Les différentes versions de l athéorie quantitative d ela monnaie

DEUXIEME PARTIE: ELEMENT DE THEORIE ONETAIRE
CHAPITRE 1: LA THEORIE QUANTITAIVE DE LA MONNAIE
I/ Les différentes versions de l athéorie quantitative d ela monnaie
1. Les hypothèses communes
Il existe une corélation forte entre la variation du niveau des prix et des variations importante de
la masse monétaire. Cette théorie à connue plusieurs formulations mais qui toutes reposent sur des
hypothèses communes. Il en existents 4:
Ce sont les variaton de la masse monétaire qui explique les variations de prix de monnaie. Cette
première hypothèse est souvent confondue avec une hypothèse plus contraignante qui postule
que la variation relative de la masse monétaire est identique au niveau général des
prix.deltToutefois cette relation n'est pas partagée par tout les auteurs de la théorie qantitative.
La vitesse de circulation de la monnaie V et le volume des transactions T sont insensibles aux
variations de la masse monétaire. Certains vont plus loin en postulant que V et T sont constant.
Cette hypothèse plus stricte est admise par a plupart des auteurs mais à court terme. Par contre
à LT la plupart des auteurs admettent que T et surtout V peuvent varier.
L'offre de monnaie est supposée exogène, cad que le principe de la currency school se trouve
vérifier. Cette troisième hypothèse est logique puisqu'elle permet de valider la première.
Les agents économiques sont supposés rationnel cad qu'ils ne sont pas soumis à illusion
monétaire donc ils prennent leur décision économique en fonction des seuls prix relatifs. Si les
prix nominaux sont multiplié par la même constante alors le prix relatif ne varie pas et
l'économie non plus. C'est l'hypothèse centrale de la théorie . Toutefois cette hypothése est
contestable ca elle ne permet pas d'expliquer la volonté de certains états à changer d'unité
monétaire. Lorsque le génral de gaulle changent les anciens francs en nouveaux francs afin de
lutter contre l'inflation. Aisni ce qui vallait 100 francs vaut 1 nouveaux francs, soit une divisions
par 100 des dettes salaires ect.. POur un néoclassique le changement monétaire n'a aucun
intérêt car pour eux le comportemetn des individus ne devrait pas changé. Ainsi si on est
onvaincu que le changement d'unité monétaire à un effet alors nous considérons que l'individus
est soumis à illusion monétaire. L'autre exemple est le passeg à l'euro qui à modifié durablement
les comportement économique.
Une cinquième et une sixième hypothèse existent mais ne sont retenues que par quelques
auteurs car considérées comme trop contraingnantes. La cinquième est que le prix nominaux
sont parfaitement fléxible aussi bien à la hausse qu'a la baisse. il faut ajouter que cette fléxibilité
est obtenue instantanément sans délai d'adaptation. Fisher admet cette hypothèse mais ne
l'admet qu'a long terme. Cela veut dire que pour lui il y a une période de transition entre
l'augmentation de la masse monétaire et celle des prix nominaux ou cette transition dure une
dizaines d'années.
Cette sixième hypotèse est le fait que la production effective est toujours égale à la production
de plein emploi, ainsi nous sommes dans une économie ou il n'y a pas de de chomage.
2. L'équation des échanges de Fisher
M.V=P.T
M: Masse monétaire
V: vitesse de circulation
P: niveau général des prix
T: volume des transactions
Equation ou identité?
Tout dépend de l'horizon temporel que l'on se donne (exante ou expost):
lecture expost = identité toujours vérifée,
lecture exante = donne la condition d'équilibre
Première hypothèse: V est contante :DELTA V= O
Deuxième hypothèse: T est constant: dt=0
Avec ce type d'équtaion cela nous donne une politique monétaire extrémement simple puique pour
controler l'inflation il suffirai de controler la croisance de la masse monétaire.
Bien que ces recommandations e politique monétaire reposent sur des hypothèses extrèmement
strictes, elles n'en demeurent pas moin l'un des fondements des politiques monétaires qui ont été
sublies au moin jusqu'au début des années 1980.
