questions simples et questions composites - hierarchie 0. il sera beaucoup question d'espace et de temps bcp d'espace et bcp de temps! le plus encombrant et le plus long (phenomenes extraordinairement dynamiques et fulgurants!!!! pas un escargot!!!!) 1. comment feriez vous pour estimer la duree de vie du soleil? 2.comment mesurer les distances ? 3. comment mesurer les vitesses . c . roemer-cassini bradley foucault fizeau applications majeures : vitesses radiales bigbang loi de Hubble expansion rotations des galaxies! la cinematique en ecoutant -ou plutot en voyant ! la radio ! cinematique de notre galaxie la voie lactee http://www.physique.usherbrooke.ca/grosdidier/userfiles/grosdidier_ages08.pdf 4 comment connaitre la nature chimique des astres ? 5 que savez vous des supernovas? 6 les saisons font elles 3 mois chacune ? 7.la dimension d;unite de l;univers exemple : l'unfication de maxwell : spectre infini lumiere et electricite unifies! par exemple la radio : -ondes ! expliquer -elles se reflechissent ! parabole metallique ! optique ->radiotelescope a reflection -comment emettre des ondes radios ? on a pas tout de suite compris comment EMETTRE des ondes radio! par exemple Bell et compagnie ont envoye des signaux par un CABLE !cohereur grenaille http://www.gr-univers.fr/univers/13.php http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_techniques_d'%C3%A9mission_radio L'histoire des techniques d'émission radio commence avec les premières expériences de Hertz, se poursuit avec les découvertes d'Édouard Branly, les travaux et essais de Guglielmo Marconi, de Camille Tissot, du général Gustave Ferrié et de quelques autres inventeurs. le grand genie ici est Hertz et Maxwell ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Rudolf_Hertz Hertz fit sa thèse de doctorat sous la direction de Hermann von Helmholtz. C'est en tentant de relier les franges d'interférences formées entre deux lentilles de verre en contact, qu'il rechercha les déformations de deux corps sphériques mis en contact sous une force donnée, en supposant leur comportement linéaire élastique. Il résolut analytiquement cette question pendant les vacances[1] de Noël 1880, et publia ses résultats en 1881[2]. Le problème du contact élastique de deux sphères (contact hertzien) reste à ce jour le seul résolu analytiquement. Il trouve de nombreuses applications, particulièrement dans les tests de dureté par indentation. Mais sa contribution essentielle à la physique demeure la vérification expérimentale en 1887 de la théorie de James Maxwell de 1864, selon laquelle la lumière n'est rien d'autre qu'une onde électromagnétique. C'est à Karlsruhe qu'à l'aide d'un oscillateur (dit oscillateur de Hertz, composé d'un éclateur agissant entre deux sphères creuses en laiton) il mit en évidence l'existence d'autres ondes électromagnétiques, celles-là non visibles. Il démontra que ces nouvelles ondes, susceptibles elles aussi de se diffracter, de se réfracter et de se polariser, se propageaient à la même vitesse que la lumière. Le 13 novembre 1886, il effectua la première liaison par faisceau hertzien entre un émetteur et un récepteur[3]. Ces résultats ouvraient la voie à la télégraphie sans fil et à la radiophonie. Pour cette raison, les ondes radio sont dites ondes hertziennes, et l'unité S.I. de mesure des fréquences est le hertz (nom en minuscule car il s'agit d'une unité de mesure, en revanche le symbole est Hz). Hertz a découvert en 1886 la photoélectricité : une plaque de métal étant soumise à une lumière émettra des électrons, dont la quantité dépendra entre autres de l'intensité lumineuse. Son assistant Wilhelm Hallwachs poursuivra les recherches dans ce domaine, découvrant en 1887 l'« effet Hallwachs », qui devait jouer un rôle central dans l'hypothèse des quantas de lumière formulée par Albert Einstein en 1905. 8.des phenomenes etranges : la desintegration beta le paradgme A/B/C candidat pour masse manquante pauli et le neutrino! 