfin l’impact a proprement parler. Par rapport aux éléments de la grille du dit document (voir en annexe) Au niveau de service rendu, l’élément ‘’absence de substitution d’emploi public ou privé’’ peut être remplacé dans notre contexte par « concurrence déloyale » Au niveau d’effet du mode de gestion, il faut tenir compte du contexte local. RELATIONS AVEC LES AUTORITÉS LOCALES Par rapport aux relations avec les autorités locales, les aspects stratégiques ont été approfondis. Au niveau de la communication, des expériences ont été présentées. - cas de la présence des autorités locale lors de la visite des délégations étrangères - cas des micros crédits avec les plus pauvres où il faut impliquer les autorités locales - cas de l’implication des autorités pour leur expliquer la nécessité de la contribution que la communauté doit apporter et celle de la commune La communication est un élément essentiel sur lequel les acteurs de terrain doivent s’appesantir pour informer régulièrement les autorités locales sur les actions en cours dans la commune. Pour se faire, il faut mettre à leur disposition des rapports d’activités et capter les opportunités existantes. Il existe au niveau des Ambassades des reliquats qui sont destinés à financer les réseaux forts intervenant dans les communes et qui ont participé à l’élaboration des PDC. Une autre stratégie est d’impliquer les techniciens en service au niveau de la commune. A cet effet, il importe de prévoir un budget pour la motivation de ces techniciens. L’INTERACTION ENTRE LES DIFFERENTS ASPECTS DE L’EESS. La réflexion sur les relations entre les composantes de gestion associative, de culture démocratique, de l’approche genre, de l’approche filière, de l’alphabétisation économique avec les relations avec les services de l’état et la gestion entrepreneuriale a amené les participants à organiser des travaux de groupe. Les deux thématiques expérimentées ont été analysées par rapport aux 6 autres aspects. A l’issue des travaux les résultats suivants ont été obtenus après amendement : Groupe 1: Relation des composantes avec la gestion entrepreneuriale Gestion associative Organigramme Orientation stratégique Capacité de mobilisation en nature et/ou en espèce Gestion des conflits Reconnaissance officielle Capitale relationnel et de confiance (réseautage) Culture démocratique Participation des membres au processus de la prise de décision Services fournis Affectation des bénéfices Représentation Communication (transparence) Relation services d’Etat Statut fiscal Appui technique Subvention Gestion Entrepreneuriale Optimisation des bénéfices Flexibilité des heures de travail Même salaire pour le même travail Accès équitable aux services en tant que membres de l’entreprise Niveau de services spécifique permettant aux femmes de faire carrière Approche genre Organisation du système de production Intégration verticale Connaissance des concurrents Diversification des sources d’approvisionnement sur le marché Approche filière Accès à l’information du marché Qualité de l’offre sur le marché Equilibre entre offre et demande Bonne gouvernance (gestion comptable et financière) Production ou travail anticipatif Commerce équitable Alphabétisation économique Groupe 2 : Relation des autres composantes avec les relations avec les services d’état GESTION ASSOCIATIVE Reconnaissance officielle GESTION ENTREPRENEURIALE Paiement des taxes au niveau local Mission, objectifs, activités Effectif Reconnaissance officielle Formations techniques Structuration (organes en place) Facilitation d’accès aux infrastructures secondaires (parcelles, eau, électricité) CULTURE DÉMOCRATIQUE Cohésion (comme résultat d’une bonne culture démocratique)2 Communication (Transparence) Participation des membres aux processus de prise de décisions →Services fournis →affectation des bénéfices Le respect du principe : une personne, une voix Qui sont les responsables (crédibilité, réputation) Couverture géographique (localité de provenance des membres) RELATION AVEC LES SERVICES D’ETAT leur participation effective aux prises de décision de l’association Respect