La quetion qui se pose est par quel mécanisme la croissance de la masse monétaire provoque t elle
celles des prix?
L'explication repose sur l'effet d'encaisse réelle=encaisse nominal/niveau des prix (M/P).En
En T0: (M/P)0
Compte tenue de la vitesse de circulation de la monnaie cela permet e réliser le volume des transactions
T.
En T1 delta M>0 : (M/P)1 > (M/P)0
Les agents vont chercher à dépenser ce supplément d'encaisse réelle ce qui signifie qu'il vont chercher à
faire plus de transaction. Or T ne peut pas varier. Donc cette volonter d'effectuer plus de transactions ne
pourra pas aboutir, et ne pourra que provoquer qu'une augmentation des prix qui durera jusqu'a ce que
l'encaisse réelle revienne à son niveau initial.
3. L'équation de Cambridge
MD = k P Y (ou PY est le PIB)
MD = demande de monnaie
P = indice de prix
Y = indice des transactions finales
1ère modification: Chez Fisher T mesure le volume de toute les transactions ayant lieu y compris le
volume des transactions de consommation intermédiare des entreprises alors que cher Marshall et
Pigou Y ne mesure que le volume des tranaction finale c'est aussi le volume des valeur ajoutée. Y est
donc forcément plus petit que T. L'erreur à ne pas commettre est d'écrire k = 1/v
2ème modification:L'équation de Cambridge déplace la problématique par rapport à Fisher car Marshall
et Pigou présentent une fonction de demande de monnaie. Ces auteurs nous disent que la demande de
monnaie est une proportion stricte donnée par k du PIB du pays. Etudier la demande de monnaie
revient à dire que nous mettons l'accent sur les motifs de détention monétaire. L'équation de fisher elle
n'est pas une équation de demande, elle explique que pour réaliser des transactions il faut une certaine
masse monétaire, ainsi elle met l'accent sur l'utilisation de la monnaie. L'idée est que l'on pourrait être
amener à détenir de la monnaie pour autre chose que son utilisation dans les transactions c'et à dire
déenir de la monnaie comme réserve de valeur pour la thésauriser. L'équation de Cambridge est un
premier vers l'élargissement des fonctions reconnue de la monnaie et en particulier la reconnaissance
de la monnaie en tant que réserve de valeur, d'actif financier.Les limites de Marshal et de Pigou est
qu'ils refusent à la monnaie le rôle de réserve de valeur.
Cette équation est tout de même importante car elle est à mi chemin entre Fisher et Keynes.
Ces deux auteurs vont retomber sur les mêmes conclusions que Fisher à savoir que le contrôle de la
masse monétaire permet bien de controler l'inflation des prix.
4. L'école de Chicago
En 1956 le problème de Friedman est qu'il souhaite retrouver les principales conclusions de la
théorie quantitative de la monnaie, mais il souhaite les retrouver tout en tenant compte des apports de
l'analyse de Keynes, cad qu'il lui faut intéger la monnaie pas seulement comme instrument facilitant les
transactions mais aussi comme instrument de réserve de valeur.
Techniquement la question va se focaliser sur la stabilité ou l'instabilité de V.
Thèse quantitative: monnaie: Unite de compte + instrument de paiment : V est sable
Thèse de Keynes: monnaie:Unite de compte+Instrument paiement+reserve de valeur:V instable
Monétarisme Néo quantitatisme (friedman):unité de compte+moyen de paiement+reserve de
valeur: V est stable
Pourquoi si nous fesont de la monnaie une réserve de valeur , V devient instable?
C'est parce que l'agent économique va se livrer à des arbitrages financiers qui vont provoquer des
variation imprévisibles de la masse monétaire.
Masse monétaire (M3)=Monnaie fiduciaire+Monnaie scripturale+"Quasi-Monnaie"(livretA)
Si un individu dipose d'un livret A de 10000 euros et un jours décide de le fermée pour acheter des bons
du trésors (actifs financier) la liquidité des banque et ainsi la masse monétaire va diminuer étant donné
que cet achat de titre financier ne fait pas partie de la masse monétaire. Cette arbitrage patrimonial est
bien imprévisible puisque cela renvoit à des décisions microéconomique que la banque centrale ne
contrôle pas. Inversement si revend actif et rouvre un livret A.
