• Sens aigu des affaires combiné avec
• une piété qui pénètre et domine la vie entière
Le problème (2)
•L’"esprit" du capitalisme
• « Un « signalement provisoire »
• Et non une définition
L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme
•L’"esprit" du capitalisme et
•Une nouvelle conception du travail :
Benjamin Franklin
•pas un sens des affaires "moralement indifférente"
• mais "une maxime éthique pour se bien conduire dans la vie."
• honnêteté, ponctualité, application au travail, frugalité : vertus utiles
• c’est l’utilité qui leur confère ce caractère de vertu.
• Cela suffit-il à donner cette dimension éthique ?
• oui parce que cette idée lui a été "révélée par Dieu". (cf. .biographie de Franklin)
L ’argent, une fin en soi
• éloignée - radicalement - de toute recherche du bonheur,
• de toute forme de jouissance :
• "gagner de l’argent, toujours plus d’argent,
• tout en se gardant strictement des jouissances spontanées de la vie".
Le fondement de l’éthique
sociale de la civilisation capitaliste
•Gagner de l’argent
(expression de la compétence et de l’application)
•Le devoir s’accomplit dans l’exercice d’une profession
•C’est bien là la morale de Franklin
Ascétisme et Esprit du Capitalisme
Profession et vocation
• ce mode de vie, cette façon de considérer le travail (profession) vont parvenir à dominer
d’autres conceptions
• d’autres fondements de l’activité
• ce qui n’est pas possible si c’est une idée propre à quelques individus isolés.
• Mais expression d’une conception commune à des groupes humains dans leur totalité.
Un long, persévérant travail d’éducation
•Non pas "comment gagner (le) plus avec le minimum d’efforts ",
•mais "le travail, au contraire, doit s’accomplir comme s’il était un but en soi - une "vocation"