de la politique nationale en matière de représentativité des femmes dans les organes Dispositif prévu pour faciliter aux femmes le renforcement de leurs capacités et l’accès aux postes, responsabilités, Types de spéculations (informations importantes pour la monographie de la Commune) Les segments de la filière dont s’occupe l’association Spécificités des produits de l’association Affiliation à une faîtière, association professionnelle Protection du marché des produits locaux Développement du marché au niveau communal pour une perception de taxes Contrôle des poids et des mesures utilisés sur les marchés Amélioration des voies d’accès Information sur les prix sur les marchés environnants Participation au règlement de conflits APPROCHE GENRE 2 APPROCHE FILIERE ALPHABETISATION ECONOMIQUE La cohésion au sein de l’association pourrait empêcher sa récupération par le politique Exemples d’indicateurs d’ancrage (repris du manuel Canada) (pg84)3 Compléter par un nombre ou une appréciation 1> (fort /moyen /faible) existence de témoignages d’appui : - Personnes d’influence - Organismes territoriaux - Organismes sectoriels - Organismes reliés à la clientèle 2> existence ou disponibilité d’appuis logistiques, de services offerts ou de liens de commercialisation provenant de ces organismes Présence de bénévolat dans le cadre des activités : - Nombre de personnes - Nombre d’heures Autorisations ou agréments obtenus auprès d’instances gouvernementales 3 & 4 > provenance des membres du conseil d’administration : - Appartenance à d’autres organisations - Niveau d’intensité de l’implication - Appartenance à des regroupements - Sectoriels - Territoriaux - Reliés à la clientèle 5 > Engagements de financement prévus ou consentis PRÉSENTATION DE LA GRILLE DES TYPES D’APPUI DES EESS Les participants ont suivi une présentation de la grille des types d’appui des EESS en fonction de leur niveau de maturité. A la suite des explications fournies par le modérateur sur le contenu de la grille, ils ont été invités à la remplir chacun, en tenant compte des réalités des IES qu’il accompagne. Le résultat obtenu au terme des échanges est la synthèse que représente le tableau ci-dessous : 3 Modèle d’analyse des entreprises sociales: cahier du participant Synthèse de la grille des types d’appui des EESS en fonction de leur niveau de maturité Caractéristiques 1-EESS en naissance Exemple : en formation ou tout au départ, groupe en train de se structurer * Risques : Difficultés -Pas d’outils de gestion performants -Inexistence de statut et de règlement - Pas de reconnaissance officielle -Pratique d’activités économiques par membre -Absence de services communs offerts aux membres -gestion financière -gestion entrepreneuriale 2-EESS en développement Exemple : EESS commence ses activités économiques * Risques : -Cohésion sociale -conflits liés à la répartition des revenus -conflits d’attribution -participation inégale aux activités -Absence de mécanisme de choix du participant aux différents ateliers de formation -Augmentation du capital -Gestion …. -Problème organisationnel -Augmentation de la production -Absence de la culture de redevabilité (culture démocratique) Stratégies d’accompagnement -Appui accompagnement à la mise en place d’outils de gestion adéquats -Appui accompagnement à l’obtention d’une reconnaissance officielle -Pratique d’activités communes (coopérative) -Mutualisation des moyens -clarifier la mission de l’association (le bénéfice que les membres en tirent) -Renforcement de capacité en matière de vie associative et de culture démocratique -Utilisation de l’outil MIDE -Compte de trésorerie -Compte d’exploitation -Mise en place d’un cadre de gestion pour l’utilisation de ses équipements -Sensibilisation dans le village (utilisation de l’outil sur « utilité sociale….) -Renforcement des capacités en esprit coopératif -Appui au respect des textes statutaires -Appui à la bonne tenue des outils de gestion -Renforcement de capacité organisationnel et de plaidoyer pour l’accès facile à la terre -Appui à l’élaboration d’un Plan de marketing -Renforcer les relations avec les