9.Les qualites du telescopes : iil y an a 4 qui s'opposent! ouvrir images par lien ou ds ppt http://www.imcce.fr/fr/ephemerides/astronomie/Promenade/pages2/280.html taille image ouverture champ disponible en pleine lumiere ? pouvoir de resolution pouvoir de resolution qu'est ce qui fait un bon telescope http://fr.wikipedia.org/wiki/Pouvoir_de_r%C3%A9solution a quelle distance angulaire minimum 2 rayons ou 2 points sont uls perceptibles comme distincts/separes par l'instrument ? reponse : 0 si il n'avait pas la diffraction MAIS justement la lumiere est un pheno ondulatoire et les fentes/diaphragmes/ouvertures 'introduisent des centres d'ondes secondaires -ppe d'Huyghensqui floute le signal (la coherence) theta=1.2 lamda/D D=optique du diametre diametre objectif et longueur d'onde longues lunettes versus 'plats ovales' ! saucisses ou plats ovales ? champ de vision 3degres pour galilee radio/visible rapport diametre objectif a resolution egale ... 100000 pourquoi des telescopes de 500 kms de diametres alternative (interferometrie distribuee) pour aller plus loin tache d'airy http://www.imcce.fr/fr/ephemerides/astronomie/Promenade/pages2/280.html 10. les galaxies tournent sur elles memes http://www.astrosurf.com/luxorion/univers-cinematique-galaxies.htm conservation d'un moment cinetique initial (asymetrie originelle ds l'accretion de matiere/poussiere) REPONSES: les dimensions du systeme solaire ******************************************* http://www.phy6.org/stargaze/Fscale.htm http://claudelafleur.qc.ca/Distances-Univers.html Pour se faire une idée des dimensions du Système solaire – notre petit coin d’Univers –, divisons ces grands nombres par un milliard. C'est alors que la taille du Système solaire équivaut à celle d’une ville d'une vingtaine de kilomètres. De même, à cette échelle, la Terre correspond à un raisin et la Lune à un petit pois, les deux étant distants l’un de l’autre de 38 centimètres. Le Système solaire à l’échelle d’une ville Imaginons donc la taille du Système solaire comme étant celle d’une ville. On y placerait le Soleil au centre et on disposerait les planètes-fruits aux distances proportionnelles. Ainsi donc, la taille du Soleil divisée par un milliard équivaudrait à celle d’un ballon de la taille d'un humain. Mercure, la planète la plus proche du Soleil, deviendrait un petit pois placé à 58 mètres de là. Quant à Vénus, il s’agirait d’un raisin posé à 108 mètres du Soleil, alors que la Terre (un autre raisin) serait à 150 mètres – l’équivalent d’un pâté de maisons. Pour sa part, Mars s'assimilerait à un bleuet placé à 230 mètres du Soleil (à un pâté et demi de maisons), alors que Jupiter serait un pamplemousse installé à trois-quarts de kilomètre. Quant à Saturne, un autre pamplemousse, elle se trouverait à 1½ kilomètre du Soleil. Viennent ensuite Uranus et Neptune, qui seraient deux oranges déposées respectivement à 3 et 4½ kilomètres. Finalement, Pluton (une graine) fermerait la marche à 6 kilomètres du centreville. le cas galilee ******************************************* http://fr.wikipedia.org/wiki/Galil%C3%A9e_(savant)#La_t.C3.AAte_dans_les_.C3.A9t oiles En mai 1609, Galilée (ou plutôt Paolo Sarpi ?) reçoit de Paris une lettre du Français Jacques Badovere, l'un de ses anciens étudiants, qui lui confirme une rumeur insistante : l'existence d'une lunette conçue par l'opticien hollandais Hans Lippershey en 1608 permettant de voir les objets éloignés. Fabriquée en Hollande, cette lunette aurait déjà permis de voir des étoiles invisibles à l'œil nu. Sur cette seule description, Galilée, qui ne donne plus de cours à Cosme II de Médicis, construit sa première lunette. Contrairement à la lunette hollandaise, celle-ci ne déforme pas les objets et les grossit 6 fois, soit deux fois plus que sa concurrente. Il est aussi le seul à l'époque à réussir à obtenir une image droite grâce à l'utilisation d'une lentille divergente en oculaire. Cette invention marque un tournant dans la vie de Galilée. Le 21 août 1609, venant à peine de terminer sa deuxième lunette (elle grossit huit ou neuf fois), il la présente au Sénat de Venise. La démonstration a