6 août 2002

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Projet Empowerment des communautés culturelles (CECC)
Compte-rendu de la réunion du 6 août 2002
Propos colligés et rédigés par Guillaume Ndongo
Coordonnateur de l'équipe de projet
Présence:
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Professeur Kenneth Cabatoff,
Jean-Philippe Noël,
Frédéric Belley,
Guillaume Ndongo
Ordre du jour
1. État d’avancement de la mise en place des stratégies de production des conférences des 27
septembre, 25 octobre et 25 novembre 2002
2. Contenu des communications à adresser aux organismes et instances gouvernementales et
aux médias
3. Contenu (symbolique) des messages publicitaires
4. Espaces et lieux où faire la publicité
5. Varia
Préambule
Avant d’aborder l’ordre du jour, le professeur Cabatoff fait un rappel commenté de l’objectif
fondamental du projet l’empowerment des Communautés Culturelles. La mission du CECC est de
jeter un regard évaluatif sur les pratiques d’accueil mises en place par les gouvernements dans le
cadre des politiques d’intégration. Une littérature abondante existe, mais il y a peu d’études
approfondies qui proposent des solutions corètes à partir d’échanges directs avec les immigrants.
Le CECC fera des recommandations destinées à améliorer la situation des populations
immigrantes par un processus d’apprentissage devant aboutir à des propositions sur la formulation
des politiques publiques d’accueil et intégration plus adéqustes.
1. État d’avancement de la mise en place des stratégies de production des conférences des 27
septembre, 25 octobre et 25 novembre 2002
Sans parler de statu quo, les contacts pris (conférenciers, parrains et personnes ressources)
demeurent valides à ce jour pour la conférence du 27 septembre sur les CC de l’Amérique
Centrale.
Pour la conférence du 25 octobre, les contacts se poursuivent. Des confirmations pour participer
sont enregistrées comme celle de la communauté togolaise du Canada.
Face à la difficulté de regrouper les communautés de façon plus ciblée, le sujet sera abordé de
façon plus large. L’idée d’élargir l’auditoire fait l’unanimité. Les contacts protocolaires vont se
poursuivre. Mr Cabatoff contactera les communautés africaines d’origine anglophone. Les
journalistes des médias officiels (Le Devoir, La Presse), qui collaborent par exemple avec l’Hôtel
de Ville, seront saisis pour couvrir certains sujets particuliers. Le barreau du Québec sera invité
pour la conférence d’octobre.
En prévision à la conférence de janvier 2003 sur les communautés haïtiennes, Mme Micheline
Labelle, directrice du centre de recherche sur l’immigration à l’UQAM sera contactée.
2. Contenu des communications à adresser aux organismes et instances gouvernementales et
aux médias
Même si les activités-conférences à organiser sont focalisées sur des communautés spécifiques,
d’autres thèmes touchant l’ensemble des immigrants seront abordés : le logement, l’emploi et
l’équivalence des diplômes et des expertises; travailler en fonction de sa formation d’origine étant
une préoccupation commune.
Toutefois, les conférences seront organisées en tenant compte des enjeux et des incitations plus
particulières. Celle de l’Amérique centrale sera axée sur la couverture médiatique des problèmes
d’immigration, tandis que celle sur l’Afrique focalisera la reconnaissance des compétences et
l’accès à l’emploi en fonction de l’expertise acquise ici ou ailleurs. Le secteur informel dans la
sélection des immigrants concernant le rôle des conseillers en immigration sera le point de mire de
la conférence de novembre.
Les enjeux sous jacents à ces sujets ne sont pas toujours débattus au sein de l’opinion publique. Les
solutions plus larges seront néanmoins trouvées en favorisant un processus d’apprentissage.
Étant donné que les gouvernements et les organismes sont peu favorables à l’évaluation,
l’éducation des populations par les médias à partir de la dénonciation de certaines pratiques
d’immigration posent le problème plus général du rôle (devoirs) des journalistes en matière
d’éducation publique sur l’immigration.
Exemple : Que dire des événements du 11 septembre 2001? Faudrait-il ne rapporter que l’aspect
négatif et prétendre que tous les immigrants arabes en sont concernés?
L’idée d’inviter des journalistes, comme ceux de Radio Canada, et d’organiser un panel axé sur le
rôle des médias sur la problématique de l’immigration est retenue.
3. Contenu (symbolique) des messages publicitaires
Jean-Philippe est mandaté de trouver un graphiste pour le design d’un logo pour les affiches.
Guillaume est chargé d’écrire une vision précise, concise et explicite d’éléments essentiels de la
série des conférences devant constituer le contenu des messages publicitaires.
4. Espaces et lieux où faire la publicité
Les messages publicitaires seront publiés à La Presse, Le Devoir, dans les journaux universitaires
et ethniques, et affiché sur les babillards (Université de Montréal, UQAM, Concordia, McGill).
Avant la tenue des conférences et après que les documents de production (énoncés, résumés,
cibles, texte à publier, noms des intervenants...) seront disponibles, Mr. Cabatoff, accompagné par
certains membres du GRIÉVA, passera des entrevus radio diffusés et télévisés dans les chaînes
publiques et socio-communautaires.
Il faudra profiter des réseaux d’organismes déjà contactés (INRS, Ville de Montréal, Table de
concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes et Comité
d’adaptation de la main d’œuvre (CAMO), l’Union des communautés africaines à Montréal). Le
comité du site internet du GRIÉVA aidera à la transmission des messages. Frédéric est chargé
d’élaborer une liste d’organismes et de personnes à contacter.
5. Varia
Il a été demandé d’apporter la liste d’exigences relatives à la production des activités-conférences.
La séance est levée à 20h45 mn.
Guillaume Ndongo, Secrétaire
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