autorités locales -Auto Evaluation -Renforcement de capacité technique -Transparence Caractéristiques 3-EESS en croissance * Risques Exemple : Risque de perdre sa structure démocratique de s’éloigner de sa mission sociale Difficultés -Absence de plan d’Action et de développement -Absence d’équipements adéquats pour la nouvelle activité économique -Absence de plan d’affaire pour la nouvelle activité -Augmentation de l’effectif -Problème de leadership -faible marge bénéficiaire Stratégies d’accompagnement -Atelier de formation pour l’élaboration de Plan d’Action, Plan de développement et Plan d’affaire pour la nouvelle activité -Mobilisation sociale et mise en place d'une unité de transformation -Vulgarisation des services offerts aux membres aux autres membres de la communauté locale -Appui accompagnement au renouvellement des officiels du groupement -Appui à l’élaboration d’un compte d’exploitation prévisionnel et analytique 4-EESS en maturité dans un contexte changeant * Risques : ANIMATION DES DEUX THÉMATIQUES RETENUES. Pour ce qui est de l’animation des deux thématiques, selon les engagements pris ou renouvelés par les participants, on peut les répartir comme suit : Approche entrepreneuriale Nom et prénoms Organisation HOUINSOU Mireille CEBEDES (Lead) OLOU Rémi WSM De Souza Marino CAO – Bénin SAÏ Benoît CIRAPIP Relations avec les autorités locales Nom et prénoms Organisation De Souza Marino CAO – Bénin (Lead) HOUINSOU Mireille CEBEDES SAÏ Benoît CIRAPIP OLOU Rémi WSM AGOSSOU Camille CEBEDIBA ACLOVI Joseph CEIRAD ZIME Pierre DEDRAS - ONG ADEOCHOUN Mariam SUO Il est utile de mentionner qu’en l’absence du représentant de l’ONG ALDIPE, Monsieur TOSSA Bernardin, qui assurait le lead de la thématique Relation avec les autorités locales, et mû par le souci de faire fonctionner au mieux les groupes thématiques, un autre chef d’équipe a été désigné. Cette charge revient désormais à Monsieur Marino A. de Souza du CAO- Bénin. Enfin, Monsieur Patrick Vanderhulst a informé l’assistance de ce qu’un fonds de trois mille euros est mobilisé pour appuyer la capitalisation/documentation de quelques expériences de R A. Les participants ont donc été invités à travailler de manière à pouvoir saisir cette opportunité. Grille d’appréciation de l’utilité sociale (p 57, 58 & 59) Compléter par une association (fort, moyen, faible) et souligner les aspects MAJEURS pour le projet L’accessibilité (physique, culturelle, économique) de l’offre des biens et services La revitalisation économique et sociale de territoire L’amélioration des conditions de vie (santé, transport, alimentation, éducation) des individus ou communautés Les effets sur la cohésion sociale et le renforcement des solidarités La qualité des services offerts (la primauté accordée à la personne dans l’offre) Le renforcement des liens d’appartenance à un territoire ou à une communauté Les éléments de rentabilité sociale C’est donc au promoteur de faire cette démonstration, mais à l’analyse de l’évaluer. C’est pourquoi nous proposons une première grille qui facilite la classification des arguments d’utilité sociale pour les promoteurs (voir la grille d’appréciation ci-dessus). Elle est suivie d’une grille de cotation pour structurer la lecture de cet argumentaire. Cette seconde grille qui se nomme «niveaux de démonstration » est en appui à l’analyste (voir les pages suivantes). Niveaux de démonstration de l’utilité sociale Compléter par une appréciation (fort, moyen, faible) et souligner les aspects MAJEURS pour le projet Service rendu Réponse à une problématique économique ou sociale nettement reconnue Nombre de personnes recevant des services Redistribution équitable des services Augmentation de l’accès et de la qualité d’un service social Concordance du projet avec les objectifs du plan local de développement Complémentarité du service rendu avec les services existants Création de services innovants Absence de substitution d’emploi public ou privé Sensibilisation de la population face à une problématique ou à une réalité, modification de son comportement Emploi et employabilité Nombre d’emplois créés ou maintenus Caractéristiques socio-économiques des clientèles embauchées Conditions de travail (monétaires et autres, avantages sociaux, conciliation travail-famille, contrat formel, respect des obligations réglementaires) Types de qualification et de formation fournie Nombre de personnes réintégrées sur le marché du travail ou aux études Développement de nouvelles qualifications professionnelles en vue de répondre à de nouveaux besoins Effet du mode de gestion Présence de bénévoles Participation des travailleurs à l’administration et aux orientations Participation des usagers à l’administration et aux orientations Développement de l’autonomie des usagers et travailleurs Développement de la citoyenneté dans l’entreprise (participation et capacité d’agir) Développement des expertises locales et de l’autonomie des communautés Redistribution équitable des excédents, s’il y a lieu Impact Amélioration de la sécurité des populations (physique, alimentaire, etc.) Amélioration de l’environnement physique de la communauté Amélioration de l’environnement culturel de la communauté Amélioration de l’environnement Socio-sanitaire de la communauté Diminution des effets de la pauvreté de certaines populations (santé, suicide, criminalité, violence), et prise en charge de problèmes sociaux) Réduction de la pression de la demande sur les services publics sans pour autant développer une offre de substitution Réduction de l’isolement des communautés en favorisant les communications Développement de l’autonomie des populations Développement de partenariats organismes-partenaires-milieu Identification des problèmes socio-économiques et de bien-être liés à l’absence des services de l’entreprise Estimation des coûts monétaires engendrés pour l’État par l’absence du service MATRICE MIDE DU GROUPE DE TRAVAIL DU BÉNIN : Les participants ont parcourru la matrice MIDE, d’origine Pérouvien et traduite par Laure. C’est WSM qui l’a utilisé et interprété avec deux partenaires CEBEDES et ….. Ils l’ont utilisé comme grille d’analyse lorsqu’ils accompagnenent les OCB dans leur processus de transition vers des entreprsies de type coopérative. Ensemble nous avons enrichi la compréhension de chaque case. Ensuite nous avons ajouté une rangée concernant l’apprentissage organisationnel. Il s’est en effet avéré que la capacité d’apprendre est capital pour que l’association puisse gérer ou s’approprier cette transition. Les rubriques E concernent la situation de départ (ENTREE) Les rubriques OC concernant les opérateurs de changement Les rubriques S concernent la SORTIE ou les résultats des fonctions précédentes. II GESTION DES CLIENTS ET DES MARCHES II.1.E Information actualisée de l'offre et de la demande L’association dispose elle d’informations concernant les volumes et prix sur les marchés, l’évolution comemrciale des concurrents, ainsi que les cycles périodiques et saisonnier des ventes ? II.2.E Information actualisée des prix et coûts Ont-ils une idée réaliste de l’évolution du prix des intrants ainsi que des coûts de production/transformation. Trop souvent on est très optimiste quand à l’évolution future des ventes mais sous-estime-t-on les coûts de production après une phase de formalisation des procédures. Beacoup de coûts cachés (bénévolat etc..) viennent alors à la surface et pire deviennent des couts fixes. II.3.E Information actualisée des systèmes de commercialisation Puisque l’EESS ne sera vite plus en mesure d’assurer la vente en détail de sa production elle devra travailler avec des acteurs de la commercialisation. Qielle est sa connaissance des systèmes en lien avec les filières concernées ;grossistes, intermédiaires, semi-grossistes, types de marché ? II.4.E information actualisée et désagrégée des membres bénéficiant de EESS Les membres sont toujours les premiers intéressés, soit comme fournisseur soit comem client. L’EESS est-elle capacble de suivre l'intérêt qu'offre l'unité pour les membres/clients ? II.4.OC Stratégie Marketing avec personnel dédié Devant la concurrence l’organisation doit travailler sur la promotion et la distribution des produits