lieu au sommet du Campanile de la place Saint-Marc. Les spectateurs sont enthousiasmés : sous leurs yeux, Murano, située à 2,5 km semble être à environ 300 m seulement. Galilée offre son instrument et en lègue les droits à la République de Venise, très intéressée par les appli les supernovas ******************** 1006 - Observation de la supernova la plus brillante observée sur Terre durant les temps historiques (SN 1006), dans la constellation du Loup. 1054 - La formation de la Nébuleuse du Crabe, dans la constellation du Taureau, observée par des astronomes Chinois (SN 1054) 1181 - Supernova moins connue dans la constellation de Cassiopée (SN 1181) Vers 1300 - Une supernova ayant engendré le rémanent RX J0852.0-4622 (ou Vela Junior) s'est probablement produite, mais semble ne pas avoir été observée, malgré une certaine proximité avec la Terre. 1572 - Supernova dans Cassiopée, observée par Tycho Brahe, dont le livre De Nova Stella sur le sujet nous donna le mot « nova » (SN 1572) 1885 - Première supernova de l'ère télescopique, observée dans la galaxie d'Andromède et visible à l'œil nu (SN 1885A). 1987 - Supernova 1987A observée durant les heures de son commencement dans le Grand Nuage de Magellan, ce fut la première opportunité pour les théories modernes sur la formation des supernovae d'être testée face aux observations. Quelques autres supernovae remarquables ont fait l'objet de nombreuses études, parmi lesquelles : Vers 1680, l'explosion d'une autre supernova aurait pu être observée sur Terre, mais on en trouve aucune mention dans les travaux des astronomes de l'époque. Ce n'est qu'au milieu du XXe siècle qu'a été rétrospectivement identifié le rémanent, Cassiopeia A, dont l'âge est estimé légèrement supérieur à trois siècles. La raison pour laquelle cette supernova est demeurée invisible n'est pas connue actuellement, mais est probablement due au fait que l'absorption du milieu interstellaire situé entre la supernova et la Terre était importante, allié au fait que cette supernova était sans doute sous-lumineuse, à l'instar de Cassiopée A. 2006 - Supernova SN 2006gy dans la galaxie NGC 1260 située à 240 millions d'années-lumière de la Terre observée par R. Quimby et P. Mondol et étudiée en utilisant les télescopes Keck à Hawaii et Lick sur le Mont Hamilton en Californie. Sa luminosité dépassait d'environ cinq fois celle de toutes les supernovæ observées à ce jour et sa durée était de 70 jours. Cette supernova pourrait être un exemple de supernova à production de paires, uniquement issue d'étoiles extrêmement massives, désormais très rares dans l'univers. 2008 - Supernova SN 2008D[6] dans la galaxie NGC 2770, située à 88 millions d'années-lumière de la Terre, observée le 9 janvier 2008 par une équipe internationale d'astronomes dirigée par Alicia Soderberg. C'est la première fois qu'une supernova est photographiée au moment même où commençait son explosion. cinematique des galaxies ******************************************* FAILLE DANS LA MECANIQUE de Newton-Einstein? modif de la loi de la gravitation theorie MOND Modified Newtonian dynamics acronyme qui marche bien en ... francais densite grande/constante/faiblissante equation de vlassov http://www.astrosurf.com/luxorion/univers-cinematique-galaxies2.htm Le problème de la matière sombre On ne peut évidemment pas passer sous silence la question de la matière sombre qui semble à toute évidence contrecarrer la dynamique newtonienne à l'échelle galactique. Dans le cas de la rotation galactique, on a besoin de cette hypothèse. En effet, les vitesses typiques au sein des galaxies sont de l'ordre de v=200 km/s. Comparées aux 300000 km/s de la lumière, le rapport v/c est très faible, et dès lors la mécanique de Newton et la gravitation peuvent être appliquées aux galaxies. Pour en avoir la preuve, il suffit de constater que les galaxies présentent des disques stellaires dont le profil lumineux décroît exponentiellement. Nous savons également que la lumière trace directement la matière baryonique. On peut en dériver le champ gravitationnel du disque stellaire. On peut calculer ensuite la vitesse des orbites circulaires dans ce champ pour obtenir la courbe de rotation des galaxies. En 1932, l'astrophysicien américain Fritz Zwicky constate que dans les grands amas de galaxies la vitesse de ces dernières comparée aux modèles théoriques révèle un écart très important. En effet, à ces vitesses, la masse de la galaxie (que l'on déduit de la luminosité de celle-ci) ne suffirait pas à les maintenir : elles devraient s'éloigner. Il proposa alors que cet écart était lié à la présence d'une source de gravitation non visible, c'est-à-dire autre que stellaire. un exemple d'observation de la matiere noire =par ses effets ! http://irfu.cea.fr/Sap/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast.php?t=fait_marquant&id_ast=1 470 pouvoir de resolution ******************************************* Limite de diffraction La diffraction limite le pouvoir de résolution des instruments optiques : un objet ponctuel donne une image « floue », appelée tache de diffraction. Si deux détails d'un objet sont trop proches, les taches de diffractions se chevauchent et il devient impossible d'obtenir des images séparées de ces détails. Pour un instrument optique de diamètre D observant à une longueur d'onde ?, le pouvoir de résolution maximal, exprimé en radians, est . On retiendra que pour l'œil en vision diurne, le pouvoir de résolution maximum est d'environ 0,5 minute d'arc pour une pupille dilatée à 5 mm de diamètre, soit 1 millimètre pour un objet ou une image placé à 6 mètres ou 1/6 000 radian ; cette valeur est très optimiste pour les usages courants, qui correspondent plutôt à 1/3 000 ou 1/1 500 radian ; pour un télescope de 10 mètres de diamètre, le pouvoir de résolution théorique est d'environ 15 millisecondes d'arc dans la bande visible du spectre, mais il ne peut être atteint en raison de la turbulence atmosphérique qui « floute » les images ; pour un microscope optique de 1 cm de diamètre, le pouvoir de résolution théorique est d'environ 15 secondes d'arc, soit 0,5 micromètres pour un échantillon situé à 1 cm de l'objectif. Afin d'obtenir une meilleure résolution, deux possibilités sont exploitées : observer avec des longueurs d'ondes plus petites : c'est le cas du microscope électronique qui utilise des électrons de très faible longueur d'onde ; utiliser une optique de plus grand diamètre : c'est le cas en astronomie avec la course aux grands télescopes. Une variante est d'utiliser l'interférométrie entre des télescopes distants. POURQUOI a-t-on remplace les saucisses par les plats ovales ? http://www.imcce.fr/fr/ephemerides/astronomie/Promenade/pages2/280.html Les lunettes, depuis une cinquantaine d'années ont été supplantées par les télescopes. Les raisons de cette évolution sont multiples : - d'abord l'achromaticité que nous avons abordée ci-dessus; - ensuite, dans une lunette, la lumière traverse le verre de la lentille alors que dans un télescope, le verre, poli, ne sert que de support à une couche réfléchissante. Il faut donc que le verre d'une lentille soit très homogène, ce qui est très difficile à réaliser pour des lentilles d'un diamètre supérieur à un mètre; - pour cette même raison que la lumière traverse le verre de la lentille, certaines longueurs d'onde du spectre sont arrêtées par le verre : une lunette est complètement aveugle dans l'infrarouge; - enfin, on ne sait pas fabriquer des lentilles dont la focale soit du même ordre de grandeur que le diamètre. Les lunettes sont donc toujours des instruments de visée de grande longueur. Or une lunette astronomique doit pouvoir prendre, dans l'espace, des positions très diverses : ainsi, les contraintes mécaniques sur un instrument de grande longueur (flexions en particulier) interdisent un réglage précis et permanent de l'instrument, sans cesse à revoir. Au contraire, les télescopes, plus compacts, se déforment moins au cours d'une nuit d'observation. De plus, on sait aujourd'hui construire des télescopes dont les miroirs ont une focale voisine de leur