V est la seule variable qui s'adapte à M ou du moin qui s'adapte le plus vite possible: Si nous avons une
diminution de M (moin de monnaie) alors cette dimintuion de la masse monétaire sera compensée par
une augmentation de V.Inversement si la mase monétaire augmente alors V va diminuer.
Si V est instable la théorie quantitative de la monnaie s'effondre puiqu'il n'est plus possible d'affirmer
l'existance d'un lien direct entre l'existance de variation de la masse monétaire et celles du niveau ds
prix.
Friedman veut montrer que V est stable à condition de remplacer le revenu courant par le revenu
permanent. Ce rvenu est un concept théorique car il est égal à la somme actualisé de tous les revenus
futurs anticipés par tous les agents économiques ( trois cas possible Cf feuille).
En distinguant deux vitesses de circulation Friedman a bien réussi à montrer que la vitesse redevenait
stable à condition de la calculer à partir d'un revenu moyen à long terme qui est le revenu permanent.
Avec Friedman la théorie quantitative est bien réabilité mais est une théorie uniquement de LT. Cela
veut dire qu'a court terme ,ne pouvaitpas expliquer l'inflation à partir simplement des variation de la
masse monétaire.
II/ Les enjeux de la téhorie quantitative de la monnaie
1. La loi de Say et la neutralité monétaire
Say (1767-1832) est un économiste français, et publit en 1803 le traité politique dans lequel il
établit la loi de Say:
"C'est la production qui ouvre des débouchés aux produits" ou les produits s'échanges contre des
produits. Cette idée va être reprise par Ricardo
En effet Ricardo explique que lorsque les entrprise produisent elles distribuent des revenus pour
une valeur exactemetn égal à la valeur de la production. Ces revenu vont par la suite être dépensé et
vont donc prendre la forme d'une demande qui sera exactement égal à la valeur des biens produits.
Cette ne sera vérifié que si la monnaie n'est pas une réserve de valeur (unité de compte + moyen de
paiement), autrement dit la thèse de Say et de Ricardo est pertinente si il n'y a pas de thésaurisation
dans l'économie. Cette thèse est réapparue avec force dans années 70/80 avec les économistes de
l'offre et plus interessant encore cette thèse à intéressé les politique économique américaine sous
Tatcher. L'idée c'est de dire que les seules politques économique conjoncturelle pertinentes qui
stimulent l'offre de bien sont par exemples les politiques qui vont réduire les coûts de productions. Avec
ce courant il n'est jamais nécessaire de stimuler la demande, cad que l'on est à l'opposée de l'analyse de
Keynes.
Cette thèse à été reprise de manière plus précise par Oscar LANGE dans un article de 1942 ou
pour lui la monnaie n'est jamais thésaurisée, ce qui signifie que les agents économiques envisagent
toujours d'utiliser la totalité du produit de leur vente de marchandise ou de titres financiers, à l'achat
d'autres marchandises ou d'autre titres financiers. Ainsi ils n'envisagent jamais de modifier la quantité
de monnaie qu'ils detiennent et donc toutes demande nette de marchandise prendra la forme d'une
offre nette de titre, de même que toutes offre nette de marchandises prendra toujours la forme d'une
demande nette de titres.
Demande nette d'un bien i = Xi = (Di-Oi) équilibre si Xi=0
Demande nette
Il existe 4 marchés: Marché financier=titres (MD-MO) sur marché des titres(TR)
Marché de la monnaie (M-M) sur le marché monnaie (MO)
Marché des B et S (M-M)BetS
Marché du travail (M-M)Trav
Condition d'équilibre macroéconomique:
(M-M)TR + (M-M)Mon + (M-M)BetS + (M-M)Trav = O
Cette équation signifie que les désquilibre partiel éventuel sur cetians marchés doivent s ecompenser de
manière à ce que l'équilibre soit assurer si l'on considère tout les marché en même temps.
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