comemrcialisés. Quelles ont les stratégies et activités en cours ? Dans quelle mesure le personnel concerné en fait son affaire ? II.5.OC Promotion des produits avec valeur ajoutée et différentiés Connait et développe l’EESS une valeur ajoutée particulier ? évolue-t-on vers une labellisation, différentiation sur les marchés afin que certains clients acquièrent des habitudes et une loyauté envers le produit ? II.6.OC Système effectif de ventes et gestion des inventaires Les invendus constituent un coût d’entreposage et un risque de détérioration. Il faut donc mettre en place un système de gestion des stocks de produits finis. II.7.OC Services opportuns de postvente Le suivi des clients, un guichet réclamations, un service après-vente peuvent constituer un atout de marque pour fidéliser les clients. Des enquêtes on trévélés que les clienst restent auprès des fournisseurs surtout grâce à la bonne relation qu’ils ont établis avec eux. II.8.OC Usage croissant de l'internet C’est un élément que l’on ne prends pas encore en compte en Afrique rurale. Le résultat d’une bonne gestion des clients et marchés est : II.9.S Augmentation des ventes et expansion du portefeuille de clients La commercialisation dépend de moins en moins d’un seul grand client ou piint de vente. Elle devinet moins vulnérable. On constate que l’on évolue vers plus de diversification dans les clients. II.10.S Satisfaction et loyauté des clients On constate que les mêmes client(e)s reviennent, ils sont fidélisés, respectent les crédits et avances négociés. On a introduit un système de fidélisation III LA PLANIFICATION STRATEGIQUE ET OPERATIVE III.1.E Analyse situationelle pertinente Ses forces & faiblesses sont connues, sa capacité de production. Elles sont capables de maîtenir la qualité, de respecter les délais. Ils savent identifier les opportunités qui se présentent ainsi que les menaces/risques. III.2.E Valeurs stratégiques incorporées dans la pratique entrepreneuriale Il s’agit de valeurs particuliers qui les distingent des autres entreprises privés. Par exemple ; Respects de l'environnement, promotion du travail décent, équité genre, protection sociale, III.3.E Vision et mission partagées et incorporées dans la pratique entrepreneuriale Sont-elles connues par tous ? Les aspects associatifs ont-elles été incorporés ? III.4.OC Planification à long terme: stratégie générale La planification pluriannuelle existe et détermine la voie à moyen terme. III.5.OC Planification à court terme: stratégies spécifiques Les objectifs trimestriel ainsi que semestrielles sont connues. III.6.OC Elaboration opportune des programmes opérationnels On se permet une certaine flexibilité dans l'opérationnel. La planification n’est pas trop rigide au point de rater des opportunités et de ne pas tenir compte des imprévus. III.7.OC Plans et programmes partagés Connu par tous, impliqués dans l'élaboration et informés, "restitution à la base !!" Les résultats et effets de cette planification stratégique effective sont : III.8.S Unités organisationelles concues de forme adéquate Il n’y a pas d'inflation de réunions, les responsabilités sont bien répartie et délégées, les prises de décisions se font de manière efficiente. III.9.S Cadre de Direction(Gestion?) Intégral du plan à long terme Les responsables tiennent compte des objectifs à long terme III.10.S Cadre de Direction(Gestion?) Intégral des unités organiques Il y a une bonne répartition des taches au niveau du conseil d'administration. Chacun tient compte de sa complémentarité avec les autres et a une vision d'ensemble Une bonne coordination qui veille à une approche cohérente VII GESTION DU PROCESSUS PRODUCTIF VII.1.E Conception de produits correspondant aux besoins du marché Cela se traduit dans la qualité de l'offre; prix,présentation,conditionnement, nature, VII.2.E Gestion efficace des intrants productifs L’approvisionnement et les relation fournisseurs sont bien gérées VII.3.E Distribution efficace de l'atelier/usine et des circuits de productions On applique le principe de marche en avant (suite logique des opérations) Il y a une bonne répartition