diamètre. Ce sont des télescopes très ouverts, ce qui veut dire, rapellons-le, que le faisceau de lumière qui converge au foyer, a un angle important. Plus cet angle est important, plus la quantité de lumière reçue au foyer est élevée, donc plus faibles seront -à temps de pose équivalent- les objets observables. Et en astronomie, voir des objets faibles, signifie souvent voir loin... ROLE de la focale avoir de grandes images ds le plan image Ainsi un angle d'un radian aura pour image un arc de cercle dont la longueur sera la focale de la lunette ou du télescope. s=Ra avec a=1. ! Le deuxième paramètre fondamental d'un instrument est son ouverture, c'est-àdire le diamètre du miroir du télescope (de l'objectif pour une lunette). On lui associe l'ouverture du faisceau qui est égal au rapport f/D de la focale sur le diamètre. Plus ce rapport est petit, plus la lumière par unité de surface au foyer est grande et donc moins les temps de pose seront longs. Un autre paramètre important caractérisant un instrument est le champ disponible en pleine lumière. Ce champ est caractérisé en angle sur le ciel et en millimètres dans le plan focal. Les instruments à grand champ ont été construits spécialement pour cela. Le dernier paramètre fondamental d'un instrument est son pouvoir de résolution (ou résolution angulaire), c'est-à-dire la taille angulaire du plus petit objet mesurable. les neutrinos ******************************************* L’abc de la physique des particules rayons alpha beta gamma ! Qui connaît la radioactivite ? Des longues ou tres longues durees de vie tres utiles ! mesure du temps ! L'habitude d'appeler rayons alpha, bêta et gamma les noyaux d'hélium, les électrons ou les photons émis lors de désintégrations radioactives remonte à l'époque de la découverte. Nourris de culture classique, les physiciens étaient alors férus de grec et de latin. L'appellation est demeurée. La découverte de « rayons » d'origine inconnue émis par des sels d'uranium faisait suite en 1896 à celles d'autres rayons dont on n'avait pas encore élucidé la nature : les rayons X et les rayons cathodiques. Il faudra longtemps pour comprendre l'origine des uns et des autres. Les désintégrations alpha, bêta, et gamma font intervenir les forces fortes, faibles et électromagnétiques présentes dans le noyau : le noyau évolue vers un état plus stable en émettant un rayonnement. Les deux principales causes d'instabilité sont un trop grand nombre de nucléons ou un déséquilibre entre les nombres de protons et de neutrons. Dans le premier cas de la radioactivité alpha, le noyau recherche la stabilité en émettant un noyau d'hélium ou particule alpha. Dans le second cas, un proton se transforme en un neutron (ou l'inverse), avec émission d'un électron ou un positon, c'est la radioactivité bêta. La radioactivité gamma est une simple désexcitation du noyau, de même nature que l'émission de lumière ou de rayons X par les atomes. Les désintégrations gamma sont généralement instantanées et suivent de très prés l'émission de particules alpha ou bêta. En effet, ces émissions laissent presque toujours le noyau dans un état excité. Les désintégrations alpha et bêta ont en général du mal à se produire. Les durées de vie des noyaux radioactifs sont longues pour les horloges de l'infiniment petit. Elle peuvent l'être aussi pour nous. Certains éléments radioactifs natures comme l'uranium ou le thorium ont des durées de vie de quelques milliards d'années. Ces émissions changent la composition du noyau, donc la nature de l'atome. La radioactivité ne transforme pas le plomb en or, mais elle transmute la matière comme le font les autres réactions nucléaires. Desint beta : le neutron n’est pas eternel (donne e- nu p ) ! DETAILS PRATIQUES hyperliens internes navigation ppt http://www.lockergnome.com/windows/2009/01/26/link-to-another-slide-in-the-samepowerpoint-2007-presentation/ even better ! http://www.presentationmagazine.com/simple-powerpoint-menus-a-tutorial-136.htm http://www.nursing.umich.edu/snits/documentation/Office/PPTlinks.pdf