des ressources humaines VII.4.E Machines, outils et métodes de travail à un niveau technologique approprié Le dimensionnement corespond à la productivité souhaitée, ce qui permet de réaliser une qualité de travail et de maitriser les dépendances énergétique, eau, polluant, VII.5.OC Assurance et suivi de la qualité Au niveau des produits VII.6.OC Contrôle de la production au niveau de : la main d'œuvre, du matériel et de l'énergie VII.7.OC Système de contrôle des paramètres des opérations VII.8.OC Utilisation optimale de la capacité installée Ce qui résulte dans une efficience et faible coût fixe par produit Le résultat d’une bonne gestion du processus productif VII.9.S Produits avec la valeur ajoutée requise VII.10.S Fort investissement dans le processus productif Il y a un engouement pour contribuer à améliorer la productiité et qualité, etc .. VIII ECONOMIE ET FINANCES VIII.1.E Information économique et financière opportune pour la prise de décisions On élabore un compte d'exploitation prévisionnel et assure un bon suivi des prix de marché VIII.2.E Système comptable (informatisé) effectif Elle est informatisé avec un logitiel non corrigible et qui permet de sortir des ratios et bilan et un compte d’exploitataion analytique. VIII.3.E Liquidité (Disponibilité de monnaie nationale et étrangère) La caisse plus les comptes en banque sont bien gérées ; il y a un suivi des créances exigibles à court terme ainsi que des dettes à court terme VIII.4.E Planification économique et financière L’entreprise dispose d’une plannification budgétaire et d’un plan de trésorerie VIII.5.OC Assignation et contrôle budgétaire Des rapports financiers sont régulièrement produits VIII.6.OC Système effectif de recouvrement On assure un suivi effectif des créances VIII.7.OC Utilisation des cash flows en tant qu'outil de gestion On assure le suivi des dettes aux fournisseurs ou emprunteurs Le gérant dispose d'un cash flow à jour VIII.8.OC Analyse des états économiques et financiers Le bilan annuel financier permet de apprécier l’évolution du patrimoine (actif et passif) Le compte d'exploitation analytique après chaque cycle permet d’analyser la structure des coûts et recettes. Les deux sont utiliser pour l’analyse des ratios et l’analyse de la valeur ajoutée Le résultat de cette gestion économique et financière sont : VIII.9.S Respect des obligations tributaires financières L’entreprise respecte ses obligations VIII.10.E Résultats satisfaisants de la gestion financière Le bilan financier est positif. Le bilan économique est connu (valeur ajoutée pour la région) I APPRENTISSAGE ORGANISATIONNEL I.1.E Cartographie des connaissances parmi les techniciens et administrateurs Pour chaque personne ressource te pour l’ensemble on connait les acquis et lacunes. Ceci permet de faire le bilan global des connaissances I.2.E Plan de formation de renforcement des capacités Les besoins sont traduits dans des trajets de formation I.3.E Un système et des sources de motivation à apprendre L’ambition professionelle individuelle est reconnue et complétée par des motivations de l'EESS (formateur, responsables ….). L’ensemble des besoins d'apprendre de l'EESS connus I.4.E Connaître comment est la pratique actuelle Les procédures & approches sont documentées et accessibles à tous. Les recettes et la technologie appliquée est décrite dans un manuel de production et de qualité I.1.OC culture d'apprentissage Des expériences et des innovations sont possibles même lorsqu’elle sont soldées par des échecs. Il est reconnu que tout le monde doit vouloir apprendre. I.2.OC Technologies de l'information et de communication appliquées à la Gestion des Connaissances Il y a une gestion performante des fichiers à l'interne. Le personnel a accès aux sources d'information professionnelles. I.3.OC le systèmes de capitalisation Les bonnes pratiques ainsi que les erreurs à éviter sont documentées Des changements nécessaires sont induits (expériences, recommandations) dès que l’on a tiré des léçons. I.4.OC système et sources de motivation à apprendre est effective (ressources y sont affectées) I.5.OC Un système performant de acquisition (formation) et partage de connaissances Désigner les personnes les mieux indiquées et formuler les attentes (cahier de charges) pour l'organisation. On prévoit les modes de restitution/partage et on demande des suggestions d'amélioration ou innovation concrètes. Résultats d’un bon système d’apprentissage organisationnel : I.1.R Bonne description des proccessus opératoires et des bonnes pratiques I.2.R Performances améliorées IV LEADERSHIP ET GESTION ORGANISATIONELLE IV.1.E Système de prise de décisions accepté On construit un consensus entre techniciens et élus du CA, et la base IV.2.E Système de contrôle interne assimilé par le personnel Tous respectent les procédures; les membres et le personnel (sanctions et motivations/primes) IV.3.E Normes et procédures de gestion documentées, diffusées et acceptées IV.4.OC Autorité des dirigeants: réelle, reconnue et formatrice Le pouvoir est effectivement excercé ; des décisions sont prises, des dilemmes tranchés. L’autorité agit de manière pédagogique, il explique le pourquoi des décisions, aide à pendre conscience de la pertinence des appréciations IV.5.OC Esprit entrepreneur et attitude proactive de la Direction La génération de profits est un élément d'attention, on oser innover pour y arriver. La direction prévoit des évolutions et y anticipe, son approche est flexible et non rigide IV.6.OC Capacité de gestion des processus de changements organisationnels On promeut et maîtrise l’évolution du sociétariat, du type d'entreprise EESS. Même le règlement intérieur fait l’objet de modifications régulières. IV.7.OC Pratiques organisationnelles flexibles et participatives Il existe une délégation de pouvoir et une alternance "politique" Les textes sont appliqués selon l'esprit et moins selon la lettre … on accepte que exceptionnellement des modifications temporaires. Résultat d’un bon leadership et gestion organisationnelle sont : IV.8.S Usage rationnel des ressources Il n’y a pas d'inflation de réunions ; une meilleure répartition des tâches délégées ; des prises de décisions efficientes. IV.9.S Climat organisationnel agréable Le niveau et la qualité satisfaisant de collaboration entre : * les dirigeants : techniciens et élus et * les organes Ceci résulte dans de l’enthousiasme, une ponctualité, du bénévolat, et une appropriation IV.10.S Conditions institutionnelles pour évoluer vers un "engagement" fort L’entreprise est reconnu, consulté, influent comme acteur dans l'environnement Elle peut défendre les intérêts des membres Elle améliore son ancrage par une organisation et dynamique associative Composants II GESTION DES CLIENTS ET DES MARCHES s i t u a t i o n II.1.E Information actualisée de l'offre et de la demande d é p a r t d e O P E R A T E U R S C H A G E M E N T D E E F F E T S III PLANIFICATION STRATEGIQUE ET OPERATIVE VII IV GESTION DU LEADERSHIP ET GESTION PROCESSUS ORGANISATIONELLE PRODUCTIF III.1.E Analyse situationelle IV.1.E Système de prise de décisions accepté pertinente III.2.E Valeurs stratégiques IV.2.E Système de contrôle II.2.E Information interne assimilé par le personnel actualisée des prix et coûts incorporées dans la pratique entrepreneuriale III.3.E Vision et mission II.3.E Information actualisée des systèmes de partagées et incorporées dans la pratiques commercialisation entrepreneuriale II.4.E information actualisée et désagrégée des membres bénéficiant de EESS II.4.OC Stratégie Marketing III.4.OC Planification à long terme: stratégie générale avec personnel dédié II.5.OC Promotion des produits avec valeur ajoutée et différentiés II.6.OC Système effectif de ventes et gestion des inventaires III.5.OC Planification à court terme: stratégies spécifiques III.6.OC Elaboration opportune des programmes opérationnels II.7.OC Services opportuns III.7.OC Plans et programmes partagés de postvente III.8.S Unités organisationelles concues de forme adécuate VIII.1.E Information VII.1.E Conception de produits correspondant aux économique et financière opportune pour la prise de besoins du marché décisions VII.2.E Gestion efficace des VIII.2.E Système comptable (informatisé) effectif intrants productifs IV.3.E Normes et procédures de VII.3.E Distribution efficace VIII.3.E Liquidité (Disponibilité de monnaie gestion documentées, diffusées et de l'atelier/usine et des nationale et étrangère) circuits de productions acceptées VII.4.E Machines, outils et métodes de travail à un niveau technologique approprié VIII.4.E Planification économique et financière I APPRENTISSAGE ORGANISATIONNEL I.1.E cartographie des connaissances parmi les techniciens et administrateurs I.2.E plan de formation de renforcement des capacités I.3.E système et sources de motivation à apprendre I.4.E connaître comment est la pratique actuelle I.1.OC culture d'apprentissage IV.4.OC Autorité des dirigeants: réelle, reconnue et formatrice IV.5.OC Esprit entrepreneur et attitude proactive de la Direction VII.5.OC Assurance et suivi VIII.5.OC Assignation et contrôle budgétaire de la qualité IV.6.OC Capacité de gestion des processus de changements organisationnels VII.6.OC Contrôle de la production au niveau de : la main d'œuvre, du matériel et de l'énergie VII.7.OC Système de contrôle des paramètres des opérations VIII.6.OC Systèm effectif de recouvrement VII.8.OC Utilisation optimale de la capacité installée VIII.8.OC Analyse des états I.5.OC système performant de économiques et financiers acquisition (formation) et partage de connaissances I.1.R bonne description des proccessus opératoires et des bonnes pratiques VII.9.S Produits avec la valeur ajoutée requise VIII.9.S Respect des obligations tributaires financières IV.7.OC Pratiques organisationnelles flexibles et participatives II.8.OC Usage croissant de l'internet R E S U L T A T S VIII ECONOMIE ET FINANCES IV.8.S Usage rationnel des ressources II.9.S Augmentation des ventes et expansion du portefeuille de clients IV.9.S Climat organisationnel III.9.S Cadre de Direction(Gestion?) Intégral agréable du plan à long terme II.10.S Satisfaction et loyauté des clients IV.10.S Conditions institutionnelles VII.10.S Fort III.10.S Cadre de investissement dans le Direction(Gestion?) Intégral pour évoluer vers un processus productif "engagement" fort des unités organiques VIII.7.OC Utilisation des cash flows en tant qu'outil de gestion VIII.10.E Résultats satisfaisants de la gestion financière I.2.OC Technologies de l'information et de communication appliquées à la Gestion des Connaissances I.3.OC systèmes de capitalisation I.4.OC système et sources de motivation à apprendre est effective (ressources y sont affectées) I.2.R performances améliorées A l’issu de l’adoption des horaires de l’atelier, le calendrier de rapportage ci-après a été retenu. Calendrier de rapportages Dates Périodes Nom du rapporteur Lundi 07 décembre 2009 Matin et Soir Mireille. H et Remi O. Mardi 08 décembre 2009 Matin et Soir Pierre et Joseph Mercredi 09 décembre 2009 Matin et Soir Benoît et Mariam Jeudi 10 décembre 2009 Matin et Soir Marino et Patrick Présentation du programme Proposition de programme atelier décembre Bénin 1. Partage des expériences Faire le partage et le point sur les expériences depuis mars concernant les différents volets, en particulier les deux retenus ; renforcement de l’entreprenariat et partenariat avec les autorités locales. 2. Présentation des « produits » des autres plateformes de la recherche-action Elles se sont appropriés le cadre d’analyse EESS et proposent de modifications. 3. Approfondir et développer des 2 thématiques en recherche Le programme a été amendement car il n’y a pas eu d’objections. Deux définitions tirées du glossaire du même document Ancrage (Mobilisation communautaire – réseautage stratégique) L’ancrage se définit par les liens entre l’organisation et son milieu, sa communauté, son territoire, son secteur d’activité. Approche entrepreneuriale (entrepreneurs hip collectif) Les entreprises sociales qui prennent ou qui ont pris le virage entrepreneurial en développant des marchés et en générant des revenus d’autofinancement provenant de la tarification de leurs biens et services. On parle aussi d’entrepreneurs hip collectif (groupe de personnes